Les bas fonds ne sont pas franchement un endroit que je recommanderais, toutefois, c'est bien là où il se passe le plus de chose. Entre les trafics illégaux, les gangs, la prostitution, la loi du plus fort règnait !
Mais il y avait aussi d'innombrable cachette, des fois je m'amusais à m'y perdre. C'est plutôt amusant, et en bon agent du chaos, je n'hésitais pas à aller foutre la merde dans un club ou dans un bar.
Toutefois, pour garder une bonne image, je ne tuais points, roh quelque os brisé, mais sa c'est uniquement lorsque ma vie est en jeux. Et il faut dire qu'un furry lapin, sa attise quelques convoitises ! On a déjà essayer plusieurs fois de me kidnapper, pour quoi précisément ? je ne sais pas, faire de moi un jouet sexuel ? ma fourrure ? parce que les os ou muscles de furry auraient des propriétés magique ou aphrodisiaque ? Va savoir et je m'en moque un peu.
Bref, ce n'est pas un lieu que je recommanderais pour les personnes fragiles et ici. Mêmes les petites mains ont toujours une lueur argenté caché entre leur vêtement. Il faut se méfier de tout le monde, et même en gang. La faiblesse amène à la mort...
Bref, aujourd'hui j'étais de garde à l'entrée d'une maison close. Mes oreilles se dressèrent, entendant une certaine agitation a quelques kilomètres d'ici, bien vite je compris pourquoi, une fumée blanche s'élevait du Sud.
Dernièrement il y avait eu quelques feux par-ci, par-là, rien de mortelle, mais cela avait mis les gangs à crans, qui pensait que quelqu'un tentait de mettre le feu au poudre. Je fus presque déçus que cela ne venait pas de moi.
Quelques minutes passèrent quand je vis une personne courire sans s'arrêter, si ce n'est qu'elle se retama à cause des pavés mal ajusté. L'observant curieux, je sortis et entendis des bruits de pas courrant dans cette direction, devinant rapidement ce qui se passait, je pris la parole.
- Viens te cacher là.
Je lui ouvris la porte de mon bureau, la personne encapuché hésita mais entendit à son tour les voix gueulants "elle est par là, vite !". Se décida d'entrer, je fermais la porte après elle, et resta contre, fumant un cigare, avant de voir un groupe de cinq personnes, le gang de Youri, ils étaient furieux et armes sorti.
Avant mêmes qu'ils aient ouvert la bouche, je leur pointais une direction. ils grognèrent le fait que je ne l'ai pas arrêter, mais ne s'arrêtèrent point.
J'attendis un peu, avant de rentrer à mon tour dans mon bureau pour découvrir qui était la personne que j'avais "sauvé" et ce qu'elle avait fait ou du moins, ce qu'on lui mettait sur le dos. J'allumais la lumière éteinte jusqu'à la et mon regard se posa sur l'ombre qui tentait de se cacher là ou elle pouvait. Pas beaucoup de choix, sous le lit, sous le bureau ou dans l'armoire. En même temps, ici ce n'est qu'un bureau de passage donc bon...
- Alors la petite fouine, tu m'explique ce qu'il se passe ? Souriais-je bien amuser, peu empathique.