Autorité scolaire [PV]

Seisaku Orochi était un professeur exerçant au lycée de Mishima, où il enseignait le français. Un poste important, car le test Senta, qui désignait un test d’admission d’élèves par les universités, incluait un poste important sur les langues étrangères. Orochi était donc un professeur important, et les élèves de dernière année au lycée en avaient pleinement conscience. C’était une situation dont l’homme profitait fortement. Orochi n’était en effet pas un professeur très respectueux des règles et des codes sociaux. Pour le dire autrement, il était un pervers. Il avait dû quitter Tokyo après un scandale sexuel impliquant une élève avec qui il entretenait une relation adultérine. Suite à un divorce et à un scandale, il s’était retrouvé à Seikusu, où il avait été embauché à Mishima. Célibataire depuis, Orochi cherchait parmi ses élèves de nouvelles proies, et en avait trouvé une, il y a quelques semaines, qui avait le profil idéal.

Natsuki Mishiro était une jeune lycéenne assez talentueuse, et très discrète. Elle était aussi très respectueuse des règles, et tellement soucieuse d’être discrète qu’elle ne demandait même pas la permission d’aller aux toilettes quand elle avait envie de faire ses besoins naturels. Elle était plutôt belle, assez intelligente, éduquée à l’ancienne. Un profil idéal pour Orochi, qui avait commencé à la cuisiner, à la préparer. Lorsqu’il donnait des exercices et faisait le tour de la classe, il se mettait derrière la jeune fille, et n’hésitait pas à caresser ses épaules, à la palper, feignant une erreur... Mais constatant que la jeune femme ne bronchait pas. Finalement, Orochi avait pris un risque énorme hier... Et avait posé une main sur les fesses de la jeune fille, en la retenant à la sortie de la classe.

Ils étaient alors seuls, et il lui avait redonné sa copie, la félicitant pour sa dissertation en français, et en avait alors profité pour caresser son cul. Sa main s’était glissée sous sa minijupe, et, en souriant, il avait malaxé son postérieur, tout en lui faisant sentir, contre son corps, la bosse de sa queue. Orochi était resté comme ça pendant suffisamment longtemps pour qu’aucun doute ne soit possible, puis il avait ensuite laissé l’adolescente filer.

Ils avaient désormais un nouveau cours, et, comme il s’y attendait, personne n’était venu le voir. La jeune femme baissait la tête en le voyant, mais n’en avait parlé à personne.

*Elle n’a aucun véritable ami, et elle est bien trop timide pour en parler aux autorités... Parfait !*

Le fait est qu’Orochi commençait à bander de plus en plus en pensant à cette femme. Sans être un pédophile, Orochi s’était toujours vu comme une sorte de pédéraste moderne, appréciant le contact des adolescents. À l’origine, le terme désignait, en Grèce, une relation entre un homme âgé et un éphèbe. Orochi y adaptait sa propre situation, et avait bien des idées avec cette jeune fille. Et, maintenant qu’il était sûr qu’elle ne dirait rien, il allait pouvoir véritablement commencer sa préparation.

*Je l’ai choisi avec soin, pour éviter qu’elle ne me dénonce, comme cette salope d’Asuka à Tokyo... Je vais la jouer finement, mais tu es à moi, gamine !*

Il exultait avant le début du cours, et, dès que Natsuki entra, il posa sa main sur son épaule, et lui parla d’une voix dure et froide, professionnelle :

« Tu viendras me voir à la fin du cours, Michiro-san. »

Il relâcha ensuite son épaule, et fit son cours comme si de rien n’était...

...En fantasmant à l’idée de ce qu’il avait préparé pour cette jeune femme innocente !

Natsuki avait l'impression d'avoir un véritable poids au ventre depuis la veille, qui ne cessait de s'alourdir à mesure que l'heure du cours de français approchait, et ce à grands pas, le tout en se demandant bien comment est-ce que tout ça pouvait bien lui arriver à elle. Elle était pourtant une lycéenne sans histoires, mais très douée, tellement qu'elle avait sautée deux classes au cours de sa scolarité, ce qui faisait qu'elle se retrouvait à à peine 16 ans sur le point d'entrer à l'université. Cette avance faisait bien entendu la fierté de ses parents, mais de fait, on ne pouvait pas dire que la jeune femme avait de véritables amis. Oh elle s'entendait plutôt bien avec ses camarades de classe, mais ça n'allait guère plus loin, et puis Natsuki avait toujours été d'un naturel plutôt solitaire et très timide, qui se consacrait pleinement, voire même exclusivement, à ses études.
Elle faisait donc la fierté de ses parents, très traditionnels, qui ne voyaient pas d'un mauvais oeil que leur fille soit studieuse à l'extrème, ce qui la dispensait entre autres d'avoir un petit ami. Mais depuis hier...quelque chose troublait fortement Natsuki, qui était toutefois bien trop timide et honteuse pour en parler à qui que ce soit, d'autant que ça concernait l'un de ses professeurs.
Elle n'avait jusque là jamais eu vraiment de problèmes avec Omochi-senseï, qui comme tous les autres la considérait comme une élève douée. La seule différence notable, c'était parfois ces gestes un peu déplacés, comme le fait de lui toucher les épaules tout en étant derrière elle. Natsuki s'en trouvait bien sûr gênée, mais n'avait jamais vu la nécessité de s'en plaindre, chose dont elle aurait de toutes façons bien été incapable de faire tant elle ne souhaitait pas faire de vagues.

Mais ce qui s'était passé la veille allait bien au delà de ça. Comme souvent, Natsuki était restée quelques minutes après la fin du cours pour poser des questions, demander quelques détails sur le cours qui avait eu lieu. A ce moment, Omochi-senseï lui avait aussi rendu sa dernière copie en date, ne manquant d'ailleurs pas de la féliciter, ce qui avait toujours le don de faire rougir la jeune femme. Mais alors, à ce moment, Omochi-senseï s'était approché d'elle, très près, trop près même...et avait posé une de ses mains sur les fesses de la jeune femme. La pauvre n'avait pas su comment réagir face à ces attouchements qui ne pouvaient pas être le fruit d'une erreur, tant l'homme avait bien pressé sa main sur ses délicates fesses, en la passant même sous sa mini-jupe de lycéenne. Lorsqu'il avait fini, Natsuki était partie sans un mot et en précipitation, car elle avait alors manquée d'être en retard au prochain cours. Cette scène la hantait...mais elle ne pouvait en parler à qui que ce soit. Se plaindre ? Impensable ! Sans témoins, ce serait sa parole contre celle d'un professeur qui était de plus son professeur principal, et puis même, Natsuki avait beaucoup trop honte de parler de...de ça ! Qu'en diraient ses parents ? Qu'en diraient tout le monde ?
Alors elle s'était tenue silencieuse, espérant juste que, par une sorte de miracle, tout ça n'aille pas plus loin, et qu'elle puisse l'oublier. Mais rien que ça semblait déjà compliqué, aujourd'hui elle eu beaucoup de mal à se concentrer, tant elle était stressée, mais Natsuki avait toujours un air si sérieux que personne ne pouvait vraiment le remarquer.

*A-Allez...ce n'était rien...ça va passer...*

La jeune lycéenne essayait tant bien que mal de se convaincre, de se rassurer, alors qu'elle entra finalement dans la salle de classe, évitant le regard d'Omochi-senseï comme elle le pouvait. Mais alors qu'elle se dirigeait vers sa place, noyée dans le flux de ses camarades, elle s'arrêta net après avoir senti une main familière se poser sur ses épaules. Son professeur était là, et lui demanda de rester après la fin du cours.

O-Oui Senseï...

Elle fila alors à sa place, le coeur battant la chamade. Elle avait envie d'appeler à l'aide, quelqu'un, n'importe qui...mais elle ne le pouvait pas. Qui la croirait, alors qu'elle ne s'était même pas débattue hier ? C'était bien entendu une mauvaise façon d'aborder le problème, mais Natsuki avait été élevée ainsi, à ne pas causer de problèmes, à être discrète, et à respecter absolument l'autorité de ses professeurs.
Elle prit donc place, et l'heure de cours fila à une vitesse hallucinante, puisque la cloche sonna finalement...

Orochi avait toute l’heure pour penser à ce qu’il allait faire avec cette jeune femme. On pouvait très clairement dire de lui qu’il était un mauvais professeur, mais... En fait, c’était comme ça que Mishima fonctionnait ! Avant de rejoindre ce lycée, ils ‘était renseigné. Quantité de rumeurs circulaient sur ce lycée, et il avait aussi appris que le lycée avait souvent eu affaire à des procès. Ils disposaient d’ailleurs d’un prestigieux avocat seikusien, Alexandre Dowell, qui dirigeait un vaste cabinet international, comprenant de multiples bureaux secondaires à divers États dans le monde. Comment un aussi gros cabinet pouvait défendre un simple lycée d’une ville secondaire ? Seikusu n’était pas une ville comme les autres, mais Orochi se moquait de tout cela. Il voyait juste une jeune femme à « éduquer » à sa manière. L’heure passa de manière assez surréaliste pour lui, car, tandis qu’il faisait cours, il ne cessait de penser à Natsuki, et au cadeau qu’il lui avait acheté.

La sonnerie libératrice sonna enfin, et les élèves filèrent, laissant Natsuki seule. La jeune fille avait peu d’amis, car elle avait sauté plusieurs classes, abandonnant ses amis du collège, et peinant à s’en faire de nouveaux. Il l’observa silencieusement, sourit légèrement, puis ferma la porte de la salle, tournant ensuite la clef dans la serrure, puis se retourna vers elle. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu’il la rejoignit.

« Allons, Natsuki-chan, détends-toi, tu es toute tendue... »

Il s’assit pesamment face à elle, l’observant encore, et sourit à nouveau. Elle devait sûrement s’attendre au pire, et, dans ce genre de circonstances, il était de bon ton de laisser son imagination s’emballer. Il se racla ensuite la gorge, et reprit :

« Ce que je t’ai fait hier... C’était un test. Un test grossier et déplacé, Natsuki-chan, et je m’en excuse. Je voulais voir si tu réagirais... Et le fait est que tu n’as rien fait. Je suis donc désormais convaincu que tu es parfaite pour le rôle que j’envisage de te confier. »

Orochi y allait calmement, prudemment. Il ne lançait pas tout d’un seul coup, laissant ainsi à la femme le temps de réfléchir, de comprendre ce qui lui arrivait.

« Je ne compte pas te violer, Natsuki-chan, je veux t’aider... Aider la jeune pousse que tu es à devenir une femme mâture et accomplie. Et, pour ça, j’ai prévu tout un programme pour toi. »

Un programme qui commençait déjà dans la mallette qu’il avait avec lui, et qui comprenait autre chose que ses notes et ses cours.

« Voilà ce que je te propose, ma jeune pousse... Enfin... Tu n’as pas vraiment le choix, de toute manière, vu que cela vient de ton prof’. Je t’ai bien étudié, Natsuki-chan. Tu es très timide, très pudique, tu n’oses même pas regarder les gens dans les yeux. Une vraie tsundere, à la réalité... Alors, il est important que j’agisse, ma chérie. »

C’était une offre, oui... Mais qu’elle ne pouvait pas refuser !

En ce moment, Natsuki avait envie de se faire toute petite, au point de disparaître et que plus personne ne lui prête attention. Elle ne comprenait honnêtement pas comment tout ça avait pu lui tomber dessus, elle qui était si sage et rangée, et qui ne voulait pas le moindre problèmes. Oh bien sûr qu'elle avait envie de demander de l'aide, car elle était sincèrement terrorisée à l'idée de ce qui allait se passer. Elle était d'ailleurs restée sur sa chaise, les yeux rivés vers le sol, n'osant pas le moindre contact visuel avec son prof...qui avait fermé la porte de la salle de classe à clef. Que pouvait-elle faire ?

Omochi-senseï prit alors une chaise pour s'asseoir juste en face d'elle, et ce qu'il lui raconta alors...la laissa vraiment perplèxe. Mais que pouvait-il bien raconter ? Natsuki était complètement perdue. Un test ? mais de quel genre de test pouvait-il bien s'agir ? Il lui avait palpé les fesses, et la jeune lycéenne n'en avait presque pas dormi de la nuit ! Honnêtement, plus il parlait, et plus Natsuki sentait sa respiration devenir saccadée, ce qui contrastait avec le calme absolument terrifiant avec lequel Omochi-senseï était en train de lui parler. La pauvre était incapable du moindre contact du regard, car elle savait qu'elle ne pourrait pas supporter le regard sans doute libidineux de l'homme sur elle, elle gardait d'ailleurs strictement ses cuisses resserrées.

Il ne comptait pas la violer ? Natsuki avait bien du mal à le croire, mais dans le même temps, elle ne comprenait absolument pas comment est-ce que tout ça pouvait bien lui tomber dessus. A ce compte là, il y avait bon nombre de ses camarades qui étaient bien plus jolies qu'elle. Et même, certaines auraient volontiers été jusqu'à coucher avec un professeur pour obtenir de meilleures notes, mais Natsuki elle ne voulait rien à avoir affaire avec ce genre de choses ! Elle sentait déjà le rouge lui monter aux joues rien qu'au fait d'être ainsi seule avec un homme bien plus âgé qu'elle, dans un contexte qui n'avait clairement rien à voir avec celui d'un prof et de son élève.

J-je...Je ne c-comprends pas Senseï...

La pauvre était vraiment perdue, autant dire une proie très facile pour ce prédateur sexuel.

Elle était évidemment confuse, et il appartenait à Orochi de la calmer, de lui faire comprendre ce qu’il attendait d’elle… Ce qui était d’autant difficile que l’homme ventripotent avait une sévère érection. Natsuki était si belle, si douce, si timide… Elle était sa petite poupée, et il fantasmait déjà à l’idée de l’habiller de mille et une façons ! Mais il devait rester calme, maître de lui-même, afin d’éviter que Natsuki-chan ne finisse par se rebeller. Elle lui était certes inféodée, mais il ne pouvait évidemment pas exclure un sentiment bien naturel de révolte s’il la poussait à bout. Il se racla donc la gorge, et récupéra sa mallette, puis la posa bruyamment sur le bureau, avant de l’ouvrir. La mallette était toutefois orientée vers lui, ce qui fit que la jeune fille ne vit rien d’autre que le haut de la mallette noire se relever.

« C’est très simple, en réalité. Vois-tu, avant de venir ici, j’étais un enseignant à Tokyo… Dans un lycée très différent de celui-ci, un lycée où je me suis épris d’une jeune fille comme toi. Je… C’est comme ça, Natsuki-chan. J’ai toujours été davantage intéressé par la formation de mes partenaires qu’autre chose. Ma femme était plus jeune que moi, et je lui ai tout appris, sexuellement parlant. C’est pour moi une expérience très gratifiante. Je n’ai pas un physique très avenant, tu sais, j’ai toujours été très gros, et peu apprécié des filles. Alors… Enfin, je ne vais pas te faire une séance de psychologie, mais j’ai appris à user de mes talents, et à me montrer maître dans la matière. Quand les autres se moquaient de moi en sport, je leur disais que je baisais leurs copines comme jamais ils ne pouvaient le faire. Je me suis longuement entraîné, et j’ai découvert que les filles pouvaient être bien plus attirées que je ne le pensais par des hommes moches et gros. Peut-être que ça les rassure ? Je ne sais pas… »

Il haussa les épaules, tout en écartant quelques livres. Sa mallette disposait d’un double fond, qu’il cherchait à atteindre. Parler avait aussi l’effet de le calmer, même si son érection était toujours là.

« Au lycée et à la fac’, je me suis fait une spécialité de les former. Je leur mettais une main sur la bouche, et je les masturbai contre un mur, longuement, jusqu’à les sentir jouir entre mes doigts. Ma femme fut ma meilleure élève, mais elle a fini par tomber amoureuse de moi. Je m’étais marié avec elle, et nous avions eu des enfants, pour éviter d’attirer les soupçons, mais, quand je lui ai proposé de m’assister avec d’autres élèves, elle a refusé, et m’a dénoncé. C’est comme ça que je me suis retrouvé ici, et je me suis promis de ne plus recommencer, par peur de me faire prendre… Mais Mishima ne fonctionne pas comme mon ancien lycée. »

Orochi venait d’ouvrir le double fond de la mallette, et écarta quelques objets, avant d’attraper un curieux ensemble, une sorte de ceinture complexe qui se mit à cliqueter. Natsuki-chan put en voir un bout, et aperçut une lanière noire en cuir, laissant envisager le pire pour elle.

« Je ne peux pas faire autrement, c’est ce que je veux, Natsuki-chan. Et tu vas avoir l’immense honneur d’être la première de mes élèves que je vais éduquer sexuellement. »

Orochi sortit alors ce qu’il avait récupéré, et se releva, permettant à Natsuki-chan de le voir.

C’était un harnais en cuir, très complet, et particulièrement bien réussi.

« Nous allons commencer par t’habiller convenablement, Natsuki-chan, et je te promets que, quand j’en aurais fini avec toi, tu seras une magnifique nymphomane ! »

Toute cette situation mettait énormément de pression sur les épaules de Natsuki, une pression bien différente de celle à laquelle elle était habituée. Le stress des examens et de la vie de lycéenne en général, elle parvenait à le gérer, mais qu'un professeur abuse de son autorité à son encontre et dans ce contexte...elle ne savait tout simplement pas comment réagir, et était à moitié tétanisée. Intérieurement, et un peu naïvement, une partie d'elle même espérait que tout ça soit un cauchemar, ou une mauvaise plaisanterie, ou même encore qu'elle se fourvoyait complètement sur les intentions d'Omochi-senseï. La pauvre était rouge comme une pivoine, bien incapable sur le moment de prononcer le moindre mot, d'autant que cette mallette que son professeur venait de poser sur la table, et dans laquelle il était en train de fouiller, l'intimidait.
Natsuki ne savait pas trop à quoi s'attendre, et de ce fait, commençait à imaginer le pire arriver, tout en ne voulant absolument pas l'envisager. Elle aurait pu, et aurait du se révolter, en parler à quelqu'un, mais sa timidité maladive se couplet à un respect de l'autorité qui lui avait été inculqué si fort par ses parents que c'en était presque aussi maladif. Autant dire qu'aller dénoncer Orochi-senseï lui était tout bonnement impossible à réaliser, et même à envisager, car le simple fait de devoir parler à quelqu'un de cette main qu'il avait posé la veille sur ses fesses la rendait honteuse.

Et puis Orochi-senseï commença un long monologue, pour tenter de...se justifier ? Tout ce qu'elle retenait, c'était que son professeur était ouvertement en train de lui parler de sexe, qu'il avait déjà eu par le passé des affaires avec des lycéennes, tout en détaillant certaines scènes que Natsuki n'aurait jamais voulue entendre, prude qu'elle était. La pauvre avait encore du mal à vraiment réaliser la situation dans laquelle elle se trouvait, mais une sorte d'éléctrochoc se produisit en elle quand l'homme sortit de sa malette, et posa sur le bureau...une sorte de harnais en cuir, très sexy, et absolument répugnant du point de vue de la lycéenne qui voyait le sexe comme quelque chose à éviter. Elle sembla comprendre quand Orochi-senseï suggéra qu'elle porte cette tenue, ce qui impliquerait alors qu'elle se déshabille, et qu'il la voie sans aucun doute nue, puis porter cette chose.

J-Je...n-non. Je ne peux pas p-porter ça...c'est...

Indécent, tout simplement indécent, mais Natsuki était encore une fois trop timide pour finir sa phrase. Le simple fait de dire non semblait déjà être un effort considérable, et qui semblait être surtout très fragile et aisé à briser...

Était-il un mauvais professeur ? La réponse semblait évidente, mais, à Mishima, Orochi-sensei ne dérogeait pas de la règle. C’était aussi pour ça qu’il avait fini par atterrir au lycée. Dans ce lycée, les professeurs assuraient l’éducation sexuelle de leurs élèves, c’était inscrit dans les mœurs, et cette pratique se confirmerait encore en ce moment avec Natsuki-chan. Celle-ci se mit à rougir confusément devant le harnais, affreusement gênée, confirmant sa pureté, sa candeur, son innocence... Et excitant encore plus Orochi-sensei. Le pervers professeur sourit légèrement, sentant sa queue l’élancer très durement. Il était après tout très heureux d’avoir enfin rencontré la perle rare ! À Mishima, ce genre d’élève était très rare, car, avec son physique peu avenant, Orochi-sensei passait derrière certains de ses collègues, comme Ichtora-sensei, Isley-sensei, et même certains élèves qui étaient visiblement bien plus que des élèves, tels Warren-san. Orochi-sensei avait d’ailleurs pensé dans un premier temps se défausser sur une magnifique Française, Faure-san, mais il avait déchanté en voyant celle-ci se rapprocher bien trop d’Isley-sensei. Orochi-sensei ne voulait pas empiéter sur les plates-bandes de cette femme, et avait finalement repéré Natsuki-chan.

Il s’était discrètement rapproché d’elle, mais, après avoir compris que Faure-san ne lui appartiendrait jamais, l’homme avait décidé d’anticiper ses plans, de les accélérer, et s’était en conséquence rapproché de la jeune femme, jusqu’à proposer son harnais. Dans la précipitation, il s’était sans doute un peu trop emballé, car Natsuki-chan refusa, avec sa délicieuse voix tremblotante de crécerelle, d’enfiler ça. Comme absorbé par ses lèvres, et par quantité d’idées perverses défilant dans son esprit, Orochi-sensei mit quelques instants avant de réagir, et sourit alors brièvement.

« C’était un simple test, Natsuki-chan, ne t’en fais pas, je voulais m’assurer que tu n’étais pas du genre à séduire tes professeurs. Vas-y, tu peux rentrer chez toi. »

Orochi-sensei avait tenté d’aborder un ton calme. Au moins, ce petit « test » avait confirmé qu’elle était bien pure. Nerveuse, Natsuki-chan se releva néanmoins, attrapa son sac à dos, mais dut déchanter en s’approchant de la porte... Car celle-ci était fermée à clef. Et, quand elle le constata, une masse sombre se pressa dans son dos. Une main se posa sur l’épaule de Natsuki-chan, et il la plaqua doucement, mais non moins fermement contre la porte. Son autre main s’appuya sur le bas du dos de Natsuki-chan, et celle-ci dut glapir en sentant, contre l’ourlet de ses fesses, une bosse proéminente sortant du pantalon de l’homme.

« Natsuki-chan, si pure, si gentille, si candide... Oh, Natsuki-chan, tu sens si boon... !! »

Il se frotta encore contre elle, et renifla son odeur, avant de lécher son cou, et ricana encore, un rire gras et mesquin, tandis que sa main descendit pour caresser sa minijupe.

« Je ne te laisserai pas partir et être contaminée par d’autres, Natsuki-chan... J’ai attendu trop longtemps pour ça ! Tu es à moi, tu vas être une gentille fille, et tu vas m’obéir, Natsuki-chan ! »

Le ton se faisait plus autoritaire, surtout quand la main du professeur glissa encore pour filer sous la minijupe, et pelota la culotte de la femme. Natsuki-chan avait une belle culotte blanche, et sa main libidineuse massa sa chair, s’écrasant au milieu de ses fesses pour les palper.

« Là, ouii, Natsuki-chaaaann... » soupira-t-il, en ayant toujours une forte érection.

Natsuki ne pouvait tout simplement pas se résoudre à enfiler une tenue aussi indécente, c'était impossible pour elle ! La jeune lycéenne avait déjà du mal à supporter le fait de porter des jupes trop courtes à son goût, qui pouvaient bien trop facilement offrir une vue sur sa culotte si on cherchait à vraiment regarder...alors un harnais en cuir ? Orochi-senseï avait raison en se disant que Natsuki était pure, car sa jeune élève n'avait absolument aucune expérience sexuelle, vraiment aucune. Elle n'avait jamais embrassée qui que ce soit, ne s'était jamais retrouvée nue en la présence d'une autre personne, et elle ne s'était même jamais masturbée car elle trouvait cette idée absolument dégoûtante. Elle n'était pour autant pas ce genre de personnes à juger ceux et celles qui n'en faisaient pas de même, car elle se serait faite en plus haïr à Mishima, mais elle ne partageait clairement pas la même vision des choses que beaucoup de ses camarades...et visiblement professeurs.
La pauvre avait toutefois l'impression de se trouver dans une impasse, certes elle venait de dire non mais...mais et si Orochi-senseï se mettait à présent à a saquer ? Natsuki avait peur que ça soit le cas, d'autant que la matière qu'il enseignait comptait pour une part non négligeable dans le test Senta. Une autre élève, bien moins bridée que Natsuki, aurait sans doute sautée sur l'occasion de coucher avec ce professeur pour se garantir de bonnes notes, mais c'était bien au delà de ce que Natsuki était capable de faire.

Quelques secondes de silence pesant s'établirent dans la salle de classe après que Natsuki aie timidement parlée, n'osant pas regarder Orochi-senseï dans les yeux, elle s'attendait à une réaction de sa part, à des menaces, à ce genre de choses. Mais, fort étonnament, il n'en fut rien, et il l'autorisa même à partir, prétextant que tout ceci était une sorte de...test ? Natsuki en était abasourdie, mais elle était aussi tellement effrayée par ce qui venait de se passer qu'elle ne perdit pas de temps? Sans un mot, la lycéenne se leva de sa chaise tout en prenant son sac à dos dans l'une de ses mains, et se dirigea d'un pas rapide, nerveux, en direction de la porte. Oui, elle voulait sortir d'ici au plus vite, rentrer chez elle pour tenter d'oublier tout ça. Même à ce stade elle ne voulait pas se plaindre à qui que ce soit, et intérieurement, elle espérait encore que tout rentrerait dans l'ordre, comme si de rien n'était...jusqu'à ce que son autre main ne se pose sur la poignée de la porte qui ne s'ouvrit pas, car elle était fermée à clef.

Que...

Natsuki n'eut pas l'occasion de dire un mot de plus avant de sentir une main se poser sur son épaule, celle d'Orochi-senseï, bien évidemment. La jeune femme écarquilla les yeux de stupeur avant de se faire plaquer contre la porte, alors que le corps obèse de l'homme se colla contre son dos. Mais surtout, surtout, elle sentit une bosse dure se frotter contre sa jupe, et le souffle de l'homme contre le creux de sa nuque, alors qu'il sembla approcher son nez pour renifler son odeur corporelle.

N-nooooon...

Elle aurait pu et du commencer à se débattre, à crier, à hurler même...mais elle en était complètement incapable, et son corps se figea sur place quand Orochi-senseï déplaca l'une de ses mains plus bas encore, jusqu'à se glisser sous sa jupe.

S-senseï...n-non...nooooon...ha...

Ses protestations étaient toutefois bien faibles, la jeune lycéenne se cambrait instinctivement à sentir cette main lui mouler le cul et le malaxer, et surtout elle était incapable de se rebeller alors qu'il usait encore de son statut de prof contre elle, en lui ordonnant de ne pas faire de vagues, alors qu'il malaxait ses fesses de façon encore plus appuyée que la dernière fois, et en se collant tout contre elle. Elle ne pouvait tout simplement pas lutter...

Orochi ricana doucement devant les vaines et délicieuses protestations de Natsuki-chan. Parfaite, elle était parfaite ! Et, plus la jeune femme se débattait, et plus lui était excité ! Il comptait la former, l’entraîner, faire d’elle une magnifique poupée, sa poupée ! Il avait été incapable de faire cela avec sa propre fille, et avait échoué à Tokyo, mais ici, à Seikusu... Oui, cette femme était parfaite ! Elle se débattait faiblement, protestant en implorant son sensei de ne pas continuer, mais lui continua à contraire à palper son beau petit cul. Il avait déjà eu l’occasion de constater que les fesses de la jeune femme étaient très agréables. Pervers comme il le fallait, Orochi avait en effet installé il y a longtemps une caméra GoPro dans le vestiaire de la jeune fille au gymnase, et avait ainsi pu la voir se changer, délaissant son uniforme pour enfiler son maillot de sport. Il savait qu’elle ne s’épilait pas, qu’elle était d’une pudeur sans pareille... Et tout ça l’excitait fortement ! Chaque seconde passée à étudier Natsuki-chan avait confirmé, à ses yeux, qu’elle était parfaite ! Et, maintenant, il avait enfin l’occasion de la former.

Sa main continuait donc à remuer, et, surtout, il sentit à un moment Natsuki-chan se cambrer vers l’arrière, comme si elle accompagnait instinctivement les mouvements d’Orochi-sensei. Ou, du moins, c’était l’impression qu’il avait, ce qui ne manqua pas de l’exciter encore.

« Natsuki-chan a beau nier, elle aime quand Orochi-sensei la palpe ainsi. Ne t’inquiète pas, Natsuki-chan, tu es ma petite poupée, je prendrais bien soin de toi... Dès que je t’ai vu, j’ai su que tu serais parfaite, que j’avais enfin trouvé la perle rare ! Tu es ma poupée, Natsuki-chan ! »

Il continuait à se serrer dans son dos, sa queue commençant à lui faire mal tant il bandait fort. Avec son autre main, il déboutonna alors le petit gilet noir de la femme, et glissa sa main dessous, sentant son chemisier. Orochi-sensei lécha alors l’oreille de Natsuki-chan, et posa sa main sous le gilet, pinçant l’un de ses seins.

« Natsuki-chan a de si jolis seins, de si jolies fesses... Ma Natsuki-chan est tout simplement parfaite, oh oui ! »

Excité comme jamais, il reniflait contre elle, léchant son cou, et un peu de salive s’échappait parfois de ses lèvres pour tomber sur le cou de la femme, tant il était excité !

« Natsuki-chaaaaann !! »

Orochi-sensei libéra alors ses fesses, et pelota l’autre sein avec sa grosse main, puis bougea un peu. D’ailleurs, avant de positionner sa seconde main, il releva encore la minijupe de la femme pour la coincer en hauteur, permettant ainsi d’avoir plus facilement accès à sa culotte. Son sexe, toujours couvert sous le pantalon, heurta ainsi le fessier de la jeune femme. Orochi-sensei malaxa alors furieusement les seins de la femme, et s’écrasa dans son dos, la plaquant pendant quelques secondes contre la porte.

Ravi, il continua alors de la complimenter :

« Et tu es si belle, si douce... Tu sens si bon, ma petite poupée, ma Naaaatsuki-chan !! »

Les protestations de la jeune femme n'avaient absolument pas l'effet escompté par cette dernière, car il semblait que plus elle disait non, et plus Orochi-senseï semblait excité et désireux de continuer. Natsuki était bien incapable de se débattre réellement, ce qui lui arrivait était si choquant que son corps était comme paralysé, et même d'un point de vue physique elle ne pouvait pas lutter contre l'homme qui la plaquait sans grandes difficultés contre la porte de la salle de classe. Malgré ses protestations, Orochi-senseï ne décolla pas sa main des fesses de Natsuki, et au contraire même sembla l'appuyer encore d'avantage dessus, tout en déclarant que la jeune femme aimait ça même si elle le niait.

N-non c'est...c'est faux a...arrêtez...

Mais il ne s'arrêta pas, et Natsuki sentit alors bien vite l'autre  main du professeur se glisser devant elle, et commencer à déboutonner son gilet. L'élève avait de son côté les deux mains posées contre la porte, à hauteur de son visage, et s'en servait pour essayer de pousser en arrière pour se dégager. Non seulement elle n'avait pas assez de force pour effectivement le faire, mais en plus cela n'avait pour effet que de la coller d'avantage contre le corps obèse d'Orochi-senseï. Son gros ventre épousait les formes du dos délicat de la jeune femme, et une fois qu'il eut terminé de déboutonner le gilet noir que portait Natsuki, ce dernier posa alors sa main sur l'un de ses seins, pincant  le téton au travers de son chemisier et de son soutien-gorge.

N...Haaaaa n-nooooon...p-pas çaaaaaaa...

La jeune lycéenne avait une poitrine plutôt petite, surtout en comparaison de nombre de ses camarades, par rapport auxquelles Natsuki avait une silhouette fine. Mais, de fait, Natsuki était d'autant plus sensible au niveau de ses seins qu'il se tendaient fermement en cas de contact de ce genre, chose qu'Orochi-senseï ne pourrait que rapidement constater. Ce dernier se frottait contre elle en lui léchant volontiers le cou ou le creux de l'oreille, bien évidemment Natsuki tentait de tourner sa tête sur le côté pour l'éviter, mais las, coincée comme elle l'était, l'homme finissait toujours par parvenir à faire ce qu'il souhaitait. La honte qu'éprouvait Natsuki grimpa encore d'un cran lorsque son professeur, après avoir longuement malaxé son petit cul, releva la mini-jupe de la jeune femme pour en coincer le tissu vers le haut, découvrant alors d'avantage ses fesses à l'air libre. Orochi-senseï se plaqua alors plus fermement contre elle, et Natsuki sentit alors la bosse de l'érection de l'homme dans son pantalon, directement contre le fin tissu de sa culotte, puisqu'il se fourra contre la raie de ses fesses pour s'y frotter. Le tout, en relevant alors sa main, et les deux s'occupaient alors de chacun des seins de la jeune femme.

Haaaa...Haaaaaa-aaaaa...p-pité noooooon...s-s-senseï....haaaaaa...

Natsuki pouvait entendre le bruit indécent de l'homme qui frottait son érection contre le tissu de sa culotte, et ce dernier soupirait lourdement contre son oreille, ne cessant de lui faire des "compliments" qui ne faisaient que rajouter à la honte qu'elle éprouvait. Natsuki savait qu'elle aurait du déjà crier et se débattre depuis longtemps, et pourtant, elle était surtout tétanisée, son corps refusant de bouger ou de se débattre.
Mais surtout, et elle ne s'en rendait pas compte, mais à force d'être ainsi molestée, son corps en proie aux hormones de la puberté réagissait à ces mains qui palpaient ses seins, ces derniers devenant tendus, et à cette queue qui se frottait contre son cul...car son intimité commençait à délicatement s'humidifier.

Elle se débattait, bien sûr. Elle protestait, même. Mais Orochi n’était pas dupe ! Il savait que la jeune femme était secrètement attirée par ça, qu’elle était sa petite poupée ! C’était normal, elle était une fleur fragile, ignorant tout du sexe, une beauté qu’il fallait protéger et préserver. C’était là tout ce qu’Orochi comptait faire, tout ce qu’il entendait appliquer sur elle. Oui, il allait grandement prendre soin d’elle, sa précieuse petite poupée ! Il la sentait donc se débattre, implorant vainement sa pitié. Et, plus elle se débattait, et plus elle se frottait contre sa queue, ce qui, en réalité, ne faisait que l’exciter davantage. C’était un délicieux cercle vicieux, même si, à force, son membre devenait un peu trop comprimé dans son caleçon. Orochi soupira doucement sur place, surtout lorsqu’il sentit les seins de la jeune femme se mettre à durcir, un contact qu’il connaissait bien. Orochi était un pur cliché de Japonais pervers, appréciant les jolies poitrines et les belles culottes. Et, si Natsuki-chan n’avait pas des seins gonflés à l’hélium, elle avait tout de même une masse mammaire, une masse qui durcit et gonfla, pour le plus grand plaisir d’Orochi.

« Hihi, Natsuki-chan est excitée ! » reprit Orochi-sensei, visiblement très excité lui aussi.

Il avait de plus en plus mal avec son pantalon qui le serrait, et libéra l’un des seins de la femme, le temps de déboutonner sa ceinture. Natsuki put entendre une série de cliquètements métalliques. Nerveux, avec une main qui tremblait, Orochi avait du mal à se contrôler, à faire des gestes simples, mais réussit à déboutonner sa ceinture, puis s’attaqua à son pantalon. Celui-ci tomba finalement au bout de quelques secondes, et il se plaqua de nouveau contre le corps de la femme, qui put davantage sentir, contre sa fine culotte blanche, le caleçon d’Orochi, mais surtout son imposante trique. Fort heureusement, Orochi avait été plutôt bien doté par la nature, et il était aussi bien excité en ce moment, ce qui faisait que sa queue n’en était que plus grosse, avec une érection lancinante.

Orochi sourit encore, et recommença alors à la malaxer, tout en couvrant le cou de Natsuki de baisers.

« Ne t’en fais pas, Natsuki-chan, je vais prendre soin de toi et de ton corps parfait... Tu es ma fifille, maintenant, une poupée que je vais façonner et éduquer bien comme il faut ! Tu es une gentille fille, Natsuki-chan, je l’ai su dès que je t’ai vu. Je t’aime, ma Natsuki-chan ! »

Il déplaça alors sa main, non pas vers ses fesses, puisque sa queue était là, mais sur le devant, et titilla sa culotte... Puis frémit en sentant que la culotte de Natsuki était quel peu humide. Il sourit alors plus fortement, comprenant qu’il avait raison depuis le début, et commença à la masturber. Ses doigts s’étaient postés à l’emplacement de ses lèvres intimes, et, à travers la culotte, il frottait cet endroit. L’homme pouvait sentir les poils pubiens de la femme, une petite toison poilue qu’il aurait grand soin d’épiler ensuite. Pour l’heure, ses poils ne retenaient pas le délicieux liquide sucré qui s’échappait de la chatte de la jeune fille.

Et, bien évidemment, tout en la caressant, il commenta cela :

« C’est humide là-dessous... Tu vois bien que tu es prête, Natsuki-chan, prête à ce que Orochi-sensei t’éduque et te forme. »

Il poursuivit ensuite, en déboutonnant cette fois la chemise blanche de Natsuki-chan. Il retira quelques boutons, et put ainsi glisser sa main sous la chemise, et serra son bonnet de soutien-gorge, pinçant son téton, qu’il pouvait sentir sous le tissu, et tira dessus vers le haut, tout en continuant, avec son autre main, à masturber la jeune fille.

Petit à petit, elle succombait...

Pourquoi ? Comment ? Natsuki ne comprenait pas ce qui était en train de lui arriver, ces...sensations qu'elle ne connaissait pas. Bien entendu elle avait peur, car elle était horrifiée par ce que Orochi-senseï était en train de lui faire, mais pourquoi alors n'arrivait-elle pas à lutter ? Il lui suffisait pourtant de crier à l'aide, et sans doute quelqu'un finirait bien par venir. Mais au lieu de ça, Natsuki se contentait de faiblement protester de sa petite voix timide, mais se rendait aussi compte qu'elle commençait à le faire avec encore de moins en moins de force. Elle avait chaud, et ce n'était pas qu'à mettre surle fait que son professeur était collé tout contre elle, ou la honte qu'elle ressentait à être dans pareille situation, d'autant que, si elle ne s'en était pas initialement rendue compte...Natsuki commençait à sentir l'humidité se former au niveau de son entrejambe.

*Que...qu'est-ce qui m'arrive ?*

Natsuki n'avait jamais assistée au moindre cours d'éducation sexuelle, vu que ces derniers n'étaient pas obligatoires pour le élèves ne souhaitant pas y assister, et elle n'avait jamais discutée de sexe avec ses parents ou avec le peu "d'amis" qu'elle pouvait avoir, qui étaient plus des camarades de classe que de véritables amis. En conséquence, Natsuki ne parvenait pas à comprendre les réactions de son corps, elle savait bien ce qu'était la cyprine et l'excitation sexuelle, mais entre le savoir et le vivre pour de vrai, il y avait un monde de différence. Elle sentit pourtant bel et bien ses seins se tendre à force que les mains d'Orochi-senseï ne les palpe, et la jeune femme fut horrifiée, ouvrant les yeux en grand alors qu'elle l'entendit et le sentit en train de déboutonner son pantalon.

N-noooooon !!! Non pas ça ! J-je ne veux pas !!

Mais encore une fois, Orochi-senseï resta sourd à ses protestations, continuant d'affirmer que la jeune femme aimait ça même si elle le niait. Le pantalon de l'homme tomba le long de ses cuisses, et Natsuki le sentit alors se plaquer de nouveau contre elle, contre son cul. Mais sans ce pantalon, Natsuki sentit presque directement le sexe dressé de son professeur de fourrer entre la raie de ses fesses.

Aaaaaah...

Et il continuait à lui lécher le cou, et à lui parler, à lui murmurer des insanités à l'oreille, affirmant qu'elle était sa poupée, qu'elle était une gentille fille, et qu'il l'aimait. Mais il était son professeur, il n'était pas censé dire de telles choses, elle ne comprenait pas ! Et c'est alors que subitement, l'homme glissa sa main qui avait servir à retirer son pantalon sous la mini-jupe de son élève, mais cette fois par le devant. Natsuki sentit comme une décharge éléctrique la parcourir lorsque la main de l'homme se glissa entre ses cuisses, qu'elle serra instinctivement, mais sans pour autant que celà ne l'empêche d'atteindre cette zone. Natsuki posa même une de ses mains sur celle d'Orochi-senseï, alors qu'il commençait à la masturber, dans un vain espoir d'arriver à l'enlever mais...elle n'avait juste aucune force.
Usant de ses doigts, Orochi-senseï entreprit alors de caresser la zone intime de Natsuki au travers de sa culotte, frottant délicatement son clitoris et ses lèvres vaginales, provoquant chez la jeune femme une réaction bien naturelle, mais non voulue..du plaisir.

Haaaaa...n-non pas çaaaaa...nyaaaaaa...a-arrêtez...haaaaaaa...

Mais les supplications de la jeune femme se faisaient de moins en moins convaincantes, et semblaient surtout d'avantage encore exciter Orochi-senseï. Le corps de Natsuki se contractait par réflexe face à ces nouvelles sensations, surtout au niveau de son bassin, la faisant se frotter encore d'avantage contre le sexe de l'homme, qui pendant ce temps usa de son autre main pour déboutonner la chemise blanche de Natsuki, et tirer sur son soutien-gorge pour le relever vers le haut. Gilet et chemise ouverts, même si elle les portait encore, et soutien-gorge relevé, Natsuki se retrouva alors les seins à l'air, avec la main boudinée de son professeur qui entreprit alors d'en malaxer un fortement.

Haaaaa...Haaaaaan...

Les joues toutes rouges, Natsuki ne savait plus quoi faire, elle était assaillie de toutes part, entre ce sexe qu'elle sentait contre ses fesses à se frotter, le fait qu'elle soit maintenant partiellement nue, et ces mains...ces mains qui étaient en train de lui faire perdre la tête à force de la caresser, et d'user de sa propre inexpérience contre elle. A ce rythme, elle allait rapidement avoir son tout premier orgasme...sous les doigts de son professeur...

« Je sais que tu as refusé le cours optionnel d’éducation sexuelle, Natsuki-chan. Tu es tellement innocente, ma poupée... Des gens comme Warren-san ou Morimoto-san chercheraient à te prendre, mais il n’y a que moi qui peut m’occuper de toi bien comme il faut, Natsuki-chan. Oh, ma Natsuki-chan !  »

En proie à une vague de désir incontrôlable, Orochi se laissait aller, réalisant à peine qu’il bavait sur place. Il tremblait nerveusement, et, se crispa davantage contre elle, bandant ses muscles. Ses doigts cessèrent ainsi de trembler tandis qu’il avait libéré le sein de la femme de son bonnet. Elle était à moitié dévêtue, mais il ne voulait pas encore la déshabiller trop vite. C’était sa poupée, une poupée pleine d’innocence, qui n’avait probablement jamais embrassé un garçon de sa vie. Et le fait qu’elle soit là, contre lui, avec toute sa pureté, l’excitait furieusement. Orochi voulait que chaque moment, chaque séquence, soit importante ! D’ores et déjà, Natsuki-chan ne l’écoutait plus, car le désir l’envahissait. Il sentait sa mouille contre ses doigts, et ne glissa même pas sa main dans sa culotte, tant il voulait y aller lentement, doucement. Il allait l’éduquer, car c’était son rôle, et parce qu’elle était sa poupée.

Son autre main, celle malmenant le sein de Natsuki, devenait de plus en plus moite, tant il était excité. Il appuyait encore sur elle, pressant son corps contre le sien, et lécha encore son lobe de l’oreille.

« Là, là, laisse-toi aller, Natsuki-chan... Jouis... JOUUIISS !! »

Et elle jouit.

Le premier orgasme de son existence, qu’il sentit le long de ses doigts, car il y eut une brusque pulsion de mouille. Il la laissa donc jouir, calmement, et releva ses doigts au bout de plusieurs longues secondes, après avoir laissé le temps à Natsuki-chan de bien jouir. Il planta ses doigts trempés devant elle, afin qu’elle puisse voir les reflets humides de sa cyprine briller sur sa peau.

« Tu vois ça, Natsuki-chan ? Ces reflets brillants sur mes doigts ? C’est à toi... Ta cyprine ! Mais tu ignores ce que c’est, hein ? »

La pudeur des jeunes Japonaises... Il avança ses doigts, et les posa sur les lèvres de la jeune femme, afin qu’elle puisse les sentir. Bien sûr, vu le peu de mouille, elle ne sentirait rien de particulier, et il la retourna ensuite. Ses deux mains se posèrent sur les épaules de la jeune femme, et il la plaqua contre la porte, souriant encore.

« Je suis sûr que tu n’as jamais vu un sexe non plus, hein, Natsuki-chan ? Ne t’inquiète pas, tu es ma poupée, je ne te ferai jamais aucun mal... Mais tu n’es plus une petite fille. Sinon, mes doigts n’auraient pas été nimbés par ta cyprine ! »

Bienveillant, Orochi était bien décidé à ne pas brusquer trop fortement la jeune femme, mais il ne pouvait pas non plus nier être très excité en ce moment...

La pauvre Natsuki se trouvait dans une véritable impasse, une autre fille moins timide et "docile" qu'elle se serait déjà rebellée avec bien plus de ferveur depuis bien longtemps, mais elle était véritablement intimidée, et même effrayée, par la figure d'autorité que représentait Orochi-senseï. Pourtant ce qu'elle vivait était absolument révoltant, et Orochi-senseï allait à l'encontre de tout ce qu'il était censé représenter pour elle, mais la simple idée que ce qui était en train de se passer ne soit su par d'autres personnes...
Elle voulait qu'il arrête, juste qu'il arrête, et revenir à comme tout était avant, mais l'homme restait sourd aux supplications de plus en plus compliquées à formuler de Natsuki, car la jeune femme approchait à grand pas de son premier orgasme. Sans pouvoir se contrôler, la lycéenne se tortillait contre le corps obèse de son professeur, frottant ses fesses contre son sexe tendu, alors qu'il continuait à lui caresser sa culotte, en visant très justement son clitoris. Elle en mouillait, et sentait une vive chaleur remonter tout le long de son corps, alors que son professeur continuait de lui dire des obscénités, et qu'elle était en partie dénudée.

N-nooooon...H-haaaa...

Natsuki avait honte, terriblement honte, comment pouvait-elle ressentir du plaisir en subissant...ça ? Même si elle était diablement inexpérimentée, elle savait tout de même faire la différence au niveau des sensations désagréables et...agréables comme c'était le cas en ce moment. Et cette vague là, qui montait en elle, faisait clairement partie de cette seconde catégorie. Mais comment étais-ce possible ? Son professeur était en train de la forcer ! Si quelqu'un venait à entrer là maintenant, serait-il seulement capable de déterminer que Natsuki ne voulait pas ça, tant elle gémissait tout en cherchant à se contrôler ?
Mais rien à y faire, elle essayait pourtant de lutter de toutes ses forces, rien n'y faisait, elle sentait cette vague remonter sans qu'elle ne puisse l'en empêcher, et finalement, eut le tout premier orgasme de sa vie. Elle parvint tout juste à rassembler assez de conscience pour avoir le réflexe de porter une de ses mains à sa bouche, afin qu'elle ne gémisse pas trop fort, mais tout de même...Orochi-senseï ne pourrait pas en faire abstraction.

HMMMMMM !!!! Hmmmmmm !!!!

Le bassin de la jeune femme convulsa au rythme des crispements musculaires typiques d'un orgasme, frottant encore fortement le cul de Natsuki contre la verge tendue de son professeur, jusqu'à ce qu'elle finisse enfin par se calmer. Reprenant alors difficilement ses esprits, la jeune femme n'était pas au bout de ses peines. Elle sentait ses poils pubiens et sa culotte imbibés de sa cyprine, tandis qu'Orochi-senseï tendit vers son visage la main qu'il avait utilisée pour la masturber ainsi, afin de troubler encore la jeune femme en lui montrant qu'elle mouillait. Naturellement, Natsuki détourna le regard, mais son professeur ne l'entendit sans doute pas de cette oreille, puisqu'il se saisit de ses épaules pour la retourner. Cette fois dos contre la porte de la salle de classe, Natsuki faisait face à Orochi-senseï, elle avec sa chemise déboutonnée et son soutien-gorge relevé, seins à l'air libre, et lui avec son pantalon abaissé, ce qui faisait que son sexe dressé déformait son caleçon, et pointait en direction de Natsuki.
Encore, Orochi-senseï souligna que la jeune femme devait forcément aimer ça, vu qu'elle avait mouillée et joui sous ses doigts et...et elle ne savait vraiment plus quoi dire, ni quoi penser...comment pouvait-elle se trouver dans pareille situation ? Elle venait de jouir en se faisant masturber par son professeur, c'était une catastrophe ! Si ses parents, ou n'importe qui venait à le savoir, qu'elle réputation allait-elle avoir ? Ses parents la renieraient, et elle passerait pour une salope couchant avec ses profs pour avoir de bonnes notes !

N-non...

Elle ne voulait pas ça...niant l'évidence même, nul doute qu'Orochi-senseï allait devoir se montrer encore un peu plus...persuasif.

Orochi-sensei sourit doucement en voyant le comportement nerveux et tremblotant de sa jeune poupée. Est-ce qu’elle venait de jouir ? Il en était intimement convaincu, mais peut-être prenait-il déjà ses fantasmes pour la réalité... Mais, après tout, il la voyait trembler sur place, et se calmer un peu, et ses doigts étaient bel et bien imbibés de sa mouille. Elle protestait encore faiblement, et Orochi sourit encore, se rapprochant d’elle.

« Hihi, tu dis ça, Natsuki-chaaaaan, mais ton corps dit l’inverse ! »

Il se rapprocha d’elle, un sourire malicieux sur les lèvres, une lueur perverse brûlant dans le fond de son regard.

« Laisse-toi faire, Natsuki-chan, je suis ton professeur, tu sais bien que je ne pourrai jamais te faire de mal... Personne ne le saura, nous n’en parlerons à personne, à personne... »

Orochi avait de plus en plus mal entre les cuisses. Une phénoménale érection déformait son pantalon, et ses mains se saisirent du chemisier de la femme, à hauteur de l’un des boutons. Il avança en effet, retournant la plaquer contre la porte... Et l’embrassa alors. Sa main remonta pour se saisir de ses cheveux, et ses lèvres se posèrent sur les siennes. Incapable de se retenir, Orochi se serra contre elle, sa bouche venant se coller à la sienne, partageant avec elle un long et tendre baiser. Elle était encore tétanisée sur place, incapable de faire face à cette irrépressible vague de plaisir qu’elle sentait remonter en elle, une vague qui croissait doucement dans son corps, pulsant en elle. Elle la refusait, mais Orochi la sentait venir...

...Et, tout en l’embrassant, il déboutonna un premier bouton, sentant la jeune fille sursauter sur place, puis en retira un autre, et descendit encore. Sous le gilet, Natsuki avait une belle chemise qui devait commencer à être serrée, et il continua encore, ôtant les boutons, puis remonta sa main, et écarta les pans du gilet, jusqu’à le faire tomber au sol. Bien que tremblant nerveusement, sa démarche était assurée, certaine, et posée.

Délestée de son gilet, Natsuki s’offrait encore à lui, portant un nœud papillon et sa chemise blanche. Orochi rompit alors son baiser en souriant à nouveau.

« Chut, Natsuki-chan... Tu es ma poupée, ne t’ennuie pas à essayer de parler... »

Il la retourna alors, et la jeune femme lui présenta son dos, puis il posa ses mains sur ses épaules, et recommença alors le même ménage, déboutonnant chaque bouton de sa chemise. L’un après l’autre, et, à chaque fois que Natsuki tentait de respirer pour parler, sa main remontait pour se poser doucement sur ses lèvres, tandis qu’il se mettait à lui susurrer dans le creux de l’oreille :

« Shhht, shhhtttt... »

Et la chemise tomba ensuite, ainsi que le nœud papillon. Il se débarrassa également de la minijupe, laissant ainsi la jeune femme en sous-vêtements, puis l’approcha de son bureau.

« Là, là, laisse-moi profiter de ton corps, Natsuki-chan... »

Il la retourna à nouveau, et croisa son regard, puis commença à l’embrasser sur le visage, puis sur le reste du corps, notamment sur son ventre, qu’il se mit même à lécher, reniflant cette peau propre et bonne, agréable et fraîche. Il y eut même une rafale de baisers sur son ventre, glissant ensuite jusqu’au nombril, qu’il se mit à lécher, tout en posant ses mains sur ses hanches, et Orochi continua ainsi son office... Jusqu’à atteindre sa culotte.

Là, ses mains allèrent s’appuyer sur les fesses de Natsuki, palpant sa culotte sans vergogne, et il lécha son sexe, gloussant ensuite en léchant le pourtour, puis les cuisses de Natsuki.

« Hihi, ma petite poupée a mouillé bien plus que ce que je pensais ! »

De quoi ravir le professeur pervers...