- Alors on fait moins la maligne pétasse !
Alphard se trouvait dans une situation assez pénible, certes elle était forte, très forte même, mais que faire quand on a un dizaine de personne, ayant un certain poids, qui se jettent sur vous et vous écrase.
- Barrez vous de là bandent de tapette !
La suite fut prévisible, Alphard n'aimait pas du tout se trouver soumise sans son consentement et cette colère, voir haine, ut suffisante pour lancer suffisamment d'insulte et irriter le chef de ce gang pour un duel assez régulier, si on tient compte qu'ils étaient vingt, bien armés et que la demoiselle avait comme arme ces mitaines, elle retira sa longue veste et se préparer à se battre.
Cela dit la suite fut assez déconcertant, alors que toute personne censé aurait parié sur le gang, ce dernier avait été réduit à néant, elle en avait tuée dix-neuf en retournant leurs armes contre eux, le dernier eut les deux bras cassé.
La demoiselle était fort déçu de ce groupe, qui n'avaient eut aucune synchronisation et stratégie lors du combat, d'où leurs défaites, mais les lames avaient bien lacérée son dos et Alphard n'avait aucune connaissance en premier soin. Aussi elle vit qu'il y avait un lycée et qui dit lycée, dit infirmerie et donc une infirmière pour la soigner.
Elle remit sa veste noir, couvrant ainsi sont corps et ces marques, elle avait un peu honte, car en tant normal elle aurait put tous les tuer sans se faire blesser, depuis qu'elle était dans cette ville, elle avait comme une sensation de mélancolie, comme-ci dans cette ville il y avait quelque chose qui al reliait à son passé, mais ce n'était pas le moment d'y penser, elle fonça vers le lycée.
Personne ne l'arrêta quand elle passa la grille d'entrée, les lycéens la regardèrent avec peur, les lycéennes semblèrent aimer son style, femme-guerrière. Aussi elle se fit aussi discrète qu'elle le pouvait et arriva enfin devant l'infirmerie, elle entra sans frapper, la première chose qu'elle fit fut de verrouiller la pote.
Puis Alphard retira sa veste laissant apparaitre un soutien-gorge en bandeau noir et un short beige retenue par deux fine bretelle marron. Elle ne portai pas de chaussure ni de chaussette, mais l'on voyait que ces pied étaient habitué à la marche, étant donc peu abimé. Elle a ausi un collier en lin teinté en bleu autour de son cou, elle ne sait pas pourquoi mais porter ce genre d'accessoire était comme porter un vêtement.
- Dites pour les soins c'est pour aujourd'hui ou pour demain !
Elle manquait vraiment de savoir vivre, mais sa sensation était encore plus présente, ce qui la rendait encore plus nerveuse et agressive.