Plus personne ici ne voyait qu’es choses n’allaient pas comme il faut. Pour eux ces deux femmes n’étaient que des objets de plaisir. Ayumi le jouet de la déesse, et la déesse elle-même dont les pouvoirs altéraient les perceptions de tout le monde dans la pièce. Ayumi donc elle, eut droit à se faire bien remplir la chatte en profondeur. Chose orgasmique s’il en est ! La déesse de son côté subissait pareil et en semblait satisfaite, sans plus. Enfin les choses tournèrent un peu, des coups, des cris, toujours du stupre. Et enfin le caïd perdit le jeu, il s’effondra et vomit, tremblant et arborant une couleur pâle inquiétante. La déesse observa cela amusée, elle s’assit à côté d’Ayumi et regarda aussi la scène. Elle constata l’overdose du camé, intéressant comportement que celui-ci chez les humains. Elle pourrait sans doute s’en servir à l’avenir, mais pour le moment elle doit encore y réfléchir. En effet ici tout devenait un peu fou, les garçons devenaient des filles à la peau teintée de mascara brun ou noir.
- Oulà mon grand, tu penses nous faire peur avec ce canif ?
Elle sourit un peu, tend une main devant elle et une épée s’y dessine alors, l’épée était visiblement en acier trempé, très décoré sur la lame et la garde. La poigne était en cuir et avait un gros rubis tout au bout enchâssé dans un anneau de métal large.
- Range ton couteau humain, l’heure des jeux est finie.
La déesse se relève alors, l’humain choqué, lâche son arme par peur. La déesse avait repris son apparence divine. Ses yeux rouges luisants, sa tenue noire ouverte sur le devant, la longue robe pendaient sur le sol cachant ses bas et son porte-jarretelle. Elle le sentait, ce jeu était allez trop loin et attirait l’attention d’une autre divinité puissante. Laquelle, elle l’ignore, mais il est temps pour elle de cesser ses altérations avant qu’on ne vienne lui mettre des bâtons dans les rouages. Ayumi le sentit alors, tout devin flou, la pièce entière semblait s’étirer dans tous les sens, c’était comme un mauvais trip où les murs vous foncent dessus. Où les portes font cinq fois votre taille, pire, tout redevenait normal !
Les garçons disparurent, la pièce redevint l’appartement de la jeune fille, oh, tout n’était pas rentré dans l’ordre parfaitement. Il restait encore des traces, capotes, chaussures des garçons ici et là, un tas de détails oubliés dans le rangement.
- Bien, voilà qui est mieux, dis-moi Ayumi, as-tu compris ce qu’il peut en couter de plaisanter avec les divinités de ce monde ?
Tout cela était une leçon ? Depuis le début elle se jouait d’elle ? Dans un jeu absurde et limite macabre. Pourtant personne n’était mort, et heureusement, la déesse ne voulait pas danser sur le territoire d’une autre. Après tout, quoi de plus chiant que de devoir s’expliquer avec d’autres de son espèce ?