Mon emprise sur elle était brutale, mes mouvements saccadés la pénétraient avec une intensité sans pareille. Sa chatte, un brasier ardent, dévorait ma queue avec une avidité insatiable, et chaque cri qu'elle lâchait alimentait mon désir de la posséder encore plus sauvagement. Je la maintenais fermement par les hanches, la guidant à travers les vagues de plaisir qui nous submergeaient. Ses gémissements devenaient ma symphonie, m'encourageant à la posséder avec une férocité sans limites. « NOUS sommes tes dieux ma p'tite... ! » Quand je prononce ces mots, je me sens comme une divinité, au-dessus de tout, avec le contrôle total sur elle. C'est une déclaration de suprématie, une façon de lui faire comprendre qu'elle est entièrement sous notre domination. C'est une manière de la convaincre de se soumettre complètement à nous, de nous adorer comme ses seuls véritables maîtres. De cette façon, ouais, nous nous plaçons au-dessus de toutes les lois et les conventions et ce peu importe le monde où nous nous trouvons.
Alors que je la pénètre profondément, je sens ses seins sous mes mains, les pressant avec fermeté, lui rappelant qui sont les maîtres de cette situation. Alors que je la pénétrais profondément, je sentais la fermeté de ses seins sous mes mains, les maintenant avec autorité. Je l'obligeais à tourner son visage vers le mien, nos lèvres se rejoignant dans un baiser passionné et vorace. C'est bon... nos langues s'entrelaçaient avec luxure, ma verge continuait de la pénétrer sans relâche. « Oof... J'ai... J'ai envie de jouir... ! » C'était dans ces moments que je me sentais le plus puissant, le plus invincible. Son expression de soumission, ses cris de plaisir, tout cela ne faisait que renforcer ma pleine satisfaction. Un soupir d'aise m'échappait alors que je sentais l'orgasme approcher à grands pas. La tension montait, l'excitation électrisait mes sens alors que je me laissais emporter par la déferlante de plaisir qui se profilait à l'horizon.
À mesure que l'intensité de leur étreinte atteignait son paroxysme, Han et Yôkai ont fini par lâcher prise, leur plaisir culminant dans une explosion de jouissance. Leurs corps se sont raidis, chaque muscle se sont tendus au maximum alors qu'ils se sont laissés emporter par le torrent de sensations qui les submergeait. Leurs gémissements de plaisir résonnaient dans la pièce, mêlés aux cris de Marguerite qui les encourageait à se libérer complètement. Leur sperme chaud, épais et en grande quantité, a jailli de leurs membres tendus, inondant les orifices de Marguerite de leur essence virile. Ils l'ont remplie à la fois par devant et par derrière, leurs semences se mélangeant vulgairement. Leurs mouvements sont devenus plus lents, plus doux, alors qu'ils savouraient chaque instant de cette extase partagée. Leurs corps se sont relâchés peu à peu, les dernières vagues de plaisir les emportant vers un état de béatitude absolue. Ils sont restés ainsi, étroitement enlacés, savourant le goût de leur plaisir partagé, jusqu'à ce que le calme revienne peu à peu dans la pièce, laissant derrière eux un souvenir brûlant de leur passion débordante.
« Tu nous lècherai pas pour nous débarrasser ce qu'il reste de foutre sur nos chibres... ? »
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«
Han »
«
Yõkai »