Etait-ce une bonne idée ? [PV]

Des hommes... Elles en ont connues durant ces dernières années. Chacune de leur côté, ensemble, dans un lit, dans des toilettes, dans une piscine, dans un ascenseur aux vitre transparentes. Jenny et Kitty avaient perdu le compte de leur conquêtes dans la sphère privée comme dans celle du monde du porno amateur où elles jouissent d'une certaine popularité. Donc, oui... Des hommes elles en ont vu de toutes les corpulences, de tout âge et il en était de même pour leurs virilité. Les deux blondes en avaient vu passer un grand nombre. Du micro pénis au gros chibre d'environ 40cm de long qui les avaient bien ouverts des deux côtés.

Soif d'aventure et de nouveauté, une amie de longue date avec qui elles ont fait l'amour à plusieurs reprises leur a parler d'un livre permettant d'invoquer des créatures surnaturelles qui leur feraient découvrir des choses insoupçonnables. Quoi de mieux pour deux femmes dont la quête du plaisir est leur motivation première dès qu'elles se lèvent le matin ? Assez difficilement, elles se procurèrent le livre et attendirent le week-end pour tenter le coup car Harold serait absent jusqu'au mardi suivant pour un voyage d'affaire.
Harold était le mari de Jenny et, logiquement, le père de Kitty. On pourrait en douter en voyant le train de vie des deux blondes, sauf que Jenny était une femme fidèle qui ne connaissait encore rien au sexe à l'époque de sa conception. Ce n'est que quelques années plus tard qu'elle se libéra de ses chaînes.

Les journées passèrent rapidement et les deux femmes se trouvèrent alors dans le salon de leur grande maison un samedi matin à 10h. Elles n'avaient pas eu de rapport sexuel et ne s'étaient pas touchées pendant cinq jours pour cet évènement. Elles comptaient bien rattraper le temps perdu face à la bête qui apparaitraient sous leurs yeux dans quelques minutes maintenant. Les hypothèses étaient nombreuses, même si elles espéraient voir une créature musclée et dotée de deux pénis comme dans les animes hentai qu'elles venaient de découvrir en arrivant au Japon. Les fantasmes de ces gens là étaient au-dessus de tout ce qui était disponible dans le reste du monde. Des fantasmes qu'elles aimeraient bien vivre un jour, pourquoi pas.

« *Incantation* »

D'une même voix, l'incantation inscrite dans le grimoire était récitée par les deux blondes qui se tenaient les mains à côté d'un cercle contenant d'étranges formes qu'elles avaient tracées au préalable sur le sol de la pièce. L'ambiance au sein de la pièce était identique à la normale. Pas de chaise qui vole, de meuble qui tournoie, de lumière qui s'éteint... Rien de ce que l'on peu voir dans les films ou séries télévisées. L'incantation était longue, leur prenant plusieurs minutes pour la terminer.

« ....... Apparaît devant-nous, Azelia ! »

Ignorant ce qui les attendait, les deux femmes tremblaient de tout leur être, les doigts mêlées dans ceux de la main de l'autre. Dans un mélange de peur et d'excitation, un sentiment qu'elles n'avaient plus ressentis depuis des années. Leur rappelant leur première relation sexuelle, leur première grosse bite, leur première gangbang, leur première vidéo porno, leur première soirée à l'intérieur d'un gloryhole.

« Peut-être que c'était une blague en fin de compte. »

« Non, ce n'est pas le genre de Chantal. Attendons encore quelques minutes au cas où. »

Et la mère avait raison, Chantal ne s'était pas moquée d'elles, car la créature qu'elles venaient d'invoquer apparu alors sous leurs yeux stupéfaits !

Azelia était à l’origine une démone émanant des Enfers. Elle n’était pas née à Ashnard, ce qui signifiait qu’il était possible de l’invoquer. Comme tout démon suffisamment intelligent pour le faire, elle avait en effet conclu un pacte, permettant aux humains prononçant la bonne formule de l’invoquer. L’inconvénient de ce système était que cette invocation pouvait avoir lieu à tout moment, et qu’il lui était presque impossible de s’en soustraire. Les pactes d’invocation étaient extrêmement précis, et Azelia n’avait nullement envie, sans mauvais jeu de mots, de risquer le Diable en refusant une invocation. Ce soir, la démone ne se trouvait toutefois pas à Ashnard, mais était revenue en Enfer, dans le Royaume des Démons. Elle s’y rendait encore régulièrement afin de nouer des alliances, se trouver des alliés potentiels pour augmenter son propre pouvoir... Et ce fut là, dans ces circonstances, qu’Azelia sentit un halo d’énergie la saisir.

Elle volait alors dans une longue galerie caverneuse quand son corps s’immobilisa, sentant un appel.

*Une invocation...*

Azelia se concentra, et entendit des voix féminines... Puis elle fut ensuite transportée.

Loin de là, sur Terre, dans la maison des Summers, après leur mélopée, le silence s’installa... Pendant plusieurs secondes. Puis du vent se fit alors ressentir, d’énigmatiques et imprévisibles courants d’air qui firent remuer les cheveux des deux blondes. Autour du sceau d’invocation, les bougies se mirent à flamboyer plus vivement, diffusant alors une épaisse fumée, tandis que le sceau se mit à scintiller, comme si chaque ligne était traversée de courants électriques. Des arcs électriques qui dansaient sur place, la fumée venant à s’épaissir, jusqu’à recouvrir totalement le glyphe.

C’est à travers celle-ci que les Summers purent voir un corps, un corps qui apparut peu à peu... Et s’avéra être la redoutable et succulente Azelia.

La démone venait d’apparaître, et commença immédiatement par observer le sceau magique.

« Hmmm... »

Une invocation démoniaque était un sport très risqué, qui se résumait à passer un contrat très dangereux, et où chaque mot devait être posé avec attention. Azelia comprit très rapidement qu’elle avait affaire à des amatrices, qui avaient visiblement encore du mal à croire à ce qui leur tombait dessus. Elle leur sourit alors, brièvement, cherchant les failles dans les glyphes, les ouvertures possibles pour sortir de sa prison.

« Je suis Azelia, humaines. Pour quelle raison avez-vous cru bon de m’invoquer ? »

Elle sentait en elle une forte et terrible luxure, terriblement jouissive, qui l’enthousiasmait. En réalité, elle se doutait très bien des raisons ayant amené cette invocation. Neuf fois sur dix, on invoquait Azelia pour s’envoyer en l’air avec elle... Mais il était plutôt rare de tomber sur deux bimbos pareilles.

Peut-être bien qu’elle ne chercherait même pas à rompre ce sceau, finalement...

Alors que l'ambiance changeait enfin dans le salon suite à de puissantes brises de vent d'origines inconnues, les deux blondes ne tenaient plus en place. L'invocation était en train de réussir et elles allaient recevoir la visite d'un puissant démon. Une créature musclées et bien membrée qui allait leur faire passer des moments inoubliables dans leur maison, ou dehors...

« M'man, il arrive ! Je commence à avoir un peu peur, tu sais ? »

« Moi aussi ma chérie... J'appréhende un peu la chose finalement. Nous ignorons ce qui va apparaître et ce qui va nous arriver. »

Alors que la créature apparu devant elle dans un léger gémissement féminin... Oui, féminin. La créature musclée et virile s'était avérée être de sexe féminin. Elles déchantèrent rapidement en découvrant que l'objet de leur désir n'était pas celui qu'elles désiraient. Bien sûr, avoir des rapports avec d'autre femmes ne leur déplaisait pas. Sauf qu'une longue bite épaisse, dure comme une matraque et veineuse accompagnée d'une paire de couilles pleines était plus à leur goût.

Alors que la créature démoniaque qu'elles venaient d'invoquer se présenta, elles ignoraient pas vraiment sur quel pied danser.

« Euh... Pourquoi c'est une femme ? On n'avait pas prévu ça. »

« Je ne comprends pas plus que toi. Le livre parlait de créature venant d'un autre monde. Il ne précisait pas son sexe, uniquement qu'il incarnait la luxure. »

« Mais moi je veux une bite ! Je veux pas aller dans la rue et me taper le premier mec qui passe. En général ils ont de petites queues et tiennent à peine cinq minutes ! »

« Voyons déjà de quoi il en est avant de faire des plans sur la comète, Kitty. Et puis... Je t'ai déjà dit de ne pas faire ça, quelqu'un risque de te voir un jour. »


L'esprit confus, perdu entre excitation et peur, la voix tremblante et les mains fermés devant son ventre, Jenny décida de prendre la parole en répondant à la créature qui désirait savoir pourquoi les deux blondes avaient pris le risque de l'invoquer chez elles. Ce qui, dans un sens restait complètement fou, surtout pour des femmes qui pouvaient avoir tous les hommes de la planète à leurs pieds et désireux de les baiser durant des heures. Elles avaient d'ailleurs tourner un marathon de sexe avec une cinquantaine de partenaires lors d'un film amateur au début de leur carrière.

« Euh... Mnnn... Nous voulions invoquer une créature capable de nous faire ressentir des choses extraordinaires. Nous procurer des orgasmes uniques en leur genre de multiples manières. Abuser de nos corps ! Dans toutes les pièces de cette maison, dans le jardin, dans la piscine, dehors dans la rue, dans des lieux publics. Sauf que vous êtes une femme. »

« Ouais, une femme ne pourra jamais nous faire jouir comme on veut. Merde quoi, moi j'voulais une bite, ou deux ! Comme dans Bible Black ! Me faire baiser par les deux trous dans un angle différent de ceux dont j'ai l'habitude. Qui va me baiser ? »

Les humains... Des créatures si surprenantes, si étonnantes ! Ils étaient ambivalents, fourbes, menteurs, trompeurs, joueurs... Azelia avait encore bien du mal à les comprendre. Ils ne cessaient de lutter contre eux-mêmes. Toutes leurs règles morales et religieuses interdisaient d’invoquer des démons, et ils le faisaient pourtant fréquemment, comme s’ils étaient secrètement attirés par la violation de l’interdit... Quoique, pour le « secret », elle n’aurait pas été jusqu’à employer ce terme pour désigner les deux bimbos se tenant devant elle. Tandis que la fumée se dissipait, Azelia observait les glyphes. Ce fut son premier réflexe. Il existait toujours des failles, des moments où la craie pouvait être plus effacée, offrant une ouverture. Ces deux femmes étaient des amatrices, et Azelia observa encore les lieux, avant de les regarder pour de bon.

Elles étaient très belles, et elle perçut surtout en elle une forte perversité. Elle pouvait sentir la Luxure, et ce vice palpait furieusement dans la poitrine de ces deux femmes... Qui n’y allèrent d’ailleurs pas par quatre chemins. Elles voulaient du sexe intense, sauvage, exceptionnel, au-delà de tout ce qu’elles pouvaient imaginer. Azelia n’avait aucune difficulté à lire en elles, vu leur Luxure évidente, et comprit donc qu’elles recherchaient du sexe extrême, ce qui la fit sourire.

« Je vois... ne soyez pas déçues trop rapidement, mes chéries, les succubes, contrairement aux incubes, maîtrisent bien plus facilement la magie rose. »

Elle portait un cache-sexe en forme de chauve-souris qu’elle attrapa de ses doigts, et qu’elle retira. Sous le cache-sexe, des lèvres intimes imberbes se présentèrent. Azelia se concentra brièvement. Ses prunelles virèrent à un rose vif, puis, dans un soupir, elle puisa dans sa nature d’hermaphrodite, et généra un superbe phallus. Un service trois pièces se dressa brusquement, avec une belle queue qui se redressa pour remonter au-dessus de son nombril, en état de semi-érection.

Azelia reprit ensuite :

« Je peux exaucer tous vos vœux de luxure, mes chéries. Ma magie me permet d’amplifier la Luxure chez les hommes, et je peux le faire bien plus facilement qu’un incube, puisque, comme vous le voyez, mon corps ne laisse aucun homme indifférent. Je peux vous offrir une orgie colossale, digne de l’Enfer... Outre mes propres performances, je peux créer des tentacules, transformer n’importe quel homme en un pervers insatiable qui vous baisera sauvagement, même amener vos propres chiens à vous défoncer la rondelle pendant des heures... »

Tout service démoniaque passait par un contrat conclu entre le démon et l’invocateur. La démone répondait à la demande des deux femmes en faisant une offre, mais il ne s’agissait pas d’une promesse unilatérale. C’était un contrat bilatéral, ou, pour employer le terme juridique, synallagmatique.

« Mais on ne m’invoque pas sans raison. Si vous n’êtes pas à la hauteur de votre luxure, vous vous exposez à ce que j’avale vos âmes en guise de compensation pour m’avoir dérangé. Aussi, je vous propose de vous satisfaire pendant la nuit, et si vous ne tenez pas avec moi jusqu’à l’aube, vous deviendrez mes esclaves. Qu’en pensez-vous ? »

Azelia n’allait tout de même pas juste leur offrir une séance de baise sans un peu d’enjeux ! Elle était une démone, après tout, mais ses conditions étaient, somme toute, assez minimes, surtout pour deux femmes pareilles. La réalité, c’est surtout qu’Azelia n’était jamais contre une bonne baise, et qu’elle voulait aussi agrandir son carnet d’adresses. Et ces deux femmes semblaient aussi perverses que riches, ce qui fournirait à Azelia un bon point d’ancrage sur Terre.

Les règles étaient toutefois faites ainsi, Azelia ne pouvait pas offrir ses services sans contrepartie.

Kitty était très remontée par le fait de se retrouver face à une femme et non un homme musclé et possédant un sexe capable de faire des misères à son corps parfait. On pouvait lire la frustration et l'énervement dans son regard pendant qu'elle se tournait vers sa mère qui était l'instigatrice première de ce plan qui s'avérait n'être qu'un pétard mouillé jusque là. Avoir une créature mystique à quelques pas d'elle la gênait moins que l'absence de bite présumé. Car, pendant que la jeune fille râlait auprès de sa mère, la créature prit la parole pour les rassurer si on peut dire la chose ainsi.

Un étrange cache-sexe en forme de chauve souris, dont elles ignoraient la matière, céda sa place à une verge après un étrange phénomène. Pour y parvenir, la succube se concentra quelques instants durant lesquels ses pupilles virèrent au rose clair. Dans un soupir lourd, le sexe masculin de la créature possédant pourtant des atouts féminins à n'en pas douter apparut dans un premier temps. Avant d'être rejoint par deux grosses bourses qui pendaient légèrement. Il ne s'agissait pas d'une bite normale à en juger par sa taille ou sa forme. Même les acteurs les mieux montés ne possèdent pas un organe de cette dimension, en pleine érection ou non. En tout cas, la luxure et les fétichismes les plus déviants ne devaient pas déranger Azelia qui énuméraient tout un tas de pratiques aussi étranges que tabous comme si elle détaillait une liste de courses à faire au supermarché du coin.  Tout ne leur plairait pas forcément, par contre Kitty se caressait déjà rien qu'en s'imaginant un tas de choses peu catholiques dans son esprit. C'est pour cela que Jenny décida de prendre les devants pour les deux blondes.

« Votre magie semble très aguichante, excepté que nous n'en aurons pas besoin pour contrôler nos envies. La prise de plaisir est comme une seconde nature chez nous, un besoin insatiable qui ne nous quitte jamais. Finir une journée sans un orgasme est impossible et j'ai oublié la dernière fois où cela est arrivé. »

Kitty ne manqua pas là une occasion de montrer son vrai visage à leur invitée.

« Se faire baiser est jamais un soucis depuis notre arrivée dans cette ville. La majorité des hommes ne pensent qu'avec leur bite et ne peuvent se retenir dès qu'on les chauffe un peu. Je songe même à me taper un prof en plein cours un jour... »

« Kitty ! Essaie un peu de te contrôler, veux-tu ! Même si je te comprends, il y a des limites. »

Les deux femmes se mirent alors à se disputer dans leur coin quelques secondes. Kitty conspuant sa mère qu'elle jugeait trop coincée en public alors qu'elle est encore plus dévergondée qu'elle quand elle se lâche. Et Jenny qui demandait à sa fille de faire preuve de plus de décence en général. La mère mit alors fin à la dispute pour revenir auprès d'Azelia. Elle souffla brièvement avant de lui dire :
« Ce séjour sur Terre ne semble pas être le premier pour vous. Nous serons à vos ordres, quels qu'ils soient tant que vous nous donnerez du plaisir en retour. Par contre les animaux ne nous attirent pas... Nous préférons de loin ce dont vous disposez. »

Sans aucune gêne, la mère libéra son regard de celui de la succube pour le déposer sur cette verge imposante dont le gland ne se tenait qu'à quelques centimètres de sa bouche. Elle pourrait se jeter dessus sans la moindre retenue si elle s'écoutait. Sauf que les explications n'étaient pas terminées. Azelia leur imposa une contrainte si elles désiraient rester humaines... ou juste vivantes. Tenir une nuit de sexe ne posait pas vraiment de problème aux jeunes femmes qui ont déjà baisé des hommes 24h de suite à plusieurs reprises pour des films ou leur propore plaisir dans cette même maison quand Harold s'absentait. Le mari de Jenny n'était pas délaissé par son épouse, sauf qu'il ne parvenait pas à la faire jouir suffisament pour la satisfaire. Une éjaculation suffisait pour le vider de son énergie après tout.

« Ce serait plutôt à nous d'imposer ce genre de défi. Pas besoin de ma mère pour me taper ton gros chibre de cheval toute la nuit. Et toi, tu nous donnes quoi en échange si on réussi ? »

« Un peu de tenue, voyons ! Excusez-là... Elle n'a pas tort pour autant, qu'obtiendrons-nous en échange ? Et la journée début à peine, alors qu'allons-nous faire en attendant ? »

Jenny saisit la main de la succube pour l'emmener sur le canapé avant de s'assoir à sa gauche tout en lui parlant. Elle ne perdait visiblement pas de temps car son envie était de plus en plus lisible dans son regard. Son corps tout entier la brûlait et elle se retenait de chevaucher cette verge monstrueusement imposante qui se balançait de gauche à droite pendant le court trajet du milieu du salon au sofa. Kitty, quant à elle, resta au même endroit en les regardant faire, se mordillant avec force les lèvres tout en se tortillant sur place. Ses seins se pressaient l'un contre l'autre pendant que ses bras tendus appuyaient dessus.
Sur le canapé, Kitty n'engagea pas le contact avec la créature car elle attendait un ordre après tout.

« Je... Nous pouvons jouer un peu et garder le plat de résistance pour ce soir si vous le désirez. Vous préférez qu'on passe la journée ici ou que l'on sorte ? Après avoir aidé cette bite à se calmer, bien entendu. Vous n'avez qu'un mot à dire et nous nous exécuterons. »

Son regard plongé dans celui de la succube, Jenny voulait l'embrasser, téter cette belle poitrine... Ou commencer à sucer cette bite surdimensionnée qui la tentait.

Sourire amusé sur les lèvres, Azelia observait ces deux femmes depuis son sceau. Des humains pervers, elle en avait déjà rencontré beaucoup, et sa présence n’arrangeait rien. La succube émettait naturellement des spores magiques, de la magie rose qui influait sur le tempérament des humains. Les deux blondes n’avaient cependant guère besoin de ça pour laisser parler leur nature profonde, et Azelia devait bien admettre que le côté incestueux de la scène rajoutait à cette séance une petite touche supplémentaire particulièrement exquise. Un sourire amusé sur les lèvres, elle les laissait parler, sa queue caudale fouettant l’air, sa verge se redressant doucement. C’était une superbe érection, à n’en pas douter. Sur ce point, les démons de Luxure pouvaient augmenter ou diminuer la taille de leur sexe. La magie suintait dans le corps de la démone, et les deux blondes étaient encore loin de réaliser tout ce que cela signifiait... Mais elles le comprendraient bien vite.

En réponse à l’interrogation de Kitty (la fille), Azelia sourit doucement. Jenny la rejoignit sur ce point, sur ce à quoi elles auraient droit en échange. Azelia haussa doucement les épaules.

« Je ne sais pas, à vous de choisir... Devenir mes concubines, pouvoir m’invoquer plus facilement, avoir la certitude que, une fois mortes, vous deviendrez des succubes, et pourrez passer l’éternité à baiser sans relâche. Vu votre perversité, je pourrais même vous enseigner de la magie rose pour améliorer vos soirées, ou accroître les performances sexuelles de vos amants. N’avez-vous jamais envie de transformer votre mari Harold en une bête de sexe déchaînée, Madame Summers ? »

Au vu de la perversion de ces deux femmes, leurs fantasmes étaient très faciles à lire pour Azelia, ainsi que leurs souvenirs sexuels. Pour le coup, Azelia se montrait plutôt généreuse, et les Summers pouvaient s’estimer heureuses. Elle n’était pas une démone particulièrement malicieuse, et elles auraient pu invoquer un incube beaucoup plus retors, qui aurait puisé dans les failles de ce contrat pour les asservir. Mais ce n’était pas la position d’Azelia, qui voyait surtout en ces femmes une opportunité pour pouvoir se promener librement sur Terre, en ayant un point de chute ici. C’était aussi pour ça que les démons cherchaient à nouer des pactes avec des invocateurs humains, car ces pactes leur permettaient de se rendre sur les Plans Intermédiaires sans craindre le courroux des Anges.

Prenant les devants, Jenny la saisit par la main, et les deux femmes rejoignirent un élégant canapé. Douloureuse, la queue d’Azelia l’élançait, mais elle ne serait pas une succube sans apprécier cela. L’érection, ce phénomène jouissif qui vibrait en elle et qui remontait dans son être. La succube en tremblait nerveusement, tant ces deux perverses commençaient à s’exciter. Les idées fusaient également dans son esprit, tandis qu’elle prenait conscience qu’elle allait clairement se régaler avec elles.

Face à la mère, Azelia sentait le désir de la femme, qui attendait un geste, un signe de la démone. Mais par où commencer ? Ah, Azelia croulait aussi sous le choix !

« Commençons en douceur... Embrasse-moi. »

Et, avant cela, Azelia tourna son regard vers Kitty, plus jeune que sa mère, et donc davantage sensible à ses pulsions. Sa mère arrivait à mieux se contrôler, ce qui ne signifiait nullement qu’elle était plus sage que sa fille... Et c’était même sans doute tout l’inverse.

« Toi, Kitty, viens par là... Je veux goûter à vos lèvres, puis vous irez ensuite vous attaquer à mes seins. Si vous ne savez pas quoi faire de vos mains, vous n’aurez qu’à me masturber, ma queue est encore un peu molle... Qui sait ? Si vous me sucez bien, votre Maîtresse vous offrira peut-être un peu de son bon lait de succube... »

Comme un diesel, le désir montait lentement entre les différentes protagonistes, jusqu’à atteindre le point d’éruption...

Sur l'ordre de la créature Kitty s'éxecutait en l'embrassant tendrement. Elle n'avait d'ailleurs répondu de suite aux propositions de la succube concernant les avantages dont elles pourraient profiter le moment venu. La jeune blonde préférait laisser sa mère s'occuper de ce genre de détail celle-ci était la plus réfléchie et posée des deux et qu'elle ne ferait jamais courir le moindre risque inconsidéré à sa fille.

« Mnnnn ! ♥ »

Mais avant d'aller plus loin et s'occuper de cette généreuse poitrine Jenny prit la parole. Un peu perdue entre l'excitation et ses désirs elle parvint toutefois à formuler ses propos sans trop de difficulté.

« Je vous avoue que devenir des monstres, sans vouloir vous offenser, nous fait plus peur qu'autre chose. Apprendre la magie semble très tentant aussi. Sauf que nous avons toujours séduit les hommes avec nos propres charmes et avoir recours à la magie serait comme tricher, fausser les choses et pourrait nous faire perdre confiance en nous. Ou douter de nos charmes. »

Si les femmes de la famille Summers étaient capable de faire quelque chose avec brio c'était de provoquer l'excitation chez les mâles. Booster leur libido à travers des artifices ne lui plaît pas un seul instant. Et elle connait assez sa fille pour savoir qu'il en sera de même pour elle. Quant à la question sur son mari...

« Ma relation avec mon époux est parfaite ainsi. C'est le seul homme qui m'aime sincèrement et qui sait se montrer tendre et attentionné. Bien sûr j'ai besoin de ma dose de rapport sauvage. Il en est de même pour l'opposé. Je ne tiens aucunement à ce qu'il change.
Nous parlerons de ça plus tard. Je... J'ai envie de... »

Alors que Kitty était toujours occupée à embrasser la succube la mère s'approcha de sa poitrine pour lécher et mordiller son téton en jouant avec l'autre sein de ses doigts. Parler aussi longtemps alors que l'excitation grandissante en elle ne faisait que rester coincée était devenu insurpportable et impossible à contenir une seconde de plus.
Quand ses doigts ne pincaient ou ne tordaient pas le téton de leur maîtresse, sa main descendait jusqu'à son ventre musclé et son pubis. S'arrêtant exprès lorsque son petit doigt de mettait à frôler la garde de cette verge qui était déjà bien imposante.

Au bout de quelques minutes à embrasser tout à tour les lèvres, le cou et la poitrine d'Azelia elles se mirent en position pour la branler ensemble tout en la caressant. Kitty avait un bras dans le dos de la succube pour attraper et caresser le sein qui était le plus éloigné d'elle pendant que son autre main branlait la base de sa bite.
Alors que Jenny branlait la partie supérieure des deux mains tout en échangeant de langoureux baisers avec la démone. Ses lèvres étaient plus douces que celles des autres femmes qu'elles avait embrasser avant.

« C'est abusé ! Ta bite est tellement grosse qu'on peut pas la recouvrir avec trois mains. J'ai déjà avalé des trucs presque aussi gros mais ils étaient moins tendus. Je sais pas comment je vais faire mais faut trop que j'essaie de l'avaler jusqu'au bout.
Quelqu'un y est déjà arrivé où je serai la première ? »

« Calme-toi, Kitty. Tu as oublié ce qui est arrivé la dernière fois que tu as voulu essayer la même chose sans lubrifier la bite de Jake ? Laisse-moi t'aider avant. »

Tout en continuant de branler cette longue et épaisse bite qui gagnait en dureté et en chaleur la mère de famille accumulait de la salive dans sa bouche avant de s'approcher du gland. Elle se tenait quelques centimètres au-dessus en tenant fermement la sucreries que voulait savourer sa fille avant d'écarter les lèvres. Une large quantité de salive dégoulinait de façon sensuelle le long de sa lèvre inférieure pour finir sa course sur le gland et le long de la tige. Une tige qu'elle se mit à masser avec vigueur à l'aide de sa fille pour étaler du mieux possible le liquide transparent. Mais ce n'était passez. Elle recommenca dont l'opération une seconde fois en écrasant sa poitrine sur la cuisse de la démone pour tenter de l'exciter un maximum.

« Voilà, je pense qu'elle est prête. Montre-lui ce dont tu escapable. »

Déposant un baiser sur le gland de leur maîtresse, Jenny s'écarta pour laisser la place à sa fille. Retournant s'occuper des lèvres et de la poitrine d'Azelia tout en laissant sa main vagabonder de nouveau sur son bassin et ses côtes.

Au vu de la gourmandise des deux femmes, Azelia avait sorti une verge d’une taille imposante. Un véritable monstre avait poussé entre ses cuisses, un mandrin de chair, un vit qui se dressait joyeusement, prêt à  bondir sur n’importe qui aurait le courage, ou la folie, de venir s’y attaquer. Les Summers n’étaient toutefois pas pressées, et Azelia soupirait doucement en les embrassant. Mine de rien, elles se faisaient plutôt bien à l’idée de coucher avec une démone, allant jusqu’à refuser son offre, la mère n’y voyant guère d’intérêt. Azelia ne s’en formalisait pas outre mesure. Si elles ne proposaient rien, elles se contenteraient de les baiser, de leur faire découvrir mille plaisirs... Quoique, « découvrir »... À bien y réfléchir, elles n’avaient peut-être pas tant de choses que ça à découvrir, ces deux nymphomanes.

La mère et la fille s’attaquèrent à son sexe, le masturbant, le branlant avec leurs doigts. La mère avait une sacrée poigne, témoignant son expérience, et la démone gémit doucement. La belle succube ferma encore les yeux en salivant, sentant son membre se dresser encore. C’était une belle queue veineuse, qui formait une légère courbe avant de se pointer. Jenny s’émut de cette taille, ce qui fit glousser Azelia.

« La taille de ma verge dépend généralement, en matière d’invocations, de la perversion des autres. Elle est donc aussi grosse que tu es une salope, Kitty... »

Autant dire qu’elles faisaient la paire, toutes les deux ! Mais, avant d’offrir ce sexe à sa fille, Jenny alla le lubrifier, faisant tomber de manière obscène sa salive sur la queue, la recouvrant progressivement. Un contact qui provoqua une sorte de frisson électrique dans le corps de la succube. Oh, comme elle commençait à les apprécier, celles-là ! Oui, elles maîtrisaient clairement leur sujet, et Azelia était sous le charme de leurs talents. Pour bien lubrifier sa verge, Jenny alla jusqu’à user de son imposante poitrine, et Azelia soupira encore, avant de sourire lentement.

Jenny se rapprocha alors d’elle, et Azelia répondit à son baiser, sa main caressant ses cheveux, descendant sur son dos, et glissa jusqu’à ses fesses, qu’elle se mit à palper.

« Pas de magie donc... Montre-moi de quoi tu es capable, Kitty... Et, ne t’inquiète pas, ta mère y passera aussi. Vous n’avez pas idée de ce que je peux faire, et de ce que je vais vous faire, mes chéries. »

Elles avaient le droit d’être sceptiques, mais, quand Azelia en aurait fini avec elles... Elles seraient les premières à la rappeler ! Pour l’heure, son mandrin se dressait fièrement à l’air libre, tandis qu’Azelia se livra à un long baiser avec Jenny, la lovant davantage contre elle, enfonçant sa langue dans sa bouche... Une langue reptilienne, longue et fourchue, qui s’enroula autour de celle de Jenny, la titillant sur place.

Pendant ce temps, sa queue se dressait, attendant la bouche de Kitty...

On ne le croirait pas en la voyant au quotidien. Mais Jenny était une véritable tigresse, une nymphomane sans aucune limite une fois qu'elle est lancée par la machine du sexe. Alors se contenter d'un baiser sur le gland chaud et gluant de la succube était insoutenable. L'envie de dévorer ce monstre de chair était la seule pensée qui occupait son esprit. Au point de jalouser légèrement sa fille qui allait avoir le privilège de la précéder.

« Tu as entendu, Kity. Azelia t'a demandé quelque chose, alors mets-toi au travail. »

Déposant sa main droite de façon délicate dans la chevelure de sa progéniture, Jenny accompagnait celle-ci sans y mettre de force. Elle n'en avait pas besoin de toute façon vu. Kitty n'était pas du genre à se faire prier lorsqu'un challenge lui était proposé. En plus du sexe en lui-même la jeune fille adorait se lancer des défis à elle-même sous diverses formes. Le plus excitant, à ses yeux, était de pouvoir tout avaler. Tout engloutir. Tout faire entrer dans sa gorge quitte à s'étouffer au passage ou à tomber dans les pommes par manque d'oxygène.

« T'inquiète ! Je vais bouffer la bite de cette cochonne ! »

Lâcha la jeune blonde en jetant un petit regard à la démone qui semblait satisfaite de cette réponse. Kitty commença alors par faire remonter sa langue le long de la tige en partant de la garde pour atteindre ensuite le gland. Le mouvement lui semblait presque durer une éternité tant cette verge était gigantesque. Et les veines qui en ressortaient n'étaient pas en reste. La langue douce et humide épousait chaque aspect de la verge sur son passage. Une fois arrivée au sommet de cet everest, ses lèvres vinrent se poser sur le gland quelques secondes pour aspirer dessus une première fois.  Avant de souffler dessus un court instant. La salive donne un petit coup de froid quand on souffle dessus, aussi chaude qu'elle pouvait l'être avant d'enduire ce gros gland.

« Ta bite sent super bon. J'ai envie de la lécher, de la sentir frotter contre ma peau, baver dessus, la sucer, l'aspirer, qu'elle s'enfonce dans ma gorge. »

Elle se mit alors à engloutir le gland d'Azelia en fermant les yeux pour profiter de cet instant unique. Celui où elle venait d'attaquer pour la première fois une bite de cette taille. Son coeur battait à cent à l'heure et contrairement aux premières fois où elle s'était retrouvée dans ce genre de situation la peur n'était pas présente. Malgré ses nombreuses expériences elle avait toujours une certaine appréhension face à un nouveau modèle plus imposant que les précédents. Et là... rien. Juste l'envie de réussir sa tâche.

« Mnnnn ! Mfffff ! Mwaaa ! »

Dans un énorme son bien sale Kitty libéra le gland en prenant soin de garder la bouche ouverte pour baver partout. Quitte à voir sa salive couler jusque son menton ou finir sur les cuisses de la succube. Elle cracha alors sur la queue qui se tenait toujours devant elle avant de la saisir des deux mains pour la branler et se remettre à la tâche. Tournant son visage vers la gauche et la droite pour mettre ses lèvres à contribution tout en titillant le gland de sa langue avant de se lancer dans une gorge profonde. Elle ne voulait prendre aucun risque et continua de lubrifier son adversaire au maximum.

« Aaaahn ! »

Quelques centimètres plus haut, sa mère se faisait embrasser avec passion par leur invité. De toutes les langues, entre autres choses, qui avait eu la chance de s'insinuer dans la bouche de Jenny, aucune ne ressemblait à celle d'Azelia. C'était comme si un être vivant se baladait à l'intérieur, s'enroulant autour de sa langue. Probablement capable de s'enfoncer dans sa gorge.

La blonde prit alors la main de sa partenaire pour glisser ses doigts entre les siens. Appuyant de toutes ses forces avec pour prouver l'excitation qu'elle ressentait. L'excitation que la créature provoquait en elle. Leurs échanges buccaux durèrent quelques minutes avant que la mère ne dirige cette même main sur sa poitrine pour se faire caresser à son tour.

« Ma poitrine... Ma poitrine me fait tellement mal ! Pitié... »

Peut-être pour l'encourager, ou alors tout simplement parce qu'elle n'arrivait plus à contenir son désir elle abandonna la main de la démone désormais posée sur son sein pour saisir la base de sa bite et la branler avec vigueur pendant que sa fille tentait tant bien que mal d'engloutir ce mandrin. Kitty, surprise de voir la main de sa mère s'interposer s'arrêta de sucer pour regarder ce qu'il se passait. Elle lâcha alors un petit sourire mutin.

« Ma pauvre maman. Désolée pour toi mais Azelia va avoir du mal à se concentrer sur toi. »

Oui, avec la prochaine action de la fille, la démone risquait d'avoir du mal à savoir où donner de la tête. Kitty recula un peu pour se retrouver à quatre pattes devant la créature. A l'exception que cette fois elle se mit en position pour avaler sa bite de façon horizontale pour faire entrer cette bite plus facilement en direction de sa gorge. Avant d'ajouter la petite touche finale. A savoir prendre l'autre main de la femme afin de la poser pour sur sa tête tout en maintenant le contact visuel. Elle voulait que celle-ci appuie dessus pour imposer son rythme. Lui baiser la bouche. La faire se noyer dans sa propre salive s'il le faut.

« Non... Mes seins... Kitty... Arrête... Azelia... »

Avec Jenny et Kitty, Azelia était clairement bien entourée. Dans l’esprit de la succube, il ne faisait aucun doute que, lors de leur décès, chacune de ces deux femmes deviendront de magnifiques démones, de redoutables succubes ! Ah, ça, Azelia en saliverait d’avance ! Mais, pour l’heure, elle se laissait doucement bercer par ces deux femmes. D’un côté, la fille s’efforçait de prendre son membre en bouche, et, de l’autre, la mère de famille tentait de dompter sa frustration en roulant de longs baisers à Azelia. Celle-ci pouvait effectivement jouer avec sa langue reptilienne, notamment l’allonger, ou la faire gonfler. Oui, elle aurait pu l’enfoncer dans la gorge de la femme, et la baiser par ce biais, mais elle préférait prendre son temps. Elle savourait ces deux femmes, les savourait comme on profitait d’un délicieux repas, d’une bouteille de vin précieuse. Sa queue tendue se plaisait dans la bouche de la femme, bien grosse, tendue, et elle frémit ensuite quand la main de Jenny rejoignit la base de son sexe, serrant sa queue.

« Hmmm... »

Kitty se retira alors, et abaissa sa verge, la mettant à l’horizontale, arrachant quelques frissons à la démone. Elle rompit alors son baiser avec Jenny, et sa main se crispa sur les cheveux de Kitty, appuyant d’un coup sec dessus, l’amenant à brusquement s’empaler sur sa queue. Elle la laissa comme ça pendant quelques secondes, avant de légèrement radoucir sa prise, et, quand Kitty commença à se retirer un peu trop loin, Azelia bloqua à nouveau sa tête, et appuya encore, l’empêchant ainsi de jouer à son rythme. C’était elle-même qui imposait le sien, s’amusant ainsi de la situation.

Pour le reste, effectivement, sa queue était très bonne... Après tout, son corps suintait naturellement de spores aphrodisiaques et de magie rose. Elle ne serait pas une succube autrement, comptant ainsi aussi bien sur les indéniables avantages physiques de son corps que sur ses talents magiques. Bien sûr, Azelia n’en oubliait pas non plus Jenny, et détourna le regard de Kitty. Une main posée sur sa tête, elle libéra l’autre de la main de Jenny, et la plaça dans le creux de son dos. Là, Azelia griffa sa peau, comme pour apposer sa marque, et descendit encore, jusqu’à palper ses fesses. Sa main se crispa sur son cul, et elle serra l’une de ses fesses, tout en se penchant vers l’un de ses seins.

« Oui, tes seins te font mal, Jenny... Tout comme cette soif que tu ressens en toi. Mais ne t’inquiète pas, tu n’as pas idée de ce dont je suis capable, hmm... Et vous pourrez me sucer bien profondément toutes les deux. »

La magie était une force puissante, un art qu’Azelia maîtrisait très bien en ce qui concerne la magie rose.

« Pour l’heure... Je vais m’occuper de tes seins, Jenny. Et dis-moi... Quand est-ce que tu as fait l’amour avec ta fille pour la première fois ? »

Pour le dire simplement, les démons étaient très friands de relations incestueuses, une relation qui était, par définition, choquante et immorale. Quoi de plus excitant pour une fmeme comme Azelia ? En attendant, sa langue reptilienne jaillit de sa bouche, longue et élancée, et s’enroula autour de l’un de ses seins de Jenny. Une véritable langue fourchue de serpent, baveuse et chaude, qui recouvrit son sein gauche, et dont la pointe titilla le téton. Pendant ce temps, Azelia rapprochait lentement son visage de ses seins, tout en continuant à malmener les deux femmes, pinçant douloureusement le cul de Jenny, et serrant la tête de Kitty.

Elle imposait ainsi à la jeune femme une succession de gorges profondes, de plus en plus longues, bien décidée à ne pas jouir tout de suite... Ou, en tout cas, pas avant d’avoir les deux femmes à ses pieds...

Kitty était à quattre pattes devant la créature qui lui maintenait la tête afin de mieux lui avaler sa queue surdimensionnée. Le plaisir provoqué par la soumission, d'être entièrement à la mercie d'une autre personne était une source de plaisir non négligeable pour elle. Sa gorge commençait à la tirer et sa machoire lui faisait de plus en plus mal. La blonde avait eu droit à son lot de gros calibre. Dont certains étaient bien plus épais que celui d'Azelia, comme celui d'Eric, un élève qui était de passage au Japon suite à un programme d'échange. C'était lors d'une session de révision que la pétillante et et provoquante jeune femme l'avait séduit et découvert le plus massif des sexes qu'elle avait pu voir de sa vie. Aucun acteur de film pour adultes ne pouvait rivaliser avec ce bout dont même le gland lui avait laissé un vilain souvenir.

« Grrrrmmmmm ! Mmmmfff ! Uuummmffff ! »

Les bruits pervers qui tentaient de s'échapper de sa bouche donnaient l'impression qu'elle risquait de s'étouffer à chaque pénétration d'Aelia dans l'antre buccale de sa partenaire. Chaque vibration de ses gémissements étouffés devait réverber sur la longue et large verge de la démone qui savourait cela avec délectation même si son regard était désormais tourné ailleurs. Sa main appuyait sur le crâne de Kitty plus par habitude ou réflexe qu'autre chose vu que toute son attention était offerte à la mère de famille.

« Vous êtes sûre ? Je ne pense pas être capable d'avaler quelque chose d'aussi gros. Mais je veux bien essayer si vous y tenez tant. »

Jenny aimait jouer l'innocente au début. Surtout quand la personne avec qui elle passait un bon moment semblait apprécier son petit jeu. La poussant à se mettre à sa disposition en lui procurant un sentiment de contrôle sur la situation. Même si Azelia n'en avait pas besoin le moin du monde compte tenu de son espèce. Ce jeu de rôle était surtout pratiqué avec les hommes un peu trop timides. Mais bon, les habitudes ont souvent la vie dure.

Et là, sa partenaire lui demanda à quand remontait leur première fois entre elles. Tout en pressant ses doigts sur la chair de son beau et gros cul parfaitement rond. Lui arrachant un bref couinement à chaque fois qu'elle mettait de la force dans son malaxage.

« Ma première relation intime avec Kitty ? Je ne sais pas si je... Aaaahn ! »

Sa réponse fut interrompue par l'apparition d'une immensément longue langue qui vint entourer et écraser le sein de la blonde. Se sein énorme était comme saucisonné dans une corde visqueuse donc le bout lui titillait le mamelon. La pression exercée sur sa poitrine ne la calmait toujours pas. Le feu qui embrasait sa poitrine de l'intérieur ne faisait que grandir. Son corps se tordait sous les caresses d'Azelia. Le dos complètement vouté au point de former un arc de cercle. Son entrejambe la démangeait si fort que ses cuisses se frottaient l'unt contre l'autre. Se retenir de se toucher elle-même devenait insoutenable.

Pourtant, une réponse de sa part restait attendue par la démone qui continuait de jouer avec ce téton gonflé de plaisir et dur comme jamais par le passé. Elle tenta alors de prendre la parole, non sans difficulté.

« C'est arrivé quand Kitty m'a surprise dans les douches des vestiaires après un entraînement du club de sport que j'entraîne au lycée Mishima. Un collègue s'était sali en voulait aider un élève. Nous avions déjà eu des rapports intimes lui et moi plusieurs avant et je n'ai pas pu m'empêcher de le rejoindre. Sauf que j'avais oublié que Kity était censée venir me rejoindre pour que l'on rentre ensemble. »

Alors que son récit se poursuit, la démone ne s'arrête pas pour autant de la titiller à sa façon.

« J'étais complètement hypnotisé par ses muscles fins mais parfaitement dessinés. Son regard d'un bleu profond. Mais surtout la façon divine qu'il avait de me faire faire jouir avec sa langue. C'était assise sur le sol, les cuisses ouvertes, les pieds croisés et bloqués dans son dos que j'ai remarqué la présence de ma fille après m'être calmée suite à un gros orgasme. J'étais surprise mais pas choquée. Car je savais que ma petite Kitty était comme une moi, une femme qui aime prendre et offrir du plaisir. Inutile de vous faire un dessin sur la suite des évènements. »

Les deux femmes étaient visiblement sous le charme de le contrôle de la créature qu'elles avaient invoquées chez elles. Comme elles le souhaitaient après tout.

Azelia s’amusait avec ses partenaires. Une fois la déception initiale passée, les Summers se révélaient être des amantes passionnantes, d’exquises nymphomanes. Oh oui, comme Azelia allait prendre du bon temps avec elles ! Elle fantasmait déjà à cette idée, et fantasma encore plus quand Jenny lui raconta sa première fois. Aidée par l’atmosphère de sexe qui s’appesantissait dans l’air, les mots de la femme résonnaient très agréablement aux oreilles de la démone, qui pouvait visualiser la scène, se gargarisant de cette image, de cette séquence perverse dans les douches du vestiaire. Azelia adorait cela, ce qui se ressentit au niveau de sa verge, qui sembla encore se gonfler davantage, durcissant et gagnant légèrement en taille.

*La perversité des humains ne cessera jamais de me surprendre !*

De quoi ravir le cœur d’Azelia, qui se mit doucement à sourire après avoir récupéré sa langue. Elle laissait un sein gonflé de sa salive, et releva les yeux pour croiser le regard de Jenny. L’une de ses mains maintenait la femme contre elle, et l’autre appuyait sur les cheveux de sa fille. Celle-ci avait eu beau protester initialement, prétendre qu’elle ne se sentait pas capable de prendre ce sexe en bouche, la vérité était qu’elle s’en sortait très bien, pour le plus grand plaisir de la démone.

« Tu as très bien éduqué ta fille, Jenny, j’en suis sincèrement ravie... »

Un petit compliment ne faisait pas de mal, et Azelia releva la main, puis gifla le cul de Jenny, la poussant vers son corps, ce qui fut l’occasion d’un tendre et sensuel baiser entre les deux femmes. Jenny put ainsi sentir dans sa bouche l’épaisse langue reptilienne d’Azelia, qui s’enfonça sans vergogne. Belle, parfaite, sensuelle et séduisante, Azelia avait tout pour plaire, mais la démone avait après tout été conçue ainsi. Si elle n’était pas un objet de désir pour les humains, elle ne serait pas une démone de ce type, n’est-ce pas ? Sa bouche se pressait contre celle de Jenny, tandis qu’elle soupira doucement, se dandinant lentement sur place en sentant Kitty redoubler d’efforts.

Sa verge commençait à atteindre une taille tout à fait considérable, et Azelia s’amusait parfois à appuyer fortement sur la tête de Kitty, l’étranglant ainsi avec sa verge, optant pour de longues séries de gorges profondes, avant de doucement relâcher la pression. C’était un rythme soutenu, éprouvant, mais ce n’était pas sa faute ; ces deux humaines plaçaient la barre très haute ! Après ce baiser, Azelia sourit à nouveau à la femme, et sa longue langue s’étira encore, venant lécher ses lèvres, glissant sur sa fine peau.

« Et si tu allais soulager ta fille, Jenny ? Montre-moi comment tu t’occupes de ses soifs intimes. Et, plus vite tu la feras jouir, et plus vite toi et ta fille comprendrez que coucher avec une démone comme moi offre de fascinantes perspectives... »

Azelia restait volontiers élusive, mais, après tout, elle avait bien précisé, il y a de cela quelques minutes, qu’elle comptait offrir aux deux filles leur comptant en matière de fellations. Car la magie pulsait dans le corps d’Azelia... Et, avec la magie en stock, rien n’était impossible.