Tout sourire du fait de ce réveil délicieux, bien que survenu au beau milieu de la nuit, je m’étais perdu quelques secondes à peine, à regarder cet immense feu illuminant la nuit que davantage de merveilleuses sensations me ramenèrent à la réalité. Je me pris à penser qu’à l’inverse d’un autre, j’avais eu beaucoup de chance ce soir.
La somptueuse rousse qui s’était dérobée à lui trônant là, nue et cuisses grandes écartées, m’avait ramené à elle du bout de son pied, l’écrasant doucement et longuement contre mes énormes bourses enflées avant de lui faire détailler ma verge avec douceur.
Les yeux de nouveau rivés sur elle, je la regardais caresser mon gland, tourner autour avec délicatesse, avant de se raviser pour se repositionner. Ses deux gros seins ballants touchant presque le sol de la petite toile, elle s’approcha sans se faire prier le moindre instant, négligeant à moitié mon invitation pour ne s’arrêter qu’à l’entrée même de la tente et pour venir mettre l’une de mes couilles dans sa bouche. Presque furieusement, elle la recracha pour revenir la lécher aussitôt, puis offrait le même traitement à sa jumelle de toujours.
À genoux un très bref instant plus tard, la belle se reculait, le regard pétillant, presque avide. Sa bouche s’ouvrit grand et elle fit pendre longuement sa jolie petite langue rose, qu’elle vint presser au bout de ma queue, lapant chaudement tout ce qui pouvait bien déjà sortir de ma bite. La bouche fermement serrée, j’empêchais au possible le moindre son de s’échapper, m’agrippant déjà de mes deux mains au sommet de la tente.
« Hmmmpf… ha. Ha oui… ouiii… là, comme ça. »
Puis ses mains se joignirent à la cadence de sa langue. Les yeux vers le ciel étoilé, je respirais fort, à plein poumons en me délectant du fait de me faire branler de la sorte, là, comme ça. De quelques petits mouvements de bassin, je venais jouer à mon tour, malicieusement, collant mon sexe tout contre son nez, puis contre son front, ses joues, jouant à la faire tourner dans l’autre sens que celui pris par sa langue. À la voir faire, je trouvais une source d’excitation folle en le fait de voir comme elle semblait prendre son pied à déguster ma bite. Joueur, je m’en amusais donc follement, ne cessant de la taquiner en la lui offrant toute entière, ne manquant pas une occasion de la lui coller en plein visage.
« Mmmh, ouiiii… haan oui, alors il est bon ? »
Ce qui survint ensuite fut la goutte d’eau.
Je compris vite lorsque je la vis changer de position, mais ne m’attendais toutefois pas à prendre mon pied aussi vite. Son cul énorme disparut de mon champ de vision quand sa belle propriétaire vint à se mettre à genoux devant moi, ses deux melons si ronds et mûrs entre les mains. Fourrant ma bite entre ses seins, celle qui m’avait promis que je n’aurais peut-être bientôt plus le droit de les toucher me les offrit pourtant comme sur un plateau pour me donner là le parfait avant-goût de leur incroyable douceur. Ses deux nibards se pressant lourdement à la rencontre de ma verge, la jeune femme m’offrit ici le fourreau parfait pour nos préliminaires. Le bout de sa langue vint à son tour s’agiter de nouveau férocement tout contre mon gland et mes mains, elles, ne vinrent enserrer que plus fort la toile de tente.
« Pu-tain. »
Trépignant d’envie alors que ses caresses venaient déjà à me faire perdre tout moyen, je tapais du pied nerveusement dans le sable chaud, le souffle rendu plus difficile. Cherchant à fuir mon propre plaisir pour ne pas perdre notre pari si simplement, je fuyais également son regard de braise pour observer ça et là, mes yeux fuyant en direction du feu de joie, puis de ces tentes disséminées ça et là, à côté de celui-ci.
Il me fallait gagner un peu de temps, ne pas me laisser aller aussi vite, quand bien même cela faisait un bien fou.
« Haaaa… »
Me mordant les lèvres avec force, j’extirpais en vitesse ma bite de sa prodigieuse paire de seins, me contraignant pour l’instant à une folle et débordante frustration. L’attrapant aussitôt par la main, je l’invitais à me rejoindre dehors, toute nue, et l’attirais avec moi en direction du feu. Nous plaçant côte à côte, je la collais à moi, une main ancrée fermement à son cul que je prenais plaisir à retrouver.
« Et si on allait continuer ça là-bas ? Un soixante-neuf sur le sable, à côté du feu. »
Mon envie se faisant plus pressante à chaque pas que nous faisions, mes mains venaient à s’enfoncer plus encore dans sa chair, pétrissant ses fesses larges et rebondies avant d’effleurer son tout petit trou du bout d’un doigt, tournant autour, le titillant un peu, avant que ma main entière ne vienne finalement s’enfoncer entre ses cuisses trempées, à la rencontre de sa vulve que j’entrouvrais aussi vite.
Arrivé à destination, je me positionnais à genoux près du feu, à mon tour, sans pour autant cesser les petits mouvements entamés par chacun des doigts de ma main si occupée. La gardant debout, face à moi, je plaçais une seconde main contre l’intérieur de sa cuisse et poussait de sorte à ce qu’elle l’écarte d’elle-même, me positionnant presque en dessous.
« Tu sais… »
Arrêtant tout, mes deux mains vinrent glisser contre l’intérieur de ses cuisses, vers l’extérieur. Lentement je montais, glissant sur ses hanches, attrapant ses fesses, puis montais encore tout contre son ventre.
« J’ai peut-être un autre jeu pour toi. »
Mes yeux se levant pour retrouver les siens, mes mains redescendaient quant à elle vers son aine, l’effleuraient lentement…
De mes pouces, j’écartais ses petites lèvres intimes, et vint donner un premier coup de langue à cette petite chatte trempée.
« Si on fait beaucoup de bruit toi et moi… ça réveillerait peut-être ton copain, là-bas. »
Un sourire narquois, et je léchais encore. Une fois. Deux fois, en enfonçant cette fois plus encore mon visage contre son sexe.
« Ça te dirait d’aller le chercher ? »
Mon nez s’enfonçant lentement au creux de ses lèvres intimes, je me barbouillais avec passion de son chaud nectar parfumé. Plus lentement, mais plus intensément encore, je lapais et mes mains remontaient doucement. Tout doucement. Mes grandes mains attrapaient ses seins pour les pétrir eux aussi, pinçant leur petites pointes dressées si durement.
« Deux grosses bombes chantilly à vider sur tes melons. Dans ta bouche. »
Plus grossièrement, j’accélérais la cadence dictée par ma langue curieuse comme pour me bâfrer de sa chatte, soufflant et soupirant dessus encore… et encore.
« Tu t’assiérais sur moi pour me chevaucher autant que tu veux, dictant ton propre plaisir, ta propre loi pendant qu’il s’occuperait de ton cul. Puis… l’inverse, si tu veux m’y sentir et nous faire jouer à celui qui te fera hurler le plus fort. Toute la nuit. »
Insistant sur elle de mes doigts comme de ma langue, sans perdre une miette de ses coquines réactions, je bouffais, broutais sans hésiter sa fleur délicate, l’une de mes mains se perdant en route pour se coller encore une fois à son délicieux postérieur. Sans tourner autour du pot plus longtemps, j’enfonçais une première phalange de mon index dans son cul, puis une seconde, avant d’y mettre mon doigt entier que je mis à faire gigoter de haut en bas.
« Ils étaient une dizaine à se battre pour t’avoir ce soir. Pourquoi ne pas tous les réveiller, même ? Si tu vas les chercher comme ça, aucun d’entre eux ne te dira non… Imagine-toi être le centre de l’attention. Toute seule au milieu d’une partouze. Tu m’as pour toute la nuit, et tu dévalises toute la cave à cigares. Une dizaine de mecs au garde à vous, prêts à vider leurs grosses lances à incendies sur toi, les uns après les autres, tous en même temps… prêts à entrer à plusieurs en toi, à faire la queue pour profiter de tes gros melons, à te faire crier jusqu’au matin. »
Lâchant finalement son deuxième sein, mon autre main retrouva son sexe pour en pénétrer la chair. Le pouce traçant de petits ronds à la recherche de son bouton de plaisir, l’index et le majeur entrant en elle avec aisance pour remuer doucement, en canon avec ce majeur qui s’occupait déjà d’elle ailleurs.
« Alors ? Tu vas les chercher ? Je te regarde… une dizaine d’inconnus rien que pour toi, sans doute tous enchantés de faire la connaissance de ton joli p’tit cul… faisant la queue pour te prendre à tour de rôle ? »
Un grand sourire aux lèvres, je lançais cela avec un grand naturel. Pourtant je devais l’admettre, je ne savais pas où ni comment j’étais allé dénicher cette idée, quand on sait que jamais de ma vie je n’avais fait un truc pareil.