Un brutal premier jour [Adrian]

Lola s'était levée aux aurores, une nouvelle fois malmenée par les rêves malsains qui la hantaient durant la nuit. La jeune femme ne parvenait pas à s'en débarrasser, et, de plus en plus chaque jours, ces pensées dégradantes l'empêchaient de se concentrer. Si elle n'avait au début cru qu'à une humeur de passage, cette dernière semblait s'inscrire dans le temps, et l'hautaine jeune femme ne pouvait se résoudre à l'accepter. Elle n'était pas ce qu'elle voyait dans ses rêves lubriques, et ces désirs n'étaient certainement pas les siens. Si elle n'était pas aussi intelligente et ancrée dans la réalité, elle aurait presque pu croire à un vulgaire sortilège, ou à une vile manipulation pour la déstabiliser.

Pourtant, alors qu'elle se mettait nue pour prendre une douche et se débarrasser des perles de transpiration qui coulaient sur sa peau parfaite, l'héritière fut à nouveau victime des violentes visions qui l'avaient assaillie durant la nuit, la mettant en scène dans diverses positions dégradantes et humiliantes, perforée par des jouets représentants divers et informes membres d'animaux tout en étant solidement attachée. Instinctivement, elle glissa sa main entre ses jambes et commença à se caresser sous l'eau chaude, tachant d'apaiser le feu qui s'emparait d'elle dès lors qu'elle se retrouvait dans ce genre de situations. Mais cette sensation n'égalait en rien celle qu'elle éprouvait durant ses rêves de débauches.

Toutefois, Lola devait s'en contenter. Ce genre de pensées étaient indignes pour une héritière comme elle, et il s'agissait de son premier jour dans ce nouveau lycée. Elle n'en connaissait aucune réputation mais, de toute façon, ça ne l'intéressait pas. Elle était venue pour dominer ce nouveau monde, cette nouvelle sphère, et comptait bien se faciliter la vie en mettant les étudiants et les professeurs à ses pieds assez rapidement. Elle le savait, elle avait suffisamment d'armes à sa disposition pour créer son nouvel empire dans les prochains jours. Elle se prépara donc soigneusement, travaillant chaque aspect de son esthétique. D'abord, des sous-vêtements en dentelle noire particulièrement séduisants. Non pas que la jeune femme comptait les exposer à la vue de tous, mais plutôt que ses goûts raffinés et son obsession pour son image l'empêchaient de porter le moindre accessoire qui ne mettrait pas en valeur son corps. La paire de collant était plus simple, mais soutenue par un porte jarretelles dissimulé sous son uniforme de lycéenne. Ensuite, Une coiffure stricte mais séduisante, et un uniforme prit volontairement une taille en dessous pour être légèrement moulant et faire ressortir sa poitrine attirante. La jupe était courte, mais sa peau nue était dissimulée par le tissu foncé des collants qui remontaient jusque sous cette dernière. En revanche, la jeune femme ne portait aucun bijou, puisqu'aucun selon elle ne pouvait réellement la mettre en valeur.

Elle s'observa alors dans la glace, jouant quelques positions pour vérifier que son corps était toujours aussi séduisant, puis un léger sourire arrogant se dessina sur ses lèvres rehaussée par un léger maquillage parfaitement travaillé. Elle savait qu'elle n'avait pas besoin de vérifier, mais se voir ainsi supérieure à toutes ses consœurs la satisfaisait pleinement. Lola finit alors de se préparer, déboutant légèrement son chemisier pour parfaire sa tenue, puis sorti de sa chambre d'internat pour se diriger vers les salles de classe. Alors qu'elle trouvait rapidement celle qui était dédiée à son groupe, un délégué l'interpella en bégayant. Le binoclard semblait perdre ses mots en présence de la jeune femme, qui jugea avec un air hautain le misérable. Pourtant, ce dernier finit par réussir à lui transmettre la convocation de son professeur principal. La jeune femme était excédée de devoir déjà perdre du temps avec ce genre d'inepties. Rencontrer son superviseur ne l'intéressait pas, mais, rapidement, la jeune femme vit la demande comme une opportunité de déjà installer sa domination. L'intellect du professeur devait être inférieur au sien, et elle n'allait pas manquer de lui faire savoir d'entrée. Elle suivit donc les instructions du cloportes pour se retrouver à l'entrée du bureau, et rentra sans même prendre le temps de toquer. Elle se planta devant lui, une flamme hautaine et méprisante brillant toujours dans ses yeux.

" Je suis Lola Anon, vous m'avez demandé de venir, et j'espère pour vous que ça n'est pas une perte de temps. J'ai autre chose à faire que de supporter les discours de bienvenue d'un homme sans ambitions."

Adrian Taylor était arrivé comme toujours un bon quart d’heure en avance sur les élèves. Il était 7h45 quand il arriva dans sa salle de classe et s’installa à son bureau, se remémorant avec joie la soirée de la veille où il avait baisé une élève de seconde. Encore une qui avait perdu sa virginité sous les assauts de sa queue. Le professeur avait eu toutes les peines du monde à se la faire en plus. C’était une petite très intelligente, mais avec un sacré manche à balai dans le cul ! Il avait manié gentillesse et fermeté avec suffisamment d’habileté pour pouvoir coucher avec elle dans les toilettes du lycée. C’était une performance suffisamment remarquable pour être évoquée, car c’était la première fois qu’il couchait au bahut avec une vierge. En général elles sont intimidées et leur visage devient rubicond à la simple évocation du passage à l’acte.

Pareillement à la veille et à la majorité du temps, il était tout de noir vêtu. Ses chaussures brillaient et étaient parfaitement propres tandis que son pantalon et sa chemise étaient repassés. Il avait retiré sa veste noire et l’avait placée sur sa chaise de bureau avant de réajuster sa cravate dans un geste qu’il répétait facilement une vingtaine de fois par jour. L’enseignant dégaina son téléphone et se mit à naviguer sur sa galerie, passant en revue les nombreuses lycéennes qu’il s’était tapé. Plus il en avait, et plus il voulait en piéger d’autres. C’était à croire qu’il faisait une collection. D’ailleurs, peut-être allait-il compléter sa galerie avec la nouvelle lycéenne ? Il serait son nouveau professeur principal, et il avait reçu son dossier scolaire. Il y avait dedans une photo d’elle qui datait de l’année scolaire précédente. Elle n’était pas mal du tout, même si à son regard elle semblait plutôt froide. En fonction de son caractère, il verrait s’il pourrait la réchauffer… Il avait demandé à Damian, le délégué lèche bottes de voir la fille et de lui dire de le rejoindre ce matin même s’ils n’avaient pas cours ensemble. Ce n’était pas important si elle loupait les premières heures de cours, et ils devaient parler de beaucoup de choses. Il y avait aussi le dossier scolaire à modifier et compléter. Perdu dans ses pensées, il sursauta presque en voyant la fille débouler dans la salle sans même prendre la peine de toquer et se montrant directement très chaleureuse :

—   Je suis Lola Anon, vous m'avez demandé de venir, et j'espère pour vous que ça n'est pas une perte de temps. J'ai autre chose à faire que de supporter les discours de bienvenue d'un homme sans ambitions.

—   Enchanté Lola qui n’a pas de temps à perdre et pas de respect à donner à son professeur principal, répliqua froidement Adrian en la fixant dans les yeux. Puisque tu n’as pas de temps à perdre, je ne te propose pas de t’asseoir n’est-ce pas ?

Il eut toutes les peines du monde à cacher un sourire carnassier devant cette superbe vision. Elle n’était vraiment pas mal du tout ! Il redressa ses lunettes doucement avec son index et la scruta un instant, trouvant que l’uniforme lui allait extrêmement bien, et lui moulant parfaitement ses formes. C’est qu’elle n’était pas loin de le faire bander cette petite impertinente ! Il prit le dossier scolaire de la fille, l’ouvrit et le posa sur le bord du bureau face à Lola. Il manquait pas mal de choses et comme elle n’avait pas été autorisée à s’asseoir, si elle se penchait pour le compléter, vu les quelques boutons de sa chemise qui étaient ouverts, l’enseignant aurait une superbe vue. Il attrapa d’ailleurs son téléphone, se préparant déjà à prendre des photos ou à filmer en fonction de la suite des évènements.

— Comme tu es pressée, tu n’as qu’à te dépêcher de remplir le dossier. Si tu n’as pas de stylo sur toi, prends-en un sur mon bureau, déclara le professeur en se disant qu’ensuite ça serait lui qui la prendrait elle.

Adrian connaissait bien évidemment la famille Anon, ce qui expliquait que cette fille pissait plus haut que son cul, mais qui sait, peut-être que la notoriété de sa famille deviendrait un handicap pour cette gamine trop sûre d’elle. S’il arrivait à la piéger avec une photo compromettante, peut-être que cette dernière deviendrait docile comme un petit toutou mendiant pour sa pâtée, sauf qu’il voyait bien mieux Lola mendier pour lui sucer la queue. Il reprit ses esprits et fixa dans les yeux la lycéenne en se demandant comment elle allait se comporter par la suite. Ce qui était certain, c’est que si elle continuait de lui parler de cette façon, il n’hésiterait pas à lui montrer qui commandait ici.

Lola était ulcérée de devoir perdre son temps avec le piètre professeur principal qu'il semblait être. Après tout, la jeune femme était déjà indépendante et impudente avec les puissants représentants de sa famille, elle n'allait donc certainement pas se laisser impressionner ni singer de la sorte par un petit fonctionnaire minable, tout fonctionnaire qu'il pouvait bien être. Sa position d'héritière devait déjà lui être connue s'il avait lu son dossier, et Lola était persuadée que, comme les autres, il devait être à la limite de faire dans son pantalon si jamais elle ne faisait que hausser simplement la voix. Sa famille avait le bras long, et le professeur devait en avoir conscience. C'était parfait. Lola allait pouvoir rapidement bénéficier de l'immunité qu'elle recherchait, et l'homme qui lui faisait face était en train de lui apporter , sans qu'elle n'ait à la rechercher d'aucune sorte. Sans doute qu'il ferait même rapidement tout ce qu'elle lui demanderait, comme un bon petit toutou servant.

Pourtant, la jeune héritière fut prise de court par le ton moqueur de son professeur, loin d'être celui auquel elle s'attendait. Cet idiot n'avait-il pas compris ce qu'il risquait en lui faisant face ? S'il voulait jouer à ça, elle allait jouer sans aucun problème. Elle était plus intelligente, et avait plus de relations que lui. L'idée de réduire sa vie à néant commençait à faire son chemin et elle arbora rapidement un sourire cruel. Rien ne l'y forçait, mais l'homme l'avait déjà exaspérée. De nombreux plans germèrent dans son esprit, mais, pour l'instant, elle voulait en finir avec cette perte de temps. Elle arbora alors un faux sourire bien trop exagéré pour être réaliste, ainsi qu'un ton visant à faire passer son professeur pour l'imbécile qu'il était.

"Oh mais bien sûr, je serais ravie de remplir ce dossier complètement inutile. " Commença-t-elle avec sa voix teintée de mièvrerie feinte. " Plus sérieusement, voilà ce qu'on va faire. Je vais simplement signer, et vous allez jouer au gentil toutou en remplissant le reste à ma place. Les formalités administratives ne m'intéressent pas du tout, alors, en bon laquais que vous êtes, vous allez faire votre travail. Et j'éviterais de mon côté d'être trop méchante avec vous, d'accord ?" Ses derniers mots reprenaient un ton ironique semblable à celui avec lequel elle avait commencé sa phrase.

La jeune femme était bien décidée à mettre ses paroles à exécution. Elle se saisit d'un stylo puis reporta son attention sur son professeur en lui jetant un regard dédaigneux. Elle tourna ensuite la tête, penchant son corps en avant vers le dossier situé de l'autre côté du bureau, mettant en avant sa magnifique poitrine et sa croupe renversante sans le vouloir.

En voyant le sourire froid et cruel de la lycéenne, Adrian ne douta pas un seul instant. Cette petite peste allait le tester et vouloir prendre l’ascendant. Quand elle prit la parole, c’était pour le dénigrer et lui parler avec un ton qui ne laissait guère de doute sur ce qu’elle pensait de lui. La lycéenne le détestait sans même le connaître, et elle se moquait bien de le connaître de toute façon. Elle voulait simplement se simplifier la vie, comme la bonne petite pisseuse qu’elle était et qui était née dans une famille aux moyens illimités. Si elle pensait faire peur à l’enseignant de par la position de ses parents, elle se trompait lourdement. S’il avait un défaut, c’est qu’il était du genre susceptible, et elle avait réussi à l’énerver. Quand elle se pencha en avant pour signer, mettant en valeur sa poitrine, il n’hésita pas un seul instant et lança son téléphone en mode vidéo. L’instant d’après, il agrippa le haut de la chemise au niveau des boutons ouverts ainsi que le soutien-gorge, et il tira dessus fermement, libérant soudainement le sein droit de la lycéenne. Cette gamine avait déjà des nichons de femme ! Il ricana alors que son téléphone filma le sein, puis il le dirigea vers le visage de celle qui avait fait la plus grosse erreur de sa vie en lui cherchant des emmerdes.

— Voici Lola Anon, et un de ses jolis lolos, déclara l’enseignant d’un ton moqueur. Déjà que ta famille est détestée dans le monde entier, voilà que vous allez être aussi la risée de tous !

Il lâcha son vêtement et se leva avant d’aller fermer la porte de la salle de classe à clef. Il retourna s’asseoir à sa chaise de bureau. Il montra son téléphone à la fille, montrant bien qu’il avait filmé toute la scène. Il enregistra ensuite la séquence et l’envoya dans son cloud, en sécurité. Sans accorder la moindre attention à Lola, il déboutonna son pantalon et fit sortir sa verge de son boxer. Son sexe était légèrement tendu à cause de la scène qui venait de se produire, et surtout à cause de ce qu’il savait qui allait se produire. Il décalotta doucement son gland et le leva doucement vers l’adolescente pour qu’elle puisse le voir. Sa toison pubienne noire et imposante n’était pas très visible à cause de sa chemise, mais l’important était clairement ce qui se trouvait un peu plus bas.

- Tu sais combien de compagnies perdent des millions à cause des frasques des gosses des propriétaires ? Non seulement vous perdrez énormément d’argent, mais en plus tu peux oublier ton statut de « star » si cette vidéo est diffusée. Avec un habile montage ma voix sera modifiée et tout le monde se dira que la nouvelle est une salope qui s’est offerte à l’un de ses profs. Cependant, je ne suis pas quelqu’un de cruel, alors je te laisse le choix. Tu peux préserver les millions de tes bourgeois de parents, ainsi que ton honneur, à la seule condition qu’en ma présence, tu fais tout ce que je te dis. Si tu as bien tout compris, tu vas te mettre à quatre pattes et venir te placer entre mes jambes. Je sais que t’es une chienne en manque de sexe, alors je t’offre le mien. Tu vas venir le toucher, le caresser, le sentir, le lécher, l’embrasser et même le sucer. Par contre, tu vas devoir te dépêcher car je donne un cours dans moins de 10 minutes. Avant ça, je veux voir ta bouche pleine de sperme et me remercier pour ce repas.

La jeune femme ne s'attendait certainement pas à ce qui allait se passer. A vrai dire, elle pensait déjà l'avoir emporté sur son minable de professeur principal, qui n'avait absolument rien répondu à sa tirade. Elle avait encore visé juste, comme à chaque fois d'ailleurs. Décidément, ce lycée n'était pas différent des autres. Non, c'était au delà de ça. Il était bien pire, et il y serait plus facile de commencer à imposer sa loi. Ce premier jour commençait bien. Cependant, elle déchanta bien vite en poussant un cri de surprise tout en se reculant vivement. Sa chemise avait été brutalement abaissée par le professeur, dévoilant l'un des seins de sa magnifique poitrine, plutôt mature pour son âge. Interloquée, Lola n'en croyait pas ses yeux, et mis trop de temps à réagir. Outre le fait d'avoir pu se rincer l'œil, l'homme avait également eut le temps de faire une vidéo de la scène avec son téléphone portable, disposant ainsi d'une arme de poids contre la sulfureuse héritière.

Choquée, cette dernière restait sans voix, supportant dans un état second les moqueries de son professeur. Sur la vidéo, on voyait parfaitement son visage suivi de sa superbe poitrine, et il n'y avait aucun doute sur son identité. Lola n'était pas bête et connaissait la suite du discours du professeur triomphant. Elle savait que cette vidéo la mettait en péril comme elle mettait en péril sa famille. Il ne s'agissait que du premier jour dans sa nouvelle école et un professeur pervers la faisait déjà chanter pour lui soutirer des faveurs sexuelles qu'elle n'avait encore jamais accordées à personne. Il avait même sans aucune gêne sorti son membre de son pantalon, lui demandant dès à présent de se mettre à genou pour le soulager. Cette attitude prouvait une certaine habitude, et Lola l'avait sous-estimé, et se retrouvait piégée. Elle bouillonnait intérieurement, regardant avec dégout le membre durcissant lentement, mais savait qu'elle n'avait pas le choix. Elle aurait tout le loisir de demander à des hackers de supprimer la vidéo si elle gagnait suffisamment de temps. C'était un mal pour un bien, car sa vengeance allait être terrifiante. Il allait le payer au centuple, et elle agirait dès qu'il serait en cours.

Pour l'heure, elle s'agenouilla en lui jetant un regard haineux.

"Vous allez me le payer..." Murmura-t-elle.

Lorsqu'elle fut docilement agenouillée entre ses cuisses ouvertes, la jeune femme entreprit de masturber le sexe de son professeur principal pour le durcir, puis, rapidement, elle commença sa fellation. Partagée entre le dégoût et une certaine excitation, elle dévora avec avidité le membre de l'homme, espérant qu'elle arriverait à le satisfaire à temps pour préparer sa vengeance.

Voir Lola se mettre à genoux et le regarder avec colère était le meilleur des aphrodisiaques possible. Que cette pisseuse se retrouve à genoux pour lui obéir était extrêmement bandant alors quand elle vint le masturber, son sexe était déjà extrêmement dur. Elle avait beau dire qu’elle lui ferait payer, il s’en moquait bien car tout ce qui comptait maintenant, c’était que sa bite allait finir dans sa petite bouche chaude et baveuse. Il poussa un petit grognement de plaisir quand elle commença à le sucer, n’y allant clairement pas de main morte. Elle avait fait la fille dégoûtée mais voilà qu’elle lui dévorait la queue avec appétit ? Cette petite n’osait certainement pas avouer qu’elle adorait plus que tout les bites. Il la regarda le sucer puis prit le téléphone et la filma alors qu’il bandait de plus en plus grâce à ce qu’elle lui faisait. Du pré sperme s’échappait déjà de son urètre, donnant un avant-goût à cette salope du goût de sa semence.

—   Tu es vraiment très douée avec ta bouche ma petite. Je pense que tu vas me servir de vide couilles bien plus souvent que ce que je pensais au départ. Tu peux retirer ma bite de ta bouche de salope pour me répondre un petit instant. J’aimerai savoir si tu as déjà sucé un pénis, si tu aimes ma bite, et si tu as déjà goûté à du sperme. Tu as intérêt à me dire la vérité si tu ne veux pas que je diffuse cette vidéo où tu me suces. Tu es tellement belle avec une bite en bouche, à croire que tu es née pour ça. Si tu veux, je t’enverrai la vidéo pour que tu puisses bien voir l’expression de ton visage quand tu me pompes le chibre, déclara le professeur avec un grand sourire.

Il lui caressa les cheveux et continua de la filmer avec la bite en bouche, attendant avec impatience qu’elle lui réponde. Il avait assez de temps devant lui, donc il n’était pas pressé de lui lâcher une bonne giclée de sperme en pleine bouche. De toute façon, il allait le faire tôt ou tard, et il continuerait de le faire jusqu’à ce qu’il la rende totalement amoureuse de sa bite, accro à son foutre. Il n’aurait pas de repos avant qu’elle ne le supplie pour boire le jus de ses couilles. D’habitude, il baisait une fois la fille, puis il la virait, mais il savait qu’avec Lola Anon ça ne pourrait pas être pareil. Même si ce n’était qu’une gamine capricieuse, elle était dangereuse de par la puissance de sa famille. Il devrait entièrement la briser avant de relâcher son emprise. Tant qu’elle n’était pas une chienne docile, il devrait être sur ses gardes.

—   Bon alors ? Tu aimes tellement ma bite que tu ne veux plus la relâcher pour me répondre ? Ne t’en fait pas, une fois que tu auras répondu, tu pourras recommencer à sucer jusqu’à ce que je te remplisse la bouche de la crème que tu veux tant boire…

Il la regardait avec un sourire carnassier, se régalant de cette situation. Il avait déjà de nombreuses idées pour la rabaisser et la mettre plus bas que Terre au point qu’elle ne se sente plus la force de résister ou de contre attaquer. Il allait entièrement la détruire dans les prochains jours.

Lola n’en revenait pas que son premier jour commence ainsi. Jamais on ne l’avait traitée de la sorte, et jamais elle n’aurait imaginé que la moindre personne ne puisse avoir ce genre de fantasme avec son corps. Elle se jugeait tellement au-dessus des autres que se retrouver à genou devant un vulgaire professeur était une position des plus humiliantes. Ce dernier avait réussit à la berner en quelques secondes et se voyait désormais se faire offrir une fellation par l’une des plus riches et des plus puissantes élèves de l’école. Et Lola ne pouvait pas y croire, même si elle continuait de sucer avec énergie le membre de son professeur principal. Il lui fallait trouver une idée, mais la situation semblait s’envenimer. L’homme la filmait désormais en train de lui pomper avidement la bite, ce qui rendait désormais impossible toute accusation ou calomnie sur une éventuelle nature forcée de la relation. Lola n’était pas dupe, et avait souvent vu, dans ses premières années de lycée, des filles prises dans ce genre de positions. Elle savait également que dans ce monde impitoyable, ces dernières finissaient un jour ou l’autre brutalement attachées dans les toilettes du lycées, et laissées à l’usage pour tous les autres étudiants. Et ce n’était pas une condition dont on revenait un jour. Cependant, Lola se savait – ou se pensait, tout du moins – plus maligne que ces jeunes femme naïves. Elle devait supporter ce discours on ne peut plus humiliant pour trouver une solution, tout en taisant le fait qu’inconsciemment, les mots de l’homme l’excitaient un peu plus.

Mais Lola était trop fière et arrogante pour le remarquer. Tout en continuant son office, elle dardait sur lui un regard rebelle bien opposé à une quelconque idée de soumission, lui faisant comprendre qu’il était loin d’avoir gagné, et qu’elle allait le briser à son tour. Elle avala cependant sa pré semence avec dégout, comme l’aurait fait une élève appliquée et studieuse. Bien que ce ne fut que sa première fois avec le membre d’un homme en bouche, la jeune femme était douée dans tout ce qu’elle entreprenait, alors pourquoi, à termes, ne pourrait-elle pas faire une parfaite esclave sexuelle ? Après avoir laissé passer quelques minutes à s’occuper du professeur, elle retira un instant le membre de sa bouche.

« Vous vous croyez malin… Nous verrons tous les deux comment cette affaire finira. » Dit-elle, hautaine. « Comment un ridicule fonctionnaire comme vous pourrait ne serait-ce qu’espérer faire saliver une lycéenne telle que moi ? Alors profitez bien de votre petit film, parce que vous le regretterez bien assez tôt… »

La lycéenne reprit alors son office, pressée d’en finir pour trouver une solution. Le professeur allait devoir retourner en classe, et il ne pourrait pas la garder ici ou continuer de profiter de la situation. Dès lors qu’ils sortiraient, Lola irait directement mettre son plan à éxécution. Qu’importe qu’elle ait du avaler sa semence, personne n’en saurait jamais rien, et il paierait son affront au centuple.