Minuit passer, quartier de la Toussaint, une ruelle un peu sombre, non loin de la route principale, entre deux immeubles relativement haut, quelque étages, propre et bien entretenu, le genre accueillant et sympas. Entre les deux immeubles donc, deux personnes se fricotaient, plus exactement, deux hommes, l'un d'eux adosser contre un murs, pantalon baisser, la tête droite, les yeux plisser,mains contre le murs des souffles de satisfaction et quelques léger bruits de plaisir, des « mmh » ou des « aaah », s'échappant de ses lèvres, discret et un peu honteux. L'autre homme, avait des allure efféminé et habbiler de manière provocateur : une veste de simili cuir, sans bouton apparant, s’arrêtant à la moitié de son dos, visiblement retailler, ouverte sur une sorte de t-shirt en forme de filet, ne couvrant que la poitrine, des bas résiliés, et un short en simili-cuir, presque ne forme de caleçon, s’arrêtant en haut des cuisses, moulant plutôt bien ses formes, dont l'érection qu'il avait, dévoilant ainsi un membre de bonne taille, un L 16 centimètre D 4 centimètre et
en enfin des chaussure montante à talon, épaisse, noir avec un motifs de flamme et une chaîne à l'arrière de la cheville et en guise d'attache avec un lacet, avec une pointe entre et diverse pièce métallique. Un sac à main traîner à ses côtés.
Ce dernier accroupie, offrant une joyeuse fellation au premier, s'appliquant sensuellement, provoquant des bruits de succions exagérés, bavant dessus, lapant avec intensité, de long en large, le gobant entièrement, les yeux lever, toussant, avant de le retirer et de recommencer, mordillant parfois. Il garda une main sur ses bourses, avant de lever l'autre et de tapoter le torse de l'autre. Un petit signal. L'heureux receveur de cette fellation, décolla ses mains du murs et les mit sur la tête de l'autre avant de remonté d'un coups le bassin et de commencer des vas et viens, lent, long et langoureux, baissant la gorge de l'autre, le forçant à avaler entièrement sa verge, tandis que l'autre tousser par moment et gémissait, mais uniquement de plaisir. Il mit ses mains sur ses fesses, comme pour l'aider à baiser sa proche gorge. Le rythme gagna en vitesse, les bruits de plaisirs plus fort, jusqu’à ce que l'homme ne dise assez fort qu'il allait jouir, s'en suivit de son foutre chaud et crémeux qui gicla directement dans la gorge de son partenaire, qui avala le mieux possible et goulûment possible.
-Aaaah putain... c'est trop bon les fellations. Lâcha t-il en se retirant. J'te remercierais jamais assez Okio.
Le prénommer Okio, continua son œuvre, nettoyant la hampe de chaire, avant de se relever, tout en gardant un main sur le sexe de son camarade de classe, l'autre ramassant son sac.
-Depuis le temps qu'en t'en voulait une Toshima. Clamât Okio, en se léchant les lèvres, et de lui faire un sourire angélique.
T'étais vraiment désespère pour me le demander.-Je... pas un mot à quiconque ! T'étais la seule personne à ma connaissance, et assez bizarre pour le faire.-Et les putes ?-Soit pas vulgaire envers ses pauvres femmes et j'aurais jamais pus, j'ai trop peur d'aller dans ce genre d'endroit. Toi c'est plus facile et moins risquer.-Ahaha, si tu savait. Répliqua sensuellement Okio en se collant à lui, et en allant lui lécher le coup.
Si tu veux bien me rendre service quand j'aurais envie de tirer un coup, j'veux bien me taire. Bien qu'il prit un air assez dégoutter, curieusement sa trique reprit de la vigueur. Okio eu un rire cristallin, avant de se retirer, caressant du bout des doigts la verge de Toshima, avant de s'enfoncer dans la ruelles, tournant le dos à son camarade et à la route. Confiant et savait pertinemment où aller, Okio alla vers la zone industrielle, voir ses amies « les putes » et trouver un homme assez saoul et baraquer pour la soirée. Il sortie son portable, regardant ses messages, les actualités sur facebook, des photos d'homme posant sexe à l'air, de tout genre et de toute taille. Si il n'était pas aussi obnubiler par son portable, il aurait vue les étrange ondulation dans l'air, plus précisément devant lui, les petits miroitements et les étranges particules lumineuse qui allait vers ses mêmes miroitement et ondulations. Flash lumineux, désorientation brutale, plus aucune notion d'espace et d'équilibre, noir complet, sensations de tomber, nouveau flash lumineux, avant de retrouver contact avec la terre ferme avec ses pieds, avant de tomber.
Okio se releva brusquement, souffle court, rapide et intense, cœur qui bas à la chamade, désorienté et en pleine tentative de comprendre ce qui lui arrive. Il tourna sur lui même, contemplant que la ruelle sombres, les immeubles et la nuit, avait laisser place à une forêt relativement espacer, un peu vallonner et un soleil qui semblait s'être lever depuis un petit moment. Paniquer et ayant du mal à respirer, des larmes coulants sans raisons, la peur dévorant ses entrailles.
-Putain de bordel de merde... Furent les seuls mots qu'il put lâcher. Il se pinça, se donna un gifle et cria un bon coup, pour réaliser que c'était bien la réalité, qu'il était dans une forêt inconnue, pour une raison et par une manière inconnue. Il se laissa tomber à terre, et manipula frénétiquement son portable, pour appeler la police, les pompiers, sa famille, ses amis ou des numéros totalement au hasard. Pas de réseau. Il manqua de balancer son portable, mais se ravisa et entreprit de se calmer. Pour se cela il sortie de son sac, un god vibrant, qu'il entreprit de recouvrir d'un peu d'huile, avant de se l'enfoncer assez durement dans le cul et de mettre la vibration à la puissance maximale, après avoir retirer son short. En quelque minute, il retrouva son calme et tenta de penser logique.
Il n'a pas put être drogué, embarquer, puis largué ici, son portable afficher toujours l'heure et la date exacte, qui ne dépendait pas du réseau. On aurait put le modifier, mais c'était impossible, pas aussi précis, du moins il s'en convainc. Il évita dans les réflexion stupide, comme on pouvait avoir dans certain manga, «
ouais, c'est comme dans les mangas, j'suis téléporter dans un monde inconnue, j'dois être l'élue et avoir de super pouvoir », enlever par des aliens ou téléporter. Il devait y avoir un raison logique, mais sûrement trop limité, il ne la trouver pas. Il devait déjà trouver un endroit où il y pouvait avoir des gens, impossible d'avoir fais un bond dans le temps ou dans une autre dimension. Il se retira son gode, et entreprit d'aller.... vers ce qu'il semblait être le nord, si il ne se tromper pas dans la position du soleil et donc qu'il venait bien de l'ouest.
-Eh, v'nez les gars, j'l'avais bien dit que j'avais entendue un crie ! R'garder ça ! Une donzelle ! Clamat une voix, aiguë et malhonnête.
-T'a vue sa t'nue ? C'est quoi ces trucs ? S'exprima un autre.
-Jamais rien vue de semblable, doit être une connasse de Tekhos. Scanda un troisième
-Comment tu l'sais si t'a jamais rien vue de semblable ? Demanda le deuxième, visiblement conscience qu'il allait le regretter.
-On as jamais vue ces pétasses de Tekhos et on a jamais vue leur tenue, c'est logique de dire qu'une tenue qu'on à jamais vue, viens de ceux qu'on à jamais vue ! Expliqua l’intéresser.
Okio s'était retourner brusquement au son du premier larron, pour voir que trois hommes étaient arriver discrètement, en vêtement qu'il arrivait pas reconnaître, des armures de cuirs et de mailles, pratique pour les déplacements en forêt, au contraire des armes : une masse, une arbalète et une épée que les hommes portaient. Okio aurait pus se dire, «
c'est un tournage de film, une caméra cacher ou coutume local », mais son instinct lui disait de partir vite. Alors que celui à la masse, se pincer l’arrête du nez, devant la réflexion sans sens de son comparse, le premier, armée de l'arbalète, pointa Okio avant de reprendre la parole.
-Tout cas, c'est pas mauvais comme tenue, doit être une esclave en fuite, j'vois qu'ça. On pourrait en profité et la revendre.
-On peut pas la violé comme ça ! S'alarma le troisième.
-Depuis quand t'a une conscience depuis que t'es brigand ? Demanda le deuxième.
-Euh... bah, ch'ai pas, c'est partie comme ça. Répliqua tout penaud le troisième
-Mais quel idiot, tu sort ça après, les vols, viols et meurtre qu'on à commit ?
-Mais aller la choper plutôt ! Cria le premier.
-Bah, elle s'en va en courant ! Dit le troisième.
-R'TTRAPE LA S'PECE D'ABRUTIE. Okio, n'avait rien comprit et regrettait d'avoir mit autant de temps pour réagir. Il se mit à prier pour qu'il se sorte de cette situation et surtout que quelqu'un l'aide.