Les coups pleuvaient et Don ne se retenait pas le moins du monde, il la frappait, il la frappait et encore et encore et encore pour la faire souffrir. Don avait tendance a penser qu'il ne devait pas abimer la marchandise pour ne pas qu'elle perde de sa valeur, pourquoi donc avait il pensé que la douleur ferait plus de mal a Sélène ? Soyons réaliste : cette fille est montée dans la hierarchie de mafias en couchant avec des chefs qui ne devaient pas être bien différents de lui du point de vue force et qui traitaient Sélène comme un objet. Qu'il la viole ici et maintenant ne changerait rien, elle finirait par revenir dans un état d'esprit qu'elle avait avant de le rencontrer quand il la relacherait. Tandis qu'avec la douleur, il allait graver cet instant dans son esprit tandis que les coups continuaient a pleuvoir, il finit par s'arrêter et la regarder dans les yeux, elle posa la tête sur son torse et parla.
Alors Don rit.
Il rit, comme jamais il n'avait rit auparavent, ce fut un rire fou qui le prit alors que l'esclavagiste se tenait le visage, Marco arrêta même d'entretenir Shanon et elle de même pour le regarder d'un air médusé, d'un certain sens ce rire était bien plus effrayant que tout ce que Don avait pu faire jusque là, l'enorme esclavagiste se retint a la commode pendant quelques secondes pour reprendre son souffle alors qu'il posait la main dans un de ses tiroirs. Il regarda sa montre.
"5, 4, 3, 2, 1..."
Fin de l'annulation de pouvoir, le corps de Sélène se remit a agir comme d'habitude et a régénérer ses plaies. Pour toute réponse l'esclavagiste sortit du tiroir un fouet barbelé, celui ci contenant plusieurs fils de fer parcourus de piquants alors qu'il s'asseyait devant Sélène en souriant, il ne dit mot et la regarda dans les yeux.
"Alors ?"
Demanda t'il d'un air enigmatique, il attendait que Sélène régénère pour la toucher a nouveau, après quoi il n'aurait aucun mal avec une arme pareille arracher des larges morceaux de peaux si il frappait, quelque chose qui ferait saigner la jeune fille et qui la ferait mourir sur le champ si il n'espaçait pas le temps d'annulation de très peu de temps. La douleur risquait d'être rapidement attroce pour Sélène
"Et qui te dis que je n'ai pas envie de te punir pour ton audace ? Si je te viole et que je te vend je te retrouverais dans mes pattes demain."
Il frappa sur le mur avec son fouet barbelé, y créant quelques balaffres
"Alors que si je te défigure aujourd'hui, plus personne ne voudra coucher avec toi pour t'emmener au sommet."