Complètement rongé par une paranoïa, qui ne demandait qu'à s'épanouir, il ne se sentait plus lui même. Comme si tout les quarts d'heure, une personne vous chuchotaient d'une voix lascive, des atrocités, qu'on réservait à la gente féminine. Un regard perçant, derrière son regard vitreux, suffit à inspirer la terreur, à n'importe quelle personne, qui osait le regarder droit dans les yeux, en face à face. Il observait délicatement sa proie, blonde, regard larmoyant dans une de cage de fer qui mettait en valeur sa fragilité. Elle était la proie idéale pour un viol. Ou plutôt, sa cible idéale, pour composer son viol, tel un chef d'orchestre, qui rédigeait un concert philharmonique. Il observait sadiquement sa récente acquisition, avant de prendre une clochette sur la table, et l'agita nerveusement. Le bruit des carillons, se propagea dans son manoir, et fut un signe d'appel pour ses servants. Des sbires, qui avaient été eux aussi contaminés par cette folie qui régnait dans le manoir. Peut être était ce la solitude, qui l'avait rendu dans cet état, mais à présent il n'était plus seul, vu que cet être plein de trou, ne serait bon qu'à prendre, reprendre, ses rasades de sperme et celle de ses serviteurs. Qu'il était bon de l'imaginer, maculée de son foutre, et de celui de ses sbires. Il lui tardait de la voir, nue. Il claqua donc des mains, pour demander d'une voix, saccadée, d'un air totalement absent.
" Déshabillez moi ce stupide félin, et que ça saute."
Les serviteurs, dont les yeux étaient couverts, par des masques vénitiens, pour qu'elle ne reconnaisse qu'une seule autorité, s'amusèrent, à lui claquer ses petites fesses de chienne. Akira s'assit sur une chaise, et tapa contre la cage, avec un morceau de fer, pour la rendre dans un état déplorable. Son nouveau objet, n'avait qu'un petit mental, comment oserait elle contester ses ordres ? Elle qui était si fragile, dont un simple aller vient bien placé, la briserait autant dans sa chair que dans ses pensées...
" Tu es ravie d'être ici, petit trou. Je t'assure que tu vas adorer..."
Les serviteurs enlevèrent leurs pantalons, avant d'attacher avec leur ceinture, les maigres poignets de cette petite esclave sexuelle. Esclave qui n'attendait qu'une chose, se prendre un énorme phallus dans son petit trou du cul pour la combler. D'un air sévère, le maitre sortit son sexe, et lui fit avaler de force son sexe, de taille démesurée, qui finirait par l'étouffer, si elle n'apprenait pas à ménager correctement sa respiration. Il remua ses hanches, pour jouer avec sa gorge, alors que ses serviteurs s'amusaient à lui mordre des parties de son corps, comme les seins, ses jambes, ses fesses, voir son clitoris pour la mener sur le chemin de l'ivresse et du plaisir.
" Tu vas apprendre vite à savoir ce qu'on attend de toi, je te le garantis."