Voyage... [Pv]

Partir discrètement… voilà qui était important… il eut un regard sur les corps des deux jeunes femmes au sol, elles avaient bleui à cause du froid intense auxquelles elles avaient été soumises entre ses bras… il avait la peau froide et de temps en temps, sans faire exprès, il exsudait un froid mortel, et il avait tué les deux filles d'un seigneur local ainsi… sans le vouloir, en même temps… les pervertir, les dévergonder, les dépuceler avait été bien amusant quoique long et il étaot désolé d'avoir perdu ces deux jouets… mais il ne voulait pas être accusé ou quoique ce soit… il les habilla, les allongea dans leur lit, et s'en alla en plein milieu de la nuit pour chevaucher jusqu'au port le plus proche… en effet, il avait en général dans les ports des dockers ou armateurs qui étaient ses amis…

Ici, c'était le borgne, il pouvait vous trouver un bateau n'importe quand pour peu que vous vous fendiez d'une jolie bourse… et Slade ne faisait pas exception… celui-ci lui ordonna de se rendre à la taverne et d'attendre le capitaine là bas qu'il contacterait pour le rejoindre… il savait son client peu regardant… et il lui trouverait un vaisseau de contrebandiers ou de pirates  il ne se faisait pas d'illusions… assis dans une taverne, il avait commandé une pinte et attendait donc…

Le lieu était mal famé… ça sentait la sueur et il était sur d'avoir vu un rat courir… il avait rangé ses plaques d'armure dans un grand sac et il avait dissimulé celui-ci sous son siège, vêtu d'une simple tunique de lien grossière et d'une cape qui cachait son visage dans l'ombre… ainsi, il était tranquille… guettant un peu se qui se passait alentour, parce qu'en effet, il attendait le capitaine qui devait l'emmener, il avait prévu la somme rondelette et une arme pour se défendre contre les larcineurs, quoiqu'il soit une arme à part entière…

Finalement, après avoir patienté presque toute la nuit dans cette auberge qui ne désemplissait pas, et avoir couru la gueuse pour se détendre dans cette même auberge, il vit une silhouette qui approchait… il s'agissait d'une silhouette assez fine qui dissimulait son visage… la personne s'assit en face de lui, et il possa sa bière, toujours la même, vers elle pour finalement lui lancer sur un ton un rien abrupt.

« Vous êtes la personne envoyée par le borgne pour m'emmener loin de ce trou puant ? »

Oui, c'était un peu brutal comme formulation, mais bon… il ne voulait pas rester plus longtemps ici que nécessaire…

« Je paie grassement contre aucune question déplacée, ça vous va ? »

Le Queen's Revenge s'amarra dans l'un des ports des landes de Terra. Une région que l'on nommait Les contrées du Chaos. Un nom fort peu charmant qui ne devait pas attirer une foule de touristes. Cependant, on y trouvait des choses très intéressantes et le commerce persistait encore malgré la guerre. C'était plutôt un territoire ashnardien, raison pour laquelle Queen ne s'attardait jamais trop dans le coin. Pas besoin d'attirer l'attention et de se retrouver avec le Gouverneur Summer sur le dos ! Ce n'était pas le moment. Queen avait besoin d'argent pour entretenir ses hommes et son navire et les caisses étaient trop peu remplies à son goût.

Une fois les pieds sur terre, elle se dirigea vers un type plutôt étrange. Un type plutôt petit, trapu, carrément laid en fait. Mais la particularité qui lui avait valu son surnom était qu'il était borgne. Queen le connaissait depuis longtemps, car elle passait toujours par lui pour savoir s'il y avait des contrats ou des informations alléchantes à récolter. Et aujourd'hui, c'était le cas. Il cherchait un bateau pour un client qui désirait fuir la région. Queen réfléchit. Un passager dans son bateau ? Elle n'avait pas besoin d'un fardeau ! Mais le borgne lui assura qu'il ne serait pas un poids. D'ordinaire, le Borgne était plutôt sincère. Et puis de toute façon elle avait besoin d'argent et ne pouvait se permettre de louper ce contrat. Ils décidèrent d'une heure et d'un lieu de rendez-vous, puis Queen retourna à ses affaires. Elle fit un peu de commerce, mais n'eut pas le succès escompté. Les gens par-ici, à cause de la guerre,n'étaient pas très fortunés. Dommage.

Au bout de quelques heures, la jeune femme décida qu'il était temps de se rendre à l'auberge pour rencontrer ce mystérieux voyageur. Clyve, son homme le plus fidèle, insista d'abord pour l'accompagner. Mais devant le refus catégorique de sa supérieure, il se renfrogna et retourne à ses affaires. En tant que Capitaine, elle savait se faire respecter.

Enfin, elle entra dans l'auberge. Il y avait pas mal de monde à cette heure-là, mais elle eut tôt fait de remarquer un type bizarre dans un coin. Comme il était l'unique type seul à une table, elle en conclue que c'était lui. Et puis le borgne lui avait bien précisé qu'il ne se fondait pas franchement dans la masse avec sa dégaine. Pas le genre de type avait l'air d'être d'ici entre autre. Elle s'approcha d'un pas décidé avant de prendre place sur une chaise en face du type. Il avait le visage un peu caché dans sa cape, mais bon. Peu importe la tronche qu'il avait.

Sans même se présenter, évidemment, il lui demanda de confirmer s'il était bien la personne qui devrait l'amener loin de cet endroit. Mais ce qui intéressait Queen, c'était qu'il payait grassement à condition qu'elle ne pose pas de question. Elle eut un sourire amusé et ricana avant de répliquer :

- Ici, c'est moi qui pose les conditions. Je me contrefous de qui vous êtes, ce que vous avez fait et de ce que vous allez faire. Et mes hommes non plus n'en ont rien à foutre. Personne vous posera de question. En revanche, sur mon navire, vous avez intérêt à vous tenir à carreau. On ,'aime pas trop les minets dans ton genre. Maintenant bouge ton cul, on y va.

Sans ajouter quoi que ce soit, ni même partager un verre avec son client, elle se leva et se dirigea vers la sortie. Fallait pas trainer. Elle le guida jusqu'au Queen's Revenge où l'attendaient déjà ses matelots. Ils passèrent le pont, puis les hommes s'agitèrent, sachant parfaitement où étaient leur place et ce qu'ils devaient faire. Très vite, le navire s'éloigna avec paresse, le vent n'étant pas extrêmement généreux aujourd'hui. Dommage pour son client, le voyage ne serait peut-être pas aussi rapide que prévu.

Queen grimpa sur la dunette, près de Clyve qui tenait la barre. Mais c'est au client qu'elle s'adressa, se débarrassant de sa cape à son tour pour poser son chapeau sur sa tête.

- Alors, où va-ton ? Je vous préviens, je ne ferai aucun détour.

Elle était dure et autoritaire. Mais elle avait toujours été comme ça. Parmi les pirates, mieux valait ne pas laisser apparaître de faiblesse.

IL confirma ausssitôt qu'il s'agissait bien du voyageur qui voulait embarquer au plus vite… il regarda la silhouette, étonné qu'il s'agisse d'une femme… les femmes du bourgs ou sur les bateaux étaient en général les putains…. Enfin, c'était peut être juste un intermédiaire… il eut un petit regard pour la jeune femme et lui sourit, comme pou lui faire comprendre qu'il n'y aurait pas de problèmes, même si son discours laissait présager bellesétincelles… il ne répondit pas, mais son regard se durcit et il cessa de sourire… pouvait-elle lire au fond de ses yeux qu'elle finirait sur le pal si si il n'avait p besoin d'elle en cet instant ? Et encore, c'était la meilleure des solutions, vous vous en doutez bien ! Il la regarda de travers avant de prendre ses affaires et de s'en aller à sa suite, de toute manière, il n'avait pas l'intention de se montrer trop à cheval sur ses principes… rappelez-vous juste une chose : il avait réudit à l'état de néant des villes entièes sans la moindre problème… juste pour s'amuser, alors ilne faait pas trop chercher à le fâcher…

Il monta sur le bateau et regarda un peu, rien de bien fameux, le bateau était en bon état, mais ici, rien ne lui inspirait confiance… et si rien ne lui inspirait confiance, il lui fallait toutefois faire aec… il eut un regarda vers la capitaine qui demandait où aller. En précisant qu'il ne serait fait aucun détour… il lança, sur un ton ferme et sec, aussi peu aimable que le sien…

« Vers les royaumes terranides, capitaine… et si vous utilisez encore une fois ce ton avec moi, je vous cloue au mat et je vous écorche vve sans la moindre vergogne… vu ! »

Et toute personne sur le pont devait avoir compris à son attitude, à sa manière de se mouveoir, à sa manière de se parler et d'ête, qu'il le ferait. Plus encore. Que personne ne l'arrêterait. Car il était qelq'un de dangereux qui pouvait se montrer plus violent que n'importe qui… il eut un regard sec  aux matlots qui reprirent leurs tâches...

Il eut un regard noir avant de se glisser vers elle, vers la barre et s'inalle à la poupe, déballant son grand baluchon pour en sortir son armure noire luisante et sa lame surtout, qu'il se mit à nettoyer, polir, et aigiser en se murant dans le silence pendant un temps, jusqu'à ce qu'il ait fini. Il ne reprit la parole, ne reprenant conscience du monde autour, que qaund il eut finit sa tâche, cmme si le mnde enie n'avait aucune importance.

« Quelle est votre estimatin du temps de tajet ? Et ques sont les risques assez prévisibles ? Des attaques ? Ce genre de choses ? »

Il eut un petit sourire avant.

Queen n'était pas d'humeur à entendre les revendications d'un type dont elle ne connaissait rien et qui ne l'intéressait guère de toute façon. Elle ne s'informait jamais vraiment sur ses clients, ceux-ci préférant en général garder l’anonymat et la raison de leur déplacement. Celui-ci n'y faisait pas exception, à la différence qu'il se montrait beaucoup trop autoritaire pour un type qui avait besoin d'aide. Après tout ici, sans elle, peu de types auraient accepté de l'emmener où que ce soit. Les combats navales éclataient de plus en plus entre ashnard et nexus et ne cessaient guère. Prendre la mer était devenu quasiment une mission suicide. Heureusement pour ce prétentieux, Queen avait l'habitude et connaissait les routes les plus tranquilles.
Une fois à la barre, elle s'était débarrassé de sa cape superflue et avait ordonné à Clyve d'éloigner le navire. Cependant, elle devait connaître leur destination pour mieux décider de la manière dont ils allaient éviter les conflits.
Mais soudain, le type cracha de nouveau son venin, apparemment inconscient, allant jusqu'à la menacer. Subitement, l'homme massif armé d'une grosse hache à deux mains qui tenait la barre poussa un grognement, s'arma de sa hache, et allait l'abattre sur l'imprudent quand la jeune femme l'en dissuada en posa sa main sur son torse. Il se calma donc, n'oubliant tout de même pas de maudire l'individu. Queen, quant à elle, se contentait de l'ignorer superbement alors que le type s'éloignait un peu pour s'occuper de ses affaires. Clyve gronda.

- Queen, il vient de te manquer de respect !
- Je sais. Mais tant qu'il paie je m'en carre. S'il croit qu'il me fait peur ce petit con, il se trompe.

Elle donna des directives, laissant ses matelots s’atteler rapidement et efficacement au travail tandis qu'ils s'éloignaient en direction du royaume terranide. Ça faisait un petit bout de chemin. Au bout d'un petit moment, alors qu'elle étudiait son compas, l'homme vint de nouveau s'adresser à elle. Il s'inquiétait de savoir combien de temps durerait le trajet et s'ils devaient s'attendre à des attaques. Queen ricana et lança :

- Vous savez aussi bien que moi que ce monde regorge de saloperies. La liste des dangers que nous pourrions rencontrer est aussi longue que la bite de Nickar* (un démon des mers). Quant au temps que ça va nous prendre pour arriver à destination, seul Dieu connaît la réponse. S'il n'y a pas d'accroc et que le vent souffle bien je dirais... cinq jours. Peut-être une semaine.

Elle était assez confiante, mais le vent était imprévisible et surtout plutôt sournois en cette saison. Ce gars-là allait devoir prendre son mal en patience, et rien qu'à l'idée de devoir le supporter encore des jours l'ennuyait. Peu importe, il payait. Elle tendit d'ailleurs une mains dans sa direction.

- J'aimerai que vous me payiez la moitié de ce que vous me devez. Le voyage vous coûtera 1000 pièces d'or, j'en veux 500 immédiatement. Vous me donnerez le reste une fois arrivé.

C'était une sécurité. Mieux valait éviter de repartir bredouille en cas de souci et de manque d'honnêteté. Même si, entre nous, l'honnêteté chez les pirates n’existait pas.

Avait-il manqué de respect à la capitaine du bord ? Pas du tout, il s'était montré à la hauteur de son propre langage, en effet, elle lui parlait ainsi, il lui répondait sur le même ton, c'était logique. Il regarda la jeune femme, en voyant qu'au final, elle s'en foutait, au premir mot de trop, il ferait comme il 'lavait dit, ou pire encore… il regarda les matelots s'affairer alors qu'elle lui expliquait la situation… il savait, oui, il savait que c'était périeux, d'autant que les eaux froides étaient traitresses… combien de bateaux s'étaient échoués, beaucoup trop… il sourit et regarda la jeune femme avant de se dire qu'une semaine serait un délai plus que raisonnable ;.. il regarda la jeune femme et sourit avant de postéer la main à sa taille avant de se raviser…

« Je ne sais pas, qu'est-ce qi me garantie que vous ne cherchez pas à me débarrasser de moi une fois la première partie empochée ? »

Il sourit avant de dégainer une bourse et de la faire sauter dans sa main, la rattrapant au vol à plusieurs reprises…

« De plus, je croyais que le borgne devait déjà vous payer… je lui ai donné mille pie-ces d'or déjà, pour vous ;.. alors où est l'arnaque ? »

IL la regarda de travers et la saisit par le bras qu'il tordit violemment avant de dégainer couteau pour le plaquer sur sa gorge. Il avait été rapide, très rapide, trop pour être humain, il garda la lame ainsi quelques instants en lui susurrant à l'oreille qu'elle  sur le ton d'une confidence…

« Si je me rends compte que tu essayes de me pigeonner… dans la meree ou pas je me démerde pour faire couler le bateau… Compris ? »

Il la lâcha et la poussa avant de lui lancer la bourse pleine d'encore mille pièces d'or, oui, il se fichait de l'argent, cela n'avait  aucune valeur… lui même valait plus que deux mille pièces d'or en tant que lame à vendre… et ce, à la journée… il sourit et regarda la jeune femme avant de lui lancer, sur un ton plus que suffisant, et avec beaucoupd 'arrogance tant dans le regard que dans la manière qu'il avait de se tenir debout.

« Et je prends la cabine du capitaine… vu ce que je paye, c'est la moindre des choses. »

La messe était dite, non ?

Une arnaque ? Pff... l'or donné par le borgne ne valait absolument pas le voyage. Peut-être qu'en fin de compte, c'était ce petit salopard qui s'était joué d'eux, gardant une partie du prix fixé. Peu importe ! Elle voulait son fric, un point c'est tout. C'était ça ou rien. Il aurait plus qu'à se déplacer à la nage parmi les requins, kraken et autres immondes saloperies. Ses yeux plongés dans les siens, elle ne se démontait pas, attendant qu'il la paye. Mais le type ne semblait pas tout à fait d'accord, ce qui eut le don d'agacer la pirate. Il se payait sa tête, pas vrai ?!  Se débarrasser de lui après avoir eu l'argent, ok, c'était bien un truc de pirate. Mais pour une fois, elle n'avait pas l'intention de faire ça. 1000 pièces d'or valaient bien plus que 500 et lui au fond de l'eau. Quoique... à bien y réfléchir... savoir ce petite prétentieux gobé par un monstre marin devait être carrément jouissif !

Il faisait sauter la bourse, mettant la patience de Queen à rude épreuve. Il s'étonna alors de devoir payer de nouveau après l'échange avec le borgne. Le Capitaine serra les dents. De quoi se mêlait-il celui-là ? C'était comme ça et pas autrement ! Elle avait besoin de ce fric et puis c'est tout ! C'est grâce à ça qu'elle pouvait encore naviguer et l'emmener comme un prince ! Pauvre type ! Soudain, il la saisit par le bras. Cela s'était passé à une telle vitesse que la jeune femme comprit bien vite qu'elle n'avait pas affaire avec un simple humain. Et les menaces qu'il proféra lui confirmèrent ses soupçons. Queen tenta de se débattre, râlant.

Heureusement que ses hommes ne voyaient pas la scène, trop occupés, sinon ils se seraient tous jetés sur ce gars-là. Ça aurait finit en bain de sang et elle n'en avait aucune envie. Sa seule envie était de tordre le cou de ce petit prétentieux, mais elle se retint. Il finit par la lâcher, lui donnant l'or qu'elle avait demandé. Elle serra la bourde dans son poings, très énervée, et le fusillant du regard. Pire encore, il réclamait de dormir dans SA cabine. Elle s'approcha de lui, son nez touchant presque le sien, un doigts posé sur son torse.

- Continues donc à jouir de tes petits privilèges, connard. Tu as de la chance d'avoir ce genre de... "dons" que l'on trouve parfois chez les êtres comme toi. Mais écoutes-moi bien. La prochaine fois que tu me menace, peu importe tes pouvoirs, je te le ferait payer.

Sur ce, elle se détourna de lui et fit signe à un des ses matelot de prendre la barre à sa place. Elle fit signe au gars du nord de la suivre. Il voulait la cabine ? Et bien qu'il ne traîne pas, il ne lui montrerait pas les lieux deux fois.
Ainsi, elle débarqua dans sa cabine. Tout était propre et bien rangé, comme d'habitude. Elle se dirigea vers une sorte d'armoire et en sortit un matelas, plutôt douillet, qu'elle installa dans un coin.

- Vous dormirez dans ma cabine, mais certainement pas dans mon lit. Il y a des privilèges non accessibles, et je ne me priverait pas de mon pieux pour vous. Vous vous contenterez de ça.

Non, mais. Elle n'allait pas non plus se laisser sur les pieds jusqu'au bout ! Hors de question qu'elle dorme dans la cale avec ses hommes, avec l'odeur de transpiration, les ronflements et tout la tintouins. C'était indigne d'elle !

Slade n'tait pas du genre grande gueule, quoi qu'il fasse, il était en mesure de l'exécuter. Voilà le secret de d'une bonne menace… si on pouvait passer à l'acte, alors elle prenait tout son sens, sinon, ce n'était que du vent qui s'échinait à faire fléchir la montagne… cela ne servait à rien, et c'état compl_tement vain… et ça ne devait pas plaire à la jeune femme, normal.. d'autant qu'ielle avait pu constater de sa puissance… il sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle lui faisait cmprendre qu'elle se vengerait s'il recommençait…. Voilàà toute la différence entre les deux… si elle n'était pas en mesure de mettre en action ses menaces, elle ne valait pas un pet de lapin… il eut un grand sourire avant de finalement la suivre pour se rendre dans la cabine…

Il trouva la cabine à son goût… et le lit ne semblait pas mal du tout… de plus c'était propre et bien rangé, que demander de plus ? Il lui sourit et s'assit sur le lit alors même qu'elle lui disait que ce ne seait pas possible. Il lui sourit, gogunard avant de lui lancer, sur le ton d'une plaisanterie qui n'en était pas une :

« Si tu ne veux pas dormir par terre, tu n'as qu'à partager MON lit avec moi ! »

Oui, il était déjà en train de se vauutrer sur le lit qu'il trouvait plus qu'agréable… il sourit et  se redressa pour vider son gros baluchon, sortant ls pièces d'armure une à unepour les ranger proprement au pied du lit dans un tas plus qu'ordonné, le tout installé autour de son épée qu'il laisserait là, fichée dans le sol, droite… il regarda la jeune femme et lui sourit avant de rajouter sur un ton mesquin.

« J'ai payé assez pour une vie de roi, alors une vie de roi  j'aurai… je trouve que ce n'est pas cher payé pour la traqnuilité de l'équipage… si ? Après tout, cela pourraient être pire, ils pourraient t'avoir avec eux cette nuit... »

Il eut un éclat de rire avant de finalement se revautrer sur le lit et conclure.

« Et si tu veux que ta menace soit bonne, alors prouve que tu peux la mettre à exécution ! »

Merde, il s'était vautré sur son lit, ce con ! Queen bouillonnait de rage. Alors lui, il était pas gêné ! La narguant sans vergogne, s'étalant sur le lit en rangeant sagement ses affaires à côtés. Pendant ce temps, la jeune femme le fixait, des flammes de rage dans les yeux, les poings serrés. L'une de ses mains s'approcha de son sabre tandis qu'il fanfaronnait. Ce n'était pas l'envie qui manquait à la jeune femme de l'égorger. Elle l'aurait fait s'il avait été... normal. Mais il fallait bien reconnaître que si elle faisait ça, elle mettait sa vie et celle de ses hommes en danger. Et mourir aujourd'hui était hors de question. Elle avait des choses bien trop importantes à faire avant de quitter ce monde. Comme tuer Summer par exemple.

Elle inspira profondément, tentant de calmer sa colère au possible alors qu'il s'installait, bien content de l'énerver. Dormir avec ses hommes étaient tout simplement hors de question. Pas du tout parce ce qu'elle les craignait. Ses hommes avait bien trop la frousse pour tenter quoi que ce soi contre elle. Mais c'était un endroit bien trop pouilleux pour elle. Tant pis, ce n'était pas les solutions qui manquaient.

Pff. Et dire qu'il allait dormir dans son grand lit chaud. Elle émit un claquement de langue agacé et préféra quitter la cabine en claquant la porte. Elle se rendit jusqu'à la Poulaine d'un pas énervé, ignorant les hommes qu'elle croisa, puis se tenant de toute sa hauteur sur le mât de beaupré, une main accrochée aux cordages, elle profita du vent qui qui l'enveloppait et faisait voler ses cheveux pour tenter de se calmer. Un peu inquiet de la voir dans cet état, Clyve s'approcha. Il resta au dessus de la joue du navire, sans trop s'approcher d'elle. Histoire d'éviter un coup. Il s'éclaircir la voix, les mains plongées dans les poches de ses frusques.

- Y a quequ'chose qui va pas, Cap'taine ? C'est l'autre ouistiti qui vous titille la goulotte ?

Queen inspira de l'air, encore de l'air. Il n'y avait que cet air marin pour la calmer. Puis elle soupira longuement et répondit :

- C'est rien, occupes-toi de tes affaires Clyve.

L'homme savait que son ton brusque cachait quelque chose. Il savait aussi qu'elle n'était pas en colère contre lui et finit par la rejoindre. Il posa une main sur sa taille et se pencha à son oreille.

- Tu sais que tu peux dormir avec moi, cette nuit.

Il en avait envie. Bordel, il avait pas baisé depuis des semaines. Ils s’envoyaient en l'air, Queen et lui de temps en temps. Ils aimaient bien ça. D'ailleurs elle s'envoyait en l'air avec Bilal aussi quand ça lui prenait, ou avec Rick plus rarement. Mais peur importe, ce soir il la voulait pour lui. Sa cabine à lui était beaucoup moins confortable, mais bon, ça suffirait. D'abord, elle ne réagit pas. Il fit alors descendre sa main entre ses cuisses, mais elle arrêta son geste. Il su d’ors et déjà que c'était rappé.

- Retournes à tes affaires, Clyve. Le vent se lève, on va essuyer une tourmente cette nuit.

Autrement dit, les hommes ne dormiraient pas de si tôt. La tempête ne serait pas trop méchante, mais tous les hommes allaient devoir rester sur le pont pour maintenir le navire. Ouais, des nuages noirs s'approchaient et ils en avaient pour la journée et sûrement toute la nuit.
Queen se glissa hors des paluches de Clyve et retourna à la barre, laissant l'autre profiter de son lit autant qu'il le souhaitait.

Puis la nuit tomba. La tempête soufflait toujours et le bateau tanguait méchamment. Mais ils étaient tous habitués, ici. Finalement, le Capitaine rejoint sa cabine, ouvrant la porte sans demander l'autorisation. Elle restait chez elle, non de Dieu. Elle ne lui adressa pas un regard, lui tournant le dos, enlevant ses fringues pour se glisser sur le matelas qu'elle avait installé. Bon, rien de confortable, mais ça irait.
Seulement voilà, avec le bateau qui tanguait et ce foutu matelas qui glissait, elle finit par se lever, et sans gêne, poussa un peu l'homme eux cheveux blanc pour se glisser dans SON lit. Peu importe qu'il y soit aussi.

Oui, si elle voulait jouer à qui était le plus buté, elle était sûre de perdre… il était très doué pour ce genre de choses…. Surtout qu'en plus elle semblait prête à exploser et il en était ravi/… il eut un petit sourire avant de finalement la regarder sortir avant de sénerver… elle savait très bien qu'elle était en péril si elle refusait de lui céder… elle plierait ou il lui ferait regretter… il n'était pas une sous-merde qui voulait voyager, il était quelqu'un de dangereux, plus dangereux même que ce qu'elle avait pu rencontrer dan l'eau… il contrôlait aux vents froids et aurait été capable de faire geler l'eau autour d'eux jusqu'à les arrêter complètement, tout comme il aurait pu lui glacer le sang dans les veines au sens propre… il sourit à cette idée ;. peut être le ferait-il…

Il pasa le rete de la journée dans la vcabine, ayant tiré de ses affaire sune plume, de lencre et du parchemin, il écrivait son rapport à la reine Mab, qu'il lui confierait à son arrivée, tout simplement… il ne vit pas le temps passer même s'il sentit la tempête approcher, comme quelque chose de normal et de terrible qui s'apprêtait à fondre sur eu… il sentait la perturbation des vents au fond de ses entrailles comme s'il y avait été…

Pour lui, la nut ne fut pas difficile… il pouvait dormir da,s mla pire tourmente marine, elles n'équivaudraient jamais aux tempêtes qui faisaient tomber plusieurs mètres de neige dans la nuit, à côté, ceci n'était qu'un léger grain et s'il se coucha, il n'en restant pas moins prudent, nu dans les draps pour se sentir à l'aise, il avait toutefois un poignard dissimulée sous son oreiller… il eut un sommeil sans rêve jusqu'à ce que le bruit de la porte ne le réveille… elle venait d'entrer… il fait semblant de dormir, en travers du lit… il eut un sourire discret dans l'obscurité quand il l''entendit s'allongersur le matela… oui, parfait, que chacun reste à sa place…

IL se rendormit mais fut réveillé quand il fut pousser, instinctivement il saisit son poignard alors qu'elle se glissait dans le lit, avec lui, nue… il ne chercha pas à la virer, bin au contraire...il lui fit un peu de place avant de la saisir à la gorge, la bloquant pour venir planter le poignard dans le matelas juste à côté de son visage, nouveau réflexe… ce fut seulement après cela qu'il se rendit compte que ce qu'il avait fait, et il sentait la jeune femme se débattre sous sa poigne il la lâcha, la regarda dans les yeux malgré la nuit et lui lança :

« Tu fous quoi dans mon lit ? Tuires-toi, la place c'est le matelas ! »

Avisant de sa nudité, il eut un petit rire avant de finalement lui lancer sur un ton moins brusque mais davantage railleurs…

« Alors, tu as épuisé l'équipage et tu te rabats sur la seule queue qu'il reste ? »

Il glissa la main entre ses cuisses, forçant leur barrage si nécessaire… oh, il ne comptait pas la violer, juste lui faire comprendre son impuissance s'il en décidait ainsi...

Rien de plus normal que de se faire une place dans son propre lit, n'est-ce pas ? Peu importe que ce type y soit, merde, c'était son territoire et elle espérait bien le conserver. Ce foutu matelas ne tenait pas en place, il puait l'humidité, et en plus, il était trop petit à son goût. Sans compter qu'il y faisait bien moins chaud et que la température avait salement chuté à cause de la tempête. Alors bon, elle voulait se faire une place dans son plumard et elle n'en bougerait pas ! Ce n'était pas ce petit prétentieux foireux qui allait l'en empêcher, qu'il soit pété de pouvoirs ou non ! Alors, bille-en-tête, aussi têtue qu'une mule, Queen se faufila dans le lit, se faisant un place bon gré mal gré.

Au bout du compte, ce ne fut pas trop compliqué. À croire que le mec était d'accord, tien... Ou il n'avait pas fait attention. Peu importe ! Elle était dans son lit et elle n'avait plus qu'à fermer les yeux et pioncer... Sauf qu'elle n'avait pas prévu que le type en question pète un câble et la retourne comme un crêpe pour manquer de lui planter son couteau dans le crâne. Raide comme un poteau, Queen remerciait le ciel qu'il l'aie loupée. Puis son visage surpris fit place à sa sale gueule des mauvais jours.

- Non, mais t'es cinglé ma parole ?!

Cinglé, cinglé... Elle venait de débarquer à côté de lui dans le lit sans prévenir en même temps. Elle aurait fait pareil. Sauf qu'elle ne l'aurait pas loupé, ça non ! Pile entre les deux yeux ! C'est ce qu'elle rêvait de faire, mais bien sûr, c'était un peu tard. Elle aurait dû le buter dans son sommeil, tiens, ça aurait été plus efficace ! Et voilà qu'il lui demandait ce qu'il faisait dans son lit et disait que sa place était sur le matelas ?! Elle grogna, à deux doigts de tenter de lui faire péter la cervelle.

Elle commença quand même de se débattre, histoire qu'il la lâche, quand même. Mais non ! Il était sérieux l'animal, allant même jusqu'à glisser sa main entre ses cuisses avec des mots salaces. Queen enrageait. Elle lui cracha au visage. Ce qui lui permit de mettre la main sur le pistolet qu'elle cachait toujours sous le matelas. Le canon vint s'écraser sur la tempe de l'homme. Elle lui murmura alors :

- Remballe ton cure-dent. Que tu sois normal ou pas... il me faut pas plus d'une seconde pour te faire éclater la cervelle, conard. Alors enlève tes sales pattes. Ici, c'est MON lit. Et il est pas né le petit enfoiré qui me virera de mes quartiers, compris ?

Fallait pas la faire chier. Elle se foutait de savoir ce qu'il pouvait faire avec ses pouvoirs venus du ciel ou d'ailleurs, mais ça lui faisait une belle jambe ! Elle avait juste à appuyer sur la détente et boum ! Plus personne. Il faisait moins le malin, hein ?

Il ne l'avait pas loupé par accident… c'était un réflexe en général que de faire ça, car interroger les personnes mortes, c'était un rien délicat… et on ne venait pas le réveiller sans raison… il eut un petit sourire à cette idée alors qu'elle lui parlait… non, qu'elle l'engueulait… utilisons les bons termes ! IL eut un sourire sardonique alors qu'elle se débattait, mais il ne l'attaqua pas davantage, laissant sa main là où elle était comme une menace alors que le canon de l'arme venait heurtr sa tempe… inutile de regarder pour comprendre… oh, elle devait être triomphante, là… Fallait-il jouer avec elle ? Oui !  Bien sur !  Il allait jouer ! Il s'écarta précipitamment comme effrayé, intérieurement, autant vous dire qu'il jubilait… il eut un regard hagard effrayé, comme si la peur le prenait d'un seul coup

« Pardon, pardon, promis je ne ferais promis !  Je vais même aller dormir avec l'équipage... »

Il eut un petit sourire triomphal alors qu'il lançait, sur un ton proche de celui de la hargne.

« Ou pas ! »

Et il souffla vers l'arme qui se mit à refroidir à toute allure… il voyait bien que c'était une arme métallique et lachair sur le mùétal trop froid… ça ne fait pas bon ménage :  elle allait s'arracher la peau de la mains ie elle cherchait à bouger le doigt ou à jeter l'arme, à mopins de le faire tout de suite, très vite… mais en tout cas, le mécanisme était grippé.... donc même si elle voulait tirer, cela bloquerait… ou du moins, cela bloquerait assez longtemps pour qu'il puisse prendre le pistolet et en plier le carton comme si c'était de la pate )à modeler…

« Pas de menaces… surtout quand elles ne valent que du vent je te prie ! »

Il la regarda avant de la pousser hors du lit…

« La prochaine fois, dee demande polie peut aider... »

Il se recoucha, lui tournant le dos. Il n'allait pas laisser des voleurs faire la loi, non mais ho !

Enfin, le type comprit qu'il était en mauvaise posture et se recula activement avec un air terrifié. Ah ah ! Il rigolait moins, là ? Oui, Queen était persuadé qu'en effet, il avait finit par comprendre qu'elle ne rigolait pas et qu'il risquait gros. Tirer dans son crâne, quitte à repeindre les murs et les draps de sa cabine de sang ne lui faisait pas peur, elle avait fait bien pire que ça. Et ce n'était pas ce freluquet de bas étages qui allait l'intimider.  Pour qui se prenait-il, franchement ? Il n'était pas le premier à vouloir lui tenir tête, en revanche, il était le premier a posséder des dons magiques. Et ça, c'était légèrement... embêtant. La jeune femme finit alors subitement par comprendre que ce petite salaud jouait la comédie et n'était finalement pas impressionné le moins du monde face à sa menace !

Il se mit à souffler un air glacé, qui emprisonna subitement sa main et son flingue avec dans la glace. Queen ouvrit de grands yeux ronds et grimaça, se redressa d'un bond. Elle pouvait plus bouger au risque de s'arracher la chair.

- Merde ! Merde !!

Certes, ses menaces n'avaient rien valus. Que du vent comme il disait ! Il la repoussa finalement du lit en prétextant que la politesse pouvait parfois aider. Queen rageait, fixant sa main gelée en se demandant comment elle allait bien pouvoir faire pour se débarrasser de ça. La jeune femme avança dans la cabine et regarda autour d'elle, comme pour chercher une solution. Au bout de quelques secondes, ayant presque oublié que le type était encore là, elle beugla :

- BILAL !!

Le jeune pirate, qui se trouvait encore sur le pont, s'empressa d'atteindre la cabine en courant et ouvrit celle-ci brusquement. Et il fut surpris de ce qu'il y trouva. Sa capitaine était là, entièrement nue... et son flingue congelé dans sa main. Queen se tourna vers lui et brailla :

- Va me chercher du feu, bon sang !
- Oui... heu... tout d'suite Cap'taine.

Il s’éclipsa en vitesse, retenant avec peine un début d'érection. Putain quelle femme quand même ! Il revint au bout de deux minutes avec une torche enflammée dans la main et s'approcha de Queen qui tendit sa main au dessus de la flamme. Le souffle court, le jeune homme ne pouvait s'empêcher de lorgner sur la poitrine de la pirate. Il avala difficilement sa salive, puis marmonna :

- Capitaine... vous allez vous brûler comme ça.

Elle s'en fichait, fixant la glace qui commençait à fondre comme si son simple regard pouvait suffire à accélérer la chose. Elle pouvait sentir les flammes lécher sa chair aussi, mais peu importe ! Elle supportait la douleur sans broncher, jusqu’à ce qu'enfin, elle puisse lâcher son arme qui tomba bruyamment sur le sol. Bilal s'empressa d'attraper le manteau du capitaine qui était posée sur une chaise et le posa sur les épaules de sa supérieure. Puis il jeta un regard mauvais à Slave.

- Doit-on le faire enfermer, Cap'taine ?
- Non, grogna t-elle. Laissons ce maudit malbête(*créature du diable) ronfler si ça lui chante. Va installer ma couche dans la cale à vin.
- A vos ordres.

Elle lui prit la torche des mains et le laissa embarquer ses affaires. Elle s'approcha légèrement de Slade, l'air grave, l'ombre des flammes dansants sur son corps. Elle lâcha alors sur un ton remplit de sarcasme :

- Bonne nuit, mon cher.

Sur ce, elle tourna les talons pour se rendre à la cale où se trouvait Bilal. Il l'avait installée aussi confortablement que possible, lui ayant laissé une bougie pour éclairer la cale, très sombre. Elle s'était débarrassée de la torche en route, qui ne lui servait plus. Le jeune homme la débarrassa de son manteau, et s'apprêta quitter les lieux en souhaitant une bonne nuit à sa capitaine, mais celle-ci le retint par le bras, l'attirant à elle pour emprisonner fougueusement ses lèvres avec les siennes. Le garçon ne se fit pas prier pour lui rendre son baiser, et accompagna le corps de son capitaine jusqu'à la couche... Sustenter l'envie de sexe de sa Capitaine faisait également partie de ses attributions après tout.
Au moins, il n'avait pas perdu sa soirée !

Oui, lui coller la main à son flingue était une idée assez amusante… il trouvait cela assez drôle.. elle voulait lui tirer dessus, elle s'en mordrait el doigts, ous 'en arracherait la paume pour rester dans le littéral, même si c'était odieux de dire les choses ainsi. Qu'importe ! Il lui sourit et la regarda, alors qu'elle semblait se demander quoi faire exactement… ouais…. Il l'avait bien mouchée pour le coup !  Il se contenta de se recoucher, et s’emmitoufla dans les draps et se mit à roupiller paisiblement. Il n'avait plus rien à foutre de la capitaine, qu'elle aille se faire enculer par tout l'équipage dans un gang bang géant, lui, ça ne le concernait plus du tout !

Néanmoins, quand elle sortit… il ne put s'empêcher de sourire, avant de vraiment dormir, se foutant royalement de tout le reste. A quoi bon ? Tant qu'il arrivait à destination, le reste, il s'en foutait… il dormit comme un bébé… mais quand  il se réveilla… c'était problématique… une sorte de grande fleur de glace était passée autour de lui, figeant les draps qui se brisèrent quand il bougea… même les flammes avaient gelé… il se débarrassa des morceaux de couverture avant de s'approcher de la porte. Il y avait une couche de glace sur la poignée. Il al brisa pour pouvoir enfin sortir à l'air libre… l'aube commençait à peine à se lever.

Il y eut un bruit de cloche symbolisant le changement de quart. Des matelots descendirent et d'autres montèrent. C'était ainsi que cela se passait. Il ne put retenir un léger sourire alors qu'il plongeait son regard dans l'infinité de l'oc »an. Puis il s'approcha de la capitaine qui était à barre. Il lui lança un grand sourire plein de morgue avant de finalement se décider à prendre la parole, sur un to plein de morgue, de moquerie.

« Bjour Cap'taine ! Bien dormi ? Tu devrais te méfoer, je crois que dans la chambre tu as des problèmes de chauffage… il y avait de la glace partout…. Je crois que ton bateau a un problème... »

Oui, il en était la cause, en effet… certes, ça allait fortement abimer le bois. Qu'importe ! Il sourit et rajouta, sur un ton impérieux.

« Ta main va bien ? Si oui, tu me sers quoi pour le petit dej ? »