Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Bando

Humain(e)

Encore une autre de ces journées passée à vagabonder, à faire sans vraiment faire à la fois, à tuer le temps simplement, dans l’espoir qu’une petite lueur viendrait scintiller, m’inspirer.

L’été est chaud, bien trop pour moi qui préfère bien souvent le confort de mon bureau aux sorties. La chaleur grimpait depuis des jours et, à en croire la météo, c’était parti pour durer. Même ventilateurs tout allumés, c’en était devenu insoutenable pour moi. Fuyant la grande ville et sa pollution ambiante, je m’étais ainsi décidé à rouler jusqu’au sud, au bord de la mer, là où au moins, cette chaleur écrasante avait sa raison d’être. Puis bon, c’était aussi l’occasion pour moi de passer saluer certains de ces oncles et tantes à qui je ne rendais pas souvent visite, prétextant toujours d’être trop occupé pour fuir ainsi les sempiternels rassemblements familiaux.
Cette fois, pas le choix, mon prétexte était tout trouvé pour justifier mon passage dans le coin, sans avoir pour autant à débourser quoique ce soit pour avoir un toit au-dessus de la tête.

Enfin, c’est ainsi que j’avais pensé mon coup à la base. Bien entendu, tout ne s’était pas tout à fait passé comme prévu. Moi qui pensais pouvoir me trouver là en petit comité, eh ben c’était raté ! D’autres oncles et tantes avaient justement débarqués ce même week-end. La maison était pleine à craquer. Bon, finalement c’était pas si mal. Un de mes jeunes cousins m’avait indiqué la plus splendide des criques du coin, connue de quelques initiés seulement. Il m’y avait emmené et m’avait laissé la tente qu’il prenait d’habitude en randonnée avec lui. L’adolescent avait atrocement envie de fuir toutes ces retrouvailles donc, même s’il me jalousait un peu, il me comprit tout à fait quand j’évoquais auprès de lui mon envie de me trouver un endroit au calme, joli si possible et où je ne dérangerai personne. Voilà qui était tout trouvé.

Ça faisait longtemps que je n’étais pas venu. J’en avais presque oublié comme cet endroit était formidable.

Me retrouvant enfin seul, j’avais pris le temps de m’installer. Oui, vous me connaissez, aussi débrouillard que je suis... j’avais galéré avec cette tente. Enfin, maintenant au moins, c’était fait ! J’étais à l’abri du vent, planté dans le sable fin qui me brûlait déjà les pieds, avec toute mes affaires sous la main. Ainsi, j’avais bouquiné un peu, dessiné aussi, avant que je ne puisse plus résister à l’appel de l’océan. Ouais, ça faisait vachement longtemps que je ne m’étais pas baigné, faut dire.

Du coup, j’étais parti faire trempette. Au moins une bonne heure, voire deux, tandis que les badauds allaient et venaient. J’étais sacrément étonné de voir le peu de monde qu’il y avait ici.

Un peu assommé avec toute cette énergie dépensée, voilà venu le moment de sortir un peu, histoire d’aller manger un morceau puis d’aller profiter du cadre, un truc comme ça. Vêtu de mon seul boxer trempé, je remonte doucement la plage, laissant le soleil faire son affaire tranquillement.
Je m’approche de ces cabines de bois qu’avaient dressées ici les habituées, qui s’étaient même débrouillé pour se mettre l’eau courante. Le pied ! Balançant mon boxer ailleurs pour qu’il puisse sécher lui aussi, j’en viens assez vite à repasser sous l’eau pour me débarrasser de tout ce sel et de tout ce sable.

Fixant la plage, droit devant moi, je me demande quand même pourquoi les gens d’ici n’avaient pas pensé à installer des portes ou des rideaux à ces cabines. Bon, ok, l’endroit était tranquille. Ou bien était-ce l’idée d’un groupe de nudistes ? La prochaine fois faudra que je pose la question. Pour le moment, on s‘en fout, non ?

Les yeux bien fermés, je tartine mes cheveux de ce shampoing que j’avais pris avec moi. Je me détends... complètement, et me tourne vers l’intérieur de la cabine. Mine de rien, ça fait du bien. Être ici, ne penser à rien.
Ne me focalisant que sur moi, dans cette petite cabine, je m’étire en silence, les jambes légèrement écartées. N’aimant pas attirer l’attention, jamais j’aurais fait un truc pareil d’habitude, mais là, étrangement je m’en foutais. Puis, encore une fois, il n’y avait personne. Rien à faire, que mon sexe pende jusqu’à mi-cuisses, je le laisse même se balancer fièrement de gauche à droite, en chantonnant bien tranquillement.

J’avais pas eu l’esprit aussi tranquille depuis longtemps.
« Modifié: mardi 18 janvier 2022, 17:14:54 par Bando »

Bando

Humain(e)

Sans doute un peu absent, d’une certaine façon, je restais ainsi perdu dans mes pensées durant de longue minute. Faire abstraction de tout le reste, voilà qui ne m’arrivait pas souvent. Pour cette fois, je me laissais aller, les yeux plissés avec force pour éviter tout contact avec le shampoing. Je me demandais bien à quoi j’allais pouvoir passer les prochains jours, puisque ce temps m’était tout bonnement offert. Sans doute retrouverai-je les miens à quelques occasions, mais au-delà de ça, pourquoi ne profiterai-je pas simplement du calme qui régnait ici ? Ce n’était pas grand chose, mais après tout, c’était plaisant.

Absorbé par ces idées qui allaient et venaient dans ma tête, il était bien sûr évident que je ne remarque rien du petit jeu qui se jouait à mon insu. Seule l’eau qui frappait le sommet de mon crâne se faisait entendre et jamais n’aurais-je pu deviner que mon instant solitaire avait déjà touché à sa fin.

Je faisais mousser l’huile tout contre mon corps, insistant sur mon torse fin. Je frottais longuement, me délectant du contact rafraîchissant de cette eau, continuant de siffloter gaiement quand ma bouche se découvrait de tout ce bain moussant. L’esprit serein, je me tournais vers l’horizon, vers cette petite parcelle de plage vide tandis que mes mains couraient un peu plus bas. Tant qu’il n’y avait personne, j’imagine qu’il n’y avait aucune honte à jouer un peu les exhibitionnistes. Un peu d’huile pour le corps au creux de ma main et j’en couvrais doucement la base de mon épaisse tige. Traçant quelques cercles du bout de mes doigts contre mon aine, j’insistais un peu en faisant glisser une main en ma courte toison. Les doigts grands écartés, je descendais, palpant ce long tuyau qu’était le mien. Les yeux dans sa direction, je suivais alors mon geste avec grande attention alors que je parcourais énergiquement cette zone de mon corps. D’une main je soupesais l’impressionnant colosse pour atteindre de l’autre mes bourses tout aussi démesurées. J’insistais à coup d’huile pour bien la faire mousser sur ces attributs, avant d’enlever son couvercle de peau fine à ma pointe grosse comme un poing. J’astiquais ce manche tout entier avec soin, avant de pousser ma tête pour que l’eau ne vienne y couler.

Mes yeux se refermaient aussitôt et je me remettais à frotter sur toute la longueur. L’eau de ma douche revenait résonner dans mes tympans et, de ce fait, je n’entendis pas encore que celle d’à côté s’était déclenchée.

Ces courtes minutes me parurent très agréables. J’étais remis à neuf et il était donc enfin temps de retrouver ma tente et mes petites affaires. J’arrêtais donc l’eau et... c’est là que je finis par me rendre compte que je n’étais plus seul. Depuis combien de temps au juste ? Ça, je n’avais aucun moyen de le savoir.

Pire encore, au-delà du bruit de cette eau qui coulait à côté, me parvint celui de quelques gémissements bien reconnaissables. Stoppé net dans mon élan, je reculais d’un pas dans ma cabine de douche et rallumais l’eau aussi vite, tout en me collant à la paroi qui nous séparait. À la voix cristalline, sans cassure aucune, que je pus deviner, je reconnus bien vite qu’il ne s’agissait pas là d’une nudiste proche de sa retraite ou de quelque chose du genre. L’écho de ces petits bruits était doux, fait d’une chaleur toute autre. Ce n’était pas le timbre d’une personne très âgée, c’était déjà ça de sûr. Un couple peut-être ? Faut dire qu’avec un cadre pareil, il serait dommage de pas en profiter.

Souriant à cette pensée, je n’osa toutefois pas aller jeter un œil curieux. Préférant faire mine de rien, je retrouvais l’eau de ma douche, le dos collé à cette paroi qui m’éloignait de ce qui me rendais si curieux.

Me mettant à imaginer ce qui devait bien se passer à côté, je refermais mes yeux pour capter chaque souffle. Le sang ne tarda pas à affluer en moi, au même titre que ces pensées coquines et je me raidis vite dans une demi-molle à en faire pâlir beaucoup d’autres. Étant là pour me laisser aller, je décidais donc de céder à ce plaisir coupable. Mes deux mains retrouvèrent vite ma tige ballottante et j’entrepris dès lors un long et lent massage rythmé par ces petits gémissements d’à côté.

« Mmmmh... »

Perdu dans mes fantasmes, j’espérais juste ne pas imaginer des choses trop loin de la réalité. Je n’avais aucune idée de qui cela pouvait bien être, ni de ce à quoi cette jeune femme devait ressembler, toutefois je l’admettais, sa petite voix était un pur régal.

Bando

Humain(e)

Bien trop concentré sur mes lubriques pensées, je garde l’oreille bien tendue en direction de la cabine voisine à la mienne. N’y entendant qu’un seul et unique souffle, je comprends alors qu’il s’agit, comme pour moi, d’un plaisir purement solitaire. Voilà qui ne me plaît que davantage, me poussant alors à imaginer, plus que l’apparence de cette inconnue d’à côté, la teneur de ses pensées et fantasmes.

Je me demande bien ce qui la met dans un tel état, ce qui a bien pu l’amener à déserter la magie de cette plage paradisiaque pour ne plus laisser parler que ses envies dévorantes. Si pour ma part, c’était le son de sa voix, l’imaginer en plein acte qui m’excitait, qu’en était-il d’elle ? À quoi pouvait-elle bien rêver ?

J’eus un léger sursaut en la sentant taper contre cette même cloison contre laquelle je m’étais appuyé, mais ne m’en trouva pas pour autant déstabilisé. De son côté, l’eau semblait s’être arrêtée de couler, me permettant de l’entendre plus clairement. Ses gémissements délicieux s’étaient déjà faits plus forts et plus intenses et, sous l’excitation croissante, je percevais désormais ses « ouiii » à répétition. Je l’imaginais s’imaginer elle-même en train d’être prise, de fantasmer à propos de toutes ces cochonneries qu’elle pourrait faire avec un ou une partenaire... les pensées se bousculaient bien vite dans ma tête et à mon tour, j’essayais donc d’en faire jaillir quelques images. J’imaginais une poitrine ronde, lourde et bien ferme comme j’en suis tant friand, de jolies fesses galbées et joliment sculptés, de celles dont la contraction forme un arrondi des plus superbes... À mon tour donc, je fantasme sur l’idée d’une inconnue idéale, d’une jeune femme purement rêvée, avec laquelle je passerai sans doute des vacances encore plus plaisantes.

Mon esprit bien trop échauffé par ces quelques petites stimulations timides que je m’offre en écoutant ma voisine couiner, ma voix ne tarde pas non plus à dérailler. L’excitation ayant parfaitement fait son office, j’arque désormais les jambes un peu plus, toujours adossé à la petite paroi de bois fin. Les deux mains enserrant mon énorme appendice qui se dresse maintenant de tout son long, en un splendide arc de cercle pointant le ciel, je viens y jouer en douceur.

« Ooh... ooooh »

Les yeux bien clos, je viens synchroniser le rythme de ma masturbation à la sienne, accélérant peu à peu pour que le ton de ma voix, moins bien sonore, puisse faire écho au sien, dans un canon joliment chanté.

Arrêtant un instant, je viens à réduire le débit d’eau. Si elle a conscience de n’être pas seule ici, mais pourtant déterminée à s’adonner au plaisir, alors me voilà décidé à en faire de même aussi, qu’elle puisse m’entendre comme je l’entends. Toquant deux ou trois fois sur la petite paroi pour l’avertir discrètement de ma présence, je pose ma voix sur la sienne.

« Mmmh... MmmmMMMmh... Oh oui. Oui. »

M’astiquant avec toujours un peu plus d’intensité, je coupe définitivement l’eau pour que nous puissions nous écouter tous deux, si elle le veut. L’une de mes mains s’active toujours plus vite tandis que l’autre se ferme avec plus de force sur mon épaisse base. Mes lèvres se ferment, se serrent avec force et mes gémissements les plus sonores viennent à être contenus du mieux qu’il m’est possible de le faire. Je bande comme un âne et suis habité par cette furieuse envie d’aller me glisser dans la cabine d’à côté, mais n’en fais pourtant rien. J’ai toujours aucune idée de qui peut bien se tenir là et, la surprise pourrait tout aussi bien être très... très mal venue.

« Ouuuh... mmff... haaaan... han oui ! »

Les minutes s’écoulent et s’accumulent bien vite au compteur. Mon plaisir croît à chaque seconde tandis que mes grosses veines gonflées roulent avec force entre mes doigts. L’envie monte en moi, me brûle et me consume et... pourtant...

Pas encore tout à fait proche de l’extase, au contraire de ma voisine, vraisemblablement, mon oreille curieuse se trouve bien avertie d’un problème à venir. Mon regard tourné vers l’extérieur, me voilà qui aperçois tout un petit groupe de personnes, des locaux sans doutes, qui viennent à s’approcher depuis la plage. Tout leur bardât dans les bras, tout semble indiquer qu’ils s’apprêtent à dresser leur camp dans cette petite crique, jusqu’ici si tranquille.

Ils sont une dizaine, à tout casser et, alors que j’arrête tout mouvement avec une grande frustration, je les devine en train d’amasser un tas de bois sur le sable, sans doute destiné à servir à l’immense feu de camp qu’ils prépareraient une fois la nuit tombée. Fait chier...

« Hoooo... »

Laissant mes mains retomber dans un dernier soupir, je laissais alors mon rythme cardiaque décélérer. Fallait pas non plus que j’me retrouve dans une position aussi fâcheuse face à tout ce petite groupe.

Attrapant vite ma serviette, je la posais sur ma tête contrariée pour sécher un peu mes cheveux. Constatant que mon boxer, lui, ne l’était pas encore, je finis par sortir nu comme un verre, prêt à regagner ma tente à vitesse grand V. Me convainquant une seconde que je pourrais jouer une toute dernière fois, je fais mine de rien lorsque je m’arrête devant la cabine de ma voisine. Toujours aussi curieux, l’envie me ronge de regarder dans sa direction. Ayant peur de passer plus encore pour un voyeur ou quoique ce soit, là encore je n’en fais rien. Comme si de rien n’était, je reste juste là, de profil à côté de cette douche grande ouverte. Faisant mine de rien entendre, je frotte mes cheveux parfumés et trempés avec insistance, sans chercher d’une quelconque manière à cacher ma très, très, très imposante trique, s’arquant sur presque 40cm. Un record dont je n’étais pas toujours si fier tant il pouvait compliquer les choses, mais par jeu, je reste toutefois là à m’exhiber sans honte un moment, quitte à impressionner, ou bien à effrayer la jeune femme qui se trouvait là. Avec raison pourrait-elle s’offusquer et se tétaniser d’effroi en se demandant comment une chose pareille pouvait bien rentrer quelque part... Qu’importe, la nature était parfois étrangement faite et, cela avait parfois ses avantages, si tant est que l’on tombe sur la bonne personne.

Après de longues secondes à frotter ma petite tête et à laisser mon sexe se balancer au même rythme effréné par dessus mes bourses largement gonflées, je fis un pas, puis un autre. Il était temps pour moi de regagner ma tente, ce que je fis donc, me cachant un peu sous cette serviette pour n’alerter personne au loin.

Vite, j’allais me saisir de mes affaires et tenter de me calmer, avant que la soirée ne débute pour nos nouveaux voisins. En voyant qu’ils n’étaient pas seuls, ils seraient bien foutus de me traîner pour boire un coup avec eux. Oui, j’étais sans doute un peu médium. Nan, plus sérieusement, j’serai pas étonné que ça s’passe comme ça.

Et, plus tard dans la soirée, ça ne loupa pas.

Bando

Humain(e)

Aussitôt mes pas m’éloignaient de ces douches de fortune, aussitôt regrettais-je mon départ. À peine n’avais-je fait quelques pas que le bruit incessant des ébats solitaires de ma voisine de cabine me ramenais vite à elle. Je ne fis pas demi-tour, seulement, après quelques pas dans le sable seulement, voilà que je m’étais arrêté, comme irrémédiablement attiré par l’écho du chant d’une bien étonnante sirène.

Le jeu s’était arrêté bien trop vite, c’en était sûr. Il suffisait de voir comme je souffrais de mon intense érection pour le comprendre. Mu par l’envie comme par la curiosité, je m’étais ainsi rapproché de nouveau, ne serait-ce que pour écouter l’acte arriver à son terme. La main sous ma serviette, je m’étais ainsi gratifié de quelques dernières caresses quelque peu frustrantes en écoutant ces derniers sons qui, de ma position, pouvaient encore me parvenir, tant ils se faisaient bruyants et intenses. Ma jeune voisine semblait avoir pris un pied monumental et moi, je m’en retrouvais bien con, à me dire qu’une partenaire de crime était ce qui devait me manquer le plus ici...

Ce doux spectacle terminé, je regagnais avec toujours plus de hâte ma petite tente. Rien de bien grand ni cossu, bien au contraire. Seulement le strict minimum. C’est fou comme on était serré là-dedans... et ce qu’il y faisait chaud ! Qu’importe, l’heure était venue de me calmer un peu et de laisser aux choses la possibilité de reprendre leur court normal. Difficile de se calmer après un truc pareil, vous me l’accorderez au moins... non ?

Les heures passèrent finalement, alors que je m’étais rhabillé d’un short et d’une chemise un peu ample. Ne souhaitant absolument pas me mêler à cette nouvelle foule, je m’étais contenté d’allumer la petite loupiote, là, juste à côté, et m’était remis à bouquiner, comme je le faisais souvent. J’étais bien tranquille, à profiter de mon coin rien qu’à moi, à perdre un peu pied avec le réel tout en calmant mon esprit bien trop excité, avant que ne survienne l’un des types de cette bande d’à côté.

Comme je m’en doutais, la conversation fut quelque peu longue, alors que l’on cherchait à m’attirer. Eux voulaient que je les rejoigne, comme devraient le faire chacune des personnes se partageant la petite crique pour la nuit... Pfff
À quoi bon ? J’eus beau batailler comme je le pouvais, je savais très bien que je ne pourrais indéfiniment résister et, en effet, après quelques longs échanges, je finis par me lever. Tous étaient bien trop bruyants et... « allumés » pour moi, mais je me laissa toutefois tenter. Tous joints autour de cet immense feu qu’ils avaient allumé, je partageais bien sûr quelques blagues, quelques anecdotes personnelles, sans savoir si celles-ci feraient mouche sur un tel public mais... au moins, je participais un peu, même si l’envie ne fut pas vraiment de la partie.

J’eus échangé quelques regards à droite à gauche, entre quelques verres que l’on me servait avec plaisir. Je crûs même reconnaître la jeune rouquine, celle-là même à laquelle je m’étais permis de penser plus tôt sous la douche, que j’avais observée en début de journée, bronzant topless alors que le soleil était encore à son zénith. Je n’eus pas de jumelles ni rien d’autre pour approcher davantage mon regard de cette vue somptueuse, toutefois, depuis ma position seulement m’étais mis à penser que la nature l’avait sans doute merveilleusement gâtée... Enfin, au moment où ces mots me vinrent en tête, cela faisait déjà vingt minutes que de l’autre bout du feu, les garçons s’agglutinaient, hagards, se battant entre eux pour être le centre de son attention.

Pfff...
Deux ou trois heures comme ça, peut-être. Deux ou trois heures seulement pour me suffire amplement. Je devais l’avouer, je m’ennuyais. Je n’avais pas grand chose en commun avec tout ce petite monde. Jamais n’appartiendrais-je à leur univers, à leur délire... J’eus beau tenter l’expérience, elle ne resta que cela, une expérience.

La nuit pleinement tombée, je terminais mon dernier verre et saluais vivement les quelques personnes autour de moi. Quelques centaines de mètres un peu plus haut sur la plage et... je retombais, à nouveau en phase avec moi-même. Sous la chaleur écrasante, je me défaisais en hâte de ma chemise, de ce short dit large, qui me moulait pourtant parfaitement l’entrejambe...
Rallumant la petite lumière, je me laissais tomber, bien content d’en finir avec toutes ces simagrées. Ainsi, je replongeais dans mon livre pour quelques pages encore, bien déterminé à lire jusqu’à ce que le sommeil ne vienne complètement m’emporter.

Plusieurs fois, il me fallut m’y reprendre à plusieurs fois sur une même page, tant j’en revenais à penser à cette jolie rousse croisée un peu plus tôt, comme j’en revenais à penser à ma voisine de douche... Ouais. La soirée était sympa, mais peut-être n’étais-je simplement pas fait pour rencontrer quelqu’un dans de telles conditions ? P’têt bien que je me faisais trop vieux ? Nan... quand même pas. Je n’avais même pas 30 ans. Ce n’était qu’une question de temps, mais quand bien même !

Après de longues dizaines de minutes passées à lire comme à débattre seul avec moi-même, je finis par m’endormir, faisant vite fi du bruit encore tout résonnant de la petite fête qui se jouait encore à côté. Ni totalement endormi, ni réveillé, j’oscillais encore entre rêve et réalité, me laissant tout juste aller en ces premières rêveries prometteuses. Mon livre plaqué sur le torse, l’avant-bras sur devant les yeux, je ne m’interrompais qu’une seconde à peine pour éteindre ma petite lumière.

Seul un soupir vint rompre mon silence. Aaaah... si seulement j’avais pu avoir ne serait-ce qu’un indice quant à qui partageait les douches avec moi cet après-midi... la nuit se serait peut-être terminée autrement.
Qu’importe. Que ce soit vrai ou pas, mes premiers rêves vinrent vite combler ceci...

Bando

Humain(e)

Je ne pourrais dire si j’avais vraiment eu le temps de rêver de quoique ce soit. Gagné par la fatigue, je m’étais endormi comme une souche sans demander mon reste, m’étant laissé convaincre par l’idée que rien d’autre ne viendrait rendre cette journée plus spéciale. Elle se terminait et donc... ok, pour le reste, nous verrons demain.

Combien de temps avais-je pu dormir, finalement ? Une heure peut-être ? Sans doute pas plus, si l’on prenait en compte le boucan que faisaient encore les autres là dehors. L’ambiance n’avait visiblement rien perdu de sa superbe.

Lové dans les bras de Morphée, au moins aussi confortablement que je le pouvais dans cette foutue tente une place, j’étais déjà complètement emporté, dans un sommeil déjà si lourd qu’il faudrait vraiment le faire exprès pour me tirer de ma nuit. Les jambes aussi écartées qu’elles le pouvaient dans ce petit espace étroit, j’avais sans doute fini par trouver mon aise dans cette véritable fournaise. Ouais, même en pleine nuit, il faisait encore une chaleur à crever à cette période de l’année. Vêtu de mon seul boxer large et du bouquin qui trônait encore fièrement sur mon torse, j’étais vraiment parti pour dormir jusqu’au matin. Enfin, ça bien sûr, c’est sans compter la moindre intervention qui soit, extérieure comme possiblement bien hasardeuse.

Pas besoin de vous faire un dessin quant à la suite. Aucune voix n’avait pu percer le voile de mes songes et le long zip de la fermeture de ma tente ne fit pas davantage d’effet. On aurait tout aussi bien pu me voler mes affaires, ou quoique ce soit d’autre... rien. Je ne me serai rendu compte de rien. Ce n’est qu’une fois la jeune femme entrée, que mon corps se mit à réagir quelque peu. Mon subconscient du moins. Peut-être avais-je dû marmonner un truc, comme j’aurais très bien pu balancer un « Meuuuh non, j’veux pas aller à l’école », vous voyez ? La fine barrière entre éveil et sommeil se brisait peu à peu, mais rien n’aurait pu permettre qui que ce soit d’affirmer que j’en étais conscient.

Je crus sentir quelque chose, une sensation un peu légère qui me fit doucement commencer à émerger, mais là encore, j’étais bien trop dans la lune. Mon boxer glissait tout doucement pour foutre à l’air libre peut-être 10 ou 12cm de ma verge tout aussi endormie, mais à cela, je ne donnais comme seule réponse qu’une gesticulation légère, me replaçant confortablement. La queue plaquée tout contre ma cuisse, n’en sortait à découvert qu’une petite moitié, à tout casser. Mes bourses, elles, avaient pu sortir complètement de leur écrin, tombant bien lourdement entre mes jambes quand le reste du service déviait dans un autre sens. L’air était si chaud que, même s’il y avait eu un courant d’air, il m’aurait été impossible de le remarquer... Zone sensible ou non.

Puis vint la sensation de ces doigts, fins et délicats, qui s’enfonçaient longuement au creux de mon pubis. Puis, plus humide, plus doux encore : le claquement de cette petite bouche se pressant tout contre la base de mon épaisse colonne. C’est peut-être là, à cet instant, que je me mis à émerger vraiment. J’étais encore ailleurs, l’esprit complètement embrumé... mais c’est bien au contact de cette bouche aventureuse que je réalisais doucement. Lentement mais sûrement. Ces petites lèvres glissaient longuement en quelques baisers sur ma verge, avant de s’en aller chatouiller un peu mes couilles. Un grand frisson me gagna vivement. Tous les poils de mon corps se dressaient en sentant cela, ce souffle chaud qui me parcourait chaleureusement.

Encore dans l’incompréhension et, pas bien sûr encore d’être éveillé, je me redressais alors sur mes coudes.

« Hmmm... »

À part quelque lueur du grand feu au loin, rien ne me permettait de déceler, alors que mes yeux peinaient encore à s’ouvrir, ce à quoi j’avais vraiment affaire.

Puis, son visage s’écrasa tout contre ma queue. Je sentis vite la pression, toute la chaleur qui se dégageait de ses joues, ses longs cheveux qui tombaient en cascade contre mes cuisses, contre mon ventre. Merde, c’était agréable mais... il se passait quoi au juste ?

Me dressant un peu plus encore, je ne tenta rien, pour ainsi dire. Même par réflexe, dans ma position actuelle, il m’était bien impossible de cacher mon sexe, ou bien de reculer, coincé comme j’étais. D’un coup d’un seul, je rallumais seulement ma petite lumière, tentant d’émerger au plus vite.

« Woooh... hum. »

Mes yeux allant dans tous les sens, je tentais de comprendre. Entre mes cuisses, se tenait celle que je devinais être la rousse plantureuse de cet après-midi. Oui, vous savez, celle-là même sur laquelle je m’étais paluché sous la douche, en repensant à ces deux merveilleux et gros seins que je n’avais vu que de trop loin, la même qui avait passée la soirée, un peu plus tôt, à se faire courtiser lourdement, sans que je n’aie la moindre occasion d’aller lui adresser un mot ou deux... juste comme ça. Nan, franchement, j’avais du mal à saisir. C’était bien elle ? On avait dû s’échanger un regard, juste comme ça... est-ce qu’elle m’avait remarqué ? Et quand bien même, ok, à bronzer comme elle le faisait, je devinais qu’elle était très certainement ouverte et à l’aise avec son corps... Mais de là à... Enfin, vous voyez ! C’est pas vraiment une technique d’approche, ça !

Bon, il faudra quand même se l’avouer, au moins pour cette demie seconde où je me mis à le penser : la vue n’était quand même pas si mal. Entre mes jambes, cette merveilleuse créature aux cheveux flamboyants, ses mains tout contre mon aine, son visage écrasé contre mon sexe lourd qui se mettait lentement à enfler contre ses traits délicats. Postée à quatre pattes comme elle l’était, les fesses relevées, j’apercevais comme elle n’était pas bien faite que du buste. De ma position, ses fesses formaient un coeur parfait, large et bien rond sous le peu de vêtements qu’il lui restait. Pfffouuu... peut-être devrais-je juste fermer ma gueule et ne rien faire ? Nan, on n’fait pas des trucs comme ça.

Nan mais, plus sérieusement, c’était quoi ce délire ? Si ça s’trouve, elle s’était juste trompée d’endroit et pensait faire plaisir à son mec... Manquerait plus qu’ça, qu’il déboule dans deux minutes pour me péter les jambes. Haha. Merde. C’est con, je commençais presque à me dire que tout cela était très... très confortable.

Alors que je l’avais vite découverte d’un regard, une fois la lumière allumée, je me satisfaisais déjà, au moins, de savoir ce qu’il se passait... et avec qui. Ne la repoussant pas, malgré tout, je continuais juste, attendant qu’elle relève la tête d’elle-même pour la regarder en face.

« J-je... j’crois pas qu’on ait été présentés. »

Un sourire légèrement gêné, mais un sourire quand même. Le contact merveilleux de ses doigts et de sa bouche tout contre moi me ravissait. J’avais déjà une demi-molle bien sérieuse et commençais à m’en trouver un peu tiraillé. Mes dimensions gonflant à vue d’œil, l’épais morceau encore prisonnier du tissu commençait à se replier en un petit arc sur le côté, serpentant tel un beau boudin blanc qu’on m’aurait flanqué sur la cuisse.

Quoiqu’il puisse se passer, j’eus au moins la lucidité nécessaire pour me dire que la position pourrait vite être fâcheuse. Je m’enquérais donc aussitôt d’une légère demande.

« Tu veux pas refermer derrière toi ? »

Qu’importe ce qu’il se passerait par la suite, au moins, c’était déjà ça. Et puis, s’il s’avérait que je suis juste le plus chanceux des hommes et que nous nous mettions à baiser comme des bêtes elle et moi, alors les autres, eux... eh ben ils n’auraient qu’à se contenter d’avoir le spectacle en ombres chinoises depuis l’extérieur !

Bando

Humain(e)

Et là, il semblerait bien que ce soit la cerise sur le gâteau.
Décidément, je devais avoir une bonne étoile ou un ange gardien quelque part. Tant de hasard et pourtant tant de chance, ça frisait l’indécence !

Je n’étais d’abord pas vraiment sûr de comprendre où la jeune intruse voulait en venir. Ses mots ne faisaient pas vraiment sens à mon oreille, malgré ce petit accent délicieux que je lui découvrais dès lorsqu’elle se remit à ouvrir la bouche ailleurs qu’autour de mon sexe qu’elle rendait déjà si sensible.

Malgré toute ma surprise en cette situation, je dus toutefois m’avouer un peu frustré lorsque ses petites caresses venaient à s’arrêter net. Son joli cul venait à se poser tout contre mes cuisses, écrasant mon gland au passage pour l’enfermer dans un nouvel écrin bien dodu, mais malgré ça, l’absence de sa petite bouche le long de ma grosse tige me fit vite défaut. Bien redressée pour finir assise sur moi à me faire face, je reconnais désormais pleinement la rouquine de cet après-midi. Malgré ces yeux qui peinent encore à s’ouvrir, je sais d’instinct que je ne me trompe pas, reconnaissant vite ces deux pastèques qui obstruent tout mon champ de vision, malgré le petit haut qui les couvrent. Une jolie rousse avec de tels obus, il ne devait pas y en avoir 1000 sur cette plage.

Confuse, la belle et très entreprenante inconnue ne prend pas le temps de s’expliquer, tirant un bon coup sur l’élastique de mon boxer pour regarder ce qu’il se cache en dessous. En hâte, elle baisse la tête et reste quelques secondes comme ça, sous mon regard mimant de nouveau la surprise. Aussitôt et bien brusquement, elle se tourne, se débattant avec la fermeture de la tente, semblant plus paniquée qu’autre chose. La phrase qu’elle me balance me fait hausser un sourcil, mais rapidement, je fais la connexion.

« Le mec de la... Quoi ? Oh ! »

Les images fusent dans ma tête et tout s’emboîte. J’avais ici la sulfureuse bombe qui bronzait topless ET la jeune femme avec laquelle je m’étais adonné à un petit concerto de gémissements par cabine interposées. Le comble dans tout ça ? C’était la même personne. Je m’étais masturbé juste à côté d’elle, sans savoir que c’était à ses deux énormes seins à elle que je pensais. Difficilement, elle semblait vouloir s’expliquer, s’excuser et pourtant, ses mains reprenaient vite leur position initiale tout contre ma verge qu’elle faisait lentement dresser en la massant à travers mon sous-vêtement. Ses explications piquèrent ma curiosité, mais plus encore, elles me firent bien sourire. Les pièces du puzzle avaient vraisemblablement toutes trouvées leurs places, enfin. Ainsi, c’est parce qu’elle m’avait maté sous la douche qu’elle s’était mise à se toucher là, juste à côté de moi. Moi, excité par ses profonds gémissements, m’étais mis à faire de même, en pensant bien fort à elle, que j’avais maté également un peu plus tôt... et nous nous retrouvions là, sous cette fine toile. Quel heureux, mais alors très, très heureux hasard.

« Alors c’était toi ? Eh bien... salut, je suppose.

L’observant ainsi, à la fois quelque peu paniquée, tout en restant bien entreprenante quant à mes jolis attributs, je me permis un fin sourire à son intention, alors que je découvrais doucement les fins traits de son petit minois si agréable à regarder.

« Rien d’grave, t’en fais pas. J’ai bien aimé, même... La douche. »

Restant là, les jambes bien écartées, je me contentais seulement de faire bouger mon bassin, doucement et bien discrètement. Longuement, je me frottais à ses mains comme pour l’inciter à ne pas se gêner. Le hasard nous avait amenés ici. Je lui faisais de l’effet, elle m’en faisait... beaucoup. Et puis oui, notre petit jeu de cet après-midi avait été plutôt excitant, lui aussi, même si, en ce qui me concerne, j’étais resté bien frustré, partant avant d’en voir le bout.

Un nouveau sourire et, sans m’en cacher, je laissais mes yeux quitter les siens pour les poser en direction de son opulente poitrine que j’observais ballotter un peu. Je lui signifiais ainsi bien clairement à quoi je faisais allusion.

« Puis bon, j’t’ai peut-être regardé un peu, aussi, quand tu bronzais cet après-midi. J’étais loin mais... »

C’était peut-être un peu osé de ma part, pas trop dans mes habitudes, mais j’avais au moins l’espoir qu’à ces mots, elle comprendrait qu’il n’était pas nécessaire de s’excuser. Puis bon, qu’il y ait erreur sur la personne ou pas... vu sa façon de me réveiller, elle était déjà toute pardonnée.

C’est vrai, tiens. Rapidement, je me mis à penser à ce type avec lequel elle avait dû me confondre ou je ne sais quoi et qui devait l’attendre, bien impatient. Sacré veinard. À moins que... les plans n’aient changés ? M’attardant à regarder comme ses doigts ne voulaient pas s’arrêter de triturer mon chibre, je commençais à me dire que c’était peut-être le cas. Ou qu’en tout cas, il était encore possible de tenter quelque chose.

« Et du coup... autre tente ? Ou bien ça te dit d’en profiter pour rester quelques minutes de plus. Au moins le temps d’une clope ou... je sais pas. »

Une clope ?!! Haha ! À la regarder comme ça, à sentir ses mains se faire envieuses en cajolant l’énorme base de ma queue, je gonflais assurément comme un dingue et ne mettrais pas longtemps à afficher une gaule de malade. Je commençais à avoir très chaud. Les seuls regards furtifs que je jetais à son intention m’emplissaient déjà assez d’envie comme ça. Le temps d’une clope... tu parles. J’aurais bien eu envie de lui dire autre chose, mais comme ça, de but en blanc, c’était peut-être un poil trop direct. Nan ?

Ainsi, je finis par m’arrêter à seulement regarder les petits mouvements de ses mains. Je levais légèrement le bassin, pour bien les placer toutes les deux autour de l’objet de leur convoitise, l’incitant sans dire mot à aller chercher ce qui la rendait si curieuse si elle en avait envie. Si elle voulait la voir de plus près, qu’elle fasse ! En échange de quoi, nous ferons du donnant-donnant !

Bando

Humain(e)

Au vu de comment cette première rencontre face à face avait débutée, peut-être la tournure qu’allaient vite prendre les choses était-elle à prévoir. J’avais plus ou moins tenté de détendre l’atmosphère tout en la rendant plus... intime, en lui demandant de nous enfermer sous cette minuscule toile de tente, toutefois je n’aurais pas imaginé que gêne et surprise disparaîtraient si vite pour que, plus rapidement encore, ma belle inconnue ne vienne dévoiler sans une once de subtilité ses intentions.

Elle s’était trompée de tente ? Et alors !? À voir comme elle se mettait d’un coup à sourire, il fallait croire que pour elle, la pêche était miraculeuse. Au diable le reste, au diable les autres, c’est à mes attributs qu’elle en voulait, curieuse comme tant d’autres avant elle. M’annonçant aussitôt son intention de rester avec moi un peu... un tout petit peu plus longtemps, il ne lui fallut pas plus d’un court instant pour qu’elle ressaisisse l’élastique de mon boxer de ses petites mains qui me paraissaient si fraîches en comparaison de ma tige toute bouillante.

Je faillis éclater en un rire incontrôlé à ses mots, tant elle joua de ce qu’elle me disait avec moins de subtilité encore. Le message était clair, un peu dit bêtement, mais c’était étrangement excitant, comme sorti tout droit d’un mauvais porno. Cela dit, la situation se prêtait bien à ce genre de scénario. Un petit sourire empli de malice et je la regardais faire avec attention.

« Oh... un peu plus long à fumer, mais... j’ai tout mon temps. »

Les doigts bien serrés sur le tissu de mon sous-vêtement, je la vis ainsi jouer avec lentement, le faisant glisser suavement le long de mes cuisses. Elle se reculait juste assez pour ne plus rien entraver et observait alors, des étoiles pleins les yeux dirait-on, l’immense don de la nature qui en sortait, pendant encore un peu dans un sens et dans l’autre, quelque peu dressé mais pas encore raide comme un piquet. L’énorme saucisse sortait d’un coup pour se courber jusqu’à se poser sur le bas en jeans qui recouvrait sa cuisse... Elle ne perdit pas davantage de temps, une fois encore, et se recula jusqu’à ce que ses fesses touchent le semblant de porte qui nous retenait tous deux dans la tente. À mon grand plaisir, elle ne tarda pas à se remettre à quatre pattes, le cul en l’air, large et parfaitement moulé par sa petite salopette.

Je matais un bref instant ses deux énormes seins qui gigotaient sous ce petit haut qui n’en cachait pas des masses puis suivais attentivement son mouvement quand elle revenait à descendre un peu. Comme au ralenti, j’eus l’impression de pouvoir observer avec une attention accrue ce qu’elle fit par la suite, comme elle entrouvrit un peu la bouche pour en sortir sa jolie et longue langue rose. Elle la déposa lentement contre la pointe encore couverte de ma verge, la glissant longuement tout contre mon urètre palpitant. Comme pris d’un gigantesque frisson, tous mes muscles se contractèrent d’un coup. Je laissa ma tête retomber en arrière avec lourdeur, fermant les yeux pour profiter sans honte de ce merveilleux traitement.

Pendant peut-être deux ou trois minutes, je me laissais aller complètement sans dire un mot. Je pus sentir, sans la regarder, sa bouche s’ouvrir plus grand. Sa langue fouillait, lapait chaque contour de ma queue sans rien louper. Sa salive se déversait déjà partout, comme si elle s’était mise à dévorer une énorme glace en se foutant royalement d’en mettre partout. Je me sentais déjà trempé, humide, alors que mon souffle se faisait plus chaud chaque seconde, n’en témoigne ces soupirs que je ne contenais absolument pas.

« Mmmh... haa... haaa... »

Ce royal instant finit pourtant bien trop vite, après qu’elle eût fini par coller sa bouche contre mes bourses si pleines et gonflées.
Se relevant pour enjamber l’objet de son désir, la voilà qui retrouvait sa place assise, tout contre mon abdomen. Envieux et déjà plein de désir à son encontre, je me redressais aussi, m’appuyant de mes bras pour me tenir le plus haut possible face à elle tandis que nos visages s’approchaient lentement l’un de l’autre, nos souffles chauds se mêlant déjà.

À ses gestes suivants, je baissais les yeux sans, bien sûr, qu’on ait à me le demander. Elle n’eût pas le temps de poser sa question que, je pense, elle eût déjà sa réponse. Lui glissant un petit sourire, je la regardais, impatient, se défaire de cette première partie de son vêtement. Les yeux rivés sur ces deux énormes pastèques qui en sautaient, rebondissant lourdement, je m’émerveillais avec plaisir de ce divin spectacle qui m’était offert. Mes lèvres se pincèrent d’elles-mêmes et, remontant à ses yeux, j‘hochais simplement la tête. Ces deux gigantesques mamelles étaient à tomber et, en effet, cette simple vue ne manqua pas à m’achever. La tension, la chaleur montait et mon érection finit dès lors par prendre sa pleine mesure. Dressé fièrement jusqu’au milieu de son dos comme pour lui faire comprendre l’ampleur de ce qui l’attendait si je venais à forcer un passage en elle, j’en blottissais bien ma base épaisse au creux de ce cul tout tendre qui s’y asseyait.

Lâchant d’une main ma prise au sol, je tentais de reprendre une position plus ou moins assise, approchant mon visage du sien de quelques millimètres encore. Sans plus attendre, je faisais courir une main contre l’un de ses merveilleux gros seins. Le découvrant en une longue caresse, je me pris vite à le presser plus fortement. Putain comme ils sont lourds...

« C’est beaucoup... beaucoup mieux. »

Une fois bien assis de nouveau, sous elle à califourchon sur moi, je ne perdais plus une seconde pour attraper ce deuxième gros sein qui me faisait tant envie. Les soupesant longuement, je pressais et jouais dessus avec envie, enfonçant un doigt tout contre un premier de ces tétons bien dressés.

« Impose les moi, j’adore tes gros... très gros melons. »

Comme pour répondre à sa précédente phrase si beauf, je me prenais au jeu avec malice, tout sourire que j’étais et bien content de ce qui était en train de nous arriver. La regardant droit dans les yeux, je poussais à nouveau un de ces longs soupirs de mon cru, quand je sentis ses deux mains se refermer en anneau à la base de ma queue. Même comme ça, elle en faisait à peine le tour... je la voyais bien gourmande, mais se rendait-elle seulement compte ? À dire vrai, être ainsi... « monté » n’engage pas que des plaisirs et des facilités au quotidien. Certes, la curiosité des gens fait que j’ai souvent l’occasion de me trouver quelques conquêtes, mais cela n’est pas toujours tout rose. Pas souvent, à vrai dire. Il fallait bien se séparer de toute imagerie véhiculée par le porno pour prendre la réelle mesure de tout ça. À ma connaissance, même dans cette industrie, les mecs sont pas faits ainsi... je crois même battre de quelques centimètres le mec qui tient le record de la plus grosse dans le guiness book... C’est dire ! On dit déjà d’un type monté comme moi, à demi seulement, qu’il en a « un gros », alors là... Autant dire que, gourmandise ou pas, s’ébattre avec moi n’était jamais sans conséquences, si encore j’étais capable de faire entrer quoique ce soit. Je n’allais pas casser ce moment si chaud en m’expliquant avec elle et en lui posant la question, mais il était fort à parier que, même si j’y allais tout en douceur, la lui mettre bien profond cette nuit la fera sans doute boiter pour la semaine à venir... si elle a de la chance.

Ça n’allait certainement pas rentrer si facilement mais, elle me chauffait tellement qu’à cet instant, il était hors de question pour moi que je la laisse partir sans au moins tenter de la baiser.

Glissant mes lèvres contre les siennes, j’entrouvrais la bouche pour aller quérir sa petite langue, mes mains toujours agrippées à ses obus merveilleux. Gémissant en la sentant m’empoigner avec force, je me mettais à doucement danser du bassin...

« Bando. Mais... tu peux m’appeler comme tu veux tant que ça te tiens excitée comme ça. »

Je balançais ça comme ça, mais j’me demandais bien si ça ferait tilt. Mes bouquins s’étaient vendus un peu partout et j’avais fini par me faire un nom. Enfin un peu. Avec de la chance, elle serait en plus une fan... haha.

Bando

Humain(e)

Quelques langoureux et sensuels baisers plus tard et nous voilà toujours plus serrés l’un contre l’autre. De ces grandes mains qui ne parviennent largement pas à couvrir toute son opulente poitrine, je presse avec toujours plus d’envie ses deux seins, les palpent et les malaxent sans discontinuer en me délectant bien de ces petits soupirs qui sortent de sa bouche. Je reconnais à cela ce petit timbre de voix qu’elle avait plus tôt... sous la douche. Ça me rend fou.

Ma voix se réchauffait également, me trouvant bien satisfait ainsi, la queue tendue entre ses mains. Ses caresses, toute la pression qu’elle y mettait... je prêtais une oreille attentive alors que je l’écoutais, mais rien n’y faisait, frustré comme j’avais été quelques heures auparavant, voilà qui me faisait bien trop d’effet. Ses petits doigts se serraient avec vigueur là, tout en bas. En ces va-et-vient, je pouvais parfois la sentir tout contre mes couilles si pleine. Je me détendais complètement, sans éprouver la moindre gêne au contact de cette parfaite inconnue, répondant sans aucune honte à cette invitation me rendant ivre de plaisir.

« Ooh... mmmh... hin hin. »

La dévorant purement et simplement des yeux, je me contentais désormais de sourire et d’hocher la tête pour lui répondre en m’amusant de ses premiers mots. Comme un pâtissier expert le ferait d’une belle miche de pain, j’exerçais avec expérience et pratique l’art de pétrir ces deux énormes nibards qu’elle avait exhibés cet après-midi quand elle se croyait seule. Aaah... si j’avais su, je serais allé la rejoindre sous l’eau tout à l’heure. À deux, tous serait allé plus vite et j’aurai bien fini par les recouvrir de foutre, à jouir tellement qu’on n’y aurait plus vu que deux gros monts blancs et collants. Hmmm... en plus d’être chauffé comme jamais, voilà qu’en plus, toutes ces images venaient à assaillir mon crâne. J’étais... désespérément brûlant de vice et de lubricité, habité par une énoooorme envie de jouer.

Un nouveau baiser, une pelle au rythme endiablée, rythmée par ces caresses grossières et purement salaces auxquelles on s’adonnait déjà... puis, elle s’arrêta d’un coup, m’interloquant un instant.

Elle voulait jouer à ça, hein ? Hmm. Voilà qui rendait tout cela plus... pimenté, et plus amusant encore. Qu’elle me supplie de la prendre ? N’était-ce pas pour ça qu’elle m’avait sauté dessus ? J’étais pourtant sûr qu’elle en mourait d’envie... Un peu... comme moi. Cela dit, j’avais très... très envie qu’elle fasse tout pour me faire jouir. Je me demandais bien à quel point elle était créative. Prête à tout. De nombreux scénarios me vinrent en tête, de nombreuses situations et positions, dignes d’un bon gros porno... Je l’imaginais un peu... chaude, très très chaude au pieu. Sur ce point, j’espérais vraiment ne pas me tromper. Je voulais faire ça bien, j’en crevais d’envie, à bander comme un taureau.

« Mmmh... Deal. Ce serait dommage de se passer de ces... »

Empoignant ses seins un peu plus fort, je les remuaient l’un contre l’autre en les regardant bien, jouant toujours plus avec.

« ... deux... magnifiques... merveilles. »

Ces mots à peines prononcés, voilà qu’elle m’y enfonçait le visage, me collant le bec au creux de sa poitrine délicieuse. Réfléchissant un court instant, je levais la tête vers elle. Mes doigts vinrent pincer délicatement les pointes de ses beaux mamelons et j’observais comme ceci viendrait échauffer ses esprits.

« Eh bien, maintenant qu’tu l’dis... »

Ressortant un peu la tête de ce somptueux oreiller que la belle rouquine m’avait généreusement offert, je me dépêchais d’aller happer l’un ces tétons que j’avais en main, au creux de mes lèvres. L’aspirant dans ma bouche avide et gourmande, je le libérais finalement en un grand bruit de succion avant de m’attaquer au second, que je mordillais avec jeu et douceur.
Dévorant ces mamelons, les pourléchant envieusement, je finis toutefois par vite me reprendre.

« ... tout d’abord. Ce n’est pas une règle mais, ça me dirait bien de sentir tes fesses. Nues, pendant qu’t’es assise sur ma... mon... »

Lâchant enfin ses obus, mes mains reprenaient dès lors leur course pour explorer un peu son corps. Tirant un peu sur sa salopette, glissant contre son ventre, je finissais rapidement par attraper ce cul si large et ferme qui se posait si confortablement contre le bas de mon corps.  Passant les mains tout contre ses cuisses, je remontais pour passer sous le jeans de son vêtement, agrippant enfin ce gros cul qui me rendait encore plus désireux. Animé par ma seule envie d’exploser, j’eus presque l’impression de bander encore plus.

L’air bien malicieux, son téton au bord des lèvres, je reprenais.

« Ensuite hum... si on tient les comptes, je crois bien qu’t’es la seule à avoir pu jouir tout à l’heure. Si on peut dire que c’est un peu grâce à moi, alors je crois bien que tu m’en dois une d’avance. Nan ?»

Finissant par m’arrêter de nouveau après quelques langoureux jeux de langue, je retrouvais mon sourire habituel tout en la fixant chaudement. Ma voix se faisant un peu plus douce, je me mis à parler un peu plus bas.

« Maintenant que la fête a l’air de s’être calmée à côté... peut-être que je pourrais rouvrir un peu et me mettre debout, à la porte ? Histoire qu’on équilibre un peu la partie, tu pourrais déjà venir crapoter sur mon gros cigare une première fois, avant que l’on n’se mette à jouer ? »

Je n’étais pas bien sûr qu’elle accèderait sans broncher à ma demande, mais au moins c’était tenté. Après tout, j’ignorais encore par quels moyens elle avait prévu de me faire jouir en vitesse, mais, si elle comptait utiliser sa bouche, alors peut-être bien que cette idée me ferait gagner une deuxième pipe à la suite... le pied !

Fier de ma petite idée, je continuais, bien emporté par cet élan quelque peu salace, sans pour autant m’arrêter de tripoter son fessier rebondi, ses énormes seins.

« Après ça... une règle. À toi de voir si elle te va... ou pas. Si je gagne, tu continues quand même jusqu’au bout. Tu me fais jouir. Et tu avales... tout. »

Et... autant dire que cela n’était pas un pari à prendre à la légère, tant mon « débit » s’avérait proportionnel à mes mensurations. Une véritable lance à incendie.

Bando

Humain(e)

La tension monte, à l’image de la chaleur dégagée par nos deux corps si quémandeurs. J’écoute avec plaisir ses petits râles et souffles qui se multiplient avec le temps, me délecte de les sentir se réchauffer au gré de mes caresses... son corps bout, à n’en pas douter, et je ne doute pas un instant que son excitation ne fait encore que croître.

Je me laisse faire sans jamais la contrarier dans ses plans, bien trop envieux à l’idée de découvrir à quelle sauce elle avait prévu de me manger. Imaginer ces galipettes surprises m’avaient mis en appétit et je ne demandais désormais plus que ça. Sage mais impatient, je la laissais mener ce petit jeu auquel nous nous adonnions, étant donné qu’elle en était à l’origine, s’immisçant l’air de rien sous ma toile de tente pour se laisser aller à quelque gourmandise. Elle me poussait de sorte à ce que je me remette sur le dos ? Très bien. Je ne faisais qu’obéir, la laissant glisser sa petite bouche brûlante tout contre ma peau en ne faisant qu’espérer voir bientôt venir le moment où elle viendrait goûter cette verge dont l’érection s’était faite incontrôlable.

Une petite moue et rien de plus lorsque, un peu hésitante tout de même, elle vint à refuser ma proposition. J’étais certes un peu déçu de ne pas l’avoir eue à ce petit jeu là, toutefois je ne doutais pas qu’ensemble, nous étions sur le point de passer un très... très agréable moment. Il n’y avait qu’à sentir comme son cul ondulait tandis qu’elle ôtait discrètement son vêtement afin d’enfin se retrouver à poil tout contre moi... J’allais m’éclater et je ne doutais pas un seul instant qu’elle en ferait tout autant.

Un petit sourire en la regardant droit dans les yeux, allongé, et je partais explorer ce joli cul qui se découvrait contre moi. Comme à chaque fois, je réagissais très positivement à ses petits élans d’anglais natif. Cet accent à croquer, ce petit air qu’elle prenait... c’était pour le moins excitant, je n’pouvais pas dire le contraire. Une gâterie demain matin au réveil ? Mmmh... ma foi pourquoi pas. Enfin, si nous n’étions pas encore en train de baiser comme des sauvages lorsque le soleil se lèverait. Auquel cas, je ne voyais pas non plus d’inconvénient à reporter cela de quelques heures. Après tout, j’étais ici pour les prochains jours à venir... nous aurions sans doute tout le temps d’en profiter, si cela lui disait à elle aussi. En attendant, déjà nous fallait-il nous concentrer davantage sur le moment présent.

« Mmmmh ok... »

La sentant vite mise à nue tout contre moi, je ne résista pas bien longtemps à l’envie d’agripper ses fesses entre mes doigts, quand elle en refermait déjà la petite raie sur les côtés de ma queue. Pour bien renforcer cette étreinte chaleureuse, j’enfonçais alors mes mains en sa chair si tendre, serrant bien fort mon membre à l’aide de son délicieux postérieur. Je profitais là encore de cette vue qu’elle m’offrait, de ces deux obus qui sautillent sans cesse sous mes yeux tandis qu’elle frottait mon vît de bas en haut, de haut en bas, allant et venant dessus comme si en était déjà venue à me chevaucher tel l’étalon plein de fougue que j’étais. Mes lèvres se serrent d’elles-mêmes et je laisse le plaisir monter tout doucement, m’arracher quelques soupirs quand je sens ma fine peau recouvrir et redécouvrir mon énorme gland sous la pression de ses gestes.

Ce n’est qu’après l’avoir laissée trouver peu à peu son rythme de croisière que je me permets de relâcher sa fesse droite, un peu à regret, je dois l’avouer. J’effleure d’un long geste sa hanche, puis son ventre avant de descendre plus bas un instant. Je sens déjà comme son humidité vient se répandre sur mon abdomen et la sait alors bien excité, mais je sais surtout comme cela ne sera pas suffisant à ce que nous passions à la suite. Pour espérer entrer en elle, il me faudra la rendre folle, trempée et glissante à souhait... Peut-être devrais-je même utiliser un peu de lubrifiant en plus... Allez savoir. Encore une fois, chaque chose en son temps.

Ne la perdant pas des yeux ne serait-ce qu’un bref instant, j’en viens vite à entrouvrir ces petites lèvres parfaitement épilées qui s’agitent tout contre mon bas-ventre. Ondulant de mes doigts contre celles-ci, je joue alors quelques longues secondes contre elles, remuant bien lentement en guettant les moindres réactions de ma nouvelle partenaire. À la recherche de son petit bouton de plaisir, je me fais délicat, sans oublier de remuer moi aussi pour bien faire coulisser ma bite entre ses fesses.

« Waaw... that ass... »

Sans me faire violent pour autant, voilà que j’assène quelques légères claques à son fessier rebondi pour l’observer bouger. Un peu plus vite encore, je remue, pour qu’à son tour, ce soit le bruit de mon bassin contre ses fesses qui vienne à se faire entendre en quelques clapotis bien bruyants. J’enfonce alors un doigt en elle pour y former un petit crochet remuant puis... sans crier gare, je me retire.

Les mains plaquées bien fort contre son cul, je nous fait basculer tous deux pour que les rôles s’inversent. Rapidement au-dessus d’elle, je me redresse d’un bond, à genoux, le sexe dressé si longuement avec une fierté plus qu’indécente. Passant une main dans mon dos, je joue un instant de mes doigts agiles pour trouver la fermeture de la petite toile, par laquelle je m’extrais lentement. Terminant d’ouvrir la tente, je finis debout, dehors face à son entrée. J’observe alors tout autour de moi, l’océan, la plage... le feu est encore grand, toujours allumé au loin, mais ici il n’y a personne, seulement cette tente et nous deux, quelques rochers, quelques arbres. Me tenant bien droit, la bite tendue comme un piquet en direction de la tente, je fais signe à ma petite inconnue d’approcher.

Bando

Humain(e)

Tout sourire du fait de ce réveil délicieux, bien que survenu au beau milieu de la nuit, je m’étais perdu quelques secondes à peine, à regarder cet immense feu illuminant la nuit que davantage de merveilleuses sensations me ramenèrent à la réalité. Je me pris à penser qu’à l’inverse d’un autre, j’avais eu beaucoup de chance ce soir.

La somptueuse rousse qui s’était dérobée à lui trônant là, nue et cuisses grandes écartées, m’avait ramené à elle du bout de son pied, l’écrasant doucement et longuement contre mes énormes bourses enflées avant de lui faire détailler ma verge avec douceur.
Les yeux de nouveau rivés sur elle, je la regardais caresser mon gland, tourner autour avec délicatesse, avant de se raviser pour se repositionner. Ses deux gros seins ballants touchant presque le sol de la petite toile, elle s’approcha sans se faire prier le moindre instant, négligeant à moitié mon invitation pour ne s’arrêter qu’à l’entrée même de la tente et pour venir mettre l’une de mes couilles dans sa bouche. Presque furieusement, elle la recracha pour revenir la lécher aussitôt, puis offrait le même traitement à sa jumelle de toujours.

À genoux un très bref instant plus tard, la belle se reculait, le regard pétillant, presque avide. Sa bouche s’ouvrit grand et elle fit pendre longuement sa jolie petite langue rose, qu’elle vint presser au bout de ma queue, lapant chaudement tout ce qui pouvait bien déjà sortir de ma bite. La bouche fermement serrée, j’empêchais au possible le moindre son de s’échapper, m’agrippant déjà de mes deux mains au sommet de la tente.

« Hmmmpf… ha. Ha oui… ouiii… là, comme ça. »

Puis ses mains se joignirent à la cadence de sa langue. Les yeux vers le ciel étoilé, je respirais fort, à plein poumons en me délectant du fait de me faire branler de la sorte, là, comme ça. De quelques petits mouvements de bassin, je venais jouer à mon tour, malicieusement, collant mon sexe tout contre son nez, puis contre son front, ses joues, jouant à la faire tourner dans l’autre sens que celui pris par sa langue. À la voir faire, je trouvais une source d’excitation folle en le fait de voir comme elle semblait prendre son pied à déguster ma bite. Joueur, je m’en amusais donc follement, ne cessant de la taquiner en la lui offrant toute entière, ne manquant pas une occasion de la lui coller en plein visage.

« Mmmh, ouiiii… haan oui, alors il est bon ? »

Ce qui survint ensuite fut la goutte d’eau.
Je compris vite lorsque je la vis changer de position, mais ne m’attendais toutefois pas à prendre mon pied aussi vite. Son cul énorme disparut de mon champ de vision quand sa belle propriétaire vint à se mettre à genoux devant moi, ses deux melons si ronds et mûrs entre les mains. Fourrant ma bite entre ses seins, celle qui m’avait promis que je n’aurais peut-être bientôt plus le droit de les toucher me les offrit pourtant comme sur un plateau pour me donner là le parfait avant-goût de leur incroyable douceur. Ses deux nibards se pressant lourdement à la rencontre de ma verge, la jeune femme m’offrit ici le fourreau parfait pour nos préliminaires. Le bout de sa langue vint à son tour s’agiter de nouveau férocement tout contre mon gland et mes mains, elles, ne vinrent enserrer que plus fort la toile de tente.

« Pu-tain. »

Trépignant d’envie alors que ses caresses venaient déjà à me faire perdre tout moyen, je tapais du pied nerveusement dans le sable chaud, le souffle rendu plus difficile. Cherchant à fuir mon propre plaisir pour ne pas perdre notre pari si simplement, je fuyais également son regard de braise pour observer ça et là, mes yeux fuyant en direction du feu de joie, puis de ces tentes disséminées ça et là, à côté de celui-ci.
Il me fallait gagner un peu de temps, ne pas me laisser aller aussi vite, quand bien même cela faisait un bien fou.

« Haaaa… »

Me mordant les lèvres avec force, j’extirpais en vitesse ma bite de sa prodigieuse paire de seins, me contraignant pour l’instant à une folle et débordante frustration. L’attrapant aussitôt par la main, je l’invitais à me rejoindre dehors, toute nue, et l’attirais avec moi en direction du feu. Nous plaçant côte à côte, je la collais à moi, une main ancrée fermement à son cul que je prenais plaisir à retrouver.

« Et si on allait continuer ça là-bas ? Un soixante-neuf sur le sable, à côté du feu. »

Mon envie se faisant plus pressante à chaque pas que nous faisions, mes mains venaient à s’enfoncer plus encore dans sa chair, pétrissant ses fesses larges et rebondies avant d’effleurer son tout petit trou du bout d’un doigt, tournant autour, le titillant un peu, avant que ma main entière ne vienne finalement s’enfoncer entre ses cuisses trempées, à la rencontre de sa vulve que j’entrouvrais aussi vite.

Arrivé à destination, je me positionnais à genoux près du feu, à mon tour, sans pour autant cesser les petits mouvements entamés par chacun des doigts de ma main si occupée. La gardant debout, face à moi, je plaçais une seconde main contre l’intérieur de sa cuisse et poussait de sorte à ce qu’elle l’écarte d’elle-même, me positionnant presque en dessous.

« Tu sais… »

Arrêtant tout, mes deux mains vinrent glisser contre l’intérieur de ses cuisses, vers l’extérieur. Lentement je montais, glissant sur ses hanches, attrapant ses fesses, puis montais encore tout contre son ventre.

« J’ai peut-être un autre jeu pour toi. »

Mes yeux se levant pour retrouver les siens, mes mains redescendaient quant à elle vers son aine, l’effleuraient lentement…
De mes pouces, j’écartais ses petites lèvres intimes, et vint donner un premier coup de langue à cette petite chatte trempée.

« Si on fait beaucoup de bruit toi et moi… ça réveillerait peut-être ton copain, là-bas. »

Un sourire narquois, et je léchais encore. Une fois. Deux fois, en enfonçant cette fois plus encore mon visage contre son sexe.

« Ça te dirait d’aller le chercher ? »

Mon nez s’enfonçant lentement au creux de ses lèvres intimes, je me barbouillais avec passion de son chaud nectar parfumé. Plus lentement, mais plus intensément encore, je lapais et mes mains remontaient doucement. Tout doucement. Mes grandes mains attrapaient ses seins pour les pétrir eux aussi, pinçant leur petites pointes dressées si durement.

« Deux grosses bombes chantilly à vider sur tes melons. Dans ta bouche. »

Plus grossièrement, j’accélérais la cadence dictée par ma langue curieuse comme pour me bâfrer de sa chatte, soufflant et soupirant dessus encore… et encore.

« Tu t’assiérais sur moi pour me chevaucher autant que tu veux, dictant ton propre plaisir, ta propre loi pendant qu’il s’occuperait de ton cul. Puis… l’inverse, si tu veux m’y sentir et nous faire jouer à celui qui te fera hurler le plus fort. Toute la nuit. »

Insistant sur elle de mes doigts comme de ma langue, sans perdre une miette de ses coquines réactions, je bouffais, broutais sans hésiter sa fleur délicate, l’une de mes mains se perdant en route pour se coller encore une fois à son délicieux postérieur. Sans tourner autour du pot plus longtemps, j’enfonçais une première phalange de mon index dans son cul, puis une seconde, avant d’y mettre mon doigt entier que je mis à faire gigoter de haut en bas.

« Ils étaient une dizaine à se battre pour t’avoir ce soir. Pourquoi ne pas tous les réveiller, même ? Si tu vas les chercher comme ça, aucun d’entre eux ne te dira non… Imagine-toi être le centre de l’attention. Toute seule au milieu d’une partouze. Tu m’as pour toute la nuit, et tu dévalises toute la cave à cigares. Une dizaine de mecs au garde à vous, prêts à vider leurs grosses lances à incendies sur toi, les uns après les autres, tous en même temps… prêts à entrer à plusieurs en toi, à faire la queue pour profiter de tes gros melons, à te faire crier jusqu’au matin. »

Lâchant finalement son deuxième sein, mon autre main retrouva son sexe pour en pénétrer la chair. Le pouce traçant de petits ronds à la recherche de son bouton de plaisir, l’index et le majeur entrant en elle avec aisance pour remuer doucement, en canon avec ce majeur qui s’occupait déjà d’elle ailleurs.

« Alors ? Tu vas les chercher ? Je te regarde… une dizaine d’inconnus rien que pour toi, sans doute tous enchantés de faire la connaissance de ton joli p’tit cul… faisant la queue pour te prendre à tour de rôle ?  »

Un grand sourire aux lèvres, je lançais cela avec un grand naturel. Pourtant je devais l’admettre, je ne savais pas où ni comment j’étais allé dénicher cette idée, quand on sait que jamais de ma vie je n’avais fait un truc pareil.
« Modifié: dimanche 19 février 2023, 18:48:54 par Bando »

Bando

Humain(e)

Rendu curieux à l’idée de savoir où la folle envie de bite de ma belle inconnue allait la mener, elle qui semblait déterminée à se faire démonter, qu’importe par qui, se foutant à poil dans la première tente venue, j’avais je le pensais, poussé le curseur du vice un peu loin en me décidant à tester ses limites.

Je devais quand même avouer que cela me plaisait bien de voir comme mes mots, tout comme les petits jeux de ma langue, semblaient l’exciter. La jolie rouquine s’agitait férocement tout en écartant les cuisses bien grand, venait à ne plus contenir le moindre gémissement tandis que je dévorais son sexe avec gourmandise, pourléchant son joli cul bombé que je m’étais bien décidé à farcir toute la nuit.

Mais jamais n’aurais-je cru qu’elle m’aurait pris au mot, alors que, s’allongeant sur moi pour me chevaucher un peu, se déhanchant furieusement pour frotter mon érection à ses petites lèvres trempées par ma faute, un sourire carnassier s’était soudain dessiné sur son visage, affichant clairement son intention de jouer le jeu jusqu’au bout…

M’indiquant notre prochain de rendez-vous, elle s’était relevée d’un coup d’un seul pour disparaître et me laisser là, en plan, frustré avec cette gigantesque érection pour seule compagnie. Je regardais son cul balancer avec indécence tandis qu’elle gagnait l’espace près du feu où tous les jeunes hommes avec qui nous avions fait la fête ce soir avaient dressés leurs tentes. Affichant un sourire plus qu’amusé, je l’écoutais minauder d’ici, alors qu’elle s’était glissée totalement à poil dans une première d’entre elle, faisant balancer ses deux énormes loches comme deux grosses pastèques qu’elle affichait en vitrine pour appâter le client d’un buffet à volonté -le buffet de ce soir étant clairement son cul-.

Sur la béquille, j’avais fini par me relever, rejoignant ma tente pour me remettre quelques vêtements sur le dos avant de gagner son van garé plus loin, priant pour qu’elle ne tarde pas trop. J’avais faim d’elle, moi aussi.

Attirée par ce gros cul qu’elle balançait indécemment, nue, de sa démarche aguicheuse et chaloupée, comme par ses faux airs innocents et par le reste de ses courbes à tomber, la petite troupe de jeunes hommes n’avait pas tardé à se joindre à la rouquine, prête à la suivre partout où elle irait. N’osant même pas lui demander si elle était nudiste, ou quoique ce soit, tous avaient plus ou moins fait semblant de rien, espérant peut-être, sans se l’avouer, qu’une bonne baise serait à la clé pour un chanceux parmi eux, en guise de récompense… sans se douter un seul instant qu’il n’y avait aucun coup de main à donner, juste quelques grands coups de bites pour la faire râler de plaisir autant qu’il lui serait possible de le faire… et aussi longtemps.

Tous la suivaient de près, les huit garçons ne manquant aucune occasion de la mater sous tous les angles, faisant semblant de rien lorsqu’elle se tournait pour les regarder de son air charmeur et sympathique, mais ne pouvant s’empêcher de jaser entre eux en lui trouvant déjà de petits surnoms bien salaces, tandis qu’ils étaient déjà tous fous d’elle. Tous faisaient des efforts et tentaient plus ou moins bien de se le cacher les uns les autres, mais il était clair que, quand bien même ils se donnaient du mal… il était impossible de ne pas remarquer comme tous bandaient durs, comme de véritables fous furieux.

Les profils de chacun variant et étant bien différents les uns des autres, cela n’était pas forcément des plus flagrants pour tous, mais il n’y avait qu’à voir ce grand black d’au moins deux mètres qui lui collait au train, premier de la file, à regarder son cul comme hypnotisé. À voir l’énorme chapiteau qui s’était dressé sous son short de bain, il ne tenait plus. Et… à voir comme le tissu ne suffisait pas à contenir la bête… il était clair qu’il en avait une très grosse. Comme un véritable loup affamé, il avait fait sembler d’aller mettre une main au cul de la petite inconnue mais, arrêté par ses amis, il s’était ravisé.

Accoudé contre la porte du van, à attendre depuis une bonne vingtaine de minutes au moins, je m’étais figé de surprise en les voyant tous la suivre comme de bons petits chiens. Leurs regards avaient dévié de honte lorsqu’ils m’avaient aperçu et j’eus failli pouffer d’un grand rire franc. J’ignorais ce qu’elle avait bien pu leur dire, mais à la voir se dandiner de la sorte, totalement à poil… je me doutais bien ô comme ses arguments avaient dû être convaincants. Ma bouche se fendant d’un large sourire, je la regardais approcher, mon sang ne faisant déjà qu’un tour quand je pus enfin me remettre à mater ses formes généreuses, sa petite chatte si bien épilée qu’elle m’avait donné grande envie de remplir.

Profitant avec amusement de ce petit spectacle auquel elle s’adonnait, je restais pendu à ses lèvres, bien curieux de ce qu’elle allait pouvoir dire à cette petite meute, gagnée par l’incompréhension la plus totale. Il fallait les comprendre…

M’approchant un peu du capot, je la regardais faire, jusqu’à ce qu’enfin elle se penche en avant, écrasant ses deux obus sur le véhicule, pour tendre ses grosses fesses rebondies aux jeunes hommes, qui n’étaient encore pas tous bien sûrs de comprendre… à l’exception du premier de la file, qui n’hésita plus à s’approcher lui aussi. Là où les autres ne cessaient de se regarder les uns les autres, incrédules, murmurant à coups de « de quoi », « sérieux ? », « elle veut qu’on fasse quoi, du coup ? »…

S’avançant, le premier se pourlécha les lèvres, très sûr de lui. Posant ses grosses mains en une grande claque sur les fesses de la rouquine, il se mit à les pétrir, à les caresser puis à les fesser comme pour regarder comme celles-ci rebondissaient bien.

Tirant vite sur l’élastique de son short de bain, il en sortit un long et gros mandrin bien tendu, qu’il fit battre sur le cul de la jeune femme, tout excité qu’il était.

Médusés, les autres s’approchèrent finalement eux aussi, faisant rapidement fi de leur incrédulité pour encercler le petit capot. Ne semblant pas réticents à l’idée de se partager cette somptueuse créature, les mains baladeuses des huit garçons vinrent presque se battre pour gagner un peu de terrain. Glissant, frottant et pressant partout, il se mirent à frotter son gros cul, à caresser longuement ses cheveux, à glisser leurs doigts dans sa bouche… deux d’entre eux virent glisser sur la surface du capot pour agripper ses seins.

Pris dans leur truc, l’un d’entre eux glissa sans ménagement la porte de son petit sexe à l’aide de ses doigts et un autre fit de même de son second petit trou. L’un s’ajouta au premier d’entre eux, et, bien vite, ils furent trois à frapper ses fesses de leurs érections bien vives, donnant là un véritable orchestre de percussions.


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