Quel bonheur d’entendre ses gémissements de plaisir, mêlés à ses sanglots, alors qu’elle enfouit sa tête entre ses bras, pour les étouffer. Mes larges mains vagabondes sur ses fesses douces et fermes, alors que ma verge imposante continue d’aller et venir avec force entre sa fente humide. Sans doute que dans son esprit, il doit naitre des envies de vengeances, mais quand je quitterai cette pièce, je serai une toute autre personne. Et peut être même son frère adoré ? Son père ? Je souris au sentiment d’invulnérabilité que me procure cette situation.
Après plusieurs minutes à prendre en levrette Adelheid, je descends mes mains vers ses cuisses, et tout en laissant mon membre profondément en elle, déformant ses parois, je la soulève, pour plaquer son dos contre mon torse. Je recule pour venir m’asseoir sur un fauteuil, et j’en profite pour venir lécher le cou de Frig, alors que je jette un coup d’œil à son petit ami, et je remarque que son pantalon est déformé par une belle érection.
Eh bien regardes Adelheid… Comme ton fiancé est excité que tu sois prise ainsi… Il ne t’as sans doute jamais vue prendre autant de plaisir…
D’une main je viens agripper son sein gauche, que je masse avec désir, jouant avec son téton par moment, alors que de l’autre, je viens caresser son ventre, et je frotte du bout des doigts son clitoris.
Allez… A toi de jouer…
Je la laisse mener la danse d’elle-même, elle commence à mouvoir son bassin, de bas en haut, sur mon gros barreau de chaire. Des râles de plaisir s’échappent de ma gorge, et au bout de longues minutes, où je sens la jouissance parcourir mon corps, je viens saisir les cuisses d’Adelheid pour les soulever, et ainsi inculquer mon propre mouvement de bassin. Mon sexe commence à aller et venir à une vitesse effrénée dans celui de la Norvégienne, frottant contre l’intégralité de ses parois.
HMM ! HMM ! Je vais te remplir comme jamais tu l’as été !!
Je sens la jouissance envahir mon corps, alors je remonte mes mains sur le haut des cuisses de Frig, pour mieux venir plaquer son bassin fermement contre le mien. Ma verge dure et large est ainsi pressée entièrement par son vagin, et libère de longs et épais jets de sperme à l’intérieur. Le verrou que constitue mon phallus, empêche ma semence de ressortir et la contient en elle. Mon éjaculation dure de longues secondes, et j’espère pour Adelheid qu’elle n’a pas oublié son contraceptif aujourd’hui…
Je reprends doucement mon souffle, avant de soulever la Norvégienne, et de la laisser doucement retomber à terre. Mon sperme commence déjà à dégouliner de son vagin, alors que je me redresse, et me rhabille correctement. Je lance un regard sadique vers son petit ami, en reprenant mes affaires.
Eh bien… Ta petite amie c’est une sacrée petite garce…
Je me penche vers Adelheid, et tout en malaxant une dernière fois ses fesses, je murmure à son oreille.
A la prochaine…
Je me redresse, toujours avec la télécommande de la chaise électrique à la main, devant ses deux humains en pleurs, qui pensait que l’amour faisait le bonheur. Voilà ce que j’en ai fait de leur amour.
Je pourrais bien sûr, envoyer une décharge à la puissance maximale sur l’homme, pour le tuer, et faire de même avec Adelheid, mais ils souffriront beaucoup plus en tentant de vivre après ça. Et puis ce n’est pas comme si je risquais d’être arrêté par la police… Je me recule vers la porte, et juste avant de quitter l’appartement, je laisse tomber la télécommande à terre. Et comme à mon habitude, après m’être dépêché à quitter le couloir, je me transforme en petit vieillard inoffensif, et je quitte tranquillement les lieux.
C’est une bataille de gagner, dans la guerre que je mène contre cet amour que les humains aiment tant revendiquer. J’ai fait partir les sourires amoureux et les airs insouciants du visage de ces humains, et j’ai fait souffrir celle qui a presque réussit à m’écarter de mon but.
J’en ai finit avec Adelheid pour le moment, mais quand elle s’y attendra le moins, où elle aura repris espoir, qu’elle pensera avoir oublié tout cela, qu’elle fera de nouveau confiance aux hommes, en l’amour : Je serai là.