J’aimais ce que je voyais. Parce que je voyais dans quel état elle était. Parce que je voyais aussi qu’elle avait envie de plus. Parce que je la voyais se retenir. Je lui détectais un énorme potentiel de soumission. Bien sûr. cela me donnait de voir jusqu’où j’aurai pu la pousser ici comme là-bas. C’était superbe comme spectacle. Et je n’abordais même pas sa conformation physique. Elle était belle, désirable. Elle avait une silhouette qui appelait la luxure, des seins lourds, généreux, et gonflés, aux tétons sensibles, particulièrement attractifs – elle savait els mettre en avant en plus – surmontant un ventre plat et un pubis glabre, au-dessus d’un sexe fendu tout aussi glabre. Et je ne parlais pas même de son derrière. Deux jolies fesses qui étaient un appel à la claque.
Je sentais la nonne vibrer sous me doigts, je la sentais capable de se lover contre mes mains pour plus de sensations, elle était à la recherche de ce plaisir qu’elle ne devrait pas ressentir trop vite, trop tôt, trop fort. Et sa moiteur coulante était la preuve même de son absence de contrôle réel sur le sujet. Elle retenait sa voix, elle retenait ses gestes, et ses pensées, comme si elle craignait la conséquence d’un gémissement trop prononcé. Elle ne pouvait dissimuler son émoi mais elle tachait de le retenir un tant soit peu, même si, parfois, son corps se crispait un peu pour se retenir. C’était bien.
« Je suis ravi de voir que tu sais te contrôler un minimum… »
Je tirais sur le mamelon, durci et semblant attendre de tels traitements, puis je lui expliquais ce que j’attendais d’elle. Une position étrange, j’en convenais, sans doute. Ne comprenait-elle pas où je comptais en venir. Mais maintenant, au moins, elle pouvait respirer un peu, et se détendre, alors que je la regardais se mouvoir vers son lit, les loches balançant au rythme de ses hanches. Je comprenais que je lui demandais un peu de contorsion, mais elle avait l’air d’avoir une allure travaillée, avec des muscles se dessinant sous les doigts prouvant un exercice plus poussé que de se faire chahuter, mais pas de quoi la déformer pour autant.
Malgré les errements de ses envies, elle savait se tenir et prendre la peine d’agir comme il fallait.
« Je sais que je peux compter sur toi, ma belle, je sais… »
Je lui caressais les cheveux avec tendresse, pour l’encourager avant de lui gifler les fesses pour lui « donner de l’élan »
Je la regardais s’installer. Et cela prit un temps fou. Un temps très long. Et en même temps, étant dans un rêve, cela passa comme une seconde. Je m’étais approché d’elle alors qu’elle continuait à monter contre le mur son bassin, jusqu’à m’offrir une vue magnifique e, comme celle que je m’étais attendu à voir. Non, bien sûr. c’était au-delà de ça. son sexe poisseux qui s’était bien écarté à cause de la position, laissais voir ses chairs rosées, et je venais doucement écarter davantage ses petites lèvres, offrant une vue encore plus profonde sur son minou baveux. Son clitoris, bien visible, était bien gonflé lui aussi, sans doute impatient. Eussé-je été cruel que j’aurai mis une petite pichenette à celui-ci. je sentais son équilibre précaire et je ne le bousculais pas. Mais avec douceur, je prenais ses mains pour les guider ver s ses lombaires pour qu’elle puisse se souvenir, en enfonçant ses coudes dans le matelas. Ainsi, elle avait un appui un peu plus régulier, et donc un peu plus stables…
Je me penchais vers son visage, posant un genou à terre, et je lui baisais le front, admirant la rivière de j’ai de ses cheveux qui s’étalait en corolle sous elle.
« Tu es magnifique, sœur Blum. Et obscène à souhait… maintenant, laisse-moi te faire découvrir pourquoi cette position était exigée… ferme les yeux un instant… »
Je lui suris, et je venais doucement « pousser » ses paupières pour l’inviter à vraiment fermer les yeux. Alors, je me relevais pour prendre un des cierges qui s’alluma ; c’était le cierge que j’avais déjà sélectionné. Pas trop long, pas trop court, et d’une épaisseur pas trop grosse. L but n’était pas de lui déchirer les chairs. Même si, comme nous étions dans un rêve, cela n’arriverait pas si elle ne le voulait pas.
Le temps que je me tourne vers elle, le cierge s’était allumé.
« Tu peux regarder. »
En ouvrant les yeux, elle verrait juste les premières gouttes de cire chaude tomber sur ses tétines sensibles. Puis, je glissais la base du cierge – et seulement la base, au cœur de son intimité bouillonnante.
« Je te conseille de la tenir comme ça, sinon, tu risques de te bruler… »
C’était facile à dire : la cire coulant le long du cierge allait lui offrir de jolies sensations et n’allait pas l’aider à se concentrer là-dessus, pas plus que le reste.
« Qu’en penses-tu ? »
Et là ce fut vicieux. Quand elle ouvrit la bouche pour me répondre, mon sexe trouva le chemin de sa gorge, avec brutalité, avec violence même, pour lui baiser la gueule comme d’autre lui avaient baisé le con, et ce, jusqu’à ce que son manque d’air ne me force à me retirer pour la laisser respirer.