Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Marine le lundi 08 mars 2010, 23:38:07
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Il était déjà très tard quand Marine reprit le chemin de sa chambre d’hôtel. Elle était restée jusqu’à la fermeture de la bibliothèque et ensuite, elle était allée courir pour se détendre. Son corps avait besoin de se défouler après les longues heures passées assise sur une chaise à lire de nombreux ouvrages.
Elle appréciait de pouvoir se détendre avant d’aller dormir. La fatigue musculaire associée à la fatigue mentale la faisait s’endormir assez rapidement. Ses heures de sommeil étaient peu importantes, elle essayait d’en profiter le plus possible.
Après avoir couru plus d’une heure dans le bois et le parc, elle se dit que c’était bien assez et reprit, en marchant, la direction de son lieu de vie temporaire. Elle savait qu’elle n’y resterait plus très longtemps. A présent qu’elle avait un travail, elle pouvait se permettre de trouver un logement plus définitif.
Elle avançait à présent dans les rues désertes éclairées par les lampadaires. Un fois de plus, elle avait laissé sa chaude cape de velours à l’hôtel. Après sa course, la température de son corps retombait et elle avait toujours froid. Elle croisa les bras sur sa poitrine. Sa combinaison verte n’était pas assez épaisse pour la protéger du vent glacé qui soufflait. Elle avait hâte de se retrouver dans son lit, au chaud.
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Durant toute la journée Zanzibar s’est promené dans la ville et certains lieux publics afin de rechercher de nouvelles proies. Rien de bien intéressant et la nuit commença doucement à tomber (son moment de la journée préféré). Il commençait à se dire qu’il allait surement chercher une proie dans l’un des bars de striptease de la ville comme à son habitude mais pour lui ceci n’est pas une chasse à mettre dans ces tablettes car les filles ont vite fait de dire oui pour s’éclipser avec lui (quel dommage..).
Zanzibar eu un flash, oui à la bibliothèque, cette jeune femme, qui avait l’air d’être seule, en train de lire. En voila une belle proie, appétissante, jeune, belle, de longs cheveux…. Il prit l’initiative de se mettre en chasse pour la retrouver. Mais comment allait-il la s'y prendre.
Une question lui vient également à l’esprit : Serait ce une proie sanguine ou sexuelle et pourquoi pas les deux (en pensant ceci un petit sourire se fit sur son visage laissant apparaitre ses deux crocs).
Il revêtît son ensemble noir en cuir, ses gants et décida de se rendre vers la bibliothèque afin de repérer ou de sentir cette jeune femme. Zanzibar arriva trop tard la bibliothèque est déjà fermée, un peu déçu il commença à marcher dans les rues sans plus trop y croire lorsque soudain il sentit au loin l’odeur d’une femme (serais ce t elle ?).
Il couru sur les toits pour ne pas être repéré et se mit à espionner cette jeune femme par les toits en la suivant discrètement. Il l’a reconnu voici sa belle inconnue de la bibliothèque. Celle-ci avait l’air d’avoir froid, de la fumée se dégageait de son corps (vue sa tenue Zanzibar se doutait qu’elle revenait de faire du sport), il sentit l’odeur lui arrivé à ses narines (un nouveau petit sourire). Celle-ci avait l’air d’avoir bien froid vue son état et la position de ces bras. Une aubaine pour lui pour essayer d’engager une conversation.
Zanzibar arriva un peu plus loin dans la rue, et attendit tranquillement sa nouvelle proie, appuyé à un lampadaire (il lui faut cette jeune femme ce soir pensa t il). La jeune femme passa devant lui, le regarda et Zanzibar lui parla :
- « Bonjour à vous et bonne soirée, je me présente je m’appel Zanzibar »
Il se redressa et commence à suivre un peu la jeune femme en lui proposant son manteau en cuir :
- « Puis je vous proposer mon manteau en cuir, vous avez l’air frigorifier »
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Marine avançait rapidement. En relevant la tête, elle aperçut un homme appuyé contre un des lampadaires. Il semblait attendre quelqu’un au vu de son attitude un peu décontractée. Plus elle approchait de lui, plus elle remarquait son physique particulier. Si ses vêtements paraissaient assez commun, lui en revanche ne l’était pas du tout. Un teint blanc, des yeux rouges, des tatouages sur le visage. Encore un qui voulait se la jouer gothique. C’était la mode en ce moment comme si les gens voulaient fuir une certaine réalité.
Marine haussa les épaules. Après tout, chacun faisait ce qu’il voulait. Cet homme comme les autres. Néanmoins, elle se sentait assez mal à l’aise. Une nouvelle fois son instinct s’éveillait et la mettait en garde contre l’homme devant elle. De toute façon, elle n’avait pas l’intention de lui parler alors elle continua son chemin.
Alors qu’elle passait devant lui, il lui adressa la parole :
« Bonjour à vous et bonne soirée, je me présente je m’appel Zanzibar »
La jeune femme ne releva pas et poursuivit son chemin. Malheureusement, l’homme lui emboita le pas.
« Puis je vous proposer mon manteau en cuir, vous avez l’air frigorifier »
Marine accéléra le pas. Elle n’avait vraiment aucune envie de discuter. Elle détestait parler aux gens et là encore moins. Mais l’homme dénommé Zanzibar continuait de la suivre à son grand énervement. Elle finit par se retourner et se planta devant lui :
« Monsieur, je vous remercie mais je suis une grande fille qui n’a nullement besoin d’un garde du corps, ni d’un manteau. Bonne nuit à vous »
Elle avait parlé d’un ton des plus glacials, son visage totalement fermé. Ses yeux, seuls, exprimaient son énervement. Elle inclina la tête par politesse et reprit son chemin vers l’hôtel. Pourquoi attirait-elle toujours les plus bizarres des personnes ?
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Voyant cette jeune femme continue son chemin, Zanzibar continua de la suivre dans cette rue déserte. Zanzibar pensa cette petite effrontée ne répond même pas à mes salutations. En colère Zanzibar accéléra le rythme de sa marche pour rattraper cette jeune femme qui pour Zanzibar lui a manque de respect
Arrivé à sa hauteur cette jeune effrontée se retourne et d’un ton glacial, et un visage fermé réponds à Zanzibar :
« Monsieur, je vous remercie mais je suis une grande fille qui n’a nullement besoin d’un garde du corps, ni d’un manteau. Bonne nuit à vous »
Celle-ci reprit le chemin de sa chambre sans se préoccupé de son interlocuteur. Celui-ci arriva a vive allure en silence dans la nuit, l’attrapa par les cheveux et la retourna pour la mettre face à lui. Il lui répondit :
« Jeune effrontée pour qui te prends-tu pour me répondre ainsi ? »
La reposa à terre et en partant celui-ci lui dit en lui tournant le dos :
« Nous allons très vite nous revoir en tête à tête ma chère »
Et disparu dans la nuit plus vite qu’il n’est apparût
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Alors qu’elle poursuivait son chemin, une main lui agrippa les cheveux la faisant crier et la fit se retourner. La force de l’homme était telle qu’il la soulevait totalement. Ses pieds ne touchaient plus terre. Elle se retrouva en face de celui qu’elle venait d’envoyer sur les roses.
« Jeune effrontée pour qui te prends-tu pour me répondre ainsi ? »
Marine n’eut pas le temps de répliquer, Zanzibar la lâcha et se retourna. Alors qu’il s’en allait, il lança à la jeune femme une remarque qui ne lui disait rien qui vaille.
« Nous allons très vite nous revoir en tête à tête ma chère »
Marine n’était pas du genre à avoir peur mais cet homme avait réussi à lui donner la chaire de poule. Son instinct avait raison de lui dire de se méfier, désormais elle serait sur ses gardes. Elle regarda quelques instants l’homme s’éloigner avant de faire volte face et de se diriger vers son hôtel.
Une fois dans sa chambre, porte fermée, elle se sentit un peu plus en sécurité. C’était naïf, évidement, une simple porte n’arrêterait pas un agresseur décidé mais, à ce moment, ça la sécurisait. Elle était tendue et son esprit n’arrivait pas s’enlever la dernière phrase dites par l’homme de marbre. Elle avait besoin de se calmer et elle ne connaissait qu’un moyen, une douche. Elle se déshabilla en un temps record et entra dans la douche. Quand, l’eau se mit à couler sur elle, elle se sentit mieux. Au fil des minutes qui s’écoulaient l’eau coulant sur sa peau, ses muscles, la détendaient. Finalement, presque à regret, elle ferma le robinet et sortit de la cabine, l’eau dégoulinant sur son corps.
S’emparant d’une serviette, elle s’épongea rapidement le corps et s’attaqua à ses cheveux tout en retournant dans la chambre afin d’enfiler sa nuisette.
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Zanzibar monta sur les toits et suivie cette jeune effrontée. Pas froid aux yeux cette demoiselle pensa Zanzibar, ça risque d’être sport jolie challenge pour jolie cul , cette pensée le fait ricaner….. il vît cette jeune femme rentrée à son hôtel et il repéra la chambre ou celle-ci entra.
Il sauta sur le balcon de la fenêtre de sa chambre la vit se déshabiller , rentrer sous la douche, nue , il vis sa poitrine se faire savonner ses tétons durcir sous les caresse savonneuse. Une proie sexuelle de toute beauté pensa Zanzibar. Il s’aperçût que la porte fenêtre était entre ouverte, il entra sans bruit et déposa sur l’oreiller un petit mot :
« je t’avais dis qu’on allait se retrouver en tête à tête, tu es très belle entrain de te savonner dommage la fumée de l’eau chaude m’empêchait de voir ton entre jambe, ce n’est que partie remise j’aurais tout le temps de la contempler et même plus d’ici peu. »
Il attendit la réaction de cette jeune effrontée elle qui paraissait si sure d’elle.
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Une fois ses cheveux secs, elle posa la serviette sur le dos de la chaise afin de la faire sécher. Elle se démêla rapidement les cheveux avant d’attraper sa nuisette de coton blanc et de l’enfiler. Alors qu’elle allait se coucher, elle vit le mot posé sur son oreiller.
« Je t’avais dis qu’on allait se retrouver en tête à tête, tu es très belle entrain de te savonner dommage la fumée de l’eau chaude m’empêchait de voir ton entre jambe, ce n’est que partie remise j’aurais tout le temps de la contempler et même plus d’ici peu »
La peur revint dans la jeune femme alors qu’elle parcourait les lignes du mot. Elle jeta un coup d’œil circulaire. La pièce était vide mais elle remarqua la porte fenêtre entrouverte. La déduction était logique quand à la manière dont Zanzibar était entré dans sa chambre. Ce qui l’ennuyait le plus, c’était qu’il savait où la trouver maintenant.
Dans l’absolu, elle aurait pu tenter de fuir mais ce n’était pas son genre. A la peur succéda la colère. De qu’elle droit se permettait-il de la regarder et surtout de la menacer ? D’un geste rageur, elle froissa le mot et le jeta à la poubelle.
*Comme vous voudrez monsieur Zanzibar, je vous attends ! Et vous risquez d’être bien mal reçu ! *
Elle alluma la lampe de chevet et éteignit la lumière de la pièce. Elle se glissa sous les couvertures avant d’attraper un des nombreux livres empruntés à la bibliothèque. Malgré son air détendu, elle était aux aguets. Elle serait sur ses gardes à présent chaque heure, chaque jour qui passera. Elle serait prête à la recevoir !
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Zanzibar vit cette jeune femme qui commençait à s’inquiète après la découverte du mot pose sur son lit. Le froissement du mot entre ses mains et le jet dans la poubelle traduisait l’état d’énervement de celle-ci (tout ce passait comme prévu..). Il est surprît par la ténacité de cette dernière et le courage de celle-ci. Zanzibar en as connu des proies et il peut compter sur le bout de ses doigts celle qui ne se sont pas enfuie devant lui. Et de plus se sont les meilleures….
Zanzibar était suspendu au plafond de la chambre telle une chauve souris au dessus du lit, une vue imprenable sur sa proie. Quelle est belle , quelle jolie poitrine sous la nuisette (pointe t elle sous la dentelle une grande question….). D’un coup ses pensées sont interrompues par une voix, la voix de cette effrontée qui le dérangea une nouvelle fois :
*Comme vous voudrez monsieur Zanzibar, je vous attends ! Et vous risquez d’être bien mal reçu ! *
Coriace la demoiselle, la pire qu’il est croisé depuis sont arrivée en ville……Pour l’a capture il va falloir que Zanzibar la joue finement pensa t il …..La garce pensa t il, elle laisse une lumière, plus futée que prévue.
Il tira de son manteau un long bout de corde et attendit un moment. Vu le sport qu’elle a du faire elle ne va pas tarder à s’endormir (la nuit est mon monde à moi). Les heures passèrent et les aiguillent tournent. Par moment il vit le visage commencé à tomber et se releva d’un coup…Quand va-t-elle s’endormir cette effrontée afin qu’elle paie l’affront qu’elle a fait à Zanzibar de lui parlé ainsi….
Le seule moyen de pouvoir capture cette proie sera demain matin au moment de sa douche. Vue l’heure maintenant plus que ceci à faire. Mais être au plafond au réveil trop risque. Un moment ou cette effrontée se laissa aller dans une somnolence il se laissa tombé a terre sans aucun bruit et glissa sous le lit yeux ouvert bras replie sur lui.
Cette effronté au prénom inconnue se réveilla et posa les pieds par terre. Passa un appel à l’accueil pour leur dire qu’elle passera prendre le petit déjeuner en salle (Zanzibar pensa : Crois tu ma belle que tu va avoir le temps de prendre ton petit déjeuner ce matin).
La nuisette tomba au sol et il l’a vit partir vers la douche (un régal pour les yeux). Il prit la nuisette et le string de la veille et le porta à son nez pour s’imprégner de l’odeur de la jeune femme. Et les remis par terre.
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Marine attendit longtemps avant que le sommeil vienne la prendre mais même endormit elle restait en alerte. Au moindre bruit elle se serait réveillée. Un rayon doré vint la tirer de son sommeil. Le jour était levé bien qu’il soit encore tôt.
La jeune femme s’étira avant de poser ses pieds au sol. Sans se douter que Zanzibar était dans la pièce, elle se déshabilla et partit pour la douche. Elle sursauta quand l’eau coula sur elle. Elle n’avait pas fait attention et c’est de l’eau froide qui glissa sur elle. Elle tourna le robinet de manière à l’avoir un peu plus tiède. Elle attrapa son savon et commença à se laver.
[HRP : un peu court mais je voyais trop comment avancer ^^']
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Zanzibar entendait l’eau coulé, un petit cri s’échappa de la bouche de Marine, celle-ci avait du mal à émerger de son état de fatigue et de stress, elle avait oublié de mettre de l’eau chaude pour avoir de l’eau à la bonne température.
Il sentait qu’elle était toujours sur ses gardes et il ne fallait pas qu’il commette la moindre erreur pour pourvoir capturer sa nouvelle proie. Il hésitait toujours entre proie de sang ou proie de sexe. Il fallait qu’il choisisse vite car les deux options ont une fin et une approche différente.
Un bruit retentit qui le tira de ses pensées, on frappe à la porte, Zanzibar se recula sous le lit pour ne pas être vu. Marine cria (d’un ton craintif) :
- « Qui est ce ? »
- « C’est la réceptionniste pour vous dire, que nous avons un soucis en cuisine et que le petit déjeuner sera prêt en salle d’ici 30 minutes, Veuillez nous excuser. »
Il se dit voila qui me laisse un peu plus de temps pour Marine et mettre fin à son insolence. Maintenant il est sur qu’il ne sera plus déranger.
La fumée de l’eau chaude se faisait plus présente dans la salle de bain, Zanzibar décida de choisir se moment la pour entrer dedans et ne voulant pas prendre en traitre sa proie, mit le string sur le bord de l’évier qui sera visible.
Il se cacha dans un recoin de la salle de bain et attendit tranquillement que Marine finisse sa douche
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L’eau qui coulait sur son corps décontractait Marine. Elle ne put s’empêcher de sursauter quand elle entendit toquer à la porte.
« Qui est-ce ? »
Sa voix n’était pas des plus affirmées mais elle se rassura en se disant que le sus dit Zanzibar ne passerait certainement pas par la porte et qu’il y frapperait encore moins.
« C’est la réceptionniste pour vous dire, que nous avons un souci en cuisine et que le petit déjeuner sera prêt en salle d’ici 30 minutes, Veuillez nous excuser »
Marine souffla. Elle avait eu tord de s’inquiéter. Du moins, pour cette fois. Elle finit par sortir de la cabine de douche. Elle y était restée un bon moment au vu de la buée qui recouvrait le miroir et de la fumée qui remplissait la pièce. Alors qu’elle allait attraper une serviette, elle remarqua sa culotte sur le bord du lavabo. Ce n’était pas elle qui l’avait mise là. Elle en était certaine.
Tous ses sens se mirent en alerte, il était là. La combattante en elle se réveilla. Sans bouger, elle attendait, aux aguets. Prête à toutes éventualités.
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Ca y est Marine vient de comprendre que Zanzibar était dans sa chambre et pas loin d’elle. Où pouvait-il se cacher. Zanzibar sentit que Marine attentait tout simplement le moindre bruit, le moindre geste pour pouvoir paré à toutes attaques de sa part.
Il sortit d’un coup de sa cachette, dans chaque main une extrémité d’une serviette et la passa autour du cou à Marine la coucha par terre.
- « bonjour, te rappel tu de moi ? Je t’avais bien dis qu’on allait se retrouver tous les deux ! »
Il vit enfin ce corps de prêt et ne pu s’empêcher de lui dire :
- « Tu ne me facilite pas la tâche avec ce corps humide, j’hésitais entre proie sanguine ou proie sexuelle je pense que mon choix va être vite fait ! »
Il ne desserra pas son emprise afin d’empêcher Marine de ne pas crier la traina vers le lit, la souleva et la plaqua sur celui-ci sur le ventre. Bloqua ses mains à l’aide de ses pieds et lui bâillonna la bouche. Il se mit à fouiller dans ses poches et sorti un fil de fer et lui ligota les mains à l’aide de celui-ci.
Il retourne Marine et lui dit :
- « je vais enlever ton bâillon si tu crie je change d’avis sur ton destin et ton statut de proie, est ce compris ? »
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Marine se retrouva soudain avec une serviette autour de la gorge et plaquée au sol. Elle entendit alors la voix de Zanzibar, elle aurait du s’en douter. Il possédait une sacré force.
« Tu ne me facilite pas la tâche avec ce corps humide, j’hésitais entre proie sanguine ou proie sexuelle je pense que mon choix va être vite fait ! »
Il la traîna jusqu’au lit et l’y jeta sur le ventre avant de lui ligoter les mains.
« Je vais enlever ton bâillon si tu crie je change d’avis sur ton destin et ton statut de proie, est ce compris ? »
Elle hocha la tête. Crier ne servirait pas à grand-chose de toute façon mais s’il croyait qu’elle allait se laisser faire, il pouvait toujours courir. Ce n’était pas vraiment son genre de se laisser faire.
Elle se demandait cependant ce qu’il voulait dire par proie de sang. Elle ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. Par contre, proie de sexe, ça elle l’avait bien compris. Elle ne pouvait certes pas bouger pour le moment mais qu’il lui laisse seulement une chance et il comprendrait sa douleur. S’il comptait la violer, libre à lui, ce n’était pas ça qui allait la traumatiser. En tout cas, ça ne la traumatiserait pas plus que tout ce qu’elle avait vécu jusqu’alors.
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Marine hocha de la tète, il retira le bâillon, et la fixa dans les yeux. Espèce de petite effrontée de quelle droit tu t’es permis de me parler ainsi il la releva et la mis en position assise sur le lit et se plaça face à elle.
« Je suppose que tu vois ce que je veux dire par proie sexuelle mais je doute que tu comprennes le terme proie sanguine. Donc pour te facilite la tache et l’esprit pas la peine d’essayer de me tuer je suis mort depuis 1755. »
Zanzibar ouvrit la bouche et laisse ses deux canines bien apparentes en poussant un cri sadique
Il tira sur la serviette afin de dénudée totalement Marine et passa une main entre ses cuisses :
« Hum toute fraichement épilée un régal on verra ceci de plus prêt un peu plus tard »
La fixa :
« Alors on fait moins la fiere, Mademoiselle ! »
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Mort en 1755 ! Cela résonna fort mal à ses oreilles. Cet homme serait mort il y a plus de 200 ans. Comment était-ce possible ? Il lui montra ses canines. Un vampire ? Marine n’en avait jamais vu. Comme pour la majorité des gens, les vampires étaient pour elle des êtres sortis de l’imagination de quelques écrivains comme Bram Stoker, le père de Dracula. Elle savait aussi que certaines personnes, un peu dérangées, prenaient le parti de vivre comme ses « héros » nocturnes. Visiblement, elle avait à faire à de ses illuminés. La jeune femme ne pouvait croire une telle histoire. Elle était bien trop rationnelle pour ça.
Elle le sentit passer une main sur son intimité et s’e réjouir. Le regard de la jeune femme se fit des plus assassins. Ce n’était pas à cause de ce qu’il faisait, ça elle s’en fichait bien, c’était plutôt le droit qu’il prenait sur elle qui lui déplaisait fortement.
« Alors on fait moins la fière, Mademoiselle »
Elle le regarda droit dans ses yeux couleur de sang.
« Je ne sais pas qui vous êtes ou ce que vous êtes mais vous regretterez de vous en être pris à moi. Si vous voulez me violer, ne vous gêné pas mais croyez bien que je me vengerai d’une manière ou d’aune autre ! »
Elle ponctua ses propos en lui crachant au visage juste pour lui faire comprendre qu’il aurait fort à faire avec elle.
« Si vous voulez vous épargner des ennuis, vous avez deux solutions. Soit vous me laissez tranquille, soit vous me tuez. A vous de choisir »
Un rictus des plus mauvais se dessina sur les lèvres de la jeune femme prête à tout. Qu’il lui laisse une seule chance et elle lui ferait passer l’envie de s’en prendre à elle !
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La jeune demoiselle n’en croyait pas ses oreilles, mort il y a plus de 200 ans, elle ne croyait pas ce qu’elle entendait. Zanzibar décida de lui prouve un peu ses dire. Il la leva et la mit devant un miroir face a elle uniquement son reflet…..un ricanement se fit entendre et il l’a fit se rassoir sur le lit, la regarda froidement dans les yeux
Ceci peut il répondre à ta question que tu m’a posé :
- « Je ne sais pas qui vous êtes ou ce que vous êtes »
- « Pour le reste seul moi c’est ce que je vais faire de toi et ceci tu le découvrira bien assez tôt »
Marine lui crachât à la figure, zanzibar ramassa la salive de celle-ci et la porta à sa bouche, et l’avala en s’exclamant :
- « Hum ! quel délicieux gout, très bonne salive, mes compliments. »
Mais pour ce geste que tu viens de faire tu va le regretter il passa son ongle taillé en forme de pointe sur le cou de Marine et une trainée de sang coula le long de celui-ci. Zanzibar se jeta sur le sang et l’aspira et le lécha.
Par contre, Zanzibar n’a toujours pas apprécié ce geste de cette petite garce te lui retourne une gifle :
- « Ne recommence jamais de t’aviser de me recracher à la figure, sinon c’est toi qui pourrait le regretter d’avoir croiser mon chemin »
On va aller faire un petit tour tous les deux , chez moi on sera plus à l’aise.
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Elle le regarda avaler sa salive. Elle était dégoûtée. Lorsqu’il la blessa au cou et but son sang, un frisson la parcouru. La peau de l’homme était glaciale. Pas comme une peau froide mais comme s’il sortait d’un tombeau. Un vampire ? En était-il bien un ? L’esprit pragmatique de la jeune femme avait toujours du mal à se faire à cette idée.
Il se recula et la gifla fortement. Sa tête partie sur le côté.
« Ne recommence jamais de t’aviser de me recracher à la figure, sinon c’est toi qui pourrait le regretter d’avoir croisé mon chemin »
Elle le regarda à nouveau droit dans les yeux. S’il croyait lui faire peur avec une simple gifle, il était loin du compte. Un sourire ourla ses belles lèvres roses foncées, presque rouges alors qu’elle ne se maquillait jamais.
« Ce n’est pas en me frappant et en buvant mon sang que vous me ferez peur ! »
Elle ponctua sa phrase d’un nouveau crachat comme pour bien lui signifier qu’elle n’en avait que faire de ses recommandations.
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Il se doutait bien que cette jeune femme allait lui donner du fil à retordre. Et il en fut vite averti :
« Ce n’est pas en me frappant et en buvant mon sang que vous me ferez peur ! »
Suivit d’un nouveau crachat afin de bien faire comprendre à ce vampire qu’elle n’a nulle intention de se laisser faire et qu’il y aura du répondant en face de lui
Il lui fallait un moyen pour pouvoir la porte loin d’ici sans qu’elle crie au scandale, il n’habitait pas très loin de là dans un vieux bâtiment en état d’abandon, en passant par les toit il lui fallait pas plus de 5mn donc il suffisait de la rendre inanimée ou fatiguée afin qu’elle le lui laisse le temps de la porter à l’abri des regards et de la venue du personnel de l’hôtel.
Il prit Marine par la gorge comme pour l’étrangler et la souleva, les pieds de Marine ne touchèrent plus le sol, et lui remis un bâillon dans la bouche :
« Ca évitera que tu me salisse encore mon visage, petite ! »
Il l’allongea sur le ventre, un genou sur le dos afin de bloquer Marine, et ressortie de nouveau fil de fer de sa poche. Pris une cheville, puis l’autre et les attacha au lit, il fit de même avec les mains.
« Petite garce, je tiens à te remercier ta serviette humide va énormément me servir »
Il enroula sur elle-même la serviette humide de Marine, celle-ci nue, attachée, bâillonnée, devant lui. Et d’un coup la serviette s’abattît sur le dos à Marine et les autres coups suivirent à la foulée. Le dos commença à rougir de plus en plus (le but de Zanzibar affaiblir au maximum cette jeune femme afin de la porte tranquillement)
La vue de la rougeur du dos commença à excité Zanzibar …Ceci lui rappelait le temps où il dominait sa chère et tendre compagne …
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Une nouvelle fois le dit vampire la prit par la gorge, la souleva et la plaqua face contre le lit. Après l’avoir bâillonné, il lui lia les pieds avec du fil de fer comme il l’avait fait pour ses mains. Ainsi, bâillonnée et ligotée, elle était incapable du moindre mouvement pour tenter de se soustraire à Zanzibar.
« Petite garce, je tiens à te remercier ta serviette humide va énormément me servir »
S’il l’avait eu en face de lui alors qu’il prononçait ces paroles, l’homme l’aurait vu fléchir les sourcils en signe d’interrogation. Elle ne voyait pas bien ce qu’il voulait dire jusqu’à ce que le premier coup s’abatte sur son dos. Le coup la surprit mais la douleur était supportable. Elle l’était beaucoup plus que les coups de fouet qu’elle avait prit par le passé et dont les cicatrices zébraient son dos, ses fesses et ses hanches. Son tatouage masquait tout juste quelques unes d’entre elles.
Elle posa sa tête sur le côté et se concentra sur un point invisible de la pièce. Une technique qu’elle avait apprise pour détourner son esprit de la douleur qu’on pouvait lui infliger. Elle sursautait à peine à chaque fois que la serviette frappait son dos. Un simple frémissement secouait son corps. Qu’il s’amuse ! Il verrait de quoi elle était capable dès qu’elle pourrait se libérer !
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Robuste la demoiselle se disait Zanzibar en lui même..... Encaisser autant de coup sans faiblir la partie n'est pas gagnée mais ce n'est pas à une simple femme de mener un homme (surtout un Noble dans son rang de vampire à son époque lol)
Il avait été tellement en colère après celle ci qu'il n'avait pas fait attention à ce tatouage qu'on avait désormais du mal à voir désormais (mais que pouvait il bien représenter se demandait Zanzibar).
Une fois qu'il fut un peu détendu et calmé, il s'adressa à Marine :
- "je suis très impressionné par ta résistance au coup, peut de femme arrive à résister ainsi. Mais je suis désolé pour toi, ta résistance à une limite et vue ton dos je pense que tu vas avoir tu mal à résister à ma ceinture de cuir."
Zanzibar détachât sa ceinture la pris du côté opposé à la bouche et continua son traitement de fond sur le dos de la victime. Les coups se portèrent sur le dos, fesses, et aussi sur l'arrières des jambes et cuisses (ceci lui éviteras de courir trop vite au cas ou)
Il arrêta descendit le bâillon et demanda :
-"Sa te suffit et tu es sache ou tu en veux plus pour te calmer ?"
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Elle l’entendit défaire sa ceinture et il commença à la frapper avec. La douleur s’accentua. De simples marques rouges, son dos commença à se zébrer de plaies sanguinolentes. Cela ne se limita pas à son dos. Il frappa aussi ses fesses et ses cuisses.
Zanzibar s’arrêta un instant et défit son bâillon.
« Ça te suffit ou tu en veux plus pour te calmer ? »
Le regard de la jeune femme était des plus haineux envers son tortionnaire. Ce n’était pas les coups qui allaient la faire se tenir tranquille.
« Arrachez moi la peau du dos si ça vous amuse mais ne comptez pas sur moi pour me calmer ! »
Plus elle avançait dans sa phrase, plus sa voix gagnait en puissance. Une énième provocation à son égard. Qu’il fasse ce qu’il voulait d’elle mais elle n’allait pas se laisser faire.
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Quelle arrogance et résistance au coup pensa Zanzibar qu’en t il entendit sortit de la bouche de Marine :
« Arrachez moi la peau du dos si ça vous amuse mais ne comptez pas sur moi pour me calmer ! »
Le temps presse car si Marine ne va pas en salle prendre son petit déjeuné, le personnel va venir voir ce qui se passe.
Il remit le bâillon, lui banda les yeux, détacha ses mains et les attacha en les serrant très fort (le fil rentre presque à l’intérieur de la peau le sang apparait doucement), et en fait de même avec les chevilles.
« Nous allons nous promener ma belle, on va t’emmener chez moi »
A la fin de la phrase, il lécha avec un grand coup de langue la blessure qu’il avait faite avec son ongle. Il l’a souleva et la plaça sur son épaule (comme un sac à pomme de terre
Et commença à passer de toits en toits, jusqu’à sa demeure. La posa assise par terre. Et déplaça une poulie sur la poutre et y attacha des chaines (il remarqua que Marine était attentive à touts les bruits qui passait autour d’elle.
L’attachât au à la poulie, lui retira le bandeau et la suréleva pour évite que ses pieds soient au sol.
« Chérie je dois m’absenter, cherche un cadeau pour toi je te laisse suspendue avec mes deux compagnons. »
Et la deux Rottweilers arrivent et s assoit face à Marine, Zanzibar claqua la porte et sortie.
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Au vu des paroles qu’elle venait de prononcer, Zanzibar fit le choix de la débâillonner et de lui bandé les yeux. Marine sentit qu’il resserra le fil d’acier sur ses poignets et ses chevilles. Le métal lui rentrait dans les chairs. Elle grimaça. Du moins, elle essaya car avec la bouche obstruée c’était difficile.
« Nous allons nous promener ma belle, on va t’emmener chez moi »
Elle se sentit soulevé et mise sur ce qui devait être l’épaule du vampire. Elle sentit l’air froid sur sa peau. Elle frissonna. Elle fut surprise du silence absolu dans lequel se déplaçait l’individu qui était venu l’enlever. Il était plus silencieux qu’un chat.
Très vite ils arrivèrent dans ce qui devait être le lieu de vie de Zanzibar. Il la posa au sol et la jeune femme entendit un bruit de métal et de rail ou quelque chose comme ça. Elle ne comprit pas tout de suite qu’il s’agissait d’une poulie. Elle ne s’en rendit compte que lorsque l’homme l’y suspendit. Il lui enleva alors le bandeau.
« Chérie je dois m’absenter, chercher un cadeau pour toi. Je te laisse suspendue avec mes deux compagnons »
Marine vit arriver deux chiens énormes, des rottweilers apparemment. Zanzibar disparut en un instant. Elle observa autour d’elle. L’endroit semblait être une usine désaffectée. Inutile de perdre du temps à vouloir enlever le bâillon, personne ne l’entendrait de toute façon.
Pour se détacher, impossible de prendre appui sur le sol, le vampire avait pris soin de la suspendre au-dessus. Elle devait en plus compter avec les deux copains canins en face d’elle. Si elle parvenait à se soustraire de la poulie, vaincre un chien serait faisable, deux beaucoup plus difficile mais qui ne tente rien à rien.
Ses mains s’agrippèrent au crochet de la poulie et elle essaya de se hisser à la force des poignets. C’était horriblement difficile. Elle devait supporter le poids de son corps et la douleur infligé par le métal qui transperçait sa peau. Au bout d’un moment, elle arriva à se soulever suffisamment pour se soustraire du crochet. Elle respira un bon coup de se laisser tomber au sol. Les chiens allaient lui sauter dessus.
A peine sur le sol, les chiens se jetèrent sur elle. Elle envoya le premier chien valsé contre le mur grâce à la force de ses jambes. Bien que ligotée, elle put donner un grand coup avec ses deux jambes réunis. Marine ne put cependant pas éviter le deuxième chien qui la mordit au bras. Son bâillon étouffa son hurlement. Là, elle était coincée. Le sang coulait de ses plaies : chevilles, poignets, bras. Elle allait mourir ici, dévorée par un chien.
-
Zanzibar claqua la porte et parti cherché non loin de la une victime afin de ne pas avoir envie de saigner Marine et d’en profiter sexuellement. Quelques minutes plus tard, en ouvrant la porte de son antre, il aperçût Marine allongé par terre et l’un des rottweilers acharné sur elle.
Zanzibar pensa [Quelle idiote, et plus imprévisible que je ne l’aurais pensé], en deux bon capes au vent il avait traverse le hangar et souleva et projeta le rottweiler contre le mur, le chien gémissant parti dans la pièce d’a coté.
Zanzibar se retourna vers Marine, les yeux plus rouges que l’ordinaire :
« Idiote, si je t’ai amené ici ce n’es pas pour te propose en plat du jour, quand je désire profiter sexuellement de ma victime je la veux en bonne état, et aussi très mignon alors tient toi tranquille sinon tu finira comme celle que je viens de croiser. » Sur ses mots, il essuya avec sa manche le sang qu’il avait encore sur la bouche.
Il releva Marine en se mettant derrière elle, en prenant soin de ne pas lui faire mal, l’a fit assoir sur une marche
- « Bouge pas je reviens ! »
Zanzibar n’étais pas très inquiet vue l’état de la cheville même si elle aurait voulu s’enfuir il l’aurait vite rattrapée. En revenant avec des bout de torchons il lui désinfecta les plaies avec une bouteille d’alcool trouvée sur place et lui fit des bandages et lui essuya les perles de sueurs sur le front.
Il se releva et la regarda et lui mit son manteau sur elle car elle tremblait de partout.
- « Teint repose toi un peu et réchauffe toi, tu es décidé à m’en faire voir comme ca encore longtemps ? »
Il prit les chevilles de Marine et remplaça le fil de fer part une chaine un peu plus épaisse ainsi que celle qui se trouvaient aux poignets.
Au bout de quelques minutes il retira le manteau des épaules de Marine, la plaqua ventre au sol, Un pied sur le dos pour éviter que Marine bouge ou se relève, déplaça la poulie au dessus Attacha des chaine au dessus du dos et releva Marine. Celle-ci était suspendue à l’horizontale face au sol.
-« Tu es très belle suspendue comme ca, nue on va pouvoir commence à regarde ton intimité de plus près, mais avant ca je vais m’assoir face à toi pour profiter du spectacle et laisse un peu tes plaies séchées. »
Et se mit à fixer dans les yeux Marine sans un mot….
-
Marine entendit Zanzibar revenir alors que le chien commençait à sérieusement la mordre. Elle entendit le chien glapir alors que l’homme l’envoyait bouler dans l’autre pièce. Le vampire la souleva et la posa sur une marche.
Marine était secouée. Elle tremblait de froid d’une part et de stress d’autre part. Elle vit l’homme en noir revenir au bout de quelques minutes. Armé de tissu et d’une bouteille d’alcool. Il se mit à désinfecter ses palies avec une certaine prévenance. La jeune femme ne s’y attendit pas vraiment de sa part. Il alla jusqu’à poser son manteau sur ses épaules. La combattante resserra les pans de la veste sur elle.
Zanzibar s’éloigna à nouveau et revint, un bruit de chaîne l’accompagnait. Il lui prit les mains et lui enleva les fils de métal qui lui rentrait dans la chair, il le remplaça par des chaînes. Il renouvela l’opération avec ses chevilles.
Lorsque la jeune femme commença à se réchauffer, il lui enleva son manteau. A nouveau, elle se retrouva nue face à lui. Il la plaqua au sol et l’attacha de nouveau à la poulie.
« Tu es très belle suspendue comme ca, nue on va pouvoir commence à regarde ton intimité de plus près, mais avant ca je vais m’asseoir face à toi pour profiter du spectacle et laisser un peu tes plaies séchées »
Marine releva la tête et plongea dans les yeux rouges et luisants du vampire. Même suspendue ainsi, elle ne baissait toujours pas les bras. Elle comptait bien encore lutter contre et réussir à lui échapper.
-
« Ne me fixe pas dans les yeux petite effrontée sinon je devrais prendre des moyens de te les faire baisser »,
Zanzibar se plaça derrière Marine et commença a promener une badine en bois sur sa colonne vertébrale nue et son jolie fessier. La faisant également passé entre la raie de ses fesses et allant joue avec l’entrée de sa vulve.
Au bout de 5mn de jeux avec cette légère badine il commença a passer sa main entre l’entre jambe de Marine, retire sa main, la porte à son nez :
« J’adore cette odeur, et toi ? »
Se place devant Marine et porta sa main devant sont nez : « Sent moi ton odeur »
-
Marine se tortillait pour tenter de se soustraire à la badine inquisitrice qui s’intéressait un peu trop à son intimité. Elle n’aimait pas du tout ça. Pour son plus grand malheur, les doigts du vampire prirent le relais de la cravache. Il enfonça ses doigts un peu en elle provoquant un léger sursaut à la jeune femme.
« J’adore cette odeur, et toi ? »
Elle ne voulait même pas imaginer de quoi il parlait ou ce qu’il faisait mais ce dernier revint vers elle, vers son visage.
« Sent moi ton odeur »
Il lui colla alors ses doigts couverts de cyprine sous le nez. La jeune femme lui adressa un nouveau regard des plus noirs mais bien vite, un rictus se forma sur ses jolies lèvres. Dans un mouvement rapide, elle ouvrit la bouche et mordit violement les doigts de Zanzibar. Elle sentit le goût de sa cyprine mais bien vite, il se mélangea à celui du sang du vampire.
Pour une fois, il y avait inversion des rôles. C’était le chasseur qui se faisait mordre et perdait son sang plutôt qu’une de ses proies.
Marine se doutait qu’il le lui ferait payer cher mais à la moindre occasion, elle n’hésiterait pas à le blesser quelques puissent être les conséquences.
-
Zanzibar savait qu’en mettant son doigt prêt de la bouche de Marine prenait un risque vue son caractère et le fait qu’elle ne sait jamais laisser faire et peur de rien. Effectivement il ne tarda pas à prouver à lui-même qu’il avait bien raison sur le caractère de Marine à peine le doigt devant sa bouche sa mâchoire se referme sur son doigt, du sang coulait de zanzibar.
« Petite garce, tu vas me le payer chère ! » Et la main de Zanzibar s’appâtât sur la figure de Marine qui se mit à s’enrouler autour de la chaine qui la suspendait.
Zanzibar lécha et aspira le sang de son doigt et n’en perdit pas une goute, ses yeux devinrent plus brillant, ses canines sortirent le gout du sang réveilla son autre instinct celui de chasser ses proies pour le sang, mais il ne voulait pas de sa pour Marine il voulait abuser d’elle et jouer avec…
D’une voix plus grave : « A cause de toi mon instinct de tueur se réveille, je reviens de suite. » il partit derrière et on entendit un gémissement d’un chien, il revint vers Marine avec du sang au tour de la bouche et sur les canines qui commençaient à se rétracter.
« A nous deux maintenant, tu as l’air d’aime le gout du sang puisque tu me mords et bien voyons ça.»
IL commença à griffer le dos de Marine de ses ongles le sang commença à apparaitre, puis il enleva sa ceinture, l’enroula autour de son poignet et frappa le dos de Marine
« Tu peux hurler personne ne vient par ici, nous sommes que tous les deux et mon chien. »
-
Marine s’attendait bien à une réaction violente de la part du vampire. Elle ne se fit pas attendre. Il commença par la frapper puis finit par s’en aller pour assouvir sa soif avec… un de ses chiens apparemment.
« A nous deux maintenant, tu as l’air d’aime le gout du sang puisque tu me mords et bien voyons ça »
Zanzibar commença à lui griffer le dos. La jeune femme ne put s’empêcher de crier. Son dos avait déjà subit pas mal de coup dans la chambre d’hôtel. Elle aurait voulu endurer ça sans prononcer un cri mais elle n’était pas surhumaine non plus. De plus, ses cris lui faisaient du bien, ils l’a libéraient de sa tension nerveuse.
Après les ongles, ce fut la ceinture qui prit le relais et se mit à zébrer son dos.
« Tu peux hurler personne ne vient par ici, nous sommes que tous les deux et mon chien »
Marine pensait, ironiquement, qu’elle était ravie de le savoir. Elle n’essaya plus de se contenir et criait à chaque coup qu’il lui portait. Ses cris n’étaient pas élevés en amplitude mais s’entendaient quand même.
La jeune femme se demanda comment cela allait se terminer mais quoiqu’il lui fasse subir, elle ne comptait pas se rendre. C’était une chose très claire pour la jeune femme.
-
Marine se mit à crier à chaque coup porte ceci excitait Zanzibar d’entendre ses proies crier ainsi :
« Dis moi, ma chère Marine, commencerais tu déjà à faiblir ? » suivi d’un petit ricanement.
Le dos de Marine était recouvert de trace, de sang, certaine entaille dans la peau et le sang coulait un peu sur le long des cotes. Zanzibar passa un doigt pour lécher celui-ci recouvert du sang de Marine.
« Ton sang est aussi bon que toi, du moins je pense confirme mes dire d’ici peu…. »
Il se plaça face à Marine, lui attrapa les cheveux et tire celle-ci vers l’arrière afin de regarde Marine dans les yeux et lui prononça ces quelques mots :
« Petite effrontée, n’oublie pas que je suis un Vampire, et le sang ne me fait pas peur, pour ton information à cause de toi je viens de perdre mon chien pour ne pas te mordre car j’ai d’autres projets pour toi. Il me reste plus qu’un chien, donc si tu recommence tes bêtises plus d’une fois à me mordre j’aurais deux possibilité : Te mordre toi, ce qui ne m’arrangerais pas, ou alors aller en ville cherche une victime et avant de les mordre leur présenté la cause de leur mort c'est-à-dire toi. Est-ce compris ? »
Et sur ce, une gifle arriva sur la joue droite de Marine :
« Celle-ci pour m’avoir fait perdre mon chien Dracul ! »
Il se plaça sur le coté droit de Marine, passa ses mains sous elle, et commence à mal traite sa poitrine, la pinça, tira sur les tétons, les écrasa entre pouce et index, et par moment donnait des grands coup de langue sur les plaies du dos pour y lécher le sang.
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Marine se mit à crier à chaque coup porte ceci excitait Zanzibar d’entendre ses proies crier ainsi :
« Dis moi, ma chère Marine, commencerais tu déjà à faiblir ? » suivi d’un petit ricanement.
Le dos de Marine était recouvert de trace, de sang, certaine entaille dans la peau et le sang coulait un peu sur le long des cotes. Zanzibar passa un doigt pour lécher celui-ci recouvert du sang de Marine.
« Ton sang est aussi bon que toi, du moins je pense confirme mes dire d’ici peu…. »
Il se plaça face à Marine, lui attrapa les cheveux et tire celle-ci vers l’arrière afin de regarde Marine dans les yeux et lui prononça ces quelques mots :
« Petite effrontée, n’oublie pas que je suis un Vampire, et le sang ne me fait pas peur, pour ton information à cause de toi je viens de perdre mon chien pour ne pas te mordre car j’ai d’autres projets pour toi. Il me reste plus qu’un chien, donc si tu recommence tes bêtises plus d’une fois à me mordre j’aurais deux possibilité : Te mordre toi, ce qui ne m’arrangerais pas, ou alors aller en ville cherche une victime et avant de les mordre leur présenté la cause de leur mort c'est-à-dire toi. Est-ce compris ? »
Et sur ce, une gifle arriva sur la joue droite de Marine :
« Celle-ci pour m’avoir fait perdre mon chien Dracul ! »
Il se plaça sur le coté droit de Marine, passa ses mains sous elle, et commence à mal traiter sa poitrine, la pinça, tira sur les tétons, les écrasa entre pouce et index, et par moment donnait des grands coup de langue sur les plaies du dos pour y lécher le sang.
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Les coups étaient violents et le dos de la jeune femme souffrait beaucoup. Ces cris avaient diminués et s’arrêtèrent lorsqu’elle entendit le vampire lui demander si elle faiblissait. Elle serra les dents en gardant ses cris en elle. Il finit par arrêter de la frapper et vint se poster devant elle, lui tirant les cheveux en arrière.
« Petite effrontée, n’oublie pas que je suis un Vampire, et le sang ne me fait pas peur, pour ton information à cause de toi je viens de perdre mon chien pour ne pas te mordre car j’ai d’autres projets pour toi. Il me reste plus qu’un chien, donc si tu recommence tes bêtises plus d’une fois à me mordre j’aurais deux possibilité : Te mordre toi, ce qui ne m’arrangerais pas, ou alors aller en ville cherche une victime et avant de les mordre leur présenté la cause de leur mort c'est-à-dire toi. Est-ce compris ? – il l’a gifla alors - Celle-ci pour m’avoir fait perdre mon chien Dracul ! »
Le monstre se décala alors sur le côté et s’attaqua à la poitrine de la jeune femme. De temps en temps, il léchait les plaies. Ce contraste de rudesse et d’une certaine forme de caresse étaient troublantes pour Marine.
Sans le savoir, Zanzibar lécha un endroit bien particulier chez la jeune femme. Un endroit sur son dos qui était une zone érogène dont elle ne savait rien. Elle sursauta au moment où la langue passa dessus alors qu’une main malaxait son sein devenu très sensible.
A sa grande honte, elle sentit son vagin se contracter sous cette pseudo-caresse et le sentit s’humidifier. Elle baissa la tête, les joues rouges.
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Il sentit Marine légèrement troublée par ce qui se passe il n’arriva pas à savoir si c’était l’effet de sa langue ou de ses mains, étais ce du à la douleur ou au plaisir. Il voulait en avoir le cœur net éprouvait elle du plaisir cette petite effronté car d’un coup plus un mot plus un cri un silence totale, ce qui n’était pas habituelle de sa part, aucune provocation non plus.
Zanzibar arrêta de lui lécher les plaies du dos et commença à pincer, tirer ; tourner, écraser les tétons de la belle Marine afin de voir sa réaction.
« Bouge pas ! J'ai une nouvelle petite surprise pour toi. Je pars la chercher, j’en ai pour deux minutes. »
Zanzibar parti dans la pièce qui se trouvait non loin de la, on entendit une sorte de scie à métaux résonné un peu partout, des morceaux de métal qui tombaient au sol. Il revient avec 4 petites barrettes de métal d’environ 10/15 cm de long puis un fil de fer pas trop épais. Zanzibar se paca légèrement sous Marine si plaça le téton entre deux des barattes et serra un maximum pour comprimé celui-ci entre les deux petite barre de métal lié entre elle parle petit fil de fer à chaque extrémité.
Il se plaça derrière elle et mis une barre de ferre entre les deux cheville pour maintenir les cuisses bien ouverte de Marine. Il engouffra son doigt dans la chatte une certaine humidité ; il commença un léger va et vient :
« Dis moi petite, tu mouilles, est-ce la douleur sur tes seins ou ma langue qui te mette dans un tel état »
Sur ces paroles, il arrêta de s’occupe de cette chatte toute humide et se plaça devant elle, lui redresse la tête afin de voir ses yeux :
« J’aime voir ce regard en toi »
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Zanzibar arrêta ses mouvements et, intérieurement, la jeune femme en remercia le ciel. Malheureusement, elle savait que ce n’était qu’une pause d’ailleurs ses paroles confirmèrent les pensées de la jeune femme.
« Bouge pas ! J'ai une nouvelle petite surprise pour toi. Je pars la chercher, j’en ai pour deux minutes »
Marine le vit s’éloigner et entendit tout un tas de bruit métallique ce qui ne la rassurai guère, bien au contraire. Elle avait plus ou moins comprit qu’il n’était pas vraiment le même genre d’homme avec qui elle avait pu aller. Ces derniers étaient plus ou moins brutaux mais, cet homme, ou plutôt ce vampire, semblait bien différent et elle n’aimait pas ça parce qu’elle ne savait pas à quoi s’attendre. L’inconnu fait toujours peur.
Son tortionnaire revint quelques dizaines de minutes plus tard avec du « matériel » qu’elle ne connaissait pas. Elle ne pouvait pas voir grand-chose en plus vu sa position. Elle sentit qu’il passait sous elle et qu’il s’occupait de ses seins. Elle eut terriblement mal lorsqu’il lui pina les tétons avec les pinces métalliques. Malgré tout ce qu’elle avait vécu, des larmes coulèrent sur ses joues. Elle n’aimait pas du tout ça.
Il alla ensuite lui entraver les chevilles de manière à ce que ses jambes restent écartées. Puis, il introduit ses doigts en elle. La jeune femme serra les dents tellement ça la dégoutait. Elle ne dit rien, attendant que ça se passe. Il revint vers elle et l’agrippa par les cheveux pour la regarder.
« J’aime voir ce regard en toi »
Marine n’eut d’autres choix que de lui présenter un visage où les larmes coulaient et elle en avait terriblement honte. Elle faisait toujours son possible pour se cacher aux yeux des gens et paraître insensible et là, elle se retrouvait non seulement en état de faiblesse et d’infériorité mais aussi humiliée.
« Faites ce que vous voulez ! »
Elle faillit rajouter « et vite ! » mais elle savait déjà qu’il prendrait tout son temps et que ces mots n’auraient comme effet que de ralentir encore plus la torture. Mieux valait se taire.
-
Marine osa lui dire :
« Faites ce que vous voulez ! »
Zanzibar remarqua les larmes coulées sur le visage de Marine les essuya avec son doigt et les porta à sa bouge pour le léché en la fixant dans les yeux avec un sourire. Il décida de serrer un peu plus les barrette métallique afin de mieux voir les larmes coulé de Marine qui commence à faiblir même si elle essaie de laisser une autre apparence.
« Dis-moi que t’arrive t’il petite effrontée ! Que vois-je sur ton visage apparaitre ? Des larmes, d’ailleurs elles ont un très bon gout, j’espère qu’il y a autre chose qui aura très bon gout. Ne bouge pas ma belle. Tes ordres sont des désir je vais faire ce que je veux de toi à la vitesse que je veux et dans la positon que je veux. » Se mit à Ricaner
Zanzibar commença à déblayer une vielle table en métal, rouillée sur certaines partie, à chaque pied de table de grosse chaine qui finisse par des nœud coulant. Se redirigea vers sa proie lui détacha les pieds en lui liant les mais lies, une fois les pieds au sol lui rattacha afin d’éviter que Marine parte en courant. Lui pris une main qui plaça derrière le dos, puis la seconde et les lia.
Zanzibar n’avait qu’une confiance limite en toi, il dégagea son cou de ses cheveux ondulé et plaça ses canines le long de celui-ci, resserra sa mâchoire, les canines commencent a descendre vers celui-ci et a touché le cou. Il se releva :
« Si tu deviens trop effrontée ou sur de toi la prochaine fois mes dents transperceront ton cou. »
Il prit par les cheveux Marine et la tira vers la table, la souleva, et l’allongea sur la table lui plaça le nœud coulant au niveau des cheville et les resserra. Une fois les pieds bien enchainer et redressa marine et lui enleva les liens des bras et l’attacha les bras bien tendue. Il attrapa 4 chaines auxquelles il attachât les barrettes des seins et les tira vers les haut pour étire au maximum le bout des seins de Marine. Il commença à doigter assez violemment son vagin sans ménagement et regarda le visage de Marine :
« Alors ! Petite effrontée, on t’entend moins d’un coup ! Aurais-tu un problème pour t’exprimer ! »