Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Fuite..[PV]

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Fuite..[PV]

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Vitaly

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Fuite..[PV]

samedi 04 octobre 2008, 17:27:25

*Merde ! Fuis !!! Ils sont fous ces gens !*

Dans sa course effréné, on entendait des gens crier contre l'homme, l'avatar plutôt, Vitaly, comme a l'accoutume se fit remarquer, toujours sur Terra, décidément il était encore loin de la terre... Il avait ose traite une femme célèbre d'un village idiot comme une esclave, il avait oublie que toute ne l'était pas dans ces terres... l'enfer lui manquait déjà ! Le pouvoir est tellement dur a oublier, c'est aussi une habitude tellement dure a perdre ! Avoir le contrôle sur presque tout et se retrouve dans un monde ou on est rien de mieux qu'un citoyen lambda !
Et malgré ça, Vitaly pensait qu'a une chose, fuir. La femme était très apprécier, et la façon dont Vitaly la traita força les habitant a tenter de tuer le démon. Vitaly sentait derrière lui une foule horriblement haineuse, il avait l'habitude, sauf que dans d'autres conditions, celles dans sa peau démoniaque il aurait pu tous les tuer ou les réduire a l'esclavage ! La Il en était rien, ce sentiment d'impuissance le rongeait de l'intérieur ! Et il allait pas pourtant être plus polit que ça !
Le soleil commençait a descendre, la lune se levait, Vitaly savait que s'en était finis de lui quand il remarqua que les chasseurs qui tentaient de le tuer allaient a la même vitesse que lui.
Vivi tenta le tout pour le tout, il hurla tandis que de son dos sortit deux ailes, ces dernières lui ouvrirent le dos, ce qui eut pour effet de lui faire particulièrement mal. Sans se retourner il s'envola, mais les ailes étaient trop faible pour réussir a soulever tout le poids, il s'envola pour quelques secondes, puis ne faisait que planer, il commençait d'ailleurs a devancer les autres. Vitaly sentait la fatigue lui monter, se servir aussi longtemps d'un pouvoir le fatiguait, il se sentait trop impuissant, et les ailes disparurent.
L'atterrissage au sol fut douloureux. Et le pire, son dos etait reste totalement ouvert. Le sang coulait, Vitaly etait devant la porte d'un manoir... Il tenta de tenir debout, s'appuyant de sa main droite sur la poignée, il frappa a la porte du manoir une fois... et feinta de s'écrouler au sol. Attendant la venue de quelqu'un, il savait qu'il allait peut etre mourir, et pour une fois il demandait de l'aide.. son ego en prenait un trop grand coup au point ou il se laissa tomber au sol, les yeux grands ouverts, le sang couvrant son dos....


[J'espère que ça te va]

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 1 samedi 04 octobre 2008, 17:58:04

« Dame de Daelys!! Enfin vous voilà! Savez-vous combien de temps et d’or nous avons mis à vous rechercher?! »

Refermant faiblement la grande porte de marbre blanc derrière elle, Heilayne ne pu retenir un petit soupire las aux paroles d’une des servantes. L’une de ses mains vint se glisser contre sa nuque, la massant du bout de ses doigts pour tenter de se détendre ne serait-ce qu’un minime peu. Exaspérée, la comtesse n’avait pas du tout envie de se faire crier dessus, surtout par une personne aussi base que la femme sous ses yeux. Venant détacher sa cape, Hei la tendit à la servante, laissant celle-ci la prendre et quitter le hall aussitôt, enfin. La solitude pesante reprit alors son cours. Chaque pas dans le manoir Des Lys était une torture pour tout ceux aimant la compagnie. L’on pouvait entendre les mouches volées tellement le silence était présent. Aucune distraction, aucune conversation, rien du tout. Ce style de vie avait été obligée par la mère d’Heilayne, incapable de supporter qu’on puisse rire après la mort du père de l’enfant. C’était exagéré, mais que pouvait faire une jeune femme, même pas encore adulte? Rien, rien… Rien. Soupirant une seconde fois, Heilayne redressa son dos en relâchant la porte, s’avançant dans le manoir aux milles et une souffrances d’un air déprimé. Le hall d’entrer était sans doute la pièce la moins meublée de tout le manoir. Le planché était blanc, comme tous les murs, et très froid. Quelques peintures des descendant de la famille étaient accrochées ici et là, tous ornée d’une même marque ; une lys dans les mains, tous, sauf la jeune femme sur le dernier tableau. Contrairement aux autres peintures où l’on ne voyait que le haut du corps des personnes, le dernier lui montrait une femme, assise sur un banc sous un arbre de cerisier blanc. Quelques fleurs se détachaient de leur berceau communément appelée; branche, tandis que d’autres ne faisait que les décorées. L’héritière de cette vie morne et remplie de platitude était-elle si différente des autres membres de sa famille? Elle tentait de ce convaincre que oui.  Suite au vide du hall, un escalier immense se dressait fièrement, orné d’un tapis orné de lys, lui aussi, blanc. Cette blancheur était partout, mais vraiment partout. De la salle de bain à la cuisine, de la chambre à la bibliothèque, du grenier au sous-sol, c’était agressant, à la longue… Approchant ses pieds de la première marche, un sursaut surprit alors Heilayne lorsqu’on toqua à la porte. Sa tête se retourna un peu, regardant par-dessus son épaule. Aucune servante ne venait, preuve qu’elles étaient trop occupées à bavardées de la comtesse qui elle, doucement, revint sur ses pas pour retourner à la porte précédemment passée. Hésitante, Heilayne ouvrit lentement la porte, retenant un haut de cœur en apercevant l’homme devant elle totalement couvert de sang. Un crie monstre sorti de ses lèvres tandis que son corps chuta, tombant assise sur le sol. Aussitôt, une dizaines de servantes arrivèrent à la porte, ouvrant l’autre en fixant l’homme, la bouche en cœur.

« Il est blessé… Comtesse, que faisons nous?! »

Redressant très lentement son corps, Daelys inspira profondément, faisant signe à quelques femmes d’aller en cuisine en leurs ordonnant d’amener un bol d’eau.
« Montez-le à la chambre d’invitée, vite! »

Quelques femmes s’approchèrent de l’homme ensanglanté, tentent de le prendre dans leurs bras pour l’amener à la destination.

[Hrp : Je te laisse le soin de réagir comme tu le sens, si tu te laisse prendre ou non, ^^]
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 2 samedi 04 octobre 2008, 19:06:31

Bien que les yeux de l'homme soient ouverts, sa tête ne réfléchissait plus. Chaque mouvement ressemblait a une torture, ses oreilles perçurent une voix, celle d'une femme visiblement. Et pleins d'autres personnes, qui se mirent en cercle autour de lui. La il avait besoin d'aide, et de toute façon, sa fatigue occasionné par ses blessures ne lui permettaient pas de faire le moindre mouvement. Sa tête recommençait a réfléchir, il rentra dans le manoir, deux servants le portant. Il regardait d'un oeil faiblement ouvert les décoration, et remarquait tout le blanc, il se sentit agresse par ce blanc. Il sentait la force qu'utilisait les servants pour le porter, et doucement prit un peu plus appuis sur eux, ces derniers ne s'arrêtèrent pas pour autant.
Ses yeux regardaient les murs, il voyait diverses personnes sur divers tableau, les portraits étaient fades et sans aucun intérêt. Vitaly n'aimait deja pas l'art, alors dans son état fallait pas trop lui.... Ah ! Attendez ! Vitaly se concentra sur un portrait, celui d'une femme avec un cerisier, mais ses yeux voyaient la chose tellement flou qu'il avait vraiment du mal a voir le visage de cette femme. Arrivé aux escaliers, il sentit dans son dos une pression supplémentaire, son corps était si lourd que ça ? Il fallait donc une troisième personne pour lever le corps jusqu'au sommet de l'escalier... Cela était très insultant, mais en même temps il savait qu'il n'avait que guère le choix.
Ce qui l'étonna, c'était le fait qu'on ne stoppait pas le sang qui partait... Aussitôt pensé aussitôt fait, le hasard voulut qu'au moment ou il se demandait pourquoi on ne le soignait pas, la personne qui poussait dans son dos fini par utiliser une serviette. Et grâce a l'esprit de déduction du démon, il comprit que c'était uniquement parce que le servant (il dirait plutôt esclave mais a comprit que dans son monde le mot était mauvais) ne voulait pas se salir les mains.
On le déposa comme prévu sur le lit de la chambre d'invité, on le plaça délicatement sur le ventre et on retira sa veste qui s'enlevait très facilement ! On lui nettoya le dos, et quand l'alcool fut utilise comme désinfectant, un cri aigu sortit de la bouche de l'avatar ! C'est avec les larmes aux yeux et avec un sentiment intense de faiblesse et de honte qu'il resta immobile sur le lit, endormis.

Quelques heures plus tard, il ouvrit enfin les yeux, et remarqua qu'il ne lui restait que ses sous-vêtements, ces derniers ont dut être envoyé au lavage parce que maculés de sang. Bien que le confort et la soie douce des draps sur sa peau était une sensation agréable, il dut sortir, partir en quête de ses fringues. Il faisait maintenant totalement nuit.


*Je suis ou bon sang... Ah oui je me suis écroulé dans un manoir c'est vrai.... Bon je retrouve mes vêtements et je me casse. Hmmm ce manoir est différents des bâtiments vus jusqu'à présent. Cela doit être a des gens riches.... Je me demande si pour mon plan de prise de pouvoir ne serait pas utile avec de l'argent...Se baladant dans le manoir endormit, il lézardait les murs, ne faisait pas de bruit, il se demandait ou était la laverie. L'architecture du bâtiment était magnifique, seulement le démon s'en fout, donc pas de description. Alors qu'il était dans ses vils pensées, il tomba nez a nez avec la fille du portrait ! Il sursauta a cause de la surprise provoquée par l'éveil de celle-ci !

Je cherchais mes vêtements... Peux... pouvez-vous me dire ou les trouver ?

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 3 samedi 04 octobre 2008, 19:53:52

Trois jeunes femmes, car oui, tous les servants des Daelys n’était que ça, des femmes, montèrent avec difficulté le blessé dans la chambre d’invité, maudissant de devoir encore une fois nettoyer  cette pièce du à la gentillesse de leurs maîtresse. Cette même maîtresse qui, après avoir refermée les portes du manoir et les avoir barrées, tourna les talons en se dirigeant dans son laboratoire. Vraiment, était-ce un autre voleur qui venait cogner à sa porte, faussement blessé à la recherche d’or? Peu importe, que ça le soit ou non, il était véritablement blessé, son dos était couvert de sang, ouvert qui plus est, et son teint rivalisait avec celle d’Heilayne, prouvant un malaise suite à une trop grande perte de sang. Rapidement, la comtesse ramassa quelques affaires; mortier, pilon, pommade, chandelle, allumettes, fil, aiguille, bandages et une petite assiette de métal, le tout déposé dans un sac qu’elle hissa sur son épaule. Ne prenant même pas la peine de refermer la porte derrière elle, preuve qu’elle se dépêchait, Hei’ monta à toute allure l’escalier immense, se dirigeant avec rapidité vers la chambre ou était couché le malade. La première servante déversa de l’alcool sur les plaies pour les nettoyer, en vidant un peu partout, montrant bien qu’elle n’était pas très habiles. La deuxième commença à nettoyer le sang un peu partout, essuyant aussi le surplus d’alcool qui reluisait le corps martyrisé de l’homme. Suite à cette première démarche de soin, les trois servantes quittèrent la place; laissant la comtesse seule avec le blessé. Se tirant une chaise, Daelys y apposa ses fesses, déposant son matériel sur la table de chevet. Plus rapidement qu’elle le pensait; il s’endormit. Avec chance plutôt, car le plus douloureux restait à faire. Écrasant avec habilité quelques feuilles et fleurs à l’aide de son pilon dans son mortier, ses mains forçaient fortement, se dépêchant de crée une petite crème pâteuse. Suite à ça, Heilayne déposa le pot sur la table, allumant la chandelle plantée dans une petite assiette argentée.

« Ça semble douloureux… »
Tout bas, parlant à l’homme endormit sans vraiment attendre de réponse de sa part. Lentement, l’héritière des Daelys se releva un peu, venant s’asseoir sur le rebord du lit en regardant les deux grandes plaies désinfectées. Soit c’était un travail d’un bourreau, soit c’était de la torture d’un expert. Jamais, ô grand jamais elle n’aurait pu savoir ce que c’était réellement, et savoir ce qu’était réellement l’homme dans son lit. Quoi qu’après avoir découvert la nature de l’homme qu’elle aimait, rien ne pouvait plus la surprendre. Étirant les bras pour empoigner sa bobine de fil et son aiguille, Hei’ entra le bout du fil dans le trou de l’aiguille, le nouant fortement contre. Ensuite, elle déroula une bonne partie de fil noirâtre, coupant ensuite. D’une main habile et délicate, la jeune femme planta l’aiguille dans la peau de l’homme, commençant à relier les deux morceaux de peau ensemble, sans trop forcer pour faire céder l’enveloppe charnelle. Avec lenteur, sans se presser, elle continua, lorsqu’elle fini de faire les points sur la première plaie, elle entama la seconde, répétant les mêmes mouvements. Enfin, les étapes les plus douloureuses étaient terminées, et par chance, le blessé n’en avait sentie qu’une. Prenant par la suite son mortier en déposant le pilon sur la table, ses doigts se trempèrent dans la mixture verdâtre, venant l’étendre contre les deux plaies. Le bout de ses doigts n’osait pas trop peser, de peur de réveiller son patient, ne faisant qu’effleurer sa peau de sorte que la pommade s’y glisse. Enfin, le tout était terminé! Il ne manquait plus qu’à enrouler le bandage autour et hop. Prenant donc le dit bandage, Heilayne le déroula pour plus de facilitée à l’emploi, le passant délicatement sous son torse jusqu’à son dos, répétant le mouvement deux ou trois fois, jusqu’à le « momifier » comme on dit. Enfin, momifier le haut de son corps plutôt. Se relevant par la suite en ne prenant même pas la peine de ramasser ses affaires; avoir des servantes, ça sert à quoi appart faire le ménage? La comtesse ouvrit la porte de la chambre en tournant la tête vers le lit dans lequel Vitaly était couché, s’exclament tout bas;

« Faites de beaux rêves… »

Puis, la porte se referma derrière le corps de la jeune femme qui, par la suite, se dirigea dans sa propre chambre. C’était tellement ce qu’elle aimait le plus faire; soigner, aider les gens, leurs donner espoir. Bien que son travail ressemble beaucoup plus à de l’alchimie, c’était tout aussi efficace que les médicaments qu’utilisent les soigneurs. Après avoir refermée la grande porte française de sa chambre, les vêtements de la jeune femme trouvèrent refuges sur le sol, laissant son corps vêtu que d’une simple nudité. Se rapprochant par la suite de sa commode, Heilayne ouvrit les portes, prenant une robe de nuit en l’enfilant. Cette nuit était assez déchirante… Elle n’était pas dans les bras de l’homme qu’elle aimait, et son cœur lui était resté. Venant se coucher sur son lit baldaquin, Heilayne s’endormie aussitôt, une boule au ventre.

« hmm…? Hm…?! AH! »

Se réveillant en sursaut, le corps complètement trempé de sueur et sa respiration haletante, Heilayne redressa son dos, repoussant les couvertures jusqu’en bas du lit. Ce n’était qu’un cauchemar… Juste un cauchemar… Soupirant un peu, la noble se releva, replaçant un peu sa robe de nuit et sortie de sa chambre, sursautant une seconde fois en retenant un crie.

« HI! Hm..?! Oh mon dieu… Vous m’avez fait peur… »

Reprenant son souffle par la suite, l’un de ses sourcils se haussa, perplexe.
« Pourquoi cherchez-vous vos vêtements? Avec ces deux vilaines plaies dans votre dos, la seule chose à laquelle vous devriez penser est de vous reposer. »

 
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 4 samedi 04 octobre 2008, 20:48:26

Le rêve de Vitaly, celui qu’il eut lorsqu’il dormait, était du moins des plus étrange en effet, il rêvait que des anges lui procurait un massage, le plus beau qu’il ait sentit. Mais les anges furent éphémères et le matelas d’or s’écroulât sous ses pieds pour le faire descendre chez lui, en enfer. La personne qui l’obligea a devenir un être humain se tenait devant lui, droit, gros imposant, puissant, plus effrayant que Ares lui-même, ce démon était presque aussi effrayant que Satan, or on ne pouvait décrire une chose pareil, entre démon cela est supportable, mais une apparition pareil dans le monde des humains… cela pourrait tuer des personnes, et rien que celles qui le regardent ou le sente. Car l’odeur, celle des cadavres, du sang, des morts, et de la fornication était la. Griever était le nom de ce démon qui changea la destine de Vitaly. Et dans son rêve, il était face a lui, devant son trône, Griever avait un magnifique sourire, Vitaly était paralysée, on l’attacha et on le mit nu, dos a Griever. Et l’horreur de l’enfer lui faisait mal, très mal… une souffrance telle qu’on ne pouvait la décrire, Vitaly avait l’impression de mourir a chaque fois. La torture était simple, on dépèce lentement la peau, pendant qu’on expose celle-ci a quelque chose qui brule, et on pince les nerfs et attaque la moelle épinière, étonnement les tortures démoniaques nécessitaient des connaissances en médecine. Il ne savait pourquoi ce rêve, et pourquoi lui. Certes Vitaly avait tue sa sœur et a cause de ca on le mit dans cet horrible boite qu’est le corps humain, on dirait une prison, et il se sentait faible, trop faible. Ses pouvoirs ont disparu et le peu qu’il avait, utilisé le tuait. Quelle honte pour un démon de son rang. Il s’en voulait presque d’avoir tue la sœur de Griever juste pour combler sa nécrophilie. Bon, revenons a la réalité, cette dernière était un peu ensanglantée.
Le souvenir de ce rêve fut lorsqu’il sursauta, car il eut mal aux omoplates, les sortes de point de sutures s’étaient un peu ouvertes et le sang recoula doucement. Le picotement le réveillait un petit peu. Une sorte de petit feu qui était allumé sur le dos du pauvre démon. Il passa un peu la tète par-dessus son épaule, et passa sa main sur une des deux cicatrices, la pommade faisait couler le sang goute a goute, donc pas de soucis ca allait s’arrêter. Du moins il l’espérait, cela serait dommage de retomber dans les pommes et de rester encore plus longtemps. Oui cela l’ennuyait qu’on l’aide, d’habitude il était très indépendant, et puis merde, c’est une femme qui l’aidait ! Ca le rendait fou ! Mais bon il savait se contenir, surtout devant une femme aussi belle que riche, il ne préféra pas tenter quoi que ce soit, ayant compris que les femmes dans ce monde ne pouvaient être touchées sans risquer sa vie. La jeune femme en face de lui, lui conseilla de retourner se reposer. Il eut un petit sourire, non vraiment, cette chose pourtant rare sur son visage, disons qu’il la sentit débile sur cette phrase, voila plusieurs heures qu’il dormait et on lui demandait de se recoucher, dites a un unijambiste de courir le 100 mètres… La phrase de la femme eut un effet positif sur lui, il se sentit un peu mieux, bien sur il ne fallait pas qu’elle comprenne que ce sont ses mots qui le firent sourire, il baissa un peu le sourire, qui réchauffa un peu son cœur et réveilla son esprit pour arriver a lui répondre.

Merci. Chose assez impressionnante, surtout que ça venait du cœur et surtout, il ne réfléchit pas, n'eut pas de mal a lui dire ce mot, si elle savait que c'était la première fois qu'il le disait a une femelle... Je ne suis pas fatigue, je dois vous rappelez que je viens de dormir pendant plusieurs heures...

Il tenta de changer de sujet, il perdit enfin son sourire, son humeur revenue normale, et il se dit que parler un peu pourrait l’aider, il lui fallait s’adapter, il savait que dans les relations humaines, se présenter est une base. Il regarda Heilayne, et dit d’une façon neutre, comme s’il était indifférent à tout.


Je m'appelle Vitaly. Raa...    ra... Aarf .... La politesse etait dure pour lui content (?) de vous rencontrer.

Il avait envie de faire la causette, décidément il était étrange, mais non ! En fait Vitaly ne voulait qu’une chose, qu’elle l’apprécie, qu’elle l’aide pour le contact humain et pas mal de chose, pour arriver à passer inaperçu. Et si elle pouvait être suffisamment sympathique pour lui prêter du fric [désolé c’est pour la rime]. Il avait juste comprit que dans ce monde, tout tourne autour de l’argent, on est et on ne peut rien être sans, l’enfer lui manquait, là-bas pour être puissant il suffit d’avoir de l’esclave et des pouvoirs… la suite est devinable par n’importe qui avec un minimum de cervelle. L’homme pouvait se montrer antipathique aussi, mais quand on a un portefeuille face a soit, on ne peut pas être un salaud, mais ce qui était vraiment le plus fort chez Vitaly, c’est cette capacité à cacher ses idées. Il pouvait vous faire croire beaucoup de chose, surtout si la comtesse est naïve, fin ça il ne le sait pas… du moins encore. Même s'il ne comptait pas non plus s'éterniser lui qui voulait envahir la terre c'était pas gagné ! Peu être que Terra pourrait lui donner une place de maitre, mais il avait entendu parler de Dieux, cela l'embêtait, des gens avec une puissance infinie, les affronter relève du suicide... il trouverait une solution... bon la il avait besoin de la comtesse pour savoir quoi faire pour ne pas trop se faire remarquer, et en apprendre plus sur le territoire ou il a atterrit.

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 5 samedi 04 octobre 2008, 21:21:20

« Reposer ne veut pas simplement dire de dormir, disons plutôt que… Plus vous bougez, plus il y a des risques que vos plaies se rouvrent, cela m’est égale que vous tachiez les pavés, mais ce serait un peu idiot de retomber dans les pommes pour ça… »

Accompagnant ses paroles d’un beau sourire, Heilayne replaça un peu les manches de sa robe, s’avançant d’un pas en glissant ses doigts fins autour de son poignet, l’obligeant à la suivre de cette simple étreinte. Dans un sens, qu’il y ait du sang à terre serait assez dérangeant pour la comtesse; ses domestiques chialeraient et chialeraient en lui interdisant de faire une centaines de choses, entre autre, de soigner des blesser à la demeure familiale. Mais… Qui étaient-elles pour lui donner des ordres? Des routiers bien entendue, mais plus que ça… Des « membres de la famille » comme le rappelait si bien sa mère. Donc, n’ayant pas encore 18 ans, Heilayne devait suivre les ordres des servantes, ce qui était assez gênant, parfois. Entamant le pas en tirant un peu l’homme, l’insistant à la suivre de la sorte, Layne poussa la porte de sa chambre à deux ou trois pas d’où ils étaient, la refermant derrière eux par la suite. Insistant sur sa poigne pour qu’il aille se coucher sur le lit, ou s’y asseoir, peu importe, tant qu’il ne restait pas debout et ne bougeait pas trop, c’était bon. Bien sûr, Heilayne lui relâcha le poignet pour le laisser bouger, se dirigeant sur le bout du lit en posant ses fesses dessus, accotant son dos contre l’une des poutres du lit  baldaquin.

« J’allais oublier… Hm, Je suis Heilayne, Heilayne de Daelys, la… propriétaire de la demeure… Enchanter aussi! »

Ses pieds vinrent se déposer sur le lit, s’accotant contre l’autre poteau à l’autre extrémité du lit, devant elle. Du bout des doigts, Heilayne vint replacer un peu sa robe légère, blanche et de nuit, fixant Vitaly d’un air interrogateur mais plutôt, calme.

« Mes domestiques sont un peu sur les nerfs, donc il ne serait pas très astucieux de… sortir de votre chambre, ou la mienne sans que je ne vous accompagne. Ça peut paraître bizarre… Mais elles détestent que je soigne des étrangers ici… E..Enfin… »

Venant secouer un peu la tête suite à ses paroles, Daelys tentait de se contrôler. D’un côté, elle voulait paraître assurée, sûr d’elle et à la hauteur de son rang, mais de l’autre, elle n’était qu’une enfant timide, nerveuse et réservée, c’était des plus déchirant de garder le rythme… Surtout que ses bégayements commençaient à reprendre.
« Que…Que vous est-il arrivé, dites-moi…? »


''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
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Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 6 samedi 04 octobre 2008, 22:05:29

Elle se voulait rassurante, c’est bien, Vitaly aimait les femmes serviables. Et il fallait aussi l’avouer, il goutait pour une fois a la gentillesse, chez lui les femmes sont ou des esclaves, ou ont trop de caractère pour être polies, la non, elle était douce, aimable gentille, ces trois derniers mots qu’il ne connaissait pas. La porte de la chambre lui fut ouverte, il fit une sorte de  merci  et la suivie, la chambre de Heilayne était de loin la plus belle de la chambre, elle avait une déco qui montrait qu’elle avait les bons gouts pour ce qui était des touches personnelles. La comtesse bien que jeune paraissait adulte, remarquons que Vitaly à cote d’elle parait quand même vieux. Il ne voulait pas lui poser des questions sur son âge. L’homme avait un peu froid, la chair de poule sur ses bras qui commençait a venir était une preuve. Elle s’inquiétait pour lui, un être normal ressentirait de la culpabilité de vouloir tromper cette personne juste pour son plaisir personnel, mais non, Vitaly, même s’il s’avouait un peu touché, trouvait normal qu’une femme fasse ça, il trouvait juste que c’était la première à faire ça dans ce monde de fou. Il entra dans la chambre et s’assit sur le lit, le dos bien droit pour ne rien ouvrir. Il regarda Heilayne. Il regarda la jeune femme un peu étonné ce qu'elle venait de dire, pour une maitresse était inconcevable pour lui, cela se sentait au timbre de sa voix, une sorte d'incompréhension mêlée a un énervement car ca atteignait des limites impossible a voir avec ses yeux.

Vous êtes la propriétaire des Lieux ou vous vous souciez des serviteurs ? Mais ils ne sont rien comparés a vous normalement... Je ne comprends pas...

Avons-nous oublie de parler de son ego ? Ce dernier était énorme et avouer qu'il ne comprenait pas quelque chose était énorme pour lui ! Quel effort ! On pouvait l'applaudir ! Mais en fait, sa chair de poule se confirma quand elle lui demanda ce qu'il lui était arrive, un oxymore moral était dans sa tête, d'un cote il voulait lui dire la vérité, une sorte de remerciement pour l'avoir sauvé, mais de l'autre, il préférait éviter qu'elle sache... Le Ying et le Yang la vérité contre le mensonge, le bien et le mal, tout faisait une guerre dans son corps, et surtout dans sa tête. Ne pas savoir que dire, que faire, ses yeux gigotaient dans leur orbite, il cherchait une issue, aucune n'était possible... Il la regarda, prit son souffle... il fallait qu'il lui dise.

Des que j'aurai termine, ne me chassez pas... je vous demande juste ça... Je suis un démon, des enfers, et j'étais puissant... très puissant, j'avais plus d'esclave et de serviteur que ce qu'on peut imaginer. Une de mes esclaves était la soeur d'un autre démon, je l'ai tue pour assouvir certains désirs, et je fut condamne a errer dans ce corps.... Il marqua une pause, déjà qu'il parlait lentement, il fallait qu'elle se rende compte et aussi qu'elle comprenne. Il affichait un air désolé. Il regarda Heilayne et continua. Or je ne connais pas les habitudes de ce monde, ni de ses habitants, et j'ordonna des choses a une femme visiblement respectee vu que les personnes aux alentours tenterent de me tuer, je courus, et je tenta d'utiliser un sort, des ailes me sont poussées et j'ai vole, quelques instant.... puis les ailes ont disparus laissant la cicatrice qu'elles ont faites en poussant.Et j'ai atterrit devant le manoir. Il prit une voix un peu tremblante, on le croirait un peu effrayée Je ne connais rien de ce monde, de ces habitudes, de ce que vous appelez la politesse, la religion, l'amour, toutes ces choses...


Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 7 samedi 04 octobre 2008, 22:57:08

Le sourire toujours aux lèvres, Heilayne arqua un peu la tête de côté, constatant que le jeune homme avait froid. Eh bien… À vrai dire, elle n’avait pas vraiment oser trop le regarder, ce qu’elle commença à faire, rougissant jusqu’aux oreilles à la simple vue de son corps presque totalement dénudé. Se relevant assez rapidement du lit, la comtesse se dirigea vers sa grande commode, l’ouvrant en fouillant dedans. Erf… Elle n’avait pas grand-chose qui ferait à un homme de sa taille, dans les pire des cas, il pouvait bien déchirer quelques uns de ses vêtements, mais au bout du compte ça ne devait pas être très, très confortable. Donc, en refermant les portes en bois, Hei’ se dirigea vers le fond de sa chambre immense, ouvrant un placard ou quelques babioles utiles étaient déposées par les serviteurs. Du bois pour la cheminée en marbre face au lit, des couvertures de rechange, des médicaments et cetera. Agrippant les couvertures dans ses bras, son regard noisette s’abaissa un peu sur les bûches, laissant valser la prunelle de ses yeux sur la cheminé, sur les bûches, sur la cheminé et encore sur les bûches. Pensive, elle opina en déposant les couvertures à ses pieds. Bien qu’elle ne savait pas du tout comment partir un feu, c’était évident, lorsque les servantes le faisaient, elle était déjà dans son lit ou pas dans la pièce, donc. Prenant délicatement deux ou trois bouts de bois, Heilayne se dirigea vers la grande cheminée, elle aussi de marbre blanc. C’était vraiment agressant à la longue cette blancheur… Même les draps l’étaient, même le lit, même les rideaux des fenêtre, même la majorité de ses vêtements… Soupirant un peu à cette pensée, ses jambes se fléchirent un peu pour venir se positionnée en « petit bonhomme », ouvrant le grillage et déposa les bûches de bois dans le fond. Ensuite… comment on partait ça…? Regardant un peu autour d’elle, elle remarqua deux petits cailloux, mais, ne sachant comment faire du feu avec ses bidules, son regard continua de se balader dans la pièce, tombant parfois sur Vitaly, rougissant chaque fois. Ah! Finalement! Son corps se redressa, replaçant d’un coup de main sa robe et Hei entama le pas, se dirigeant vers la chandelle apposée sur sa table de chevet, l’empoignant en venant allumer quelques bouts de papiers dans la cheminée, qui, peu à peu, s’étalaient sur le bois. Satisfaite, la comtesse referma le grillage et replaça la bougie sur son lieu d’origine, ne voulant pas faire sombrer la pièce dans une noirceur totale… Revenant sur ses pas, Heilayne reprit les couvertures en peau d’ours polaire, refermant l’armoire et se rapprocha de l’homme assit bien droit dans son lit. Affreusement gênée… Elle s’approcha malgré tout, lentement, jusqu’à être à quelques centimètres de lui, pouvant presque le frôler et, délicatement, pour ne pas lui faire mal au dos, déposa la couverture en poil d’ours polaire sur ses épaules. Ce n’était peut être pas grand-chose, mais et le feu, et la couverture, il allait faire assez chaud, espérons que ce sera suffisant! Retrouvant sa place d’origine au bout du lit, Daelys arqua un peu sa tête de côté à sa question, haussant un peu des épaules tout en répondant de son ton de voix doux, hésitant.

« Eh bien… c’est assez compliqué comme histoire mais, pour faire court, je n’ai ni l’âge, ni l’audace pour leurs tenir tête… Le trois quart des domestiques servent ma famille depuis bien plus longtemps que ma naissance, donc… Tant que je n’ai 18 ans, ils me dictent un peu quoi faire… Et, même si je leurs disent de ne pas te mettre à la porte, s’ils te voient rôder dans les couloirs, la nuit… Ils ont une grande imagination, donc, il est facile pour eux de penser que… Tu peux être hm… Un voleur... Un violeur, un brigand cherchant à se mettre quelque chose sous la dent… »

Expirant un long soupire pour prouver sa lassitude du comportement de ses servantes, Heilayne ne perdait malgré tout pas son sourire, le regard rivé sur son interlocuteur sans l’abaisser plus bas, ne serait-ce que sur ses épaules. C’était… Trop… gênant! Repoussant un peu sa longue chevelure dont la couleur fait concurrence à l’écorce des arbres par-dessus son épaule pour la laisser choir dans son dos, Daelys vint s’asseoir plus confortablement sur le lit, opinant de la tête à sa requête. Ne pas le chasser? Même si elle le voudrait, ça prenait beaucoup trop d’audace de le faire, et ça, elle n’en avait pas mais pas du tout… Les mains jointes, posées contre son ventre, son dos adossé contre un des quatre pilons de bois, les jambes étendues dans le sens opposé de la position de Vitaly, en gros, à ses pieds, Heilayne était prête, prête à tout entendre! Vraiment…?

« U… hm.. Démon…? »

Frissonnant un peu, la jeune femme entrouvrit la bouche, ce simple mot commençait à résonner dans sa tête, l’empêchant de bien entendre l’histoire de son interlocuteur, mais pourtant, sans comprendre pourquoi, elle l’écoutait, elle voulait connaître la suite… Bon sang, elle n’avait rencontré que ça, des créatures! Un homme avec une transformation, un dieu, et maintenant, un démon! Eh bien, son cercle d’amis était haut en couleur! Toujours abasourdie par la nouvelle, ses sourcils se froncèrent un peu. Comment devait-elle réagir, en noble, face à ça? Il était un assassin, un délinquant sexuel peut être? Et un démon! Ou plutôt… Ancien démon? Affreusement perdue dans ses pensées, Heilayne secoua la tête, croisant subitement le regard désolé de Vitaly… Son corps se détendit aussitôt et son visage se décrispa, comme si, sans savoir pourquoi, elle le comprenait… elle le prenait en pitié, oui, et… Elle voulait l’aider…

« Vous ne… Non… Tu ne connais absolument rien de ce monde…? »
Marquant une pause, son ton de voix avait changé, il était beaucoup plus doux, plus tendre qu’au début. Un petit sourire, finalement vint se glisser sur son visage lorsqu’une idée lui traversa l’esprit.
« Mh… Il va être difficile pour toi de sortir sans te faire tuer… Il faudrait presque te déguiser, même, changer d’identité. Pour ce qui est des connaissances, hmm… Ce manoir comporte une bibliothèque bien plus grande qu’on peut l’imaginer, et… Je pourrais.. Hm… Toujours t’apprendre quelques connaissances de bases, si tu veux… »  Les joues légèrement rosies, Heilayne abaissa la tête, affreusement gênée…
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 8 samedi 04 octobre 2008, 23:59:49

La culpabilité décrite tout a l’heure... quand il vit Heilayne chauffer un feu et se démener pour qu'il ait moins froid, il eut pour une des rares fois de sa vie ce sentiment. Il doit avouer que c’était la première fois qu’on s’occupait de lui comme ca, mais bon, il allait pas devenir gentil et doux, et courir au ralentit dans les champs avec une pâquerette dans la bouche non plus ! Et pourtant, le démon se sentait dans un monde étrange, doux, gentil, saint, ne croyez pas les cliches qui font dire qu’un mec de l’enfer a peur de la gentillesse, déteste l’amour etc… ce sont justes des choses inexistantes, c’est une sorte de Candide notre Vivi (d’ailleurs il déteste ce surnom). Il se sentit quand même idiot lorsqu’elle lui mit la couverture sur les épaules, elle était si douce, si tendre. Vitaly avait de moins en moins envie de profiter d’elle. Il avait une once de culpabilité, mais c’est comme beaucoup de choses, quand c’est la première fois qu’on ressent ca on à l’impression que c’est énorme. Or la ca le prenait lentement. Il remarquait qu’elle rougissait, cela était drôle, il ne savait pas du tout ce que c’était… Le gentil n’a qu’un œil ? Vitaly était le contre exemple, en effet, il ne connait rien, et pourtant il n’est que mort, solitude désolation, et couverture en peau d’ours polaire. Cette dernière était d’ailleurs très agréable tant par sa douceur que par la chaleur qu’elle procurait a l’homme. Il regardait Heilayne, il avait les yeux rivés sur elle. Non pas de l’affection, ni même du désir, la plus simple admiration (inutile de dire que c’est la première fois qu’il admire une femme autre que pour ses caractéristiques sexuelles ? Zut je l’ai dis -_-) qui existe, un regard impressionne, elle respirait la gentillesse, la douceur, et l’amour, un démon le ressent facilement, son cœur appartient a quelqu’un. Il souriait, chose étrange, des connaissances lui diraient qu’il a perdus tout ce qui faisait de lui un démon. Il s’en fichait la sur le moment, des qu’il part, il violera quelqu’un ca l’aidera à se sentir mieux. Bon ne noircissons pas un si beau tableau ! Le ptit Vivi tranquillement installe, les fesses sentant la douce sensation d’un matelas parfait. Eh oui en enfer on a des cailloux dirait l’autre. Donc la il faut essayer de se mettre a sa place, je sais que c’est dur vu qu’il faut tout imaginer et que je ne suis pas sur que Vivi est du genre a vous laisser sa place si facilement. Bon revenons a nos démons, celui la était donc assis sur le lit, quand il entendit les paroles de la jeune femme. Elle était mineure !? Il aurait pu être…. Son premier ancêtre ! Non sans déc ! Elle fait tellement plus ! Il était positivement impressionné ! Non la franchement Heilayne cassait toutes ses croyances dans la femme depuis plus de 5769 ans ! Il fut vraiment et de façon très joyeuse surprise ! Il répondit gentiment (?! Ah non j'ai bien écris ça) a la jeune femme.

Tu fais plus vieille... Euh vous faite... tu fais plus vieille D'un cote il se sentait très soulage de pouvoir la tutoyer. Tiens leur tête, au pire vire les, ou ... tue les, même si je crois que dans ton monde ce n'est pas "légal" c'est ça le mot ?

Le feu donnait un effet tellement magnifique aux cheveux de la jeune femme ! En effet, lui même avait du mal a imaginer a quel point en ce moment il avait un fort sentiment d'admiration pour elle ! Elle faisait office de lumière salvatrice et divine dans son intérieur pourtant si noir et si sombre.Il la voyait, et il remarqua surtout quand son visage changea de "forme" lorsqu'il conta son histoire. Mais la fin du discours eut l'effet escompté en effet, elle eut un air désolé et même pitoyable pour lui. Elle le prenait en pitié et elle voulait l'aider, c'était bien la le but. Mais sa gentillesse, sa jeunesse, et peut être sa naïveté, faisait grandir continuellement ce sentiment de culpabilité qui est répété tellement de fois qu'on dirait qu'il y en a un champ lexical dans ce texte. Elle lui posa une question assez idiote, mais il ne préféra pas y penser. Par contre il y eut quelque chose qui éveilla un énervement un lui. Elle commença a le tutoyer ! C'était parce qu'il venait d'humain a démon dans l'esprit de la rousse ?! Il répondit aussitôt.

Je ne t'ai pas vraiment autorise a me tutoyer, je suis un... démon incarné en humain, pas un chien. Elle était très énervante ! Son ton de voix faisait augmenter sa culpabilité !Elle lui dit qu'il pouvait lire, il répondit aussitôt. Tu crois que je viens d'un endroit ou lire a une utilité quelconque ? De même, j'aimerais savoir pourquoi tes joues ont pris cette teinte rosâtre.. j'ai jamais vu un truc pareil. Le Chemin de la connaissance allait être long je sens ....


Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 9 dimanche 05 octobre 2008, 00:52:19

Replaçant tout doucement les manches de sa robe, Heilayne arqua un peu la tête de côté avant d’afficher un petit sourire amusé. Oui, elle faisait beaucoup plus vieille que l’âge qu’elle avait, c’était certain. D’un côté, sa poitrine était bien plus grosse que celles des jeunes adultes, d’un autre, tout le reste de son corps étaient aussi bien proportionné, assez svelte, frêle, bref, le corps que toutes les femmes ont, dans la fin 20en… Bref, en quelque sorte, c’était un compliment? À moins qu’il dise qu’elle avait des rides et que sa peau pendait, là, même si l’audace ne lui permettait pas, elle lui refermerait sans gêne la porte du manoir au nez, sans préavis! N’affichant qu’un peau et tendre sourire pour le remercier, Heilayne fronça subitement les sourcils au reste de sa phrase. Tuer ses domestiques? Non mais à quoi il pensait? Que d’un jour à l’autre, on pouvait tuer des personnes parce qu’ils se prennent plus pour le roi de la demeure? À son âge, c’était tout de même normal qu’ils agissent comme des mères, de plus, la sienne était morte, donc, elle comblait le vide d’une mère en la remplaçant par une cinquantaine…

« Non, pas légale du tout… Et… De toute façon, je suis couverte d’une grande solitude ici, alors, je ne vois pas pourquoi je la doublerais, triplerait, et cetera… »

Un long silence s’imposa sans gêne entre les deux personnes, laissant le simple claquement des braisiers comme preuve que le temps ne c’était arrêté pour les embêter. Finalement, Vitaly reprit parole, et… Bizarrement, tout ce qu’il dit fâcha la comtesse. Elle n’était pas audacieuse, entreprenante, de nature violente ou même méchante, mais qu’on lui lance autant d’insultes subtiles et la traite comme une vagabonde dans sa propre demeure la mettait en rogne. Ses sourcils se froncèrent et son dos se redressa, prête à envoyer une vague d’insulter en tout genre à l’homme. Pourtant un petit soupire ne fit que s’expirer de ses lèvres, prouvant sa lassitude, peut être? Non, simplement… Il venait de lui avouer qu’il ne connaissait absolument rien au monde dans lequel il était, et la politesse était sans doute dans le « je ne connais rien à… ». Inspirant profondément pour se calmer, Heilayne croisa les bras sous sa poitrine, reprenant la parole sur son même ton habituel, c’est-à-dire, doux. Étonnant, une autre noble aurait sorti le fouet et l’aurait fouetté jusqu’à ce qu’il s’excuse. Étant un ancien démon, ça ne serait pas surprenant pour que a) il aime ou b) il ne s’excuse pas.

« Dois-je te rappeler ton rang dans ce monde, et le mien? Lorsqu’une noble te tutoie, habituellement, on est heureux qu’elle nous donne cette marque de respect, on ne l’envoie pas balader! Lorsqu’on vouvoie quelqu’un, c’est principalement parce qu’il est inconnu et que c’est une marque de respect convenable, quand on le tutoie, c’est que ce n’est plus un inconnu, généralement, il y a des exceptions. Or, tu viens de dire que tu étais un démon et cetera, et cetera, donc je ne te trouve plus… Inconnu? » Marquant une petite pause pour reprendre son souffle, Heilayne se radossa au pilier du lit, soupirant un peu.
« Si tu veux retourner dehors avec ses hommes qui te pourchassaient, je ne te retient pas. Autrement, je te demanderais ne serait-ce qu’un once de respect. Pour la rougeur, il y a de beaux livres qui expliquent les réactions humaines, dans la bibliothèque. »

Bon… La douceur était un peu partie, il fallait l’avouer, elle parlait plus sur un ton défensif, au cas ou il l’insulterait encore. Mais… De toute manière, plus tôt elle lui apprendrait les bonnes manières, plus tôt il deviendrait…Gentil?
''Et le printemps et la verdure
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Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 10 dimanche 05 octobre 2008, 11:42:23

L’ignorance est mère de tous les maux, c’est bien connu. Mais était-elle aussi la mère de tous les mots ? Dans ce cas, elle était un peu la mère des deux. Les maux causent par les mots de l’ignorance de Vitaly. Tandis que la belle se fâcha pour les remarques impertinentes de l’homme. Il avait joue la mauvaise carte, le mauvais rôle, ou plutôt il avait mal joué ce dernier. Il fallait se rattraper, mais comment ? La elle s’énervait, et cela ne lui plaisait pas vraiment a lui non plus. Mais que croyait-elle ? Qu’un homme qui a vécu pendant 5 millénaires dans le pouvoir, la luxure, le manque de politesse et l’ignorance de l’humanité allait soudainement être polit gentil ? Il  y avait certaines choses qu’en effet, il ne comprenait pas. Il mendiait de la connaissance, un sans abri du savoir sous un toit chaud, en y repensant, il était sans abris tout court, pas de toit, d’argent, rien, la il était bien au chaud, tranquille, mais demain, il le savait, il retournera sous les ponts. Vitaly resserra la couverture contre lui a cette pensée.  Il la regarda, d’un air assez désolé quand même. Il n’allait pas s’excuser, mais juste lui expliquer.

J'avais oublie que dans ce monde, un serviteur mort ne revient jamais, chez nous, quand on tue quelqu'un, il se réincarne... tout neuf.... Il fallait qu'il commente la solitude. Je suis bien plus seul que "vous"(revenir au vous est plus convenable, il l'avait compris), j'arrive a sentir que votre coeur..."appartient" a quelqu'un.

Le silence qui s’en suivit ne rompait rien, il s’accordait même parfaitement au moment, certains pensent que le silence est une arme, une chose horrible, des fois le silence est harmonieux, on avait habitude de dire que lorsqu’on écoute du Mozart, le silence qui suit, c’est encore du Mozart. Oui, n’allons pas comparer ce silence a Mozart, allons plus en faire un amalgame, celui des deux êtres, se rendant compte de ce que disait l’autre. La tête de Vitaly ne changea pas pour autant, en opposition, celui de la comtesse reflétait la colère ! Remarque ce visage a la fois indifférent et énervé étaient une allure naturelle chez lui. Et finalement elle continua ses paroles avec un ton doux, il fut étonné. Et pour une fois, il se dit que vu l'effort qu'elle faisait alors qu'il tenta de l'énerver. Sans rien dire, il resta a l'écouter, un petit sourire au coin des lèvres. Il allait lui répondre, il comprit qu'il devait montrer un semblant de gentillesse pour s'en sortir.


Je suis............"d...e..solé" le sole fut dit très rapidement. J'ai oublie dans quel monde nous nous trouvons.. chère comtesse. Quand aux livres sur la rougeur, je suis oblige de le rappeler, je ne sais pas lire, ou juste un peu...

Il préféra rester gentil et doux pour le moment... on verra sa réaction pour..... réagir


[post pourris je suis dsl !:S]
« Modifié: dimanche 05 octobre 2008, 12:29:04 par Vitaly »

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 11 dimanche 05 octobre 2008, 12:46:22

« Il est vrai que mon cœur appartient à quelqu’un, mais lorsque je suis entre ses murs, j’y suis prisonnière, en quelque sorte… Vous êtes la première personne avec qui j’ai une discussion dans mon manoir… »

Les servantes, aussi égoïstes et idiotes soit-elles empêchaient la jeune femme à s’offrir toutes attractions, que ce soit une simple conversation ou un câlin qui signifiait bien plus, c’était toujours non. Elles agissaient pour leurs propres plaisirs, en réalité. Comme elles ne pouvaient rencontrés d’homme et ne pouvait se livrer à la luxure, elles le faisait payer, elles le lui faisait payer. L’aventure était si loin… Lorsqu’elle était sortie de son manoir, lorsqu’elle c’était laisser glisser dans une « nouvelle » elle, ou tout simplement lorsqu’elle était devenue femme, tout était si loin… Tellement loin… Cette simple pensée ramollit un peu la jeune femme, repoussant toute la colère qui était en elle, ne laissant qu’un bref instant, un air triste. L’effaçant aussitôt, Heilayne accota sa tête contre le pilier de bois, fermant les yeux lentement pour se calmer, retrouver sa minime assurance qu’elle avait gagnée pendant un bref moment. Peine perdue. Ses paupières se rouvrirent alors très lentement, déposant son regard noisette sur le plafond, y tombant lunatique. Ce qu’Ares lui manquait… Cruellement… Être dans sa chambre avec un autre homme lui faisait mal, en quelque sorte, même si elle n’éprouvait aucun désir, n’agissait pas de façon déplacé ou l’aguichait, le simple fait d’être assise dans son lit avec lui, lui faisait mal. Comment réagirait-elle s’il lui disait qu’il avait passé la nuit à parler avec une femme, dans sa chambre, dans son lit? C’était sûr que son cœur se briserait, tellement il est fragile…

Trois petits mots vint la sortir de ses pensées, trois petits mots qui lui tira un doux sourire; je. Suis. Désolé. Cette petite phrase, simple mais lourde de sens valsait dans sa tête tel une mélodie enviante. Ce n’était pas grand-chose, ce n’était que trois mots, mais le fait qu’il les prononce… C’était quelque chose!

« Ce n’est rien… Ne vous en faites pas… » Revenant elle aussi avec le vouvoiement, Heilayne redressa un peu son corps, venant se laisser tomber sur le ventre, les bras croisés et apposés sur l’oreiller, tandis que sa tête était posé sur ses bras et tourné vers Vitaly. « La gêne, simplement la gêne… Vous savez… Un homme, dans une chambre et aussi peu vêtu, c’est très gênant pour une femme de voir ce spectacle… »


[Hrp : Oubli pas, prochaine fois que tu t'excuses, je sors la cravache!]
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Vitaly

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Re : Fuite..[PV]

Réponse 12 vendredi 17 octobre 2008, 01:53:14

[Veux-tu m'#CENSURÉ# du temps de réponse]

L'air ou l'ambiance nous l'appellerons était étrange, une ombre douce et froide se déposait dans la chambre, évoqué un amour était une mauvaise idée de la part de Vitaly, mais, et je me tue a le répéter, qu'est-ce qu'il en sait lui ? En tout cas les draps dans lesquels il se trouvait étaient doux et chaud mais je ne veux pas tomber dans un épisode des bisounours en racontant que les doux draps chauds provoquaient un bonheur refilant la calinouite aiguë. Maladie qui forçait la victime de ce fléau a faire des câlins a tout le monde !

Ne croyez pas que de la ou je viens on communique beaucoup...

La communication entre démon était divisée en sous catégorie : Les rapports de forces, le sexe, la violence, et des fois le langage. Le premier était pour la réputation, chose très importante, ou pour les esclaves. Le sexe était le plus utilise et d'ailleurs Vitaly n'a que ça comme souvenir. Le langage était utilise entre démons a forte réputation et au maitre Satan lui même ! Des fois on les mélangeait tous aussi ! Vitaly pourrait en parler, mais la seule phrase qu'il utilisa était malicieusement posée. Il avait tout dit sans rien dire. La chaleur partant de la cheminée se diffusait lentement dans toute l'enceinte de la chambre. Et tandis que Vitaly attendait une réaction positive ou négative de la belle, il se demandait comment les êtres humains pouvaient tomber amoureux...
Gênant ? Voila ce qu'il retint des paroles de la jeune femme ! Il lui répondit sans sourire aucun.


Je vous gêne ??

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Fuite..[PV]

Réponse 13 vendredi 17 octobre 2008, 11:25:11

[T’excuser? Pff, non! Va falloir te faire pardonner! xD]



Les yeux mis clos, le regard toujours rivé sur son interlocuteur, Heilayne avait beau avoir l’air endormie, elle était toujours 100 pour 100 à l’écoute et prête à parler pendant des heures. Bien qu’habituellement, parler la gênait plus que d’autres choses, elle avait été capable de se fâcher après Vitaly, été capable de rester plus d’une demie heure sur son lit avec lui presque nu, sur son lit aussi et cetera. Donc, le stade de la gêne était passé. Enfin, le stade de gêne pour parler, car celui qu’elle voyait l’homme en sous-vêtement n’allait sans doute pas passer aussi rapidement… Tournant un peu son corps pour se coucher face à Vitaly, l’un de ses coude vint s’apposer contre l’oreiller et sa main contre sa joue, soutenant sa tête ainsi. Il fallait dire que si son interlocuteur était peu vêtu, s’en était de même pour la belle comtesse. Une simple nuisette, bien qu’elle ait des manches longues, celles-ci n’était rattachées qu’au tissu couvrant sa poitrine et non à ses épaules, de même pour ses cuisses légèrement dénudés; si elle s’apercevait de ça, c’était la fin pour son visage pâle; Bonjour le rouge tomate!

« Hm…? Racontez-moi un peu… Comment ça ce passait d’où vous venez… »

Parlant sur un ton bas, comme si elle avait peur que les domestiquent soit réveillés et osent s’aventurer dans sa chambre sans cogner, ce qu’elles faisaient souvent lorsqu’elles entendaient un bruit, Heilayne pinça un peu ses lèvres ensemble. Un démon, bien que ce qu’il lui avait dit sur lui la dégoûtait un peu, il y avait toujours une parcelle de curiosité qui restait dans le cœur et la tête de chacun. Lorsque, pour la première fois, on voit un oiseau volé, on a toujours le « pourquoi » dans sa tête qui montre bien qu’être curieux remonte bien plus loin qu’on ne pourrait le croire. Et en plus, parler de son passé pourrait sans doute le rendre plus apte à ce qu’elle le tutoie? Sûrement pas, mais qui sait, qui ne tente rien na rien comme on dit, et Heilayne ne tentait jamais rien, cependant, tutoyer quelqu’un signifiait tant pour les nobles… L’accorder à une personne était un honneur, mais pour eux, c’était simplement les considérer comme… Leurs amis? Leurs égaux? Bref…

Repoussant un peu de sa main libre quelques mèches de sa chevelure s’ayant glissés dans son cou et dans son visage, les joues de la comtesse se rougirent bien plus lors de sa question. Lorsqu’elle avait dit qu’il la gênait, elle n’avait pas vraiment prit conscience de ce qu’elle venait de dire… Grimaçant un peu, Heilayne redressa le menton en mentant sur tout la ligne, foutu mensonge, en plus qu’elle ne savait vraiment mais, vraiment pas mentir…!

« Me gêner? Pfff, vraiment pas, pourquoi me gêneriez-vous? Voyons! »

Relevant les yeux vers le plafond en couchant son dos contre le lit, Heilayne retint son souffle un bref instant pour ne pas fléchir sous sa comédie.
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