Au milieu de la nuit, alors qu'il dormait profondément, les pions placés au préalable par le commandant se sont mis en mouvement. Ses invocations ont reçu pour consigne de se cacher et de surveiller la ferme depuis les bois, les fossés, les arbustes. Ils ont pour ordre d'intercepter tout terranide tentant de s'introduire dans l'exploitation. L'un d'entre-eux repère sa cible dans les bois, l'homme-loup reste parfaitement silencieux, attendant que sa proie s'enfonce dans le dispositif. La louve continue à avancer, inconsciente du danger et franchi le point de non-retour. Alors les invocations commencent à bouger, à se rapprocher le plus possible avant de fondre sur elle. Un combat s'engage entre la louve et ses poursuivants, l'un d'entre-eux est blessé au ventre, mais il se relève comme si ne rien était. Il ne gémit pas de douleur, sa respiration reste régulière, il ne semble pas ressentir de douleur et réattaque immédiatement. Un autre fonce sur sur l'intruse, la fait tomber, la mord, la griffe, tente d'avoir le dessus sur elle sans succès, mais parvient à offrir aux autres le temps d'encercler leur proie. Encore une fois, malgré une épaule blessée et une oreille arrachée, l'homme-loup se relève et retourne au combat sans montrer le moindre signe de souffrance.
La meute s'approche en grognant, claquant des dents dans le vide pour intimider davantage une louve déjà terrorisée. Puis, ils lui sautèrent tous dessus d'un même geste, toutes griffes et crocs dehors. Certains hommes-loups s'évaporèrent juste avant de la percuter, rajoutant à la confusion, ne laissant que quatre d'entre-eux l'atteindre. Dès que leur nombre s'est réduit, leurs gestes sont devenus plus rapides, plus précis, comme s'ils avaient sacrifié leurs capacités pour obtenir leurs effectifs. Les quatre gardiens de la ferme ciblèrent chacun un membre de la louve, la faisant tomber sur le dos. D'une main chacun, les deux hommes-loups ciblant le haut de son corps ont immobilisé ses bras, tous deux posant un pied victorieux sur le ventre de la femelle. De l'autre main, l'un serre sa gorge, tandis que l'autre empoigne fermement l'un de ses seins. Tous deux aboient et grognent à seulement quelques centimètres de son visage, le message est clair : tu es faible, tu es seule, tu es à nous, soumets-toi ! En tant que louve, elle doit comprendre instinctivement que si elle ne donne pas des signes de soumission très vite, elle se fera mordre, jusqu'à ce qu'elle apprenne sa place.
Pendant ce temps là, à la ferme, Takael dormait tranquillement jusqu'à être alerté de l'intrusion. C'est tout l'intérêt de ces hommes-loups, le lien, cette étrange chose qui les lie les uns aux autres, partage d'informations instantané quelque soit la distance. Un pouvoir très pratique à bien des égards et aux applications variées. Peu motivé à quitter la chaleur de son lit, l'elfe grogne, la terranide a intérêt à être jolie pour compenser le dérangement. Il pourrait se servir des yeux de ses invocations pour la voir sans bouger d'ici, mais il n'en fera rien. Il y a cette excitation, comme celle que vous ressentez avant d'ouvrir vos cadeaux à noël, liée à l'attente d'une bonne surprise. S'en priver gâcherait une partie de son plaisir, or il n'aime pas gâcher son plaisir. Avec un brin de mauvaise volonté, il dégage sa couverture du pied, profitant encore quelques secondes de la chaleur de sa couche. Il se lève, s'habille négligemment en enfilant seulement son tabard, une paire de bottes et une ceinture, il ne prévoit pas de les garder longtemps sur lui de toute façon. Heureusement qu'il fait relativement chaud en cette saison. Il se saisit d'une lampe à l'huile, d'une recharge au cas où la nuit soit plus longue que prévue et sort de la ferme pour partir à la rencontre de sa prise. Il ne se presse pas, ayant totalement confiance en son pouvoir pour retenir la sauvageonne.
Muni de sa lampe, le commandant se dirige vers le lieu de l'affrontement, imaginant sa surprise pour se remettre de bonne humeur. La forme de corps accrochés les uns aux autres se dessine dans la nuit, au fur et à mesure qu'il s'approche. Une fois arrivé à la hauteur du charmant petit groupe, l'elfe baisse sa lampe, éclairant d'abord les pattes arrières de sa proie. Ces dernières sont partiellement recouvertes de fourrures, se terminant par de longues griffes. En remontant, il se rend compte qu'il en va de même pour ses bras. Finalement, il arrive à la tête et décide de poser sa lampe juste au-dessus, admirant le visage de sa sauvageonne, défaite. Il lève sa jambe, avant de forcer la louve à tourner la tête sur le côté, posant son pied botté sur sa tempe. Comme on écrase un mégot, il prend le temps de savourer pleinement cette sensation délicieuse en pressant sa semelle contre sa joue. Comme ils sont suffisamment éloignés de la ferme pour ne pas risquer de réveiller qui que ce soit, Takael tonne sur le ton de la réprimande :
« Je déteste qu'on perturbe mon sommeil, surtout quand c'est pour courir après une sale petite voleuse de poules ! Tu as une idée de combien m'ont coûté tes bêtises ? Tu crois que ça m'amuse de devoir venir te mettre la fessée en pleine nuit ? Hein ? »
Il décolle sa botte du visage de la terranide, satisfait de cette première humiliation. Puis, il retire sa ceinture et son tabard, pour se présenter totalement nu, à l’exception de ses bottes. Sa verge est déjà sujette à une belle érection, sa sauvageonne étant tout à fait à son goût. Il n'hésite d'ailleurs pas à la lui fourrer juste sous les yeux, tandis qu'il torsade son tabard pour venir l'enrouler autour de ses poignets, restreignant ainsi ses bras. Ses invocations se relèvent, forçant la louve à les accompagner dans le bois, à la recherche d'un endroit tranquille où s'asseoir. Finalement, un tronc d'arbre couché sur le sol fut choisi comme siège par l'elfe qui s'y posa volontiers. Pendant ce temps, ses hommes-loups apportent la terranide et poussent cette dernière sur les genoux du commandant. Genoux au sol, ventre posé sur les genoux de son bourreau, fesses en l'air, elle prend sa fessée, encore et encore. La paume de Takael s’imprime à plusieurs reprises sur son postérieur et parfois une caresse ponctue sa punition, tantôt sur son postérieur, tantôt entre ses cuisses.
« J’espère que tu es désolée au moins !? Sale bête ! »