Plus tu gigotes, te cambres, ondules ton corps pour tenter d'y échapper, plus ça semble ne faire que l'aider, et lorsque tu pousses quelques gémissements plaintifs, au rythme de quelques poussées, il plisse un regard satisfait, tu cèdes un peu de terrain, chaque seconde, le bord de son énorme gland lui aussi bordé de pointe se fait presqu'amoureusement engloutir par cette bouche anale, tu as beau être particulièrement endurante et bien entrainée, rien ne te préparait à recevoir une chose pareille en toi, et bientôt tu te sens entrouverte par cet impacable cône de chair, faisant de tes fesses de plus en plus écartées un entonoir épousant le contour de son vit.
_ Haaaa.. Aaah..C'est contrôlé, tout ça, ça ne sert qu'a appuyer sa domination, bestiale bien entendu, cet acte bien que plaisant pour lui n'a pas de grande signification "sexuelle", si ce n'est celle d'un être prenant l'ascendant sur un autre, ah, ta rebellion, c'est peut être ça qu'il cherche à briser ? Il s'est senti blessé dans son amour propre de félin , ce pauvre petit chaton ? Un peu, tu as joué la provocation, et, en voilà le prix... Mais à la façon dont ses mains, ses foutus doigts prennent soin de ramollir tes chairs et assouplir ton ossature, tu peux aussi ressentir un désir formidable sous chaque caresse bien qu'efficace pour te libérer le bas du dos, c'est fait avec une graaande précaution, presqu'affective, mais pour rajouter un peu de plaisirs aux divers gémissements montants depuis tout à l'heure :
_ Haaan... Miaw...L'une de ses mains, prends la fuite vers ton entrejambe, ses doigts glissent sur le latex épousant la forme exquise de tes lèvres, mais ce n'est pas assez fort, hein ? Comme sensation... Alors, gratouillons les de nos griffes bien appuyées, créant une friction agréable à la surface de ta combinaison, pinçant parfois ce qu'il devine être ton petit bouton de plaisir, tout en finesse et délicatesse, de cette main, contrastant nettement avec l'énormité poussive qui t'écartèles la rosette.
D'avant en arrière, par d'autres petits essais, poussées, ça rentres, le bord tubeleux y est presque, une fois que ça sera fait, ce sera une délivrance pour nous deux, une de mes grandes mains qui, te maintenait encore jusqu'alors, viens pousser sur son propre bassin, pour achever le travail, le latex s'étires, à nouveau, devient presque blanc, transparent au niveau de ton postérieur tant il est solicité, l'hybride reste tendu, tremblant, appuyé et, cambré au maximum vers l'arrière en présentant ses hanches bien loin vers l'avant et...
Ah ! "-GRRroooAaaAArRrRrrGRrRrrhhh !!"
...Ca y est enfin... une fois que c'est fait il glisse pour plus de la moitié de son engin en toi, tu sens chacune de ses foutues "pointes" racler tes entrailles léchées par ses raisins de chair, il révulse les yeux au ciel, c'est bien serré, mais il reste là, comme ça, quelques secondes pour que tu prennes la pleine mesure de ce qui te déformes le ventre, ses mains caressent ton dos et tes hanches à nouveau, il vient mordiller le latex recouvrant ta nuque, prenant presque toute cette dernière dans sa mâchoire, avant de sortir un peu pour prendre, un pseudo élan, et revenir, plus loin, plus fort, enfonçant quelques rangées de plus que précédemment, ton ventre gonflé, dessines la forme de ce qui t'envahit, jusqu'au nombril, le latex offre vraiment une sensation étrange mais appréciable, enfoncé comme ça dans ton propre corps, t'empêchant tout de même de ressentir la texture semi râpeuse de la "peau" de son membre.
"-Hhhh... hhh... bien... bien ♥"
Le tout en continuant de caliner de plus en plus rapidement le latex épousant tes lèvres, probablement qu'a force de mouiller dans ta combinaison, tu vas finir par t'y noyer...
Il tires la langue, une looongue... langue, l'air hébété par son propre plaisir et sa douleur, car, effectivement ça fait mal, ça lui fait probablement plus de mal que de plaisir qu'a toi, pour quelle raison... Ben d'une, t'es foutrement étroite, t'es musclée et ferme, mais SURTOUT, c'est ce foutu latex, qui lui serre encore le plus la "chose", et, irrites aussi sa peau.
"HAaaawRrrr... RrRRrrr.... RrrRRrr..."
La main qui poussait sur ses hanches se tends, et, viens empoigner ton cou, trois de ses doigts suffisent, qui t'étranglent un rien de par leur simple appui sur ta peau, l'index, viendra pousser tes lèvres et s'introduire dans ta bouche, effectuant un mouvement rotatif cherchant à caresser ta langue, avant de pomper ce doigt massif d'avant en arrière entre tes lèvres.
De ses dents serrées, quelques filets de salive coulent jusqu'a son menton, sourcils fronçés, il déguste, ben tiens, ça lui apprendra à ne pas déballer ses cadeaux avant de s'en servir ! ha ha ! Mais même s'il prends cher, le revoilà reparti à l'assaut, reculant longuement vers l'arrière, mais avec une infinie lenteur qui, laisse se "replier" ses pointes de chair souples dans l'autre sens à l'intérieur de ton corps, contre le latex ça fait également un mal de chien, puisque l'extérieur, lui, n'est pas lubrifié, une fois le bord de son gland arrivé à la limite de ton anneau, il repart, un coup de bélier, encore un peu plus loin, encore un peu plus enfoncé en toi, il grogne, ses muscles nasaux de léonide se froissent, ses yeux mis clos, légèrement absents et vides tant il est concentré sur ce qu'il fait et la maitrise de sa douleur, entre ses dents serrées il pince sa propre langue jusqu'au sang, toi, tu as le ventre gonflé jusqu'a la limite basse du sternum, mais cette fois il y est enfin, il s'y est enfoncé jusqu'a la garde, caressant son muscle pubien rebondi contre l'entrée de tes fesses, bien entendu, une telle présence dans ton corps laisse son lot de dégazements et de déglutitions peut être, indiscrètess et humilliantes se produire, mais il n'en a cure, il est "bien" désormais.
"-Rrrrhâââaaa..."
Il y est et il y reste ! Se contentant de petite frottis, frottas, d'avant en arrière, sa queue de tigre continue de comprimer et, relacher la pression à intervales réguliers tout le long de cette pénétration interminable, sauvage, sinuant comme un serpent autour de tes seins, qui, depuis tout à l'heure se voient "étranglés" par intermitance, et, gonflent d'une surtension sanguine qui, les fait rougir et les dresse d'avantage, et pour accompagner ses différents essais, sa plongée de plus en plus profonde dans tes tréfonds, ses griffes et ses doigts avaient grattés avec de plus en plus d'insistance et de rapidité tes lèvres à travers ce foutu latex, latex qu'il aimerait voir disparaître finalement, au moins au niveau du bas de ton corps, mais il à l'impression que tu aimes ça être prise dans ta combinaison, après tout l'esprit n'est il pas le jouet du corps ? Il craignait que tu ne sois plus "chatte" s'il se mettait à déchirer ton latex à cet endroit, que tu perdes ta combativité et le plaisir que tu commences à y prendre, ça serait dommage que tu ne sois plus toi même. ♥
(et une petite illustration en prime )
http://img14.imageshack.us/img14/3032/unled1zl.jpg