Vente d'esclave

Don tira aimablement sur l'oreille de Pandora, exarcerbant le sentiment qu'il allait faire naître en elle en titillant les parties naturellements sensibles chez les Terranides il lança avec un soupçon de sarcasme, se nourissant de la peur et des doutes de celle ci, c'était comme ça qu'il les brisait, c'était comme ça qu'il les détruisait de l'interieur et qu'il les ralliait a lui, d'abord il observait leur personnalité, ensuite il décodait celle ci et une fois qu'il avait une bonne idée de l'identité de l'être devant lui alors il le brisait, il le détruisait et ne laissait derrière lui qu'une coquille vide qui serait un support idéal a un gros noble. Evidement, ce qui se passait ici c'était que Pandora faisait la morte pour le moment, mais Don allait la reveiller rapidement.

"Mmh? Est ce une façon de parler ainsi a son maître alors qu'il te fait une gaterie ? Tu ne mérite pas que je sois si bon avec toi."

Fit il alors qu'il saisissait Pandora et la plaquait sur son bureau, déménageant les feuilles sur celui ci tandis qu'il la tenait par son collier

"Je vais te rappeller pour toujours que tu m'appartiens."

Fit il alors qu'il retirait des braises ce avec quoi il avait passé son temps a "baptiser" toutes les camarades de Pandora : un fer au rouge. Fer qu'il appliqua sur la fesse droite de Pandora brulant son cuir de sa marque a jamais alors que de son autre main il la maintenait en face. Si ça ne la forçait pas a "redevenir vivante" après ça alors rien ne le ferait, après tout elle aurait surement trop mal et trop peur pour faire quoi que ce soit.

Je résistais vaillamment à ses attouchements, bien que précis et rapide. De sa langue, ses mains, tout me rendait folle... Je continuais malgré tous ma tactique, et restais donc comme morte entre ses bras...
Pour mon plus grand malheur je le pense encore... Il me prit et plaqua contre son bureau, la tête tourné vers la sienne. Je voyais ses yeux pétiller de malice, et vit une sombre lueur sadique dans le fond de ses yeux.

"Je vais te rappeler pour toujours que tu m'appartiens."

Et il prit un fer rouge et le l'appliqua sur la fesse, droite ou gauche, je ne faisais plus la différence tant la douleur envahissait mon être, mes yeux devenaient fous, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Je me mordais ma langue jusqu'au sang puis malgré cette insupportable douleur, le regardait fixement, comme si il ne s'était rien passé.
Je le défiais encore. Je ne serai pas, ainsi comme toutes les autres de son harem, dussé-je en mourir ou souffrir mille morts, je ne lui accorderai pas de plaisir. A chaque moments, j'essayerai de le trahir. Je le haïssais d'une haine pure et contrôlée.

Je parlai alors d'une voix trahie par la douleur, cassée, mais toujours fière.

"Alors tu n'en as toujours pas marre ?"

Tandis qu'il me retenait avec ses mains je lui jetais mon pied vers son entrejambe. On verra bien qui abandonnera le premier.
Et ce ne sera pas moi ! Du moins le pensais-je...

Le pied de Pandora devait avoir autant de force qu'une chipolata après avoir enduré un tel traitement, sans parler de la position qui ne lui donnait aucun élan et de la corpulence de son assaillant, Don tira sur son oreille gentiment pour la punir d'un tel acte avant de la giffler sur la fesse où il venait de la marquer dans le but de la faire crier par erreur, car après tout pendant qu'elle lui parlait elle ne serrait pas les dents et le coup la prendrais au dépourvu, si elle criait il réussissais a lui faire admettre l'inadmétable :elle avait cédé, elle était soumise et le serait toujours. Don eut un sourire mielleux puis se mit a pelotter doucement la poitrine de Pandora

"Tu pense te croire une forte tête?"

Fit l'esclavagiste avant de sourire et de lancer a Pandora

"J'ai détruit des filles bien plus solides que toi avant, qu'est ce qui te fais croire que tu es différente des autres ?Quelle insolence."

Fit il alors qu'il pinçait ses seins et la mordait dans le cou

"Je ne peux pas vendre une tête brulée comme toi a mon client tout de suite, je pense qu'on va passer de longs mois ensemble tous les deux."

Fit l'esclavagiste avec un sourire sadique, après tout plus elle resisterais moins vite elle serait vendue et plus longtemps elle allait devoir passer du temps avec Don. C'était a elle de voir...

"Alors cesse de lutter, je ne suis pas un maître méchant, j'attend que ma marchandise m'obeisse, et dans ton cas que tu te comporte comme ta race te le dicte :comme une esclave."

Lança t'il tandis qu'il introduisait un doigt dans son intimité et commençait de faible va et viens. N'allant pas trop loin et réservant "l'inauguration" pour plus tard

Mon coup ne lui avait strictement rien fait... Vu mon état, c'était parfaitement normal... Et je retombais, ma poitrine s'écrasa contre le bureau... Avec tout ce que j'avais enduré, toutes les larmes que j'avais pleurées, je pensais que la douleur n'aurait plus aucun effet sur moi, mais quand il me claqua les fesses de sa main de géant, ma bouche ouverte laissa échapper un cri, très rapidement camouflé en gémissement de douleur et les larmes recommençaient à couler.

Si il me parla, je ne l'écoutais pas, tout mon esprit était focalisé sur la douleur, et le moyen de s'y soustraire sans m'abaisser devant ce monstre... La pression sur mes épaules se relâcha un peu, et j'aspirai un grand coup d'air... Ça faisait un bien fou.
Mais mon plaisir fût de courte durée, en effet, je sentis quelque chose se presser contre mon entrejambe et entra doucement à l'intérieur. Non, il n'allait pas faire ça, tout de même... Encore une fois j'allais le défier, je préférais mille fois me faire torturer d'une quelconque façon et que de perdre ma virginité avec cet "homme"...

"L'espèce des hommes est devenue décadente... T'en es la preuve, connard ! Tu prendra aucun plaisir avec moi."

Tout en disant ça, je commençais à haleter doucement. Même si j'arrivais à résister à la douleur, mon corps réagissait au plaisir... Je maudis ce corps faible.

"Celle qui t'as créé à du se tromper en te créant, ta génitrice est vraiment pitoyable..."

Si même l'affront à sa créatrice ne l'énervait pas, je ne savais pas quoi faire ... Enfin bon, c'était du quitte ou double pour l'instant... Ma respiration continuait son rythme saccadé... Ce porcs allait vraiment me donner du plaisir ? Je le refusais.

-Hj-Si tu avais lu un peu l'histoire du forum tu verrais que le monde ignore qu'Aphrodite existe + que Don la "connait" :3, je vais faire mine de ne pas entendre cte phrase ça m'évitera a avoir a te briser la nuque en sachant que tu connais le secret du grand jeu ^^-Hj-

"Pour ton information c'est pas moi qui suis en train d'écarter les jambes alors qu'on viens de me marquer au fer rouge. Je trouve au contraire que l'homme a toujours su s'adapter."

Fit il alors qu'il continuait a la provoquer de plus en plus, il sentait qu'elle était bientôt prête a réagir, il n'y avait plus qu'a attendre pour la traumatiser un minimum...Bien, Don pendant qu'il léchait son cou lui lança

"Après tout votre race nous est superieure en force physique et en reflexes, alors pourquoi, pourquoi êtes vous les esclaves et nous les maîtres hmmm ? Parce que vous n'avez aucun sens de l'organisation. Tout simplement. Pour vaincre nul n'a besoin de force ou même de magie, ce qui compte c'est la ruse. Pour le moment c'est nous qui dominons et je pense bien que nous domineront après que toi et moi soyons morts. Et pour le moment, ton problème."

Fit il alors qu'il ouvrait sa braguette et sortait son membre pour soulever Pandora par les jambes et placer son intimité juste sur la sienne

"...C'est moi."

Fit il alors qu'il commençait a forcer doucement pour faire croire a Pandora que celle ci pouvait l'empecher d'avancer avant d'entrer brutalement en elle.

-Hj Désolé, je pensais que tu avais seulement oublié la nuit passé avec elle *a lut trop vite* j'ai corrigé ^^ Hj-

"La ruse... Vous n'êtes que des lâches c'est tout ! Arg..."

Son doigt qui continuait son va et vient commençait vraiment m'échauffer... Mon corps devenait bizarre entre ses mains, et je n'en étais pas du tout fière. Mais son doigt se retira d'un coup, toute surprise je poussais un petit gémissement...
Je ne pensais pas m'être abaissée à ce point là... Il me souleva comme si je ne pesais rien et m'amena juste devant lui, son sexe tendu au dessous du mien... Je pouvais voir son visage juste devant le mien...
Et j'entendis à nouveau sa voix, juste pour quelques mots...

"Et pour le moment, ton problème ... c'est moi."

Le con ! Il allait pas faire ça... Mon esprit allait à tout allure et je voyais toujours son sourire narquois me narguer de sa hauteur ...

"Et le tien, c'est moi !"

En disant cela, j'essayais de le mordre partout où je pouvais... Il ne m'avait pas mit de muselière, il allait le regretter. Son visage était à porté de mes dents et le mien fila à sa rencontre. Mes dents ayant pour but d'arracher toute la peau qu'elles touchaient s'attaquaient à son nez, ses yeux, ses oreilles. Même si mes yeux étaient encore aveuglés par la douleur, je sentais mes dents rencontrer quelque chose et repartir en emportant une autre chose au retour...

Les puissantes mains de l'esclavagiste saisirent les frèles poignets de l'esclave tandis qu'elle tentait de lui arracher des cheveux et qu'elle y arrivait, Don s'enerva et décida que au lieu de la punir en la frappant il allait plutôt s'occuper d'elle avec plus d'acharnement, il lança avec un ton sec tandis qu'il restait dans le dos de la jeune Terranide

"Je vois que tes maîtres ne t'ont pas appris le respect du a leur égard, mais crois moi ça va changer avec moi."

Fit l'esclavagiste alors que d'un seul coup il tirait sur les bras pour ramener la croupe de Pandora vers le haut et la couchait sur le bureau, la jeune Terranide se retrouvait donc la joue contre le bois alors que ses bras étaient tendus en arrière et que son intimité était offerte au marchand d'esclave qui lui utilisait l'appui de ses bras et de son bureau pour la prendre plus violement en levrette, mettant sa bouche le plus loin possible de la sienne.

"Alors ? Tu ne te sens pas revivre ?"

Lança t'il en éclatant de rire tandis que ses coups de bassins se faisaient plus violents, s'enfonçant toujours plus profondement dans l'intimité de Pandora

"Voici tes seuls buts sur terre : Me servir, et m'obeir du mieux que tu peux, tu comprend ça esclave ? Tu ne vis que pour me servir !"

Et aussitôt il enchaina par des coups de reins plus violents

Je réussi bien à lui arracher quelques cheveux, mais il réagit trop rapidement pour que je réussisse vraiment à lui faire du mal...  Ses deux mains de géants attrapèrent mes petits poignets, pourtant musclés à cause du violon. Sa prise était telle que je ne pouvais m'échapper, je laissai échapper un petit couinement de peur quand je vis son regard. Un sadisme pur brillait dans ceux-ci.

"Je vois que tes maîtres ne t'ont pas appris le respect du a leur égard, mais crois moi ça va changer avec moi."

De sa seule main, Don me coucha sur le bureau, la joue écrasée sur le bois puis tira sur mes bras de telle façon à ce que mon intimité se mette dans la  position qu'il souhaitait. D'un coup il rentra dans mon vagin, m'arrachant par la même occasion un hurlement de douleur.

"Alors ? Tu ne te sens pas revivre ?"

Il riait alors qu'il me déchirai de l'intérieur... Cet homme était un démon, je n'en pouvais plus, j'avais été frappée, mon violon était à terre, j'avais été marquer de sa marque personnelle au fer chauffé à blanc, et maintenant il me prenait en levrette sans aucune douceur... malgré toute ma longue résistance, je n'en pouvais plus. j'étais balloté de haut en bas, au rythme de ses coups de reins, mes cris que j'avais si longtemps retenus s'échappaient de ma bouche maintenant de plus en plus fort.

"Voici tes seuls buts sur terre : Me servir, et m'obéir du mieux que tu peux, tu comprend ça esclave ? Tu ne vis que pour me servir !"

Je ne savais plus ou était le haut et le bas. Je sanglotais et le priait d'arrêter.

"Ce que vous voulez ! mais... Arrêtez, par pitié, je ferai tout ce que vous voudrez, TOUT mais arrêtez... Maître..."

Ce dernier mot était sortit tout seul sans que je ne puisse rien faire d'autre... J'acceptais cet homme comme mon maître et me jurait de le servir comme je le pourrai.

Don quand a lui était loin d'avoir l'intention d'arrêter, il continuait a prendre sauvagement la jeune terranide, ses coups de reins faisant presque trembler le lourd bureau de son cabinet de travail tandis que celui ci s'activait a aller de plus en plus fort et de plus en plus vite, elle finit par le supplier d'arrêter, d'accepter ce qu'il lui disait et de faire tout ce qu'il souhaitait. Bien, il n'en attendait pas moins de Pandora et a présent il allait pouvoir la martyriser un peu tandis qu'il continuait a faire des va et viens en elle avec toujours autant de force.

"Tu implore mon pardon alors ? C'est bien, mais tu as fait tes fautes, et par conséquent tu subira cette punition jusqu'a sa fin, si tu ne me met pas plus en colère peut être daignerais je l'écourter, n'en est tu pas reconnaissante ?"

Fit l'esclavagiste avec sadisme alors qu'il continuait a créer plus d'espace pour la pénétrer de plus en plus efficacement, il lui lança

"Ecoute moi bien esclave, je veux que tu me décrive avec la plus grande précision ce que je suis en train de te faire, et je ne veux que tu t'arrête que lorsque je te le dirais, chaque soubressaut, chaque mouvement, chaque emotion qui te traverse, je veux les entendre tu m'a compris ?"

Fit il avec sadisme, non content de prendre a Pandora tout ce qu'elle aimait il voulait qu'elle le lui raconte avec ses mots.

Malgré toutes mes suppliques Don continua de me marteler et il accélérait même la cadence ! Un moment, après avoir réfléchit, ou fait semblant de réfléchir plutôt, il me donna l'espoir que tout puisse s'arrêter, et sa demande me paralysa d'horreur un instant. Je repris vite conscience de ma position, et de la sienne. Je l'avais dit je ferai tout ce qui est possible pour qu'il arrête de me faire du mal. Je ne supportai plus cette douleur. C'est alors que, rouge de honte, je lui répondis, les paroles entrecoupées de sanglots.

"M...Maître, à chaque fois que vous faites une poussée, c'est comme si l'archer faisait son propre chemin sur les cordes, tirant avec lui une trainée de note qui ravit les oreilles comme elle ravit mon corps. Malgré la douleur que je ressens, des petits picotements de plaisir viennent, mais rapidement effacer par le feu qui me brule et me tire ces larmes... Votre mouvement fait monter ma voix vers les aiguës, malgré le mal que vous vous donnez pour moi, maître, je n'arrive pas à percevoir pleinement le plaisir comme vous voudriez."

Je ne savais pas que je pouvais dire des choses aussi humiliantes. Je pensais que mon dernier maître avait été très rude avec moi, mais je préférais mille fois être privée de nourriture que d'être avec ce Don... Mais la réalité n'était pas ainsi, et si je voulais m'en sortir avec le minimum de douleur, si je le pouvais encore, je devrai me soumettre à tous les plaisir, petits et grands, de Don. Malgré ma honte, j'avais essayé de mettre de la bonne volonté dans ce que j'avais dit, en espérant lui plaire... si cela suffisait.

Contre toute attente la réponse plu a Don, elle était tout de même un peu plus recherchée que d'habitude et donc celà l'enchanta, et donc, il voulait en entendre plus. L'esclavagiste eut un petit rire alors qu'il relachait les bras de Pandora pour accélérer ses derniers coups de bassins, montrant qu'il pouvait être bon bougre...Ou pas ? L'esclavagiste sourit doucement alors qu'il se retirait de la jeune terranide et la laissait étendue sur le bureau pour lancer avec une voix nasillarde

"Tu vois, ça ne coute rien d'obeir. Merci qui ?"

Il n'avait pas encore joui. Celà aurait du mettre la puce a l'oreille a n'importe qui, Don s'assit dans un de ses fauteuils et lança a Pandora avec un de ses sourires maléfiques qui étaient sa marque de fabrique

"A présent néttoie moi. Utilise donc ta langue et ta bouche, comme celles de ta race le font. "

Fit il en montrant son sexe encore enduit de cyprine et toujours tendu vers la jeune Terranide.

"J'attend."

Fit il d'une voix sèche.

Le grand, le terrible Don, avait eut de la chance, si il avait fait cette demande ne serait-ce qu'une minute auparavant, il aurait vu le symbole de sa virilité disparaître sous ses yeux. Cet homme si imposant aurait pu être maté, mais ce ne serait jamais grâce à moi. Je m'approchais de lui, prête à satisfaire ma requête, ne relevant même pas l'insulte faite à ma race. Et le remerciais même pour ce qu'il m'avait fait. J'avais un peu honte de moi, mais je ne pouvais plus que faire ça, mon corps était encore brulant de douleur, et de plaisir mélangé. Je redoutais plus que tout ses brimades et ses punitions. Je ne voulais plus jamais me faire punir de la sorte...

"Oui, maître... je vous remercie..."

Mes débuts furent hésitants. Je posais doucement ma langue contre son sexe toujours tendu. Un baiser tout d'abord, puis un autre. Avant de prendre cette chose dans ma bouche, je pensai qu'il était nécessaire de le nettoyer un minimum, commençant par le bas, je lapais la cyprine qui dégoulinait. Une fois ce premier jet finit, je me plaçais à genoux, bien en face et commençai à le prendre dans ma bouche. Ma langue jouait avec ce membre dur, tandis que ma tête faisait des va-et-vient. Pas trop loin, pas trop fort ni trop vite. J'aspirais en même tant que ma langue tournait autour, s'appuyait dessus pour glisser le plus loin possible.

C'est à ce moment là que me revint les explications du marchand. Il disait que dans la fellation, après avoir excité le membre convenablement, il fallait le prendre entièrement dans sa bouche, même si cela nous était impossible à première vue, puis augmenter le rythme. Dans le cas contraire, celui qui nous achèterait serait obligé de nous y forcer et il en résulterait deux fâcheuses conséquences : premièrement, la douleur ressentit nous ferait sûrement vomir et nous aurions l'impression étouffer sans possibilité de se dégager et deuxièmement, cela mécontenterai le même. La plupart des esclaves ne le faisait jamais d'eux même. J'appliquai donc ce que j'avais appris sur Don, ma tête plongea sur lui, mon nez touchant quasiment son corps, puis repartait dans l'autre sens. Pendant ce petit instant je crû vraiment que j'allais vomir mais le fait de pouvoir m'enlever autant me permit de respirer et de recommencer ma tâche. J'accélérai le rythme progressivement ne pensant plus à rien d'autre, ma langue tournant et lechant comme elle le pouvait cette hampe énorme.