Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Love Hotel [Leona]

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Terra Hero Team

Légion

Love Hotel [Leona]

lundi 02 février 2015, 01:33:25

Avec sa porte normale, l’absence de fenêtres aux murs, et d’enseigne, l’Hôtel Kawagashi ne mentait pas énormément sur ce qu’il fournissait. C’était un hôtel très particulier, avec une clientèle qui ne venait pas pour se reposer la nuit. L’Hôtel Kawagashi était un love hotel, l’une de ces spécificités japonaises consistant à louer une chambre pour la nuit afin de pouvoir s’adonner à des activités sexuelles avec son partenaire. La formule de l’Hôtel Kawagashi était un peu différente, et, quand Ryouka Spänje en avait entendu parler, elle avait compris que c’était l’endroit qu’elle adorait voir. Elle et Nika, sa grande sœur, bénéficiaient d’une permission d’une semaine, et elles avaient décidé de la passer sur Terre, où les Héroïnes disposaient d’une planque dans la banlieue de Seikusu, avec un accès à Internet, et tout ce qu’il fallait pour déambuler à Seikusu.

Ryouka en avait profité pour se renseigner sur les mœurs du Japon, et avait décidé de découvrir leurs love hotel. Tekhos disposait aussi d’établissements similaires, et c’était en faisant des recherches qu’elle avait fini par trouver l’Hôtel Kawagashi. Le concept était de s’inscrire pour une nuit au love hotel, par le biais du site Internet, en donnant ses coordonnées bancaires. La discrétion et la confidentialité étaient assurées, car, à aucun moment, il ne fallait s’enregistrer, ou créer un compte. On pouvait donner une adresse mail fausse, afin de recevoir confirmation de la commande, et la chambre réservée. Ryouka avait décidé de le faire. Tout ce qu’elle avait à faire, c’était donner quelques indications sommaires sur le partenaire recherché. Elle avait précisé qu’elle voulait une femme, et, après quelques heures, l’Hôtel lui avait envoyé une date, une heure, et un numéro de chambre.

De toutes les Héroïnes, Ryouka était assurément la plus perverse du troupeau. Une pure Tekhane, en ce que les Tekhanes étaient connues pour leurs mœurs hyper-sexualisées. Elles auraient de fait pu prendre leurs vacances dans la métorpole, mais la Terre avait aussi ses avantages. Nika en profitait pour trouver un moyen d’obtenir de nouvelles armes, tâche assez délicate au Japon, où le marché des armes à feu passait exclusivement par la contrebande. En somme, le soir venu, Ryouka était seule dans leur studio, et envoya brièvement un SMS à Nika, afin de lui dire qu’elle se rendait à son rendez-vous.

Elle sortit ensuite, portant sur elle sa simple robe noire avec des rayures rouges et ses collants. C’était sa tenue classique, et elle lui allait plutôt bien, moulant ses formes. Elle sortit dehors, croisant parfois quelques spécimens masculins qui louchaient sur ses seins ou sur ses fesses.

*Difficile de leur en vouloir, c’est conçu pour être admiré...*

En d’autres circonstances, elle aurait pu tenter d’emballer un autochtone, mais elle ne tenait pas à être en retard à son rendez-vous... Ni fatiguée. Les services de l’Hôtel s’axaient autour de la domination et du bondage. Ryouka savait que le bondage au Japon, qu’on appelait « kinbaku », n’était pas vu comme une déviance sexuelle, mais comme un art. L’art de la corde... Il y avait des spécialistes dans ce domaine, de véritables maîtres japonais, qu’une femme pouvait payer pour être attachée dans tous les sens possibles. C’était une chose qu’on trouvait difficilement à Tekhos, plutôt à Edoras... Et, parfois, il était bon d’oublier les jouets technologiques, les ordinateurs et les godes électroniques, les stimulations électriques, pour revenir à des plaisirs sexuels plus simples et plus physiques.

Ryouka se rendit rapidement devant l’hôtel, et y entra. Comme prévu, il n’y avait pas d’hôtesse à l’accueil, simplement une caméra de sécurité, et un registre. Elle s’approcha de ce dernier, et vit son nom, puis le numéro de chambre : « 25 ». Le deuxième étage... Elle grimpa rapidement, dans un escalier désert. C’était presque comme si l’établissement semblait inhabité, mais elle était sûre qu’il y avait du monde qui surveillait. Excitée, sentant son cœur palpiter dans sa poitrine, elle se rendit vers la chambre, et l’ouvrit.

Elle était la première, et vit un grand lit au fond. C’était une petite pièce, avec un placvard à gauche, de slumières tamisées, des liens et des sangles sur le plafond et sur le sol.

*Oh putain... Ça promet !*

Excitée comme une puce, Ryouka s’avança un peu, et caressa délicatement le lit, avant d’ouvrir le placard. On pouvait bien entendu ramener ses propres affaires, mais l’établissement fournissait aussi quelques combinaisons en latex, et différents sex toys : plugs, godemichés, fouets... Il y avait de tout, afin de satisfaire à tous les goûts possibles.

Ryouka s’assit sur le seul fauteuil de la pièce, probablement conçue pour le dominateur, et croisa les jambes, attendant la venue de sa partenaire...

...Et le début du jeu.
DC d’Alice Korvander.

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Leona

Humain(e)

Re : Love Hotel [Leona]

Réponse 1 lundi 02 février 2015, 23:14:35

Love Hotel, un nom d'enseigne qui n'était pas inconnu à Leona depuis qu'elle s'était installé au Japon. A vrai dire la jeune beauté sombre utilisait les services de l'établissement régulièrement, jusqu'à une ou deux fois par mois selon ses rentrées d'argent. Cette méthode de rencontre moins conventionnelle avait au moins le mérite d'être facile et amusante, qui ne trouvait pas plus excitant de découvrir sa partenaire qu'au dernier moment ? De sentir son rythme cardiaque s'accélérer doucement à l'approche du rendez-vous en s'imaginant qui serait cette fameuse compagnonne de jeu ? Et puis il s'agissait au moins de relations sexuelles consentante, m'épargnant les quiproquos quant à de possibles suites amoureuse que la jeune femme cherchait à éviter. Se poser ? Hors de question elle était bien trop jeune et la vie était trop courte pour ne pas en profiter pleinement. Alors elle avait réservé comme à ses habitudes une chambre en plein samedi après midi, au dernier moment sur un coups de tête et en préparant le strict minimum dont elle avait besoin à une bonne séance de domination. Bien sure l'établissement possédait tout un tas de matériel mais la jeune dominatrice préférait pouvoir porter sa propre tenue dans laquelle elle était à l'aise et certains de ses accessoires préférées.

Quels minutes plus tard Leona était prête, arborant une tenue sombre entre le noir et le bleu marine, assortie comme il le fallait avec ses jolies yeux d'une couleur océan intense et ses lèvres rouges prête à être embrassées. Seul une pointe de maquillage sur ses cils et une paire de boucles d'oreille en anneau venait compléter le tout en plus de ses cheveux attachés en queue de cheval.

J'espère que mon rendez-vous du jours sera à la hauteur.

Comme elle habitait tout prêt il ne lui fallait qu'une dizaine de minute à pied pour franchir les grandes portes de l'hôtel et signer le registre, cigarette entre les lèvres, sans même prendre le soin de l'éteindre dans le cendrier. A quoi bon, de toute façon ? Il n'y-avait comme à chaque fois personne, à croire que cet établissement était vide de tout personnel et pourtant... celui-ci était réputé dans toute la région comme étant le plus sérieux, ayant pour principal gage de qualité son immense discrétion. Mais bientôt ses bottines à talons claquaient sur les escaliers, ne laissant qu'un sons raisonnant dans l'établissement comme l'avancée d'une prédatrice en chasse, une prédatrice prête à en découvre du haut de sa modeste taille et de sa jupe courte. La porte qu'elle visait, elle, était déjà entrouverte signe qu'elle n'était pas arrivé la première, pour une fois, ce qui n'était pas plus mal Leona détestait attendre. L'instant d'après la porte fut poussée sans même avoir été toquer, un nuage de fumée s'échappant d'entre les lèvres rouge de la jeune femme avant que la cigarette ne s'écrase dans la corbeille.

J'espère que la fumée ne te dérange pas chérie

Comme à ses habitues elle était presque froide, provocatrice dans son grain de voix et presque insolente. Tout cela faisait partie de son personnage mais aussi de la personnalité qu'elle voulait montrer et qui lui offrait une défense non négligeable, en réalité tout au fond, Leona était une jeune fille tout ce qu'il y avait de plus intelligente et humaine.

Autant commencer par les présentation avant de se sauter dessus, je m'appelle Leona, mais pour toi ce sera maitresse Leona, bien entendu. Et toi, Ryouka c'est bien ça ? J'ai lu ton nom sur le registre.

On pouvait facilement deviner que Leona n'était pas japonaise de source à cause de son nom comparer à Ryouka, elle n'était pour autant nullement dépaysé et avait réussit à se faire une nouvelle vie dans les régions du soleil levant en un clin d'oeuil.

Permet moi de changer cette tenue, je préfère porter mes propres robes que celles qui ont déjà étés portées par d'autre femmes.

Son arrogance allait jusqu'à ne pas vouloir se vêtir des tenue offertes, mais aussi dans le but de ne pas avoir la mauvaise surprise de ne pas y voir sa taille dans une tenue qui lui plairait. Alors c'est en détachant ses cheveux qu'elles se mit en sous vêtement sans aucune gêne devant sa nouvelle compagne de jeu, commençant à sortir de son grand sac une tenue complète en latex qui fut posée sur le lit. La beauté sombre commençait par sa jupe tailleur en latex, moulant parfaitement son fessier rebondit, un jolie début de spectacle pour la belle jeune femmes aux cheveux cours.

Je ne vais pas te dicter à l'avance tout ce qui va se passer durant les prochaines heures, ce ne serait pas excitant que de ne pas en avoir la surprise. Sache juste que si tu ne te sens pas capable d'accepter certaines choses tu n'auras cas me le faire savoir, la domination est un art et pour être sublimer il doit être pratiquer dans le respect mutuel des chacun. Tu n'es pas d'accord ? 

Durant ces paroles censés la jeune femme continuait de s'habiller, enfilant son haut en latex noir avant de continuer avec sa longue paire de gant de la même matière, dépassant les coudes.

Cependant si tu es assez joueuse, je peux te promettre que tu aimeras ce que je te réserve, et que tu ne regretteras pas d'être venue.

Pour finir elle s'appuyait sur le lit pour enfiler sa paire de cuissardes en modèle talons hauts, sur lesquelles elle était parfaitement entrainée à marcher.

C'est joli ces yeux rouges, c'est naturel ?

Leona s'avançait d'un pas déterminé et sensuel vers sa compagne, glissant ses doigts de latex entres sa chevelure noire pour l'arranger. Maintenant qu'elle était assez proche pour le voir elle pouvait le confirmer, Ryouka était une belle femme, aux superbes formes moulées dans une tenue taillée pour elle. Comme pour la félicité de sa beauté elle posait ses mains contre ses joues, les caressant en la fixant longtemps dans les yeux, une de ses cuissardes volontairement collée contre une des ses jambes.

Embrasse moi Disait elle sur le ton d'un ordre en ne pouvant résister plus longtemps à cette jeune femme si mignonne

Terra Hero Team

Légion

Re : Love Hotel [Leona]

Réponse 2 mercredi 04 février 2015, 02:05:28

Assise sur le lit, jambes croisées, Ryouka attendait la venue de sa partenaire. L’Hôtel Kawagashi était spécialisée dans des relations axées BDSM, ce qui signifiait qu’il y avait toujours un partenaire dominant et un partenaire dominé. Pour l’heure, Ryouka ne savait pas quel rôle elle jouerait. Elle n’aimait pas se cantonner dans un seul rôle, et estimait qu’une bonne dominatrice se devait aussi d’être une bonne soumise... Et inversement. C’était un tout, et il fallait savoir être polyvalent. Seule dans la chambre, elle observa encore un peu le décor. On entendait aucun bruit venant de l’extérieur ou des autres chambres. Tout était parfaitement insonorisé, garantissant ainsi un anonymat exemplaire. Le Japon était un pays très paradoxal, un pays qui, tout en étant extrêmement protocolaire et très ferme, s’avérait aussi relativement libre et serein. Un pays fait de paradoxes et d’ambiguïtés, que l’Héroïne commençait à peine à creuser. Qu’elle ne se mente pas : elle était venue ici pour se faire baiser un bon coup, car Ryouka ne concevait pas ses vacances sans un peu de sexe... Un peu beaucoup, même. Elle n’avait jamais dissimulé être une perverse, ce qui était compensé par le fait qu’elle était une surdouée en informatique. Au sein de l’équipe formée par Overlord, c’était elle qui s’occupait de toute la partie technique et coordination informatique. Elle était une véritable geek tekhane, passionnée en informatique, passant parfois plusieurs jours d’affilée sans jamais quitter ses yeux de ses écrans, mangeant sommairement. Génie asociale, Ryouka s’était construite une importante vie sociale sur Internet, s’étant trouvée des amies perverses, comme Tsukasa à Edoras... Elle ne faisait qu’élargir son répertoire.

Alors qu’elle attendait, la porte finit par s’ouvrir sur une femme dans une robe ample et solide. Cigarette au bec, au-dessus de belles lèvres rouges pulpeuses, Ryouka, qui sursauta sous l’effet de la surprise, se releva rapidement, et comprit d’emblée que c’était elle qui allait jouer la Maîtresse. Visiblement habituée à ce genre de scènes, la belle Leone s’empressa de préciser que Ryouka allait devoir l’appeler « Maîtresse Leona », puis lui demanda son nom.

« Oui... Oui, Maîtresse, c’est bien ça. Ryouka ! »

Ryouka avait un sourire amusé, et elle laissa ensuite Leona se déshabiller sous ses yeux L’humaine avait un ton expéditif qui lui plaisait. Ce n’était pas une timide, mais manifestement une femme expérimentée, qui avait sûrement déjà dû avoir l’occasion de coucher avec bien des femmes, et de fouetter bien des culs. Elle sortit ensuite un ensemble en latex, exhibant à Ryouka le spectacle de son corps nu. Une jupe noire en latex, un corset noir recouvrant son haut, puis de longs gants, et, enfin, des cuissardes... C’était un véritable spectacle, un strip-tease inversé. Les Tekhanes étaient connues pour leurs passions du fétichisme. Pour s’en convaincre, il suffisait de voir les uniformes standards de l’armée tekhane. Il s’agissait de combinaisons qu’on retrouvait dans les sex shops, où elles étaient extrêmement bien vendues.

Leona s’habilla donc en noir et en latex, et Ryouka sentit quelque chose fourmiller en elle. L’envie.. Elle était là, remontant en elle, alors que Leona s’approchait... Non, Maîtresse Leona, car c’était désormais ainsi que Ryouka pouvait l’appeler. Maîtresse Leona, donc, se mit à marcher, lentement, sensuellement, avec une démarche assurée, et ses mains caressèrent doucement les joues de Ryouka, des joues légèrement rouges, la belle femme aux courts cheveux blancs venant se mordiller les lèvres. Tout en s’habillant, elle lui avait posé une question, à laquelle Ryouka, d’une voix légèrement marquée par le désir, avait répondu :

« Je suis d’accord avec votre conception de nos rapports à venir, Maîtresse... »

Leone lui avait sorti toute une diatribe pour lui expliquer ce qu’elle attendrait d’elle, soit, non seulement de la soumission, mais aussi une certaine réactivité. Ryouka devait aussi apprendre à se débrouiller par elle-même, et à faire preuve de réactivité. Un art dans lequel elle pensait sincèrement être capable de s’en sortir. Leona avait ensuite fini de s’habiller, puis lui posa une nouvelle question, désormais sur ses yeux rouges, ce à quoi Ryouka répondit dans un sourire.

« Tout est naturel chez moi, Maîtresse... »

Cette entrée en matière rapide était typique d’une Tekhane. Ne pas s’embarrasser, aller droit au but, planter sa verge d’entrée de jeu. Leurs regards se croisèrent donc, et Maîtresse Leona donna alors son premier ordre de la soirée.

« Embrasse-moi. »

Ryouka obéit immédiatement, et posa ses mains sur les belles hanches de la femme, puis se pencha vers elle. Elle ferma les yeux, et apposa ses lèvres contre les siennes, dans un tendre et chaud baiser, sa bouche se plaquant à la sienne, ses lèvres se mélangeant aux siennes. Elle l’embrassa doucement, au début, puis de plus en plus intensivement, bien décidée à lui montrer qu’elle n’était pas une amatrice. Ainsi, le baiser se révéla un peu plus fougueux, Ryouka allant jusqu’à tirer sur la lèvre inférieure de Leona, la coinçant entre ses dents, mordillant avant de la relâcher, puis elle continua à l’embrasser, enfonçant finalement sa langue dans sa bouche, remuant la sienne avec elle, dans un délicieux ballet, lent et savoureux.

« Hmmm... »

Cette Leona ressemblait typiquement à une femme d’affaires passant ses journées au boulot, et venant dans des endroits de ce type pour se détendre le soir... Ce qui promettait d’être particulièrement intense, au plus grand plaisir de Ryouka. Qui sait ? Leona aussi n’était peut-être pas totalement au bout de ses surprises avec une partenaire comme Ryouka...
DC d’Alice Korvander.

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Leona

Humain(e)

Re : Love Hotel [Leona]

Réponse 3 jeudi 05 février 2015, 14:31:32

Le baiser était gourmand et l'ordre parfaitement effectué, rare avait étaient les mouvements de lèvres aussi chaleureux même pour elle qui en avait vu passé d'autres. Le ballet qu'offraient leurs langues était si intense que la jeune fille fermait à son tours les yeux et passait ses mains dans le dos de Ryouka, la maintenant assez fortement contre elle et surtout, blottissant leur poitrine l'une sur l'autre. Chaques nouveaux mouvement de langues et de lèvres laissaient s'échappaient des gémissement à semi étouffés de nos cordes vocales et Leona devant tant sensations agrippait l'arrière de sa robe, de ses mains gantés. Sa lèvre inférieur était à son grand plaisir mordillait et elle en aurait surement fait autant si elle n'avait pas été devancé et surprise par le savoir faire de Ryouka. Il était parfaitement clair qu'elle était loin d'être à son coups d'essai.

Mh... mmhhh

Leona entrouvrait les yeux, retirant doucement sa tête vers l'arrière en capturant sa langue entre ses deux lèvres, la suçant sur tout le long en reculant. Un léger filet de salive s'écoulait sur le bout de celle-ci, s'écrasant sur la poitrine de la jeune femme. L'entrée en matière avait était plaisante et il n'en fallait pas plus pour la tester, Ryouka n'était pas de ces femmes farouches avec laquelle il était nécessaire de se retenir.  Le rythme cardiaque un peu plus élevé que la moyenne Leona palpitait déjà à l'idée de lui faire l'amour de longue heures durant, s'adonnant à toute sortes de jeux de domination pour satisfaire ses envies et celles de Ryouka, voir même aller jusqu'à la surprendre. Qui sait, elle n'avait quand même pas pu tout tester même si elle en était pas à son coups d'essais, et la belle Leona étant persuadé de cela lui préparerait un premier jeu comme elle en avait si bien l'habitude... Un petit jeu dont il serait étonnant que Ryouka en ai déjà fait les frais. Pour l'heure, cependant, elle installait sans hâte leurs scénario, saisissant et glissant hors du sac une sorte de petite laisse en cuir, ayant vite fait de terminer autour du coups de Ryouka. D'un coups sec sur la laisse, elle ramenait Ryouka contre ses lèvres et se doigtait discrètement sa propre intimité, déjà trempé par les pensés flous mettant en scène la suite des évènements. Simplement le temps que son intimité ne soit assez humide et goutte légèrement sur le sol, elle terminait le baiser en la regardant toujours du même regard piégeux, ce regard bleu océan qui n'avait que pour but de capturer Ryouka à l'intérieur et l'emprisonner à l'intérieur comme une grande toile d'araignée. Un nouveau coups sur la laisse, assez puissant pour l'obliger et lui faire comprendre qu'il fallait qu'elle ne se mette à quatre pâtes fut assener, amenant les douces lèvres de sa compagnonne contre le bas de sa cuissarde.

Voyons voir si tu sais faire autre chose de ta langue.

Le ton était donné et sa chaussure poussait contre ses lèvres comme un ordre qu'elle devait exécuter. L'intimité de Leona déjà travaillé continuait à gouter périodiquement, un filet longeant ses cuisses. Ryouka, qui devait embrasser les cuissardes de Leona en signe de soumission pourrait surement sentir une légère pluie de cyprine gouter sur son visage, exactement ce que la jeune dominatrice voulait comme excuse pour la punir, car rappelons le tout cela n'était qu'une mise en scène, après tout.

Regarde, à cause de toi je suis en train de tout salir, ce n'est pas bien Ryouka je vais devoir t'éduquer pour que tu arrête de m'exciter autant... qui va devoir nettoyer tout ça après ?

Un nouveau coups sur la laisse pour la relever et nous étions partie pour réellement commencer notre petite séance, allongeant progressivement la belle soumise dos sur le lit en empoignant un de ses seins, l'appuyant pour coucher son corps.

On va jouer à un jeu de domination un petit peu plus original, car tu n'es pas à ton coups d'essai selon moi, je me trompe ?

Un jeu de cordes solides mais pas trop épaisses, une cravache dont le bout était en cuir et quelques autres accessoires furent sorties du sac, de quoi imaginer brièvement la suite. Brièvement car elle était normalement loin de se douter de l'intensité de sa nouvelle punition. S'il s'agissait au premier coups d'oeuil d'une simple séance de bondage parmi tant d'autres il n'en était rien. Mais il fallait bien commencer par là, alors c'est avec la plus grande des sensualités et maitrise que Leona commençait à la ligoter comme il se devait, débutant par ses jambes qu'elle collait l'une contre l'autre, afin de passer un premier morceau de cordes sur ses talons. Un double noeud solide dont le frottement se fit entendre en le serrant débutait son entrave, sans toutefois couper sa circulation. Le bondage était un art qui devait être doser et les cordes ne devaient ni être trop serrés ni laisser trop de mou, une pratique sur laquelle Leona s'était entrainer lorsqu'elle était adolescente, en France, via des vidéos sur internet. Cet art, elle avait pu l'expérimenter et l'améliorer plus en profondeur au Japon, berceau de cette pratique ancestrale. Si elle avait certes encore des choses à apprendre elle était toutefois assez douée pour passer pour une confirmée.

quel belle tenue, je ne vais pas l'enlever tout de suite j'ai envie d'en profiter un peu


Une deuxième cordais passait autour de ses cuisses au niveau de la base de ses collant pour être sure qu'elle ne puisse pas décoller ses jambes et qu'elle ne reste bien ligotée. C'était pour le moment un bondage très rudimentaire puisqu'il était très provisoire, une sorte d'entrée en matière alors que ses bras subissait à leurs tours ce même traitement, collés contre ses hanches. La encore il fallut deux cordes pour être sures qu'elle ne puisse pas donner du mou à ses liens, un passant au niveau des avants bras et l'autre presque au niveau de ses épaules. Concernant la seconde Leona prenait quand même soin de l'enrouler entre ses seins, les pressant légèrement avec la corde pour les faire délicieusement ressortir à travers sa tenue moulante. Sa main, fouillait ensuite dans son sac pour en sortir un bâillon boule de couleur rouge, qui fut insérer avec facilité et tout autant de maitrise entre ses lèvres.

Ensuite... voyons voir... il y-a un tas de chose qu'ont pourrait faire de toi maintenant.

Un baiser à plaine lèvre fut volé alors même que le bâillon était en place et en capturait l'intensité, alors que ses mains gantées de leur latex passaient sur ses joues et à l'intérieur de sa courte chevelure blanche. Jusque là tout semblait normal avant qu'elle ne se décide à caresser le bout de son nez de l'index, en riant légèrement, le pinçant la seconde d'après sans même prévenir tout en malaxant de l'autre un de ses jolies seins. C'était un petit avant gout et elle ne restait pas bien longtemps la respiration bloquait, puisque les doigts de Leona libérait ses narines juste après en la fixant d'un air amusé. Maintenant qu'elle avait compris la nature des évènements, la jeune dominatrice sortait de son sac de quoi pincer son nez et le fixait de manière à garder ses narines étanches à toute entrées d'air, tout comme sa bouche totalement englobée par le bâillon boule. Ce petit jeu bien que risqué n'avait plus de secret pour Leona et que Ryouka s'en rassure, elle était là entre de bonne mains. Elle était capable d'interpréter chacun des signes possible pour pouvoir jouer dans les règles de l'art et en toute sécurité. De la couleur des joues, de ce que Ryouka pourrait faire passer dans le regards, ses mouvements ou ses gémissements, jusqu'aux mouvements des muscles de son bas ventre et de sa gorge lorsqu'elle rechercherait de l'air... Leona était capable d'interpréter tout ça pour savoir quand il était sage de s'arrêter et était ainsi capable de libérer la respiration seulement quelque petite seconde avant que Ryouka ne tombe dans les pommes.

Tu va voir ma chérie... lorsqu'on sent l'oxygène manquer à petit feu on ne jouit pas de la même façon. Quand tout commence à devenir lentement cotonneux et que l'adrénaline monte, c'est toute une autre intensité, crois moi.

Les gants de latex toujours en place sur les bras de Leona, ses doigts commençaient à caresser ses cuisses. Bientôt l'index roulait sur son clitoris et un autre doigt caresser le pourtour de son intimité. Le reste du corps était allongé contre elle avec les seins de Leona qui dominaient ceux de la belle soumise aux yeux rouges. Cette fois-ci, Ryouka n'aurait le droit de respirer qu'à l'ultime moment, ce qui était en réalité plutôt sage de la pousser ainsi dès le premier round, pour comprendre quels étaient ses limites et sa capacité à pouvoir tenir le choc quant à ce traitement au plus tôt. Puis, deux des doigts rentraient en elle pour y effectuer des vas et viens toujours un peu plus profond mais délicats. Elle voulait lui offrir un premier orgasme puissant et mémorable et s'attelait à la tâche du mieux qu'elle le pouvait comme on s'en douter en sentant l'entrejambe de la dominatrice de plus en plus humide, tâchant le bas de la robe moulante de Ryouka. Mais elle ne s'arrêtait pas simplement à ça, se jetant sur son cou qu'elle embrassait comme si sa vie en dépendait, dandinant son corps recouvert de latex contre le sien. Que penserait-elle de cette entrée en matière ?

Terra Hero Team

Légion

Re : Love Hotel [Leona]

Réponse 4 lundi 09 février 2015, 01:27:36

Le baiser avec Leona fut magnifique, témoignant de tout le talent des deux jeunes femmes. Aucune n’était une novice, et, plus Ryouka l’embrassait, et plus elle se fit à l’idée de cette femme d’affaires, sévère et stricte, qui défoulait sa frustration dans ce genre d’établissements. C’était sûrement totalement faux, mais Ryouka adorait cette idée. Elle ne connaissait rien, dans le fond, de cette Leona, et elle se plaisait à imaginer un scénario convenable, un scénario qui irait pour le mieux selon elle. Les deux femmes s’embrassaient généreusement, langoureusement, leurs langues jouant entre elles. L’Héroïne sentit la délicieuse surprise de Leona. Non, en effet, Ryouka n’était pas une novice. Le sexe était clairement l’un des éléments qui la définissait, et, elle n’avait pas honte de le dire, et aucune gêne à l’idée qu’on puisse la considérer comme une nymphomane... Car c’était ce qu’elle était. Ryouka ne cherchait pas à mentir à elle-même : elle admettait volontiers ce qu’elle était. Les Tekhanes étaient généralement des chaudasses, et la belle femme aux yeux rouges ne dérogerait pas à cette philosophie.

Après cet échange buccal, Ryouka avait un léger sourire, légèrement provocateur. Est-ce que cette petite humaine arriverait à la dominer ? Ryouka ne venait jamais en estimant que les rôles étaient figés, qu’elle serait forcément la soumise, et son amante forcément la dominatrice. Leona s’était instinctivement présentée ainsi, mais il fallait encore pouvoir l’assumer... Contre de petits lycéennes vierges, ce n’était pas difficile, mais, contre une perverse en chef... Leona allait devoir assurer ! Face à sa Maîtresse autoproclamée, Ryouka attendit donc, et elle la vit sortir un collier, le lui mettant hauteur du cou, avant de tirer dessus, à l’aide de la laisse reliée audit collier. Ryouka, qui était habituée, se laissa faire. C’était un simple collier. Là d’où elle venait, on lui mettait parfois des colliers avec des électrochocs, larguant des décharges électriques si elle s’éloignait trop de sa Maîtresse, ou si cette dernière appuyait sur le bouton de la télécommande. L’Héroïne se retrouva à nouveau à embrasser Leona, avant que cette dernière ne la force à s’agenouiller, la mettant face à ses cuissardes.

« Voyons voir si tu sais faire autre chose de ta langue, lâcha-t-elle.
 -  Vous n’allez pas être déçue, Maîtresse... » souffla Ryouka.

Sa langue partit à l’assaut des belles et longues bottes, qu’elle lécha activement, les embrassant, savourant le goût et l’odeur du latex. S’il y avait bien une texture qui, au mieux, magnifiait le sexe et la luxure, c’était bien le latex. Elle léchait goulûment, comme une petite chienne, serrant ses poings, tout en sentant, sur ses cheveux, quelques gouttes se mettre à tomber. C’était la mouille de Leona, ce qui fit sourire Ryouka. L’Héroïne s’activait, léchant ses bottes, frottant son nez et sa tête contre ses cuisses, léchant encore et encore, avec une avidité et une soif qui étaient particulièrement impressionnantes. Oh oui, elle aimait ça ! Ryouka et le sexe... Cette humaine était magnifique, et, pour l’heure, Ryouka ne voyait aucune raison de faire la rebelle. Le fétichisme était quelque chose qu’elle adorait... Faire l’amour en étant habillée était presque plus excitant que de le faire toute nue selon elle, tant elle adorait les uniformes et les combinaisons en latex... Sa robe en était le plus bel exemple.

Après quelques minutes de ce traitement, Maîtresse Leona tira sur la laisse, et Ryouka soupira, puis se retrouva ensuite couchée sur le lit, Maîtresse Leona appuyant pour cela sur l’un de ses seins, qui avaient déjà considérablement durci.

« Hunnn... ! »

Elle serra les poings, et Maîtresse Leona lui parla alors :

« On va jouer à un jeu de domination un petit peu plus original, car tu n'es pas à ton coup d'essai selon moi, je me trompe ? »

Un franc sourire éclaira les lèvres de Ryouka. Elle n’avait pas répondu à la précédente question de Leona, quand elle lui avait dit qu’il allait falloir nettoyer la pièce, car elle se doutait déjà de la réponse (et elle était occupée à lécher et à embrasser ce latex), mais, là, elle se permit de sourire, malicieusement, pour rétorquer :

« Maîtresse est très perspicace... »

Cette séance était effectivement très loin d’être son premier coup d’essai. Leona se déplaça ensuite, et ne tarda pas à aller chercher ce qui fit saliver Ryouka : les cordes. Leona entreprit ensuite de l’attacher, et confirma à Ryouka que, chez les Japonais, le bondage était un art sacré. Elle noua proprement ses jambes entre elles, avant de serrer, et Ryouka gémit, se mordillant les lèvres. Sans pouvoir se l’expliquer, le simple fait d’être ainsi immobilisée contribuait à l’exciter férocement. Délicatement, Leona entreprit de la ficeler, de la ligoter proprement, initialement au niveau des jambes, puis par la suite au niveau des bras, les collant à son corps. Ryouka finit en mode « tronc d’arbre », avec les cordes filant sur sa peau et sur son uniforme.

« Hum... »

L’Héroïne ne put guère en dire plus, car, ensuite, Leona lui mit sur la bouche un gag ball rouge. Elle l’attacha derrière sa nuque, et en profita pour l’embrasser... Un baiser un peu curieux, bizarre, car il y avait, entre elles, une balle rouge en plastique. Ryouka respirait alors par le nez, et Leona en profita pour le pincer. Sous l’effet de la surprise, la jeune captive écarquilla les yeux, se tortillant sur le lit, et couina quand l’autre main de Leone vint serrer son sein, le malaxant et le pétrissant généreusement. Ryouka soupira à nouveau, clignant des yeux à plusieurs reprises. L’air lui manquait, et elle se tortilla lentement, son corps frottant les cordes, provoquant de délicieuses sensations de plaisir... Mais tout son corps appelait un air qui refusait à venir, et elle cligna à nouveau des yeux, remuant la tête.

« HMMMMM-MMMMHMMMM !! »

Maîtresse Leona finit par retirer son doigt, et le nez de Ryouka inhala rapidement, aspirant un air frais et bienvenu.

« Tu vas voir ma chérie... lorsqu'on sent l'oxygène manquer à petit feu on ne jouit pas de la même façon. Quand tout commence à devenir lentement cotonneux et que l'adrénaline monte, c'est toute une autre intensité, crois moi. »

Ryouka cligna des yeux à nouveau, en guise de réponse. Pour l’heure, tout ce qu’elle sentait, c’était la peur, la panique, à l’idée de manquer d’oxygène... Ça, oui, c’était, en revanche, inédit. L’Héroïne soupirait faiblement, et sentit ensuite Leona opter pour quelque chose de plus simple, glissant ses doigts sous sa robe, atteignant directement son intimité. Malgré ses jambes serrées par les cordes, elle réussit à l’atteindre, et, en sentant ses doigts gantés de latex s’enfoncer dans sa moule, Ryouka gémit à nouveau, basculant en arrière.

L’art de la soumission, c’était ce plaisir qu’il y avait à devenir une chose, à se transformer en un simple objet sexuel, sans ambition, sans protection... Elle ne pouvait rien faire pour repousser cette femme, et elle se contentait de la subir, soupirant et gémissant, se tortillant lentement sur le lit. Leona s’abattit ensuite sur elle, embrassant son cou. Le latex se frotta au latex et aux cordes, et Ryouka, en gémissant, en continuant, en se tortillant, sentit le plaisir venir, éclatant sous le contact des doigts de Leona.

C’est ainsi qu’elle eut son premier orgasme de la soirée, expulsant des filaments de cyprine, en soupirant joyeusement.

« Hnnnnnnnnnnnnnnnnnn... !!! »

Ce n’est pas comme si elle pouvait dire quelque chose d’autre...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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