Les contrés du Chaos est un territoire immense que les hauts dignitaires de Nexus avait nommé pour définir les territoires qui étaient hors de leurs influences politiques. De vastes plaines, des montagnes et autres géomorphologies des lieux donnaient une étendue gigantesque où divers peuples se partageaient lieux. Les Alvariels étaient l'un des nombreux peuples à vivre dans les contrés avant le cataclysme qui raya leur ville des cartes, Altovia était, selon elle, la dernière de son espèce. Même si elle visitait encore les ruines de son passé, elle ne pouvait que s'offusquer des pillages que sa zone subissait et elle s'était donnée comme but, de pourchasser tous ceux qui prenaient même qu'une petite pierre. Mais Ladolar était immense et elle ne parvenait pas à reprendre les objets des mains des pilleurs.
Une jour, après une chasse fructueuse, elle revint à Ledolar avec le coeur léger d'avoir repris plusieurs vases à des Khajits qui avaient eu l'audace de venir voler. Mais à son retour, le temple avait été mis à son actif et un artefact puissant avait été retiré de son piédestal. Le vol avait été commis et rapidement Altovia s'envola à la poursuite des brigands. Les traces étaient encore visibles dans le sables du désert qui entour Ledolar et Altovia remonta les traces jusqu'en forêt et dans une plaine verdoyante où une petite ville brisée l'horizon. L'artefact en question était un collier en or incrusté de saphir qui décuplait les capacités physiques et psychique du porteur. Ce bijou était porté par le chef de guerre en temps d'hostilité ou par le héros des Alvariels. Entre des mauvaises mains, ce collier pouvait être un fléau.
Altovia posa pied à terre à quelques mètres de la cité et elle se présenta à la porte, pour les gardes, Altovia n'était qu'une elfe car cette dernière rétracta ses belles ailes dans son dos. Les miliciens liberèrent la porte et l'elfe entre dans la cité. C'était déjà la soirée mais le soleil était encore bien présent, Altovia marcha dix minutes pour arriver sur la place centrale, ainsi, elle pouvait se repérer en revenant à chaque fois ici pour entamer de nouvelles recherches. Elle commença par l'Est de la ville où se présenta à deux bijoutiers mais aucuns deux ne pouvaient l'aider. Elle poussa même l'enquête dans les bazars où il était souvent questions d'objets d'aventure, mais là encore c'était chou blanc.
Altovia retourna sur la place frustrée et elle continua directement vers l'Ouest, au passage se la place, elle fut abordée par un humain qui tenta une méthode de séduction hasardeuse par la quantité d'alcool ingurgitée. Mais, en guise se réponse, il reçu un coup d'épaule de l'Alvariel qui continuait son chemin. La seconde partie de la ville était mise en avant par énormément de signes ostentatoires, les quartiers aisés pensa l'elfe qui se rendait vers une échoppe. Le vendeur infirma à la requête et Altovia en sorti encore plus frustrée. Mais, surprise, un homme, d'appartenance bourgeoise, passa devant elle et il était porter du collier... Ça par exemple, mais Altovia ne pouvait pas se jeter sur lui car ce dernier était escorté par six soldats lourdement armés. Elle allait droit à la catastrophe si elle y allait de front, soit, Altovia suivit l'homme jusqu'au sa demeure.
La demeure n'était rien d'autre que le manoir central de la ville, Altovia sentait que le destin était en colère contre elle pour lui imposait de tels épreuves. L'homme en question était le Comte de la cité, rien que cela, indiqua un villageois au questionnement de l''Alvariel. Le bâtiment était bien gardé malgré une population des plus calmes et sans signes de soulèvement. Altovia attendit la nuit sur le toit d'une maison sur le côté droit du manoir. Elle attendait patiemment que les astres nocturnes prennent place dans le ciel, chose faite depuis quelques temps.
Alors que Altovia s'avança et sauta en déployant ses ailes afin d'atterrir sur le haut de la bâtisse. Elle se redressa et tomba nez à nez avec une femme, une très jolie femme brune habillée d'un manteau en cuir, enfin d'apparence, Altovia dégaina son épée pour parer à l'éventualité d'une bagarre précoce. A l'apparence, Altovia sentait bien que cette femme n'était pas du coin, sa façon de se mouvoir et de se tenir n'étaient pas local. Altovia était charmée par ce visage si fin mais si brut agrémenté de yeux d'un bleus parfaits.
- Qui es tu jolie brune?
