Balade dans le néant. [PV Arès]

Ses lévres pouvaient comprendre tout le sens de la douceur en entrant en contact avec la peau de Despina... Aucune humaine n'avait une peau si parfaite, et la déesse devenait irrémédiablement plus desirable a cet instant, que toutes les autres... Parcourant ses épaules, sa nuque, repassant sur son autre epaule, le Dieu Guerrier prenant le temps de s'impregner de cette peau si delicate, ses mains faisant de méme, alors qu'il la sent frissoner de plus bel. Elle se tourna lentement, marquant le moment encore plus incroyable, il prit bien le temps de la contempler, ses yeux, son visage, et enfin, ses lévres sublimes et désirables... Le visage de la Déesse etait en approche, et le feu sacré qui consumer Ares de l'intérieur ne fait que s'embraser un peu plus... Il sent son souffle chaud venir frapper doucement sa joue, alors que son murmure le fait sourire, le jeu encore le jeu...

Mais enfin, ses lévres fines viennent toucher sa peau. Il sent la chaleur de ses baiser, alors qu'ils s'approchent doucement de ses lévres, pour enfin les prendre. Le dieu Guerrier repond a son echange, se laissant méme entrainer sous l'eau, perdant toute notion de dimension, rendant ce baiser originale, mais qui trés vite le destabilise un peu plus. Despina venait pour la premiére fois de l'embrasser, et il avait adoré ses lévres, en redemandant encore et encore. Mais il avait decidé de ne plus reflechir pour cette journée, se laissant entrainer dans l'eau par cette siréne splendide, alors que ses bras puissants entouré sa taille fine, la collant a lui, nageant ensemble...

"Ose me dire que tu regrette que je te cherche autant..."

Il avait sourit, mais fondit alors de sa bouche sur son cou offert, l'embrassant delicatement, restant au milieu du lac, ses lévres pincant sa peau, sa langue jouant dessus, avant de remonter, et reprendre un baiser plus fougueux, plus envieux. Ses mains se placent alors de part et d'autre des hanches de la déesse, la serrant contre lui, enroulant les jambes de Despina autour de sa propre taille, alors qu'il continue son baiser, cherchant la langue de la jeune femme, pour danser avec elle. Peu a peu, il se raproche du bord, pour enfin l'allonger, se placant au dessus d'elle, reculant un peu son visage, caressant sa joue avec tendresse...

"tu es... Magnifique."

Lorsque ses lèvres se détachaient de celles d'Arès, Despina était comme attirée de nouveau dessus, comme si ils étaient les aimants parfaits, les pôles inversés, créés pour s'attirer. Elle frissonnait, sentant la fougue de son amant des heures suivantes. Elle écouta sa phrase et lui sourit, car le jeu était encore présent en elle, à vrai dire il ne la quittait jamais :

"Oh oui je regrette, car je n'ai pas la force de résister encore."

Elle se laissa attirer se le bord, leurs corps nus de touchant, leurs souffles chauds se mêlant, elle l'embrassait à nouveau, n'arrivant pas à se retenir. Ce manque de retenue la frustrait au plus haut point, elle n'arrivait pas à cerner ce qui se passait, et pourquoi il l'attirer tant, cela dépassait la force de gravité, d'attraction universelle, c'était de l'attraction divine. Elle savait ce qui se passait quand deux Dieux décidaient de faire l'amour, il se passait qu'ils entraient dans la transe qu'elle connaissait à cet instant. Elle l'écouta la complimenter, elle n'allait pas répondre que c'était réciproque, elle allait seulement pousser la provocation, son sens du jeu décuplé :

"Oh je regrette.."

Un grand sourire envahit son visage et ses mains parcoururent la peau nue du dieu, doucement elle le poussa et l'entraîna à nouveau dans l'eau, car elle s'y sentait mieux, elle enroula à nouveau ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son cou. Le baiser attractif, inévitable, se fit, leurs langues se rencontrèrent se mêlèrent, Despina lui mordait les lèvres, tellement elle essayait de refouler son désir par tout les moyens. Les alentours du petit lac sauvage étaient déserts, ils avaient la jungle pour eux, et l'éternité divine devant eux, quoi demander de mieux.

"Je regrette de ne pas t'avoir trouvé plus tôt."

Les baisers se poursuivaient, sans se ressembler. Toujours plus suaves et sensuels, pas un seul instant il ne voulait que ce moment s'arréte. Méme le jeu de sa niéce lui donnait des frissons de désirs incommensurables, Ares, dieu de la guerre et du sang, devenait a son contact, sous cette atmosphére si incroyable, doux comme de la soie. Le contact des mains de la Déesse sur son corps etait pareil a des millions de plumes douces qui venaient le caresser. Soudain, il sentit une légére poussée, et de nouveau le contact de l'eau fraiche sur son corps, celui de Despina venant se coller au siens presque immédiatement, rechauffant l'eau naturellement. Un baiser, sauvage, desirable, s'entrepit alors. La morsure l'excita, il sentait le desir monter autant pour lui que pour elle. La parole de la jeune femme le firent sourire, tandis qu'il se perdait dans le flot bleu azure de ses yeux magnifiques.

"Il faut Parfois savoir attendre..."

Il se ressera contre elle, prenant son cou, d'assaut de lévres, de légére morsures, laissant de fine traces rouge sur son passage, tandis que ses mains se laissaient aller a caresser son fessier sous l'eau, glissant le long de ses cuisses, decouvrant ce qui etait caché par l'obscure Marre. Il se blottit un peu plus, ses bras enlancant a present sa taille fine, ses baisers se poursuivant dans son cou, goutant cette peau au gout de miel encore et encore, sans relachement... Le Dieu etait a son sommum d'envie et désire, et son membre en ressentait egalement les effets. Lentement, il le fit jouer entre les cuisses de sa niéce, la regardant droit dans les yeux... L'eau n'etait surement pas pratique pour plus de préliminaire...

Mais il se decida d'attendre encore un peu... Son visage disparut alors un bref moment sous l'eau, ne laissant apparaitre que ses cheveux Blancs, sa bouche prenant possession du sein droit de Despina, le sucotant, l'aspirant, sa langue titillant son téton avec delice... Il le mordit méme légérement, avant de passer a l'autre. Ce dernier subit le méme traitement, avant qu'enfin, Ares ressorte de l'eau, se collant de nouveau à la Princesse des Mers.

"Mais, tu m'as trouvé enfin..."

Passer ne serais-ce qu'une seconde avec Arès, se révélait être le plus grand des délices, et elle comprenait pourquoi Aphrodite était si proche de lui. Sentir le membre brûlant et déjà bien tendu d'Arès entre ses cuisses ne fit qu'exciter la déesse, qui après des heures de résistance, se laissa complètement aller. Ses yeux reprirent une teinte bleu marine, le plus foncé et profond des bleus, pour ravir le regard d'Arès. Les lèvres du Dieu de la Guerre sur sa poitrine étaient un régal, et jamais elle ne l'aurait pensé aussi doux, car vraiment, il est le représentant du sang et de la violence, et le voir ainsi, lui faisait peut-être comprendre qu'elle ne le laissait pas indifférent du tout. Et le cœur de Despina battait la chamade, à son plus grand désespoir, car elle commençait à en vouloir à Arès, car il ne la laissait pas de marbre et c'était la première fois qu'un homme faisait ainsi battre un cœur. Elle aimait sa liberté,mais elle voyait déjà que cela en était la fin, car petit à petit tout son être fondait pour son cousin, et elle savait qu'elle ne pourrait plus le chasser de ses pensées.

Il fallait qu'elle voie son père, et ce, très rapidement, car seul lui pourrait l'aider. Elle venait inconsciemment de se mettre dans un sacré pétrin, mais un pétrin divin, car tomber amoureux ne relève pas que choses mauvaises, en théorie, mais La Maîtresse ne pensait pas la même chose. Voyant qu'elle allait être démasquée alors qu'elle était perdue dans ses pensées, elle secoua la tête pour se remettre les esprits en place et embrassa Arès avec tout le désir qui existe avant de basculer en avant pour les faire plonger dans les sombres eaux de la marre. Despina frissonnait, de façon incroyable et presque irrationnelle, elle ouvrit les yeux sous l'eau et regarda son amant du jour, avec un désir profond, sa main descendit dans le dos d'Arès et passa sur ses fesses, ses cuisses, pour arriver à son membre déjà en alerte, qu'elle effleura du bout des doigts, des ongles, qu'elle voulait juste toucher de la sorte, pour prendre la température du Dieu, et voir ainsi qu'il était à point, comme elle, et que les préliminaires dans l'eau n'étaient pas très faisables. Elle remonta donc à la surface et dit à l'oreille d'Arès :

"Jamais une femme ne t'a désiré comme je te désire, et je t'en voudrai toute ma vie pour ce que tu es en train de faire à mon cœur."

Ainsi collé l'un et l'autre, dans cette eau sombre, les deux amants ne prettaient plus attention a rien, ni a personne. Les crocodiles eux méme avaient comprit qu'il etait temps de laisser en paix ces protagoniste qui jouaient un jeu dangeureux mais si sensuel. Oui, la naissance d'un attachement profond etait en train de se jouer ici, Ares, Dieu Guerrier et Maitre des batailles, sentait son coeur s'emballer quant il accrocha le regard bleu sombre de la princesse des mers. Jamais il n'aurait crut cela possible, envers sa cousine qu'il connaissait a peine, et qui pourtant, l'attirait comme aucunes autres. Tout son corps n'etait qu'un appel au plaisir et aux délices de la chaire, ses seins superbes, fermes et doux au caresses, ses fesses delicates et galbés, son ventre plat et légérement musclé pour laisser apparaitre ses muscles fins pas trop visible, faisaient d'elle une magnifique femme. Oui, Despina avait changé, prit en maturité depuis la derniére fois ou il l'avait croisé, il y avait de cela quelques siécles.. Mais aujourd'hui, elle etait la, dans ses bras, nue tout contre lui, avec la méme envie intense et insensée...

Il sentit les mains de la jeune femme frollaient alors son membre, qui se contracta de plus bel sous ce contact, ne la lachant pas du regard, son coeur s'emballant encore un peu plus quant elle parla d'une voix chaude et sensuelle, la devorant des yeux alors qu'elle se collait a lui, s'offrant avec délice a ses fantasmes les plus fou. Un fin sourire apparut sur le visage du Dieu, avant qu'il ne glisse lentement derriére elle, la gardant entre ses bras, collant son torse a son dos, une main remontant alors vers son cou, l'autre partant vers l'un de ses seins, qu'il commenca a masser. SOn membre vient immédiatement glisser a nouveau entre ses cuisses, et la chaleur monta un peu plus en fléche. Tandis qu'il murmurer de fines phrases a son oreille...

"Le Desire est dangeureux, mais on ne peut s'empecher de le faire grimper d'autant plus... Aucun autre Homme Despina, ne pourra te faire connaitre ce que je m'appraite a te faire decouvrir..."

Lentement, deux doigts pincérent le teton de son seins, tandis que sa bouche prenaient possession de son cou, dans un baiser melant la sauvagerie, l'envie, et la passion. Son membre placer entre ses cuisses pouvait toucher de son bout, le sexe de Despina, sans y entrer, juste a le caresser... Il accentua cette caresse en donnant de leger coup de bassin, alors que sa main baladeuse alla immediatement entre ses cuisses, trouvant ses lévres inférieures, pour les ecarter doucement, et poser un doigt sur son clitoris enflée de plaisir... Il le fit tourner lentement, le pincant, le titillant, mordant son cou avec un plaisir non feint... Il avait envie d'elle... Comme jamais.

Music Box : Björk - Where is the line

HG- Cette musique est une musique de cinglé. -HG

Les palpitation cardiaques de Despina en devenaient presque douloureuses d'être si rapides et violentes. Cet homme venait de faire naître en elle une rage infernale, bien supérieur au désir, car elle savait dors et déjà elle qu'elle n'était pas seulement attirée par cet homme, de façon physique et éphémère. Elle lui en voulait vraiment pour ce qu'il faisait subir à son cœur à ces instants, aussi divins qu'ils soient. Elle connaissait vaguement Arès, elle l'avait déjà vu quelques fois, et jamais elle n'avait ressentit une attirance quelconque pour lui, alors qu'aujourd'hui tout était différent. Son cousin l'attirait de façon démesurée et il avait les gestes et les mots pour la faire grimper aux rideaux. Despina était sensible à ce qu'Arès lui faisait, et serait sûrement meilleure soprano que lors que la pénétration. Sentir les doigts du dieu sur ce si petit bout de peau, clé du plaisir, la faisait déjà gémir de façon irrationnelle. Elle tenait ses promesses, et lui faisait découvrir des délices qu'elle n'avait jamais vu auparavant, car ce dieu était vraiment doué.

Même le plus intelligent des physiciens n'aurait pu analyser l'attraction divine et sensuelle qu'exerçait ces deux entre eux. Elle espérait vraiment qu'Arès ressente une partie infime de ce qu'elle ressentait, car sortir indemne était impossible, mais seul l'était moins. Elle préférait chasser ces idées de son esprit pour l'instant, voulant profiter de cette première, et peut-être dernière, découverte des délices en partenariat avec le maître des batailles. Faites l'amour, pas la guerre, cette expression était dépassée, ici, Arès évoquait plutôt, faites l'amour, ET la guerre. Cet homme était décidément exceptionnel, et Despina ne trouvait rien à dire profitant en silence de l'ébat, un silence masqué par les signes sonores du plaisir de la belle blonde. Et oui, les amours sont aussi violentes que les guerres, mais de façon bien plus agréable. Car le plaisir qu'elle éprouvait dû aux factions d'Arès était violent, mais d'une façon extrêmement grisante.

Elle se décida à agir, se retournant pour stopper les actions vampiriques de son amant, elle saisit ses lèvres, les mordant, les léchant, avec un désir aussi violent que la pire des guerres. Toujours sans un mot elle se lança dans le cou du Dieu, y collant ses lèvres pour y sucer la peau fortement, avec une pression démontrant son désir ardent, la trace qui en résulta était d'un violet foncé virant au bleu, comme si elle avait marqué son territoire, comme Princesse des Mers, lui injectant une partie d'océan sous la chair. Doucement, elle se remit dos à Arès, pour se laisser faire, en manque de son traitement passé. Elle gémissait encore, de plus belle, le crâne posé sur l'épaule de son amant, la bouche entrouverte laissant échapper son souffle désordonné. Elle avait désormais perdu tout ses moyen, et en voudrait à vie à son cousin pour cette attraction qu'il avait exercé sur lui. Elle tourna ses yeux vers ceux d'Arès, son regard était aussi foncé que la plus profonde des eaux du Pacifique. Elle susurra, comme si elle avait peur que quelqu'un l'entende :

"Je t'en voudrai toute ma vie éternelle Arès."