Rencontre entre étrangères [Pv Deviluke sisters]

Elle a la tête qui tourne, et se redresse lentement, prise de nausée à cause de l'odeur ignoble qui lui vient au nez avec son réveil. Il fait jour, mais elle est dans une rue sombre. K'leir et Ter'er sont à ses côtés, ce qui la rassure un peu, mais autrement elle a beaucoup de mal à reprendre ses esprits et à comprendre ce qui l'entoure. Cinq bonnes minutes passent avant qu'elle se rende compte qu'elle est allongée sur un tas de détritus, et elle se relève vite pour se libérer de ce matelas plus que gênant, comprenant ainsi qu'elle a aussi les jambes molles. Bon dieux qu'est-ce qui lui est arrivé hier ? D'un pas mal assurée, elle fais quelques mètres pour déboucher dans une rue et ... QUOI ? Mais ça ne ressemble pas à Tehkos, et encore moins au reste de Terra ! On dirait un ... Un étrange mélange de ces deux genres de ville, liés d'une étrange manière. Mais qu'est-ce qu'elle fait dans ce lieu bon sang ? Elle n'avait pas bu hier soir, ou que très peu, avec sa mère, et était rentrer tranquillement à son appartement alors pourquoi ?

- K'leir, Ter'er ... Dites moi ce qu'il s'est passé ?

- Euh tu veux vraiment le savoir ?

- Disons que tu t'es endormie sur ton véhicule et que tu as fini... dans un pan de mur ...

- Et il y a eu un grand flash ! nous nous sommes réveillés bien avant toi et t'as plus bouger d'ici... On en sais pas plus que toi du coup.

Dire qu'elle panique c'est pas faux, elle ne sais pas du tout où donner de la tête. Elle regarde tout autour d'elle, ayant vraiment peur, et la plupart des personnes la regardent avec un air étrange, surement à cause des armes qu'elle porte dans ses mains. Très vite elle voit des gens utiliser cette vieillerie qui s'appelle téléphone, et entends juste après, au loin, les sirène de police. Ni une ni deux elle fuit, à toutes jambes, ses capacités athlétique étant par chance largement supérieurs à quiconque, et elle change de rue plus vite que n'importe lequel de ses poursuivants. Car oui là elle en a. Au bord de la crise cardiaque, elle court en s'affolant un peu plus à chaque seconde, allant jusqu'à déraper et faire moins attention aux personnes présentent, en bousculant plus d'un du coup. Ses armes tentent bien de la calmée mais vu son état ils sont tout à fait incapable de la ramenée à un état normal. Elle cours comme une dératée, de rues en rues ne sachant même plus si il y a encore du monde derrière elle et débouche en trombe sur une grande rue, glissant parfaitement ce coup-ci en voulant tourner, et rentre dans le corps frêle d'une jeune fille aux cheveux courts, d'un rose pétant.

- ...ah ....ah ...ah ... À l'aide ... Aidez moi

Elle ne sais pas du tout sur qui elle est tombée, ni si elle s'est fait mal ou lui à fait du mal, mais comme si il s'agissait de son dernier espoir, la voilà qui s'accroche à ses vêtement comme si elle n'avait rien d'autre en cette rue pour survivre. Accrochée comme un fruit de mer à son rocher, elle ne bouge plus, essaye de tenir le coup, mais se met à pleurer en sentant que deux autres personnes accompagnent celle qu'elle vient de mettre à terre en lui fonçant dessus, et que ces deux personnes l'entoure. Va-t'elle se faire redressée et envoyer à la justice alors qu'elle n'as rien fait d'autre que porter ses deux papas ? Ses armes ? Où sont-elles d'ailleurs, elle ne les ressent plus dans ses mains ! Quand les a-t'elle lâchées, et où ? Bien sur elles sont à peine à deux mètre d'elle mais elle en les ressent plus, la panique faisant le reste. Et elle pleur, n'arrive plus à se contenir et enfouis son visage au creux de ce qui doit être le cou de l'infortunée passante.

- Aidez moi ... Je veux pas ... Je veux pas qu'ils m'attrapent !

Lala-san, est-ce qu'on peut sortir, aujourd'hui ?

-Evidemment, inutile de me poser la question

A peine que Lala aie fini sa phrase, Nana et Momo, ses deux petites soeurs franchissent le seuil de la porte et sortent après que Lala soit sortie. Elles ont toutes les trois l'air guillerettes et décide d'aller faire un petit tour histoire de se dégourdir un peu les jambes. A dire vrai, chacune avait au moins une idée en tête. Lala, la Princesse, voulait chercher un endroit où elle pourrait s'amuser avec pleins de jeux différents, une sorte de casino. Momo, elle, cherche plutôt quelqu'un qu'elle puisse taquiner, avec qui elle pourrait, au minimum passer une journée en amoureux et qui sait, probablement finir au lit avec cette personne. Et la petite Nana au caractère si froid et rebelle, ne cherche qu'a se dégourdir les jambes, tout simplement, c'est la seule qui n'a pas vraiment d'idée concrète en tête.

Au fait Lala-san. Tu pourrais nous acheter un téléphone ?

- Un téléphone ? Mais pourquoi faire ? Vous ne savez même pas vous en servir.

- Tu nous prends pour des imbéciles, ou quoi ? C'est pas un vulgaire appareil électronique qui va échapper à nos connaissances.

- Ne sous-estime pas les Terriens, Nana. Ils ne sont pas si attardés que ça, tu sais ?

- Non, mais notre technologie dépasse de très loin la leur.

- Ce n'est pas une raison pour la sous-estimer, Nana.

- Regardez ces gens, ils ont tous un téléphone. Ca ne doit pas être si difficile que ça à utiliser

- Tu as probablement raison, Lala-san.

Alors que les soeurs continuent de discuter tout en se baladant joyeusement, Nana et Momo aperçoivent quelqu'un qui court à toute vitesse vers elles. S'agit-il d'un ennemi venu d'une autre planète pour les attaquer ? C'est fort possible. Réagissant au quart de tour, Nana s'apprête à attaquer l'ennemi mais ce dernier est déjà arrivé devant elles. Enfin, devant elles, c'est peu dire, la mystérieuse personne s'est carrément réfugié sur Momo, sa tête dans son cou et le reste de son corps sur sa généreuse poitrine et ses jambes.

Bah, il n'a pas l'air si dangereux que ça. Qu'en penses-tu, Nana ?

- Je suis d'accord. Je dirais même qu'il a l'air attaché à toi, tu ne trouve pas ?

- Je trouve aussi

Lala décide de vérifier cela par elle-même.

Mais, regardez !! C'est une fille, kawaiii

Momo tente de l'interroger pour voir si elle est blessée ou non.

Est-ce que tu vas bien ?

- Aidez moi ... Je veux pas ... Je veux pas qu'ils m'attrapent !

- Ca, ça veut dire non.

- Qu'ils t'attrapent ? Mais qui ?

Voyant la belle jeune fille pleurer, Lala décide de l'emmener chez elle le temps qu'elle soit en meilleur état pour leur parler de ses problèmes.

On va l'emmener à la maison, elle sera plus à l'aise pour discuter, et nous aussi.

- Bonne idée, grande soeur.

Mais alors que Lala la porte sur son dos pour l'emmener chez elle, ses deux soeurs remarquent quelque chose.

Tiens, qu'est-ce que c'est que ça ?

- Hun ?

Elles vont voir ce que sont ces deux étranges objets sur le sol et les examinent minutieusement. Nana semble particulièrement intéressée par cet engin qui n'est autre qu'une tronçonneuse.

C'est cool, comme appareil. Comment ça marche ?

- Aucune idée. Je pense qu'il faut tirer sur ça pour que le mécanisme s'enclenche.

C'est alors qu'une petite voix robotique se fait entendre, celle du robot garde-robe de Lala.

Je pense que ces deux étranges machines appartiennent à cette jeune fille. Il serait judicieux de les lui rendre avant d'essayer de s'en servir.

- Tu as raison, Peke. Nana, Momo, prenez-les avec vous, vous lui rendrez une fois qu'on sera rentrées.

Les soeurs rebroussent chemin et arrivent rapidement chez elles au bout d'un peu moins de dix minutes. Une fois entrée, Lala dépose la belle jeune fille sur le canapé alors que les deux autres déposent les tronçonneuses sur la table, près du canapé. Cependant, l'une des machines semble être animée par quelque chose et montre une certaine attirance pour Momo, ne tardant pas à venir se frotter contre ses gros seins avant que Momo n'aie eu le temps de la poser.

Haan ~ Quelle drôle de machine, voilà qu'elle se met à me caresser les seins, maintenant.

Elle ne semble pas dérangée par ce traitement de faveur de la part de la tronçonneuse, elle trouve même ça plutôt agréable et ne se gêne pas pour le dire en léchant un doux gémissement rempli de malice. Elle attend un peu puis pose finalement cette drôle de machine qui titille fortement son attention.

Elle est si mignonne. Vous croyez qu'elle était poursuivie par des méchants ?

- Surement.

Quoiqu'il en soit, jeune fille, tu es en sécurité, ici .

Elle était incapable de prononcer le moindre mot, et ce n'était pas contre les jeunes femmes qui l'avait récupérée, non. Juste que sa gorge était serrée par les sanglots et la douleur qu'elle ressentait en étant obligée de fuir dans un monde dont elle ne connaissait absolument pas les coutumes et qui avait tout l'air pour elle d'une espèce de piège monter à son encontre pour pouvoir l'envoyer dans un lieu rempli d'homme qui n'en aurait qu'après sa virginale personne. Oui elle était à la fois intéressée par les hommes et effrayée de ce que pouvait faire ces êtres insupportables et brutaux, ces monstres qui avait tendance à oublier à partir de quel endroit provenait leurs pensées et qui se contentaient d'agir comme de gros primates au membre réduit. Accrochée à la jeune fille qu'elle ne lâcherait sous aucuns prétextes, elle se sentit déplacée et obligée de suivre le mouvement, encore sanglotante, ses doigts appuyant assez fortement dans le dos de Momo pour lui faire mal, sans qu'elle ne le veuille encore une fois. Emportée par les jeunes filles elle ne fait même plus attention à ces tronçonneuses de parents, mais peut-être a-t'elle entendue inconsciemment que ses sauveuses les ont récupérées.

Finalement on la passe à une autre jeune fille qui la prend sur son dos. Elle ne lutte pas, elle s'accroche juste, elle en a besoin et elle sent qu'elle ne serait pas capable de toutes manière d'en faire autrement. Ses jambes ne la tienne plus pour la bonne raison que la panique et la tristesse lui ont ôté toute capacité de contrôler ses membres, et si elle n'avait pas trouver ce jeunes femmes elle se serait surement effondrée au beau milieu de la route de manière faible et vulnérable. Transportée avec ces armes qui pèsent terriblement lourds, elle ne se rend pas compte de la distance parcourue ni du temps, occupée à pleurnicher à cause de la peur qu'elle a eut. Nana peut sentir à qu'elle point elle s'accroche à elle avec un espèce de désespoir muet, comme si il n'y avait qu'elle comme petite lumière pour la rassurée. En fait Belphy a comprit, aux voix, que les "lumières" sont au nombre de trois, voir quatre à cause de la voix robotisée, et qu'elle leur devra bien quelque chose en échange du grand service qu'elles sont en train de lui rendre. Elle se sent soudainement posée sur un canapé et relève un visage encore plein de larme vers l'intérieur d'une belle maison. En sécurité ...:

- Haan ~ Quelle drôle de machine, voilà qu'elle se met à me caresser les seins, maintenant.

Hein de quoi comment ça ? Cherchant autour d'elle, un peu plus consciente, elle remarque l'une des sauveuses en train de tenir contre son sein la lame de K'leir, légèrement vibrante comme à chaque fois qu'il apprécie un contact. En remarquant le tour de poitrine de la jeune demoiselle, la chasseuse de prime rougit, comprenant que l'affection de son arme s'en tient plus aux beaux attributs mammaires de cette demoiselle plutôt qu'à une capacité à utiliser la dite arme. C'est quand elle gémit que les larmes de Belphégor cessent de couler, ce petit mouvement de plaisir de la part de la demoiselle ramenant enfin la jeune fille à la réalité. Elle est en vie, dans un lieu où elle n'est plus en danger ni poursuivie, et ses armes ont retrouvées un comportement normal, même si elles ont commencer par porter un assaut à tendance sexuel sur ses sauveuses. Par chance, et avant que la maîtresse des tronçonneuses rappele K'leir à l'ordre, la demoisele en face d'elle retire la lame du contact de sa chair et la repose sur la table avec l'autre. Par chance Belphy est la seule à entendre le murmure de Ter'er :

- Chanceux ! Moi aussi je voulais les titiller mais ma porteuse ne m'as pas relevé assez haut pour que je me laisse tomber sur son sein.

- Elle est si mignonne. Vous croyez qu'elle était poursuivie par des méchants ?

- Surement.

- Quoiqu'il en soit, jeune fille, tu es en sécurité, ici .

- Je ... Je vous remercie, toutes les trois

Premier mot qu'elle adressait avec une voix éteinte, craintive. Elle s'étonna elle même de parler aussi bas, mais elle compris bien vite qu'entre les larmes et sa peur, ses cordes vocales avaient du prendre un sacré coup. Regardant tout à tour les jeunes demoiselles, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour comprendre que les trois étaient soeur, chacune ressemblant un peu plus à l'autre. Néanmoins les deux plus jeunes semblaient être des jumelles étant donner qu'elles étaient quasiment identique. D'ailleurs l'une des deux jumelles était celle qui avait su offrir un traitement si particulier à sa lame qu'elle était certaine qu'elle en aurait pour des mois à entendre de nouvelles railleries toutes trouvées sur son tour de poitrine. Elle se contenta de poser ses yeux sur les deux armes qui passaient leurs temps à sortir des perversités à voix basses, espérant qu'aucune des trois femmes ne l'entende, puis se retourna vers elles avec un tendre sourire et un air heureux. Elle essuya ses joues d'un revers de la main en respirant un bon coup et se remit à parler :

- Je m'appelle Belphégor, mais je suis plus habituée au diminutif Belphy. J'étais perdue et on s'est mis à me suivre, du coup j'ai eu bien peur. J'ai ... J'ai une dette envers vous, vraiment.

Belphy ? C'est trop chouuu.

Lala semble apprécier ce surnom, elle trouve que ça ressemble à un surnom de petite enfant et trouve ça vraiment trop mignon.

Ce n'est rien, voyons !! On t'a vu on train de courir à toute vitesse parce que tu étais poursuivie par quelqu'un alors on t'a aidé, tout le monde aurait fait pareil, non ?

Si seulement c'était vrai. Evidement les soeurs l'ont aidé mais, une autre personne n'aurait peutêtre pas voulu le faire. Elle aurait pu juste avoir envie de violer Belphy, qui sait. Mais passons, elle a été sauvée par les bonnes personnes, c'est l'essentiel. Et d'ailleurs, Momo décide d'aller lui offrir un doux bisou sur la joue et un très joli sourire, histoire de la rassurer.

Voilà, un petit cadeau, hihi.

Elle fait exprès de se pencher en avant pour mettre un peu en valeur sa poitrine généreuse sous les yeux de la petite Belphy.

Tu es en sécurité avec nous

Lala décide de jeter un oeil intéressé aux deux armes de la jeune femme, elle en prend une des deux par la simple force de son bras. C'est vrai, après tout, elle peut aisément soulever un homme plus lourd qu'elle à bout de bras, alors, une tronçonneuse ne va pas la faire flancher. Regardant minutieusement les moindres recoins de l'arme, elle la lâche subitement et la rattrape juste à temps alors que la lame se retrouve entre ses deux gros seins bien moelleux, vibrant comme un sextoy.

Il...Il vibre, hmm, c'est...C'est excitant

Elle émet des gémissement d'une voix à la fois douce et experte, jusqu'à ce que Nana lui arrache subitement des mains pour la reposer sur la table.


Etudie-les, au lieu de faire des bétises avec !!

Ainsi, Momo cherche par tout le moyens de savoir ce qu'est cette machine. Le fait que cette dernière puisse lui toucher la poitrine. Silencieusement, Momo va dans un pièce à part et étudie calmement les fameuses armes mystérieuses

Elles étaient bizarre mais pas particulièrement gênantes, Belphy n'arrivait juste pas réellement à comprendre pourquoi telle ou telle de ces demoiselles agissait comme elles le faisaient. La seule qui semblait agir en adulte et en rapport avec son âge était celle qui restait un peu plus en retrait, Nana si elle avait bien compris. Les deux autres se ressemblaient plus, et Belphy ne put s'empêchée de penser que si Nana et Momo étaient des jumelles en apparences, Lala et Momo devaient être des jumelles du point de vue du caractère. Regardant autour d'elle, elle sursauta quand elle sentit les lèvres de Momo sur sa joue et se tourna prestement vers elle. C'était une jolie demoiselle vraiment, et son sourire plein de générosité expliquait bien à quel point elle était agréable envers son invitée. Mais le complexe mammaire de Belphy remonta très vite quand elle vit l'opulente poitrine de cette jeune femme, qui semblait pourtant avoir le même âge qu'elle, et qui présentée à ses yeux lui donnait une vive envie de tourner cramoisie et babillante.

Voilà, un petit cadeau, hihi. ]Tu es en sécurité avec nous

-Je sais et vraiment je vous remercie .... Si vous avez besoin d'aide pour quoi que ce soit n'hésitez pas à me demander. Je vous suis redevable de beaucoup aujourd'hui.

Quand elle vit Lala prendre une de ses armes elle voulut l'en empêchée mais trop tard. Elle la manipula plutôt bien pour une humaine, plus que ce à quoi s'attendait Belphy, mais il n'empêche qu'elle perdit prise et l'arme tomba comme avec la majeur partie de ceux qui avaient osés la manipuler. Pourtant alors que Belphégor allait rappeler K'leir avant qu'il n’exécute Lala, elle vit la tronçonneuse n'avait rien prévu de telle, et qu'elle s'était plutôt logée entre les deux belles montagnes de chair que possédait la femme afin d'y vibrer comme un mauvais sex-toy de filme d'horreur. Alors donc même ses armes la trahissait en ce qu'il s'agissait de la passion des seins ? Même ses armes acceptaient d'être aux cotés de quelqu'un quand il s'agissait de se faire cajoler par une paires de lolos de la taille d'une balle de foot. Là, elle se sentait trahie et elle se préparait à récupérer ses deux armes quand elle vit Nana arrachée l'armes de l'emprise mammaire et al reposée sur la table avec un regard courroucé envers sa grande soeur si perverse. Parce qu'en plus elle avait pas dit non ! Décidément la chasseuse de prime ne savait pas où elle était tombée !

Etudie-les, au lieu de faire des bétises avec !!

-Je doute que mes armes soient à étudier mesdemoiselles, malgré tout ce que je vous dois, et puis elles sont insupportables et ont leurs propres consciences, imaginez que c'est comme si un homme vous tripotais les seins, je doute que ce soit une idée fantastique.

Elle tendit les mains devant elle et les deux armes décollèrent de la table pour rejoindre les mains de celle qui les choyait depuis maintenant plusieurs années. Les deux "pères" de Belphégor lui rendaient bien la pareille, mais c'est vrai que leur flagrante perversité, et leur railleries constantes n'étaient pas pour aider à la communication et à l'entente. Par contre une chose était claire, on ne rigolait pas de cela avec ses armes, et de voir une jeune femme se faire touchée par K'leir ou Ter'er, non sans déconner, ça lui faisait piquer une crise, sans qu'elle n'accepte de dire que c'était par jalousie. Écartant les bras pour bien montrer les deux tronçonneuses, elle les activa en même temps, les deux armes se déclenchant avec un fort bruit sourd, et en crépitant au beau milieu de la pièce. Pour éviter que des étincelles créent un quelconques soucis, elle les arrêta bien vite et les reposa vers le sol et regarda ses hôtes avec un petit souci. Elle avait fait cet exemple pour qu'elles comprennent la dangerosité des deux armes. Sans avoir vu que Momo n'avait pu voir ce spectacle.

-Voilà elles marchent ainsi, et je suis bien la seule à pouvoir les mettres en marche volontairement. Quiconque essayant de le faire à ma place aura vite la connaissance d'une lame qui la traverse de part en part. Je vous présente donc K'leir et Ter'er, ceux que je considère un peu comme mes "papas".

-Ouais, enchanté de faire votre connaissance mesdemoiselles. Je suis K'leir, arme létale appréciatrice de belle femmes et de courbes fournies. Merci de m'avoir prise tout contre toi jolie femme aux cheveux roses !

-Et moi c'est Ter'er, j'aime les beaux melons comme mon compère, par contre je dois avouer que j'avais aussi quelqu'un à remerciée, mais celle-ci semble s'être éclipsée.

-Tiens oui, où est-elle ?