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Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 15 vendredi 07 septembre 2012, 21:22:49

Lentement, la petite tori se laissa faire, et ses mains griffues s’avancèrent le long de son corps. Mélinda se coucha sur le flanc, juste à côté d’elle, l’observant avec un sourire sur les lèvres, et une lueur de désir dans les yeux. Le corps de Myriade était très beau, et aussi très jeune. C’était presque de la pédérastie, si on tenait compte de l’âge élevé de Mélinda. Elle n’était toutefois nullement gênée, car Myriade avait clairement eu ses premières floraisons. Il n’était donc plus nécessaire d’attendre inutilement. L’une des mains de la tori vint caresser l’un de ses seins, glissant autour de son téton durci, élargissant ainsi le sourire de sa propriétaire, tandis que son autre main filait vers son entre-jambes. Elle glissa un doigt sous sa culotte, et en prit de sa mouille, avant de silencieusement la contempler. Le temps sembla se suspendre le long des gouttes filant le long de son brave doigt, avant qu’elle n’aille le sucer. Ce n’était pas particulièrement bon, mais pas mauvais non plus, et aucune mimique de dégoût ne vint défigurer le beau visage de son esclave. Elle était tellement adorable ! Le cœur de Mélinda fondait littéralement devant cette sublime femme, cette délicate Terranide qu’elle avait envie de baiser sauvagement.

Il suffisait à Mélinda de fermer les yeux pour s’imaginer faire sortir son sexe masculin, et le planter dans ses fesses en l’imaginant remuer ses ailes. Ce frisson fut violent et la traversa rapidement, la faisant trembler. Elle secoua la tête, essayant de contrôler ses pulsions... Tâche difficile, car elle venait du boire du sang, et, pour elle, le bon sang était aphrodisiaque. Le sang était tellement bon ! Il lui était impossible de s’en lasser. C’était sa drogue personnelle. Elle regardait Myriade avec envie, et rapprocha son visage du sien, faisant lentement craquer le lit, lorsque la tori désigna l’intimité de la vampire, en posant faiblement une question :

« C'est... c'est pareil, ici ? »

La vampire fit la moue, sembla réfléchir, et répondit en embrassant Myriade sur le front, puis s’allongea à côté d’elle, et glissa une main sur sa jambe. L’autre se posa sur la nuque de la tori, et elle utilisa cette position pour remuer Myriade, l’envoyant ainsi s’allonger au-dessus d’elle. Un sourire vint éclairer le visage de la vampire, qui embrassa alors la femme sur les lèvres... Encore une fois, oui, mais Mélinda était du genre à aimer les baisers. Surtout sur une si belle et si sensible créature. Avec ses ongles pointus, elle en profitait pour caresser le haut de son dos, glissant jusqu’à ses ailes, les caressant également brièvement avant de remonter vers ses cheveux. Une tendre et délicate étreinte tandis que leurs lèvres continuèrent à jouer ensemble.

Après un petit moment, Mélinda retira ses lèvres de la bouche de Myriade, et lui fit un tendre sourire. Leurs nez respectifs se frôlaient et se caressaient délicieusement, et Mélinda se mit enfin à parler :

« Tu n’as qu’à vérifier par toi-même, mon ange... »

Elle glissa l’une de ses mains vers le bas du dos de Myriade, retournant s’occuper de son petit postérieur. Mélinda tira sur la culotte de la tori, avec un énième sourire, sur le coin des lèvres. Ce bout de tissu devait vraiment commencer à gêner la brave Myriade, mais la vampire n’allait pas encore l’ôter. A vrai dire, elle préférait que ce soit Myriade qui le fasse, car ce serait le plus beau geste symbolique qu’elle puisse lui faire. Sa culotte était désormais l’ultime barrière entre elle et sa maîtresse. Une barrière ténue, faible, mouillée, ressemblant plus à une passoire qu’à un mur d’enceinte, mais il était préférable, pour leurs relations, que ce soit Myriade qui s’offre à elle.

*De toute manière, quoi qu’il se passe, je finirais bien par le lui ôter...*

Mélinda continua alors à agir. Elle remua son épaule, et utilisa sa main pour la poser sur la nuque de Myriade, après s’être amusée à faire claquer sur ses fesses sa culotte. Pour cela, elle l’attrapait, et tirait dessus, avant de la relâcher, puis de recommencer. Après ceci, elle remonta donc sa main pour attraper la nuque de Myriade, et la fit lentement descendre, de manière à placer son visage près de son sein droit.

« Suçote, ma chérie... »

Et, pendant ce temps, son autre main attrapa l’une des mains de Myriade, à hauteur du poignet, afin de la conduire près de son intimité. Ceci fait, Mélinda glissa sa main droite sur l’une des fesses de Myriade, sous la culotte, et releva la gauche pour caresser avec douceur ses cheveux, glissant ses doigts dans les longues mèches de cheveux de la belle femme.

« Laisse-toi aller, mon amour... »

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Myriade

Terranide

Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 16 mardi 11 septembre 2012, 23:24:07

Sans qu'elle sache vraiment comment, la petite tori se retrouvait au-dessus de sa Maîtresse. Cette nouvelle position l'intimidait un peu : elle était peut-être supérieure dans cette position, mais très franchement, dominer ne la tentait pas trop. Elle savait à peine ce qu'elle faisait, ce qui lui arrivait... probablement qu'elle ferait n'importe quoi si Mélinda lui demandait de mener la danse ! Son cœur fut piqué d'une pointe d'angoisse et elle sentit la piqûre des crocs dans son cou faire un peu plus mal. Sa main vint caresser la blessure par réflexe, d'où il ne sortait plus rien. Il n'y avait plus que deux petits filets d'hémoglobine séché.

Sa main finit par se désintéresser de son cou pour aller toucher l'épaule de la vampire. De cet angle, Mélinda était encore plus visible, plus accessible, et elle n'en paraissait que plus belle et délicate. Elle pouvait bien être ce qu'elle voulait en réalité ; pour l'instant, Myriade ne voyait en elle qu'une sainte descendue du Ciel, puissante et protectrice, qui pouvait tout aussi bien encadrer le rôle d'une mère... et celui d'une amante, comme elle allait le remarquer plus tard. Même si elle sentait quand même que les baisers échangés jusqu'ici étaient beaucoup plus que fraternaux ou amicaux.

C'était nouveau, et pour une fois dans sa vie, Myriade ne craignait pas l'inconnu.

Elle avait juste peur de faire n'importe quoi, d'agir de telle sorte que ça déplaise à sa Maîtresse. Il fallait faire attention et mimer ses gestes, mais... il y avait des choses que la terranide voulait faire, mais n'osait pas justement parce que Mélinda ne l'avait pas encore fait.
Finalement, elle évita se se reperdre dans ses pensées et se contenta de suivre un instinct flou et subjectif. En posant lourdement sa main sur l'épaule frêle de Mélinda, par exemple. Les doigts qui glissèrent ensuite vers les deux monts blancs de la vampire, c'était toujours quelque chose d’irréfléchi.

Mélinda n'était pas la seule à apprécier les bisoux, Myriade les découvrait et les expérimentait de mieux en mieux. Elle adorait l'odeur et le goût que ça procurait, même si celui-ci ressemblait à présent à celui du sang, de son propre sang. Elle le sentait sucré et acide, une sensation nouvelle sur ses papilles, et exceptionnelle.
Les doigts de Mélinda qui touchaient ses ailes... ça aussi, c'était vraiment agréable. Ça ne faisait qu'augmenter les chatouillis, la chaleur, le mélange des deux qui se mixaient dans son bas-ventre et à travers ses tétons qui commençaient à lui faire mal. Mais elle avait vite trouvé le coup : quand ils faisaient mal, elle glissait ses doigts sur ses seins et les caressaient lentement, n'osant pas demander à sa propriétaire de le faire. Au final, elle abandonna ses doigts pour frotter timidement sa poitrine contre celle de la créature de la nuit, beaucoup plus développée et toujours aussi fraîche par rapport à la sienne.

« Hii.. »

Combiné aux caresses sur ses ailes, le frottement la fit bel et bien gazouiller de plaisir. C'était timide, mais c'était déjà ça.

« Tu n’as qu’à vérifier par toi-même, mon ange... »

Son regard embué descendit vers son bas-ventre... de nouveau. Et de nouveau, sa culotte qui barrait le passage.
La tori se mordit la lèvre, indécise, relevant les yeux vers Mélinda, comme pour lui demander quoi faire. Mais celle-ci était trop occupée à s'intéresser aux fesses de sa propriété.
Le claquement de l'élastique sur sa peau sensible lui faisait mal, laissait des traces rouges vives. Mélinda la taquinait carrément, voire la provoquait, et le simple fait de bouger le tissu rendait celui-ci encore plus désagréable. Et de toutes façons, la créature avait commencé à passer ses mains sous le tissu. La barrière n'en était plus une.

Pour tenter d'oublier cette désagréable sensation, la moinelle se lova contre son amante, alors que celle-ci l'attirait justement vers elle, puis vers plus bas, vers un de ses seins. L'ordre fut imminent, et la terranide qui avait les yeux levés vers le visage de la "Sainte" les baissa pour regarder la pointe rose et l'aréole. Ses lèvres se posèrent dessus, et tétèrent, plus ou moins fort. Sa main allait quelque part, une main étrangère se glissait dans ses cheveux, et la tori remonta son visage vers le cou de Mélinda pour aller s'y lover, dans la chaleur et le confort d'une peau infiniment douce.

Ça commençait vraiment à lui sembler qu'elle s'était faite dessus. C'était ignoble, et cette seule pensée suffit à faire abandonner la terranide, et par la même occasion à faire gagner la vampire : la culotte - non plus humide, mais carrément mouillée - passa par-dessus bord, pour être abandonné sur les draps, loin du couple. La tori s'était un peu éloignée et l'avait ôtée avec sa main libre, et dans l'instant d’après elle poussa, sans vraiment s'en rendre compte comme tant d'autres choses aujourd'hui, un gros soupir de soulagement.

Mélinda Warren

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Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 17 jeudi 13 septembre 2012, 13:57:21

La petite tori était définitivement très perturbée, et son état excitait encore plus Mélinda, qui se sentirait presque sur le point d’envisager de la remordre. Ce ne serait toutefois pas raisonnable ; le sang devait être pris de manière raisonnable. Trop de gourmandise tuait la gourmandise, et Mélinda se contenta donc de laisser Myriade se déplacer lentement. La tori était ravie de ce qu’elle vivait, comme si elle était dans une quelconque expérience onirique renversante. Ses grands yeux éblouis témoignaient de l’admiration qu’elle semblait vouée à sa nouvelle Maîtresse. Un véritable régal ! Mélinda se sentait extrêmement heureuse, et pas que parce qu’elle avait dans ses veines le sang de la moinelle. La vampire était après tout un être vivant, et, en tant que tel, elle appréciait qu’on l’aime. C’était normal et naturel. Myriade posa ses belles petites lèvres sur le sein de sa Maîtresse, se mettant à le suçoter avec plaisir. Ce devait être délicieux ! Mélinda eut un sourire, et continua à jouer avec les petites fesses de la moinelle, à la faire délicatement souffrir en tirant sur l’élastique de sa culotte, à la mettre dans une situation impossible où elle irait, d’elle-même, se débarrasser de ce morceau de tissu. Mélinda n’attendait que ça, et, tout en laissant une main sous sa culotte, à palper ces deux belles courbes, sa seconde main remonta le long de son dos, glissant sur sa colonne vertébrale, pour atteindre ses cheveux, qu’elle se mit à caresser, à frotter, griffant très légèrement sa nuque.

Mélinda eut finalement un léger soupir quand Myriade se retira un peu, afin d’ôter pour de bon sa culotte. La tori était excitée, fiévreuse, et maintenant nue comme un ver, nue comme au premier jour. Mélinda la regarda avec un frisson de désir renforcé. Diable, ce qu’elle était belle ! Une véritable ange de beauté et de merveille ! Myriade soupira alors, et Mélinda se redressa légèrement, retournant près de Myriade, et l’embrassa sur le ventre, juste sous les seins, penchant pour cela sa tête, avant de la relever, ses griffes caressant le corps délicat de la tori. Leurs visages se rapprochèrent, et Mélinda l’embrassa, une fois n’est pas coutume, sur les lèvres, avant de glisser sur son cou, et de remonter sur sa joue, sa langue se balançant sur sa peau douce et fine, chaude et délicate, si sensuelle, tellement sensuelle...

*Elle me fait craquer... Reste calme, Mélinda, reste calme !*

Elle essayait de se contrôler, de se calmer, et gémit dans l’oreille de Myriade, avant de retourner à l’assaut du corps de la petite, et de l’amener à s’allonger sur le dos, sa tête glissant presque hors du lit.

« Tu vas maintenant connaître le premier orgasme de ta vie, ma chérie… Laisse-toi faire, c’est tout ce que je te demande… »

Elle ponctua cette phrase d’un bécot sur le nez, puis glissa sa main le long du corps de la tori, jusqu’à son intimité, désormais mise à nu, sans la moindre plus petite forme de protection. La vampire se lécha les lèvres, et approcha son corps, déposant un bref baiser sur l’un des seins de Myriade, un autre sur son nombril, et s’arrêta devant son intimité. Elle veilla à aider Myriade à bien écarter les jambes, pour qu’elle puisse se glisser entre elles, et, lentement, Mélinda commença à s’allonger un peu sur le lit, afin de rapprocher son visage de l’intimité de Myriade. Elle continuait à mouiller, la petite, et le nez de la vampire caressa son bassin, cette zone sensible. Pour la faire encore plus patienter, Mélinda commença, non pas par s’attaquer directement au cœur du problème, mais par les périphéries. Ses lèvres et sa langue vinrent glisser sur l’aine de la tori, sur cette portion du corps à mi-chemin entre le bassin et les jambes, une zone assez sensible, et on ne peut plus délicieuse sur un corps si doux.

Oui, Myriade était de ces Terranides qui avaient de tendres peaux de bébés. Sa pilosité corporelle était extrêmement faible, et l’embrasser, peu importe la partie du corps, relevait d’un régal sans cesse renouvelé. Mélinda se faisait plaisir, et, commença alors à s’attaquer véritablement à l’intimité de sa petite et innocente proie. Elle lécha ses lèvres vaginales, se contentant simplement de glisser le bout de sa langue dans cette fente, cette curieuse petite grotte qui abritait bien des choses. Sa langue remua sur une zone sensible, liquide, et elle avala la cyprine Elle n’avait presque aucun goût, car celui du sang l’occultait, et elle commença ensuite à glisser un doigt en elle, sans vraiment le remuer, mais simplement pour que Myriade s’habitue à sa présence. Elle ne l’enfonça pas trop fort, ne voulant pas que la jeune tori perde tout de suite son hymen. Mélinda remua très lentement son doigt, et leva la tête vers Myriade :

« Est-ce que tu en veux plus, ma belle ? »

Comme elle ne faisait rien, ou presque, le corps de Myriade devait être en manque. Elle allait connaître ce phénomène horrible, insoutenable, qu’on appelait la frustration. Sa frustration ne durerait toutefois pas très longtemps, car la vampire se sentait maintenant suffisamment excitée pour faire sortir son membre masculin de son corps, et pouvoir ainsi véritablement la pénétrer. Son sexe sortirait tendu et durci, et elle fantasmait déjà rien qu’à l’idée de le plonger dans le corps de Myriade.

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Myriade

Terranide

Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 18 samedi 22 septembre 2012, 16:05:48

Ça n'avait bien sûr plus rien à voir avec le début de leurs ébats, maintenant. Myriade semblait avoir occulté totalement les récents évènements de sa folle journée, pour ne se concentrer que sur une chose : les sensations que lui procurait Mélinda, et les réactions que son corps en tirait. La moinelle avait l'impression d'être plongé dans les entrailles d'une énorme bête : elle transpirait et avait l'impression que sa peau était chauffé à blanc, comme après un gros effort de sa part. Paradoxalement, c'était la peau si fraîche de la vampire qui la rafraichissait mais qui en même temps faisait augmenter la température. La terranide s'étirait sans aucune autre pudeur sur les draps, prenant un maximum de place, alors que sa petite poitrine se soulevait au rythme de sa respiration saccadée et rapide.
Elle ne comprenait pas tout, mais elle comprenait au moins qu'il viendrait un moment où l'explication serait claire, limpide comme l'eau d'un ruisseau, et que pour l'instant, il était donc inutile de se prendre la tête. Le malaise qu'elle avait pu ressentir au tout début des préliminaires s'était envolé pour laisser place à une sensation de légèreté extrême, le summum du bien-être.

On ne la battait pas, on ne l'humiliait pas, et c'était suffisant pour que Myriade se sente protégé et aimé par sa nouvelle propriétaire. Et dans ce petit monde plein d'amour et de douceur, le mot "orgasme" lui était inconnu, mais il avait une consonance paradisiaque.

La tête de Mélinda entre ses cuisses, la tori se laissa donc faire, comme on lui avait si gentiment proposé. Cette langue rose et longue qui venait parcourir la peau de son bassin la fit gémir un tout petit peu, ses grands yeux fixés sur le front de la créature qui s'apprêtait à lui donner du plaisir. Les reliefs de son visage se frottaient contre les parties sensibles de l'esclave qui se surprit à savoir ce qu'elle voulait pour la première fois depuis le début : que Mélinda glisse sa langue, ou ses doigts, ou n'importe quoi d'autre, dans son vagin. Myriade se sentait stupide à penser cela, mais là, tout en bas, elle se sentait étrangement vide... il fallait remplir cette zone.

Son vœu fut presque immédiatement exaucé quand une langue se glissa entre ses lèvres vaginales. Le muscle alla aussi loin que possible, arrachant un nouveau gazouillis de la part de la tori, qui avait fermé les yeux un peu avant mais qui les rouvrit pour mieux voir ce qui se passait. Elle se sentait extrêmement curieuse, à présent, en voyant Mélinda se délecter de son nectar intime. Enlever sa culotte était sûrement une meilleure idée que ce que l'adolescente pensait.
Vint le tour du doigt, et la réaction ne tarda pas : les petites mains de la tori s'agrippèrent aux couvertures, tellement fort que ses jointures devinrent blanches. Un gémissement rauque monta hors de sa gorge, et encore un autre, alors que ses parois se resserraient délicatement autour de l'index de Mélinda. Le mouvement de celui-ci était lent, un peu trop lent, et la moinelle s'appliqua à le rendre plus rapide en bougeant discrètement son bassin pour s'empaler dessus. Elle ne voulait pas que Mélinda le remarque, ayant peur que celle-ci se fâche.

La sortie de l'index fit s'arrêter le processus, et fit couiner Myriade, de frustration, effectivement. Quand la vampire lui demanda si elle en voulait plus, la tori ne prit même pas le temps de penser à une réponse construite.

« Je... re-remettez-le... hi... s'il vous p-plaît... »

Son bassin continuait à bouger le plus doucement possible, se frottant péniblement aux parties de couvertures en dessous de lui, trempées depuis un moment. Ses yeux osaient regarder la vampire à présent, et il ne fallait pas être devin pour discerner la lueur de désir dans les iris de la moinelle.

Mélinda Warren

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Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 19 samedi 22 septembre 2012, 17:03:57

« Je... re-remettez-le... hi... s'il vous p-plaît... »

Cette demande, si sincère, fit pouffer Mélinda, qui ne remit toutefois pas son doigt. La moinelle se tortillait sur le lit, ses yeux transpirant d’une demande muette, d’un indicible supplice qu’elle était en train de subir. La cruelle Maîtresse était en train de la faire souffrir de frustration, et Mélinda en était amusée. Elle avait remporté son pari, elle avait initié Myriade aux voies du sexe, avait corrompu l’innocence et la naïveté... Si toutefois il était juste de parler de corruption, car, pour Mélinda, la voie de la luxure était une voie délicieuse, une voie de bonheur et de délices. Il n’y avait que les religieux, masochistes par excellence, pour s’y opposer, mais, pour une vampire, la luxure était quelque chose de magnifique... Mélinda se redressa donc, replaçant son visage à hauteur de la moinelle, et caressa ses lèvres du bout des doigts.

« C’est dur, hum ? Ça te démange à l’intérieur, non ? Je vais te soulager, Myriade, ne t’inquiète pas, mais j’ai encore besoin que tu m’écoutes, ma belle... »

Dans son rôle de maîtresse, Mélinda devait convenablement veiller à clairement exposer ce qui allait se poser, car c’était crucial. Myriade se tortillait sur place, retenant ses gémissements... Elle était tellement adorable ainsi ! La vampire rêvait de la prendre dans ses bras, de la caresser, et de lui faire l’amour pendant toute la journée ! Comment dire « Non » à une telle créature ? L’adolescente souffrait, et Mélinda, fermant les yeux, fit un peu la grimace, en faisant sortir son sexe masculin. Depuis son intimité, les modifications génético-magiques qu’on avait fait sur son corps agirent, et une verge jaillit, avec les testicules, sortant de son vagin. En temps normal, c‘était affreusement douloureux, mais, avec la mouille de Mélinda, et l’habitude, l’expérience lui faisait de moins en moins mal. Ses lèvres vaginales avaient presque été écartelées avant de lentement se refermer. Sa queue frotta contre le bassin de Myriade, glissant près de son trou intime.

« Je vais te pénétrer avec ça, mon ange... Mais, comme c’est ta première fois, mon sexe va briser quelque chose dans ta petite antre... Ce sera légèrement douloureux, mais ça ira mieux ensuite. »

Son sang coulerait, et Mélinda salivait à l’idée de le goûter ensuite. Quand Myriade aurait joui, Mélinda se retirerait pour lécher ses cuisses, ses jambes, avalant le sang de son hymen, sang qui, mélangé à une cyprine abondante, était tout simplement un véritable régal. Mélinda avait terminé de parler, et se positionna un peu mieux au-dessus du corps de la tori, s’agrippant à un oreiller avec une main, et utilisant l’autre pour guider son membre. Elle pressa le bout de sa verge contre son intimité, commençant à le glisser dans la fente de Myriade, puis, après un petit temps mort, entama ses coups de reins. Elle poussa un long soupir, savourant cette antre étroite, savourant l’idée de faire l’amour avec une vierge... L’hymen se brisa assez rapidement, car elle sentit un liquide poisseux couler le long de son sexe, ce qui l’incita à durcir le rythme. Elle s’agrippa à l’oreiller, ses griffes le déchirant à moitié, et elle leva son bassin, puis l’abaissa, son corps s’aplatissant au niveau du bassin sur celui de la moinelle.

« Haaa... »

Soupirant, Mélinda recommença, suivant un rythme en trois temps. Relever. Glisser. Respirer. Puis recommencer. Ce n’était, en soi, pas très compliqué à comprendre, mais il fallait tenir la cadence. L’amplitude s’accroissait progressivement, les craquements réitérés du lit illustrant cela. Une autre des mains de Mélinda alla pincer l’un des seins de la tori, Mélinda se régalant de ses cris, et elle l’embrassa, avant de lâcher quelques instructions supplémentaires, son corps chaud se blottissant sur celui de la délicate moinelle.

« Ne retiens pas tes cris, mon amour, et... Griffe-moi. »

Elle avait vu les ongles pointus de la moinelle déchirer les draps, et elle voulait les sentir sur son dos, sentir la douleur et le plaisir, les deux facettes de la même pièce. Mélinda était une vampire, la douleur ne lui faisait pas peur... Et elle devait admettre qu’elle trouvait cela légèrement excitant de sentir des griffes sur son dos au moment de faire l’amour... C’était comme un genre de fantasme. Mélinda était en ce moment très excitée, mais n’y allait pas non plus comme une espèce de brute sauvage. Elle pénétrait assez lentement Myriade, afin de lui laisser le temps de s’habituer à ce gros membre, accroissant doucement le rythme, adaptant son allure aux réactions de sa partenaire.

DC d’Alice Korvander.

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Myriade

Terranide

Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 20 dimanche 04 novembre 2012, 00:35:05

Posée sur un lit trente fois trop grand pour elle, Myriade avait l'impression de se noyer, et que Mélinda était la seule chose possible qui lui permettait de sortir la tête de l'eau. Ses mains tremblaient contre le drap de la couche, ses battements de cœurs irréguliers transformait l'organe dans sa poitrine en une sorte d'animal affolé, un petit oiseau qui chercherait à tout prix à sortir de sa cage thoracique. Il changeait sa respiration en petits halètements moites, alors que la moinelle s'efforçait d'écouter les explications de sa maîtresse. Celle-ci parlait de douleur, un sujet qui aurait inquiété Myriade en temps normal, comme il aurait inquiété beaucoup de monde. Personne ne supportait longuement la douleur. Mais personne non plus ne pouvait résister à cette frustration, cet horrible picotement intense qui transformait l'entre-jambe de la terranide en une petite fontaine accueillante, prête.

Du coup, la tori écouta à peine, trop occupée à glisser discrètement une main vers son pubis et à venir caresser cette partie bien précise, un geste qui apaisait trop peu cette étouffante chaleur dans son bas-ventre. Elle n'osait pas glisser quoique ce soit dans son antre de peur de déplaire, et sans doute avait-elle raison. Elle se contenta de regarder longuement Mélinda, ses yeux effectuant de nombreuses descentes et remontées, alternant visage poupin et corps sublime. Au bout de quelques secondes de cet exercice, Myriade ne put retenir un gémissement plus puissant que les autres, en écartant de plus belle ses cuisses.

Elle avait besoin que sa Maîtresse fasse quelque chose, n'importe quoi, pour calmer tout ça... sinon, elle sentait bien que sa raison allait couler accompagnée de la cyprine entre ses cuisses. Heureusement, la Maîtressse finit par agir, sans que Myriade comprenne bien pourquoi puisqu'elle n'avait pas tout suivie les yeux fermés, ceux-ci s'ouvrirent quand elle sentit quelque chose de long et dur taper doucement contre son intimité. En ouvrant les yeux, l'image de quelque chose d'inconnu surgit : Mélinda avait à la place de sa vulve une nouveauté qui intrigua beaucoup la tori. Mais elle eut à peine le temps de la voir que déjà la "chose" disparaissait peu à peu, en s'insinuant dans... son corps.

La réaction fut banale, et immédiate.

« Aa-a-a-aaah !!! »

L'adolescente bascula sa tête en arrière, contre les draps, en serrant ceux-ci si fort que les jointures de ses mains devinrent blanches en peu de temps. Il n'y avait pas de comparatif à cette douleur nouvelle et vive, et tout d'un coup Myriade avait tout sauf envie que l'on glisse quoique ce soit... là-dedans. Au fur et à mesure des coups de reins, la comparaison lui vint : elle avait l'impression que l'on frottait on objet coupant contre sa caverne intime... Le procédé ne lui sembla donc, pour le coup, pas si naturel que ça.
Les yeux embués, elle jeta un coup d’œil à Mélinda et ne comprit pas. Sa propriétaire semblait se régaler de lui provoquer ce mal... elle n'était donc pas si généreuse que ça ? Elle l'avait traitée avec bonté depuis le début de la journée, et d'un coup elle provoquait quelque chose qui lui faisait mal...

Tandis que les hanches de la terranide tentaient d'expulser ce corps étranger en reculant faiblement, Myriade se dit que c'était peut-être pour son propre bien. Il lui semblait impensable que quelqu'un qui se comportait de cette façon avec elle lui veuille le moindre mal. Si ça avait été le cas, Mélinda ne se serait pas retenu : elle aurait frappé tout de suite. L'esprit simplet de la moinelle ne lui permettait pas d'envisager que certaines personnes attiraient avec la douceur pour mieux refermer leurs pièges ensuite.

En tout cas, la douleur s'écarta après quelques minutes de va-et-vient experts de la part de la vampire. Pas complètement occultée, la sensation semblait cependant s'écarter grâce au fait que Myriade mouillait beaucoup, et ce depuis le début. La chaleur reprit le dessus, mais elle était maintenant accompagnée d'une agréable sensation, qui envoyait de doux spasmes dans le petit corps qui subissait la pénétration.
Le fait que Mélinda attrape un de ses seins ne calma pas cette fameuse impression, et Myriade fit de son mieux pour accorder le rythme de son bassin avec celui de sa Maîtresse. Ses jambes grimpèrent sur la taille de la vampire et l'enserrèrent pour mieux la rapprocher. L'ordre de la griffer était presque inutile : les mains de la jeune femme avaient glissées d'elle-même sur le cou et le dos de la créature de la nuit et serraient la peau blanche comme une bouée. L'étreinte était tellement serrée que le sang avait commencé à perler dans le dos de Mélinda depuis quelques secondes. Quand l'épiderme glissait sous les doigts, les griffes rattrapaient le coup en tailladant la peau sur quelques centimètres.

« Ha... Maîtresse... »

La moinelle voulait au départ faire une requête, mais les mots ne voulaient pas sortir. Dans le feu de l'action, elle se montra audacieuse et se redressa, faisant cesser quelques instants les coups de reins. Doucement, sans vouloir se faire remarquer (ce qui ne fonctionnait pas très bien pour le coup), elle poussa de sa petite main sur le torse de Mélinda pour la faire s'allonger et une fois que ce fut fait, s'assit sur son ventre, son poids plume ne suffisant pas à provoquer un inconfort. Ce fut à ce moment-là seulement que la terranide remarqua le sang qui coulait de son bas-ventre. Du sang qui s'était répandu sur le drap, et un peu sur le ventre de Mélinda. Ses gestes se stoppèrent alors, et de la crainte apparut dans ses yeux.

« Ha, je... oh non, je m'excuse, j'ai- j'ai pas fait exprès... » bafouilla-elle.

Trop peu informée pour savoir que du sang perlait après ce genre d'actes. Elle se demanda même si ce n'était pas de l'hémoglobine de Mélinda, raison pour laquelle elle s'excusa.

Mélinda Warren

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Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 21 dimanche 04 novembre 2012, 10:57:53

« Ha... Maîtresse... »

Voilà qui résumait tout ! Mélinda la prenait lentement, tendrement, sans trop forcer, sans être trop écrasante, trop pressante, trop rapide. Elle savait que, pour la tori, c’était sa première fois, et Mélinda, en maîtresse soucieuse et préoccupée du bien-être de ses petites protégées, ne voulait pas que cette première fois soit pour Myriade un évènement douloureux, quelque chose dont elle se rappellerait avec honte et souffrance... Elle ne voulait pas que Myriade subisse ce qu’elle-même avait subi. Les premières expériences sexuelles de Mélinda avaient été totalement forcées, sans la moindre expérience de plaisir. Qu’elle soit aujourd’hui devenue une dévergondée adorant le sexe tenait réellement du miracle. Non, elle ne voulait définitivement pas que Myriade ait une mauvaise expérience, et c’est pour cela que la vampire prenait son temps.

Son sexe s’enfonçait en elle, et elle remuait lentement son bassin, donnant des coups de reins pas trop forts. Elle savait que Myriade était pleinement conquise. Son sang s’affolait dans son corps, donnant à Mélinda encore envie de mordre dans sa petite nuque... Néanmoins, ce ne serait pas raisonnable, car elle avait déjà bu de son sang, et elle ne tenait pas à l’épuiser encore plus. Fermant les yeux, la vampire embrassait la belle peau chaude de la moinelle, continuant tendrement à la pénétrer, à écarter ses cuisses. Myriade se blottissait contre elle, et Mélinda gémissait et soupirait en sentant les longs ongles délicats de la tori lui malmener le dos, entaillant sa peau, faisant couler quelques lignes écarlates le long de son corps. Le snag n’était pas un élément qui faisait fuir les vampires, loin de là.

L’une des mains de Mélinda caressait les cheveux de Myriade, se faufilant dans sa belle chevelure, et elle sentit alors la petite moinelle pousser avec ses mains, les posant sur son torse. Bien sûr, Mélinda aurait pu refuser, et continuer ainsi à faire l’amour avec la moinelle, mais elle préféra laisser cette dernière faire preuve d’initiative, et se laissa pousser. La Maîtresse se retrouva ainsi sur le dos, et la moinelle se mit à califourchon sur son ventre, le sexe de Mélinda ressortant à l’air libre, tendu et dur, frustrant Mélinda, qui se mit à soupirer. Des gouttes de sueur glissaient le long de son front, descendant sur ses joues, et elle tendit ses mains pour caresser les délicates hanches de la belle moinelle, légèrement impatiente.

« Ha, je... oh non, je m'excuse, j'ai- j'ai pas fait exprès... » lâcha-t-elle alors, surprenant Mélinda.

De quoi diable parlait-elle donc ? Retenant sa frustration, et son envie de sauvagement la prendre, elle s’intéressa à Myriade, et vit que cette dernière semblait regarder... Son sang. Ce dernier s’était échappé de son intimité, dans la mesure où Mélinda avait brisé son hymen. C’était probablement ça qui choquait la tori. Un sourire traversa alors les lèvres de Mélinda, qui se força à devoir patienter un peu, et glissa sa main pour caresser le bas de son ventre, prenant un peu de son sang. Elle releva sa main, contemplant ses doigts tachetés de sang, et les fourra dans sa bouche, suçant son sang, puis tendit sa main, et pressa l’un des seins de Myriade.

« As-tu oublié qui était ta Maîtresse, petite moinelle ? Le sang ne fera jamais fuir une vampire... »

C’était une évidence, mais, vu que Myriade semblait avoir des doutes là-dessus, le lui rappeler ne faisait pas de mal. Le sexe de Mélinda continuait à tressauter, et elle lâcha le sein de Myriade, puis s’appuya sur ses avant-bras, se tortillant un peu.

« Quoiqu’il en soit, je ne compte pas te lâcher avant d’avoir joui en toi, ma belle... Si tu veux mener la danse, ça ne me dérange pas... Mais si tu veux que je recommence à te pénétrer, n’hésite pas à me le dire... Si tu veux être sur moi, alors... Utilise tes mains pour guider mon sexe dans tonsexe, mais, par pitié... Dépêche-toi ! »

Dans cet état, Mélinda souffrait de plus en plus, et ses griffes avaient du mal à ne pas être rétractées. Elle griffait les draps en gémissant, signe de son impatience sexuelle, croissante.

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Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 22 samedi 10 novembre 2012, 22:12:33

Cette-fois ci, la rougeur sur ses joues ne signifiait pas seulement de l'excitation : c'était aussi la conséquence de la honte. Quelle idiote elle faisait, à carrément oublier ce qui amenait les préférences de sa maîtresse ! C'était une vampire, alors évidemment... un peu de sang n'allait pas la faire s'évanouir, qu'il soit le sien ou celui d'un autre.

« Ah, oui... pardon... » murmura la moinelle, les yeux dans le vide.

Elle essaya même de s'incliner pour présenter ses excuses, mais dans cette position, ça se révélait un peu compliqué. Son bout de nez toucha le téton de Mélinda, et elle en profita pour y administrer un suçotement, et un baiser discret. Ça pourrait peut-être faire office d'excuse plus efficacement.
Là-dessus, Myriade se redressa et se reconcentra sur le sexe dressé de la vampire. Elle souleva ses reins, et avec beaucoup d'attention et de délicatesse, s'empala sur le pénis gonflé de désir, jusqu'à la garde, en gémissant doucement.

A sa grande surprise, ça faisait beaucoup moins mal que tout à l'heure. Sans le savoir, Myriade avait en effet choisi la position la plus adéquate pour contrôler la pénétration de son côté et pouvait ainsi commencer les va-et-viens à sa guise, ce qu'elle ne tarda pas à faire. Ses petites mains stabilisèrent ses mouvements, et ses griffes griffaient à présent la poitrine, la cage thoracique et le ventre de Mélinda suivant là où elle s'enfonçaient. Ça laissait de longues marques rouges qui, au fur et à mesure que les griffes repassaient dessus, se transformèrent en coupures. La peau de Mélinda était si pâle que de ses blessures semblaient couler de la lave, bouillante et brillante.

Son sexe disparaissait de plus en plus facilement dans l'antre de la tori, et celle-ci commençait à sentir que le gland tapait un endroit bien particulier. Ça ne lui évoquait rien de précis... sauf peut-être une flamme que l'on allume. Lorsque l'allumette ne veut pas craquer correctement, que la flamme ne dure qu'un quart de seconde. C'est la seule métaphore qui lui passa à l'esprit, mais en même temps, avec la tête renversé dans son dos, ne laissant ainsi voir à Mélinda plus bas que son cou et les belles marques de canines qui avaient arrêtées de saigner, elle se concentrait surtout sur le rythme à prendre.

Le rythme s’accélérait, pour ralentir, pour revenir à une vitesse plus rapide, pour de nouveau baisser. Comme des montagnes russes, Myriade "taquinait" sans le savoir la vampire qui devait tout de même bien s'amuser. La tori finit par ramener la tête en avant, pour regarder sa Maîtresse. Elle haletait, ses ailes tremblotaient dans son dos, mais son regard restait concentré.

« Ha- ha, je... ça va, je fais ça... bien ? » bafouilla-elle, sans s'arrêter.

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Re : Libre... comme l'eau dans un verre. [Mélinda Warren]

Réponse 23 dimanche 11 novembre 2012, 21:47:25

La tori avait choisi de se mettre au-dessus. C’était assez inhabituel pour Mélinda, qui avait plutôt l’habitude, avec ses filles, de rythmer cette danse. Pour autant, ce n’était pas comme si cette position particulière la dérangeait. Il fallait bien se renouveler et varier les positions, après tout. De plus, si cette situation était bénéfique pour Myriade, alors elle n’avait aucune raison de s’imposer. Elle se contenta de sourire en voyant la manière dont Myriade réalisait son erreur. Elle en alla jusqu’à se pencher, et baisa l’un des seins de sa Maîtresse, qui la laissa faire

« Ah, oui... pardon... minauda-t-elle de sa petite voix.
 -  Ne t’en fais pas », répliqua rapidement Mélinda.

Myriade s’intéressa ensuite au sexe tendu de sa Maîtresse. La brave vampire était de plus en plus impatiente. Ce sexe devenait assez douloureux, pompant sur son corps, aspirant son sang. Il avait besoin de se perdre dans quelque chose, qu’on le caresse et qu’on s’occupe de lui. La moinelle le réalisa, et s’empala assez rapidement sur la vampire, qui poussa un gémissement de plaisir, en remuant sur le lit. Le petit corps de la tori se contorsionnait au-dessus du sien, et son membre s’enfonçait plutôt bien. La position de Myriade présentait l’avantage qu’elle pouvait rythmer la danse à sa convenance. Mélinda, de son côté, ne pouvait que subir, mais elle ne comptait pas pour autant rester inactive. Sesmains caressaient tendrement les hanches de sa belle partenaire, sa délicate et mignonne Terranide, tandis que cette dernière promena ses longues griffes sur son corps, la faisant frissonner.

Réalisant ses erreurs, Myriade n’hésitait désormais pas à la griffer, et Mélinda frémissait. Elle avait de longues griffes violettes et pointues, et, peu à peu, le corps pâle et beau de la vampire se décora de zébrures rouges. C’était douloureux, certes, mais aussi incroyablement excitant. Mélinda était en sueur, et ses mains moites serraient le corps de Myriade, qui était dans une espèce de transe. Sa tête basculée en arrière, elle remuait le long du sexe de la vampire. Un spectacle assez fascinant. La vampire soupirait, haletant, avant de parfois tendre l’une de ses mains sur ses blessures pour lécher son propre sang. Ce n’était pas grand-chose, mais elle trouvait toujours, dans un excès d’amour-propre, que son sang avait bon goût. En même temps, elle était une vampire qui prenait grand soin de son corps. Il était donc normal qu’elle ait un sang plutôt juteux.

Le lit craquait tendrement sous les mouvements de Myriade. Être dessous offrait bien des avantages, notamment la possibilité d’avoir une très belle vue. La petite moinelle était vraiment très belle ainsi, avec ses seins qui bondissaient, et ses ailes qui remuaient lentement. Elle était excitée, fébrile, et ça faisait naturellement plaisir à voir. Souriant, Mélinda avança ses mains pour titiller les seins de Myriade, les pressant vigoureusement, les serrant entre ses doigts, les pouces glissant sur les tétons. Myriade ramena alors sa tête, et posa à sa Maîtresse une petite question.

« Ha- ha, je... ça va, je fais ça... bien ? »

Un sourire parvint à étirer délicatement les lèvres de la vampire, qui lui répondit en remontant une main pour caresser la joue de Myriade. Dans la mesure où la tori n’était pas très grande, ce geste était possible.

« Tu t’en sors à merveille, ma belle... souffla ensuite la vampire. Ne te pose pas ce genre de questions, et laisse-toi aller... Tant que tu aimes sentir ma... Mon sexe en toi, c’est l’essentiel... »

Mélinda parlait sur un ton assez essoufflé. Elle était très excitée, et son sexe était de plus en plus dur, de plus en plus tendu. Dans cet antre chaude et humide, il était dans le meilleur endroit possible, et elle caressa à nouveau le tendre corps de la tori. Sous ce train-là, la vampire ne tarderait pas à jouir, et elle sentait déjà que son orgasme serait intense. Elle le sentait grossir, enfler, se rapprocher, comme une espèce de vague dont les remous se percevaient. Ce serait violent, oui, et elle emporterait tout sur son passage. Dansce genre de moment, l’esprit devenait fiévreux, se mettant à délirer, et les dents de Mélinda ressortaient sous l’effet du désir. Ses belles canines pointues perlaient à la lueur dansante des bougies et des rayons de soleil qui éclairaient la petite chambre.

« Vas-y, vas-y, continue ! » s’exclama-t-elle.

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