Aria ne se rappelait plus de la raison de son errance, elle avait croisée Don, mais après plus rien, comme si elle avait reçu un gros coups sur le crâne, mais bon, c'était une chose qui pouvait arriver parmi tant d'autre.
- Allez laisse toi faire ma jolie, on veut juste s'amuser un peu.
C'était vrai, elle était tombée sur des triplets, toutes des femmes et vampire de surcroit, une personne normale aurait fait mine de résister, mais pas la demoiselle, laissant les mains des créature souiller davantage son corps, touchant, effleurant, apportant du plaisir à Aria, pour augmenter son rythme cardiaque, pour qu'au moment de l'orgasme elle tende ses muscles et que les vampires mordent.
- Elle va jouir ! A table !
La demoiselle tressaillit violemment en recevant trois morsure, l'un à la cuise droite, la deuxième sur le sein gauche et le dernier sur la partie droite du cou. Elle sentait sa vie partir au fur et à mesure des gorgées que les vampire prenaient se mêlant au résidu du plaisir qu'elles avaient offert à Aria. Puis une fois rassasiées, elles partirent laissant la demoiselle seule, complètement nu, ces vêtements réduit en charpies sauf le haut. Elle resta un moment par terre et puis sans véritable raison, elle continua sa marche, non sans que ses jambes eurent du mal à supporter le poids, par le fait qu'elle avait été pompée d'une grande quantité de sang.
Elle marcha jusqu'à une falaise, elle eut un sourire, il n'y avait personne aux alentours, le livre était fermement fermé et elle bascula dans le vide, enfin elle allait pouvoir crever sans qu'aucune personne ne l'en empêche.
Mais voilà la malchance n'allait pas la laisser mourir et plaça un portail ce qui conduisit la demoiselle dans la douche du lycée Seikusu. Aria ne prit pas tous de suite conscience de ce qui se passait, entrainant l'évanouissement de Aya. Puis elle se décida à reculer, elle regardait autour d'elle apercevant des choses qu'elle connaissait, elle était sur Terre et mais elle ne connaissait pas ce lieu, car à l'époque elle vivait dans les alentours de Tokyo, elle regarda d'un air lasse la perverse évanoui et ne tilta pas quand elle demanda une boite de capote.
Aya pouvait voir le haut déchirée et les marque de morsures où perlait du sang, sans compter le petit livre à côté d'Aria.