Il sentit Marine légèrement troublée par ce qui se passe il n’arriva pas à savoir si c’était l’effet de sa langue ou de ses mains, étais ce du à la douleur ou au plaisir. Il voulait en avoir le cœur net éprouvait elle du plaisir cette petite effronté car d’un coup plus un mot plus un cri un silence totale, ce qui n’était pas habituelle de sa part, aucune provocation non plus.
Zanzibar arrêta de lui lécher les plaies du dos et commença à pincer, tirer ; tourner, écraser les tétons de la belle Marine afin de voir sa réaction.
« Bouge pas ! J'ai une nouvelle petite surprise pour toi. Je pars la chercher, j’en ai pour deux minutes. »
Zanzibar parti dans la pièce qui se trouvait non loin de la, on entendit une sorte de scie à métaux résonné un peu partout, des morceaux de métal qui tombaient au sol. Il revient avec 4 petites barrettes de métal d’environ 10/15 cm de long puis un fil de fer pas trop épais. Zanzibar se paca légèrement sous Marine si plaça le téton entre deux des barattes et serra un maximum pour comprimé celui-ci entre les deux petite barre de métal lié entre elle parle petit fil de fer à chaque extrémité.
Il se plaça derrière elle et mis une barre de ferre entre les deux cheville pour maintenir les cuisses bien ouverte de Marine. Il engouffra son doigt dans la chatte une certaine humidité ; il commença un léger va et vient :
« Dis moi petite, tu mouilles, est-ce la douleur sur tes seins ou ma langue qui te mette dans un tel état »
Sur ces paroles, il arrêta de s’occupe de cette chatte toute humide et se plaça devant elle, lui redresse la tête afin de voir ses yeux :
« J’aime voir ce regard en toi »