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Les Bacchanales des deux divins. [PV : Seryana]

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Vittorio Vulcano

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    Demi-Dieu néréide en quête d'excellence.

Les Bacchanales des deux divins. [PV : Seryana]

vendredi 06 octobre 2023, 23:40:46

Quand paraissait au lointain l’aube aux doigts roses, lorsqu’une fidèle – fort peu vêtue au demeurant ! –  lui apprit aux portes de son sanctuaire que Seryana passerait le reste de sa journée dans ses offices privés, une moue de frustration monta aux grosses lèvres pulpeuses du Demi-Dieu.

« Mais non, vous ne pouvez pas entrer, messire ! s’exclamait une blondinette dont la toge légère laissait deviner les fins tétons qui s’érigeaient du haut de son généreux balcon. La déesse se repose ! Vous allez la fâcher… »

Vittorio arquait un sourcil face à cette réponse. Qu’on lui refusât l’accès aux quartiers sonnait comme un camouflet insupportable. Cette maudite règle ne lui convenait pas ; il manifesta ostensiblement son mécontentement en poussant un ultime soupir ; fichtre du sacrilège de la transgression, il obtiendra cette maudite audience avec cette divinité aux mœurs intrépides.

Ainsi, aux prémices du petit matin où blanchissait la campagne se promenait un damoiseau, attiré par la prospérité dorée du Domaine de la Déesse Seryana. Divinité dite « de proximité » en raison de sa politique de cohabitation avec les mortels, elle passait pour une créature bienveillante et dotée d’une personnalité magnétique. On lui prêtait, d’après les rumeurs et quelques racontars plus ou moins bienveillants, qu’elle s’était attirée une foule de fidèles par sa générosité d’une part et par la nature licencieuse de ses enseignements d’autre part ; on disait d’elle qu’elle présidait toutes sortes d’orgies en passant par les fameuses bacchanales. Gardons à l’esprit que Vittorio était beaucoup trop exclusif. Ce n’était pas un damoiseau d’un caractère facile ; il appartenait à la maudite espèce des jeunes gens doués de dons exceptionnels, exigeants et de tempéraments orageux. Il se montrerait par trop fier pour envisager sérieusement l’idée de participer aux parties fines d’une divinité un peu trop libérale par ses mœurs. S’il devait conter fleurette à la splendide Seryana, ce serait à la faveur d’une rencontre en huis-clos, loin des regards indiscrets, dans une exclusivité mutuelle. Ce désir, qui germait dans l’esprit du Néréide plusieurs jours durant comme les ferments d’une belle plante, poussa ce dernier à entreprendre l’impérieuse investigation au sein même du lieu où s’érigea la puissance de l’auguste souveraine de passion. Ses terres, son domaine, puis son temple, enfin son intimité floréale nichée près d’une cascade où coule une onde pure et scintillante.

Les pas altiers de Vittorio le conduisirent ici dans ce réduit de sainteté aquatique, où baignait une déesse d’une beauté à couper le souffle, dont la longue chevelure tressée et nouée baisait l’eau, serpentant à sa surface. L’arrogant Vittorio se dépouilla de ses vêtements, qu’il jugea vains, superflus, afin de revêtir la plus belle de ses tenues : sa nudité mâle que son obélisque, véritable membre turgescent et tout veineux, magnifiait l’allure conquérante. Depuis le sommet de cette chute d’eau vertigineuse, le Demi-Dieu titanide toisait sa très bonne sœur divine, toute accorte, belle à mourir d’un baiser fatal qu’il lui volerait volontiers !, les lignes ciselées de sa musculature saillante réverbérant les rayons lumineux du soleil éternel ; l’ombre de sa silhouette arrogante se découpant sur la roche, tandis qu’il se tint debout, statue hellène d’un prestance remarquable et image d’Epinal d’un Dieu authentique.

« Je te trouve enfin, ô Seryana à la longue tresse », disait-il la voix tonnante, portante, comme une douce et brève musique qui entrait dans l’oreille de la déesse de la passion pour initier un rituel de séduction. Ni de passion, ni de séduction, Vittorio n’en était dépourvu. Déjà ses prunelles mordorées scrutaient attentivement les courbes de la souveraine ainsi interpellée, tandis qu’un large sourire lippu trônait au milieu de son visage. « Offre moi le plaisir de te rejoindre dans tes eaux. » Et cette parole sonnait autant comme une injonction qu’une supplication.
« Modifié: samedi 07 octobre 2023, 09:06:54 par Vittorio Vulcano »

Merci Tenshi !

Seryana

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Re : Les Bacchanales des deux divins. [PV : Seryana]

Réponse 1 dimanche 15 octobre 2023, 04:24:11

La déesse, comme à ses habitudes, s’occupait d’offrir une bonne ambiance et un bon accueil digne de la déesse de la passion. Elle tâchait de faire saisir à ses nombreux partisans ses préceptes, ce qui n’était pas toujours simple. Dans leur grand amour pour la déesse, certains de ses suivants et même certaines prêtresses qui suivaient l’exemple de leur déesse, avaient tendance à, vouloir la surprotéger à tel point qu’il semblait vouloir la garder juste pour eux. Seryana était contre cela, la passion s’offrait à tous et toute, sans retenue, ils allaient devoir apprendre à ne guère faire preuve d’égoïsme dans la passion.

Elle devrait donc s’atteler à leur faire encore comprendre qu’en tant que partisans de la passion de la chair, ils se devaient d’être généreux envers autrui. Ce serait cependant pour une autre fois, pour l’instant la belle déesse souhaitait se prendre un bain  naturel.

C’est donc non loin de son temple dans la nature qu’elle avait installé un lieu ou se laver, sous une grande cascade à l’eau cristalline. Dénudée, laissant ses vêtements sur un rocher, elle rentre un pied, puis l’autre, l’eau est fraîche, mais rien qui puisse indisposer une déesse, au contraire, ça lui faisait du bien. Alors qu’elle se faisait toute propre, sa longue chevelure tombant, elle entendu une voix masculine, une voix puissante, mais pas menaçante, se tournant vers l’individu, elle eut là une bien belle surprise. Un grand mâle, beau, fort, imposant et bien équipé, entièrement nu, semblant intéressé à partager la toilette de la déesse.

« Ho… Et bien, je ne saurais refuser la compagnie d’un semblable aussi séduisant, allons venez mon chère. »

À son aura elle pu sentir en effet, qu’il était de nature divine, plus ou moins… ou presque, ce n’était pas très clair, mais il était divin lui aussi. Alors qu’il semblait commencer à venir, l’eau ruisselait sur le corps nu de Seryana, ses mamelons à l’air libre luisant pour le plus grand plaisir de son interlocuteur.
« Modifié: dimanche 15 octobre 2023, 04:29:33 par Seryana »

Vittorio Vulcano

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Re : Les Bacchanales des deux divins. [PV : Seryana]

Réponse 2 samedi 04 novembre 2023, 21:39:58

S’il existait une force gravitationnelle, celle-ci avait attiré les deux divins dans ce réduit aquatique à l’abri des regards indiscrets. Mais plusieurs choix s’offraient à eux également. Par exemple, Seryana pourrait tout aussi bien manifester sa colère et condamner l’acte transgressif de Vittorio, lequel s’était introduit dans son sanctuaire privé par vanité. Cette option ne fut visiblement pas retenue. Au lieu de le vouer aux gémonies en raison de son intrusion, la déesse lui fit plutôt bon accueil. Gardons à l’esprit que le Titanide abhorrait le viol ou toute pratique fondée sur la coercition. Il n’avait aucune envie de nuire à son hôtesse en vue d’en tirer une jouissance pathétique, pas le moins du monde.

« Aurais-tu eu la folie de me repousser, moi, Vittorio Vulcano, jeune démiurge ? », répondit le Demi-Dieu dans toute son outrecuidance, ses sourcils froncés d’une fausse indignation hyperbolique. S’il se rapprocha d’elle ensuite, ce fut également pour darder sur ses courbes un regard un brin affamé. « Parle moi de toi, ma chère. Berce-moi par tes mots… » Disons le sans détour, le Titanide conçut le violent désir d’allumer l’étincelle de la passion dans le cœur même d’une déesse de la passion, et à cette fin, il était prêt à mobiliser ses talents, ses stratégies. Déjà, ses doigts, blancs comme l’albâtre, nimbés d’une fine couche d’huile d’olive, s’évertuaient à flatter les divins mamelons par d’amples et habiles caresses lascives. Ses aréoles passées au peigne fin, que Seryana montrait non sans une certaine fierté de toute évidence, étaient l’objet des plus intenses sollicitations. Titillées, taquinées, asticotées, lesdites aréoles servirent les desseins les plus amusants d’un Demi-Dieu plus taquin que jamais, qui prenait allègrement ses aises. Le voici déjà en train de pencher la tête et compléter l’affront précédent par sa tendre insolence en gobant de ses lèvres lippues le téton pointant de sa sœur divine, comme cela, sans coup férir, tandis qu’il la fixait droit dans les yeux. Expression de sa passion horrible, les prunelles d’or de Vittorio jetaient de violents éclairs de désir, foudroyant la divinité recluse dans son habitable liquide.

Mais là encore, gardons-nous de dresser au Néréide l’un de ces mauvais portraits vitrioliques. Il n’était pas, ne sera jamais un vulgaire égoïste soucieux de son seul plaisir. Aussi retira-t-il, rapidement, sa grosse bouche désirante hors du téton âprement aimé afin de prononcer les paroles suivantes au creux de l’oreille droite de ladite déesse, d’une voix qui ne souffrirait d’aucune opposition : « Allonge-toi, ô Seryana, sur ce lit de pierre. Laisse-moi achever ta toilette. » Les termes étaient dits ; déjà, le voici en train de faire serpenter ses poignées puissantes vers les hanches chaloupées de cette superbe créature à la longue toison dorée afin de s’en saisir, comme s’il s’agissait de la plus exquise des porcelaines. Ainsi l’étendit-elle sur une belle roche polie, couverte, par-ci, par-là, du plus sombre et du plus fertile des humus. Il la dévora ensuite du regard, comme si elle n’était qu’un met qu’il voudrait déguster petit à petit. « Sais-tu à quel point tu es belle à croquer ? » Cette question ne réclamait toutefois pas la moindre réponse.

Les hanches de Seryana furent écartées, le beau mâle remontait ses mains le long de sa silhouette ovidienne, flattant sa toison, flattant ses beaux coussins bien ronds, avant d’épouser ses parures dorées, puis ses jolis doigts graciles. Il s’allongea ensuite sur elle, non sans effleurer le seuil de son intimité par son obélisque. « Parle moi de toi, Seryana ! Exprime toi, je veux t’entendre… » À la faveur de ses mots, il lui vola un baiser, bref mais fougueux.

Merci Tenshi !


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