La Deuxième Alraune [Saune & Kyli]

Malgré le poids massif de l’ours, il restait moins membré, et moins lourd, qu’un cheval. Pour autant, c’était un rude amant, et Ivy dut rapidement s’entourer de précautions. L’ours se dressa au-dessus d’elle, et al prit en levrette, enfonçant sa trique monstrueuse dans son corps. Un premier hurlement, guttural et violent, s’échappa des lèvres d’Ivy, qui sembla même s’en rompre les cordes vocales, avant de retrouver une respiration normale, un rythme plus soutenu. Des tentacules enroulaient ses bras et ses jambes, venant la soutenir. Le tout était de ne pas laisser l’ours l’écarser au sol, ou il popurrait l’étouffer sous son poids. Mais, pour l’heure, ses coups de reins étaient d’une violence redoutable, soulevant et abaissant son bassin à chaque fois. Sans ses tentacules sur ses jambes, Ivy serait à terre depuis longtemps, car son corps se soulevait et s’abaissait à chaque fois, tandis qu’elle sentait l’épaisse fourrure de l’ours sur son corps,  formant comme un manteau de poils qui l’étouffait.

Son regard langoureux se portait sur Saune et sur Kyli. Indiscutablement, la présence des trois Alraunes avait modifié l’écosystème de cette forêt. L’inceste, la zoophilie... Pour son éveil, Saune venait en une séance de violer tous les sacrements et les mœurs sexuelles humaines les plus élémentaires. Et il y avait fort à parier que ce ne serait qu’un début !

*D’autant que ma famille n’est même pas vraiment au complet...*

Ivy regardait ses deux filles se faire bourrer par les bêtes. Avec les animaux, il n’y avait pas d’alternatives. Il fallait se laisser porter avec eux, et attendre qu’ils aient joui, pour pouvoir être tranquille. Saune l’ignorait, mais sa résistance sexuelle était atypique, digne des Alraunes qui l’avaient engendré, Lily et Raune. Le spectacle de ses deux filles se faisant baiser sous ses yeux par la nature était tout simplement magique, tout comme les bourrades de l’ours dans son corps, qui continuait à la malmener, à la baiser sèchement et furieusement.

« Hmmm... Haaaa... !! »

Kily et Saune allaient découvrir que le sexe bestial était très intense, et particulièrement éprouvant pour le corps humain. Fort heureusement, elles étaient des Alraunes, et donc tout à fait à même de le supporter ! Et puis, quel spectacle... Ivy était sincèrement heureuse de les voir ainsi, à se faire sèchement baiser, et à prendre leur pied comme jamais. Il fallait bien dire la vérité : c’était exquis !

*Encore, mes belles, encore, savourez donc !*

C’est tout ce qu’Ivy leur souhaitait...

Le sexe bestial était particulièrement dur. Ce loup qui me chevauchait faisait preuve d’une vigueur presque trop intense pour moi, je devais faire des efforts pour ne pas m’écrouler. Son impressionnante verge labourait mes chairs intimes et tapait jusqu’à mon point G, me faisant hurler de plaisir.

« AAHH ! OH OUI ! Oh oui que c’est bon ! AAAHHH ! »

J’accueillis ce plaisir en moi, le laissant m’inonder, bougeant mon corps au rythme des ondulations frénétiques de bassin de la bête. Son nœud était gorgé de sang, il me procurait des sensations exceptionnelles, et en plus je pouvais voir Saune et maman qui prenaient leur pied avec leurs propres partenaires.

« AAHH ! Allez… oui, oui, OUI ! OOOUUUIII !!! »

Il ne me fallut pas longtemps pour exploser de plaisir. Quand le loup atteignit l’orgasme et vida ses bourses dans mon corps, sentir cette semence me remplir me fit jouir à mon tour. La secousse du plaisir me fit tomber en avant. J’avais la poitrine collée au sol, et ma nouvelle position permit au loup de raffermir sa prise sur moi. Sa queue était toujours logée en moi, il se coucha complètement sur mon dos et recommença les pénétrations.

« Aahh… oh bon sang… Aahh ! »

Le choc de la jouissance m’avait privée de mes forces, mon corps bougeait sous les coups de bassin de mon amant. Entre ma poitrine qui frottait contre le sol, la vue de ma famille prenant son pied, et sa grosse queue baignant dans le sperme, j’étais encore plus stimulée qu’avant. Le plaisir me prenait tellement que j’eus envie de jouer un peu avec le loup. Rassemblant mon énergie, j’attrapai ses belles couilles bien pleines avec une main pour les palper et les caresser. Je ne savais pas si ça lui faisait plaisir, mais moi en tout cas ça me plaisait.

Vas y mon beau… remplis moi bien l’intérieur… fais moi hurler.

Tout aurait put se terminer là pour Saune avec les léchouilles poussées du Renard mais la vie en avait décidé autrement. Elle gémissait de plus belle alors que l'animal lui nettoyait en profondeur le fondement comme pour la préparer pour la suite. La langue râpeuse provoquer un tourbillon de plaisir chez la jeune pousse. Le sexe de l'animal était maintenant bien mou et rétracté dans sa gaine mais pourtant, il ne semblait pas vouloir arrêter pour autant. Les effluves relarguées par les Alraunes restaient de puissants aphrodisiaques. Ses yeux étaient clos, profitant du moment présent. Soudain la langue s'éloigna laissant la plantouille sur sa faim. Pourtant, elle sentit quelque chose de plus dur se presser contre sa corolle, écartant violemment ses muscles annaux, lui faisant pousser un cri de douleur et de plaisir mêlé, fort heureusement pour elle, le renard l'avait préparé. Elle ouvrit les yeux sur le coup de la surprise, tournant le tête pour voir ce qui venait de la prendre en traître. Devant les yeux ébahis de Saune se tenait un cerf qu'elle reconnu grâce aux cornes majestueuses trônant sur sa de sa tête. Le sexe de l'animal bien dur se trouvait enfoncé entre ses fesses jusqu'à la garde.

Elle se mordit les lèvres sous le coup de la douleur pendant que l'animal en rut commençait à la besogner. La sensation était différente pour cause, l'objet était bien plus long, ses entrailles étaient remplies bien en profondeur. Sa bouche était grande ouverte, gueulant son plaisir et sa douleur mêlée. Le renard qui l'avait ainsi préparé profita de cette bouche ouverte pour venir y planter sa langue, la faisant tourner dans la bouche de Saune, la remplissant presque totalement et l'empêchant en bonne partie de respirer. Tandis que la langue tournoyait, les crocs de la bête étaient apposés sur les joues de la demoiselle qui peinait un petit peu à respirer ce qui ne faisait que rajouter à son plaisir.  Les sabots du cervidé vinrent se poser sur les omoplates de Saune appuyant avec fermeté pour empêcher sa proie qu'il essayait de féconder de se faire la malle. Cette précaution était en fait totalement inutile pour la bonne et simple raison qu'elle n'avait pas la moindre envie de fuir. Saune regardait attentivement sa mère et sa soeur se faire besogner pour son plus grand plaisir tandis que certains animaux continuaient de baiser tout en regardant la scène se déroulant sous leurs yeux. La pression des sabots sur sa chair était de plus en forte, laissant des traces sur la peau, la marquant. Le cerf pendant ce temps continuait de s'en donner à coeur joie tandis qu'il poussait des brames de plaisir besognant sans cesse plus vite comme s'il cherchait à la transpercer de son dard imposant.

Le souffle commençait à lui manquer tandis que son visage virait de couleur. Lorsque le renard voyait qu'il allait trop loin, il la laissait à nouveau respirer avant de recommencer de plus belle. Le manège ne semblait pas près de s'arrêter pour le moment au détriment de la santé de l'Alraune ayant un peu trop orgasmé pour un tout premier jour. Elle n'allait pas tarder à perdre conscience trop fatiguée que pour pouvoir continuer.   

Ses deux filles étaient plongées dans un effort sexuel incroyable. Elles en étaient réduites à coucher avec des animaux, se faisant longuement besogner. Kyli s’avérait toutefois plus endurante que Saune, sûrement parce qu’elle était plus expérimentée qu’elle. De son côté, Poison Ivy continuait à se faire labourer, et sentait les pattes de l’ours la saisir à hauteur de l’estomac, la soulevant, tout en continuant à la bourrer férocement. Ivy en avait les yeux révulsés dans ses orbites, et continuait à se faire prendre, jusqu’à sentir l’ours s’abandonner en elle. Un orgasme copieux, du sperme jaillissant joyeusement en elle. Ivy se retrouva ensuite à terre, tandis que l’ours se posa ensuite au-dessus d’elle. Son foutre s’écoula des cuisses de l’Empoisonneuse, qui resta silencieuse, reprenant peu à peu ses esprits.

« Haaaa... »

Ivy sentit la langue râpeuse de l’ours glisser sur son dos, remontant jusqu’à sa nuque, léchant également ses cheveux. Vautrée sur le sol, Pamela reprit peu à peu ses esprits, et se releva... Lentement et laborieusement. Son dos lui faisait mal, et l’ours repartit tranquillement. Ivy se rapprocha ensuite de ses filles. Saune était étalée sur le sol, visiblement sonnée, elle aussi, pendant que Kyli, de son côté, avait renversé le loup sur son dos, et suçait sa queue. Ses pattes étaient dressées en l’air, et la langue du loup pendait sur place, pendant que Kyli, imperturbable, léchait et suçait son sexe avec appétit.

Pamela se rapprocha donc, et les observa donc. Le renard qui avait couché avec Saune léchait tendrement le visage de cette dernière, rejoint par d’autres renards. Les animaux léchaient ses seins et son corps. Ils n’agissaient évidemment pas naturellement, motivés par les pulsions aphrodisiaques des trois femmes. Ivy, qui avait encore mal au dos, fléchit les genoux, et caressa d’une main la tête de Kyli.

« C’est bon, hein, ma chérie ? »

Ivy s’écarta de Kyli, et se rapprocha de Saune. Elle fléchit les genoux derrière sa fille, et se pencha vers elle, l’embrassant sur les lèvres.

« Ma petite Saune... Tu es heureuse d’être ici, hein ? De faire l’amour avec nous ? »

Pamela était bien décidée à s’occuper encore de ses filles. Jaillissant du sol, un tentacule phallique se rapprocha du corps de Kyli, et s’enfonça dans son fondement. Ivy, de son côté, se mit entre les cuisses de Saune, et laissa un renard s’écarter, pour lécher à son tour le sexe de la femme, s’y attaquant directement.

« Hmmm... Ma petite chérie, haaaa... »

Et, pendant ce temps, l’un des renards alla lécher les lèvres de Saune, frottant son museau contre son visage...

Après un second orgasme, le loup fut assez calmé pour que son sexe dégonfle et qu’il ne se retire de mon corps. Pour ma part, j’avais bien joui et j’aurais pu m’en tenir là, mais voir maman se faire prendre par cet ours eut de quoi me remotiver. Quant à Saune… je l’avais quitté des yeux quelques minutes, mais quand je me retournai pour la voir, j’eus une belle surprise. Ma petite sœur chérie était en train de se faire baiser par un cerf, imposant et majestueux animal qui lui ramonait le fondement avec une trique de tous les diables, pendant que le renard de tout à l’heure partageait avec elle un baiser fougueux.

« Oh bon sang… Saune… »

En la voyant ainsi, à prendre son pied aussi férocement alors que ce n’était que son premier jour avec nous, mon envie de sexe se mit à nouveau à brûler. J’avais envie de faire l’amour, et je n’allais pas faire ma prude. Heureusement, le loup qui m’avait sèchement baisée était toujours là. Il fallait juste le faire bander à nouveau.

« Coucou monsieur le loup… tu veux encore jouer avec moi ? »

Je lui présentai mes fesses et je remuai un peu du croupion pour lui donner envie, mais visiblement ça ne suffisait pas encore. Du coup, je décidai d’être un peu plus tactile. Je pris le sexe de l’animal dans ma main, le caressant délicatement, et pendant qu’il me regardait avec ses grands yeux plein d’envie, je le basculai sur le dos et je me penchai en avant pour sucer sa verge poilue.

« Hhhmmm… heureux monsieur le loup ? »

D’après ce que je savais sur les animaux, ils ne connaissaient pas les préliminaires et ne se charmaient pas comme les humains le faisaient, ils obéissaient surtout à leurs pulsions et passaient directement à la pénétration dès le début de leurs rapports. Donc ça devait être la première fois qu’il se faisait sucer.

Excitée comme une puce, je léchai et suçai ce sexe avec gourmandise, jusqu’à ce que maman ne vienne me voir pour me demander comment j’allais.

« Aahh… oui maman… j’adore ça. »

Au départ, j’avais juste prévu de le faire pour que mon amant sauvage retrouve sa vigueur, mais maintenant j’avais envie de le sucer jusqu’à ce qu’il en jouisse. Quand maman alla voir Saune, je réalisai que ma petite sœur chérie était à moitié évanouie au sol, assaillie par plein de langues de renard, et que maman allait en rajouter en léchant sa vulve.

« Euh… maman… peut-être… qu’il faudrait… calmer un peu le rythme… »

Elle me répondit en envoyant un tentacule phallique se loger dans mon cul.

« AAHH ! »

Cette pénétration anale me donna beaucoup de plaisir en très peu de temps, qui se traduisit par une fellation plus passionnée pour le loup. J’aspirai sa verge dans ma bouche énergiquement jusqu’à parvenir à lui faire cracher sa semence. La plupart finit dans ma bouche, mais je me retirai un peu avant la fin de son éjaculation, et quelques giclées finirent sur mon visage et ma poitrine. Passé le choc de l’orgasme, quand je vis son visage éclairé de plaisir, et sa langue pendante hors de sa gueule, je réalisai qu’il avait vraiment adoré ça. Et en fait, moi aussi. Mais là, un autre loup arriva. Il était plus grand, plus imposant, il avait quelques cicatrices sur le corps, et sa verge était plus massive que celle de l’autre loup. Ce dernier se retira la tête basse, laissant la place à son congénère.

« Oh… je vois… tu dois être… le mâle alpha. »

Toutes les meutes de loup étaient dirigés par un mâle alpha, et vu comment l’autre loup s’était incliné respectueusement, ça devait être lui le chef de meute. Sa verge était dure, il me regardait avec envie, et alors que je pensais lui présenter ma chatte, il se coucha sur le dos.

« Oh… toi aussi… tu veux… que je te suce ? »

S’il avait vu l’autre loup se faire sucer, il devait trouver intolérable de ne pas avoir connu cette sensation alors qu’il était le grand patron. Avec un sourire, je me mis à genoux devant lui et je commençai à le sucer. Je n’arrivai pas à croire à quel point j’aimais ça, et je ne me privai pas de le dire.

« Aahh… regardez maman… et Saune… je suis… une belle salope… qui adore sucer… des verges de loup. »

Les coups de butoir du Cerf continuèrent de plus en plus fort et de plus en plus profond. Elle serait en train de couiner comme une possédée si le Renard n'obstruait pas sa bouche et sa gorge de sa longue langue râpeuse. Le plaisir entêtant ne faisait que croitre, proche de la jouissance ultime. Elle n'arrivait plus à penser à autre chose, uniquement concentrée sur le moment présent. Le cervidé était terriblement déchaîné. Saune sentit soudain le sexe se gonfler par à coup et libérer une substance chaude au plus profond de ses entrailles. Elle se cambra en arrière sous le coup de l'orgasme qui parcourait tout son corps, ses yeux allant même jusqu'à se révulser. Elle perdit pour le coup le contact avec le Renard qui lui portait un regard pour le moins contrit. Lorsque son étalon se retira, une grosse quantité de sperme commence à poindre d'entre ses fesses, humectant le sol. Cette dernière jouissance fut le coup de grâce. Elle perdit tout simplement connaissance d'avoir eu trop de plaisir. Son corps n'en pouvait plus, usé jusqu'à la moelle. Elle allait avoir besoin de repos. Sa dernière vision fut celle de sa mère et de sa soeur, l'une en train de se faire prendre et l'autre de tailler une pipe. Un sourire se dessina au coin de ses lèvres puis bam, noir total.

Elle se recroquevilla instinctivement dans la position du foetus dans un sommeil qui espérons le pour elle sera réparateur. Elle avait enfin une famille, une mère et une soeur avec qui elle allait pouvoir tout partager. Elle n'était dorénavant plus seule perdue au sein d'une forêt immense. C'est ainsi qu'elle laissa les deux assoiffées continuer à batifoler. Il lui faudrait bien quelques heures avant d'être à nouveau en forme.

Ivy savait que Saune était épuisée. En fait, elle pouvait très bien le comprendre, car elle-même, après la séance avec l’ours, était épuisée, comme si son dos ressemblait à celui d’une petite grand-mère. Marcher devenait difficile, et c’est pour ça que plus personne ne la pénétrait. Les animaux la léchaient juste. Habituellement, les animaux n’étaient pas contrôlables en matière sexuelle, mais rien, ici, n’était normal. Face à trois puissantes Alraunes, toute cette forêt était assujettie à leur volonté commune. Le Green s’exprimait à travers elles. Ivy caressa ainsi les têtes des renards, et leur signifia de laisser sa fille tranquille. Elle se redressa, voyant Saune se recroqueviller sur place, et fronça les sourcils. Dormir en positon foetale, ce n’était jamais bon signe. Peut-être que Saune était habituée à dormir comme ça ? Pendant ce temps, Kyli s’attaquait au puissant mâle-Alpha de la meute, un impressionnant loup qui, plutôt que de la baiser, se coucha sur le flanc, puis sur le dos, la langue pendante, sa grosse verge poilue se dressant fièrement en l’air. Ivy observa la scène en se pinçant les lèvres, et caressa avec sa main le visage de Saune.

« Non, ma belle... Tu dormiras plus tard. »

Pas maintenant ! Ivy fit pousser un autre tentacule, contenant un liquide rose, et le planta dans le cou de Saune, diffusant un jet d’adrénaline. Un liquide qui ramena Saune parmi elle, lui faisant ouvrir les yeux. Pamela sourit alors en constatant un curieux effet secondaire... Ce jet de magie rose fit jaillir en effet un magnifique phallus. Une belle verge qui se dressa. Rien de mieux que le sexe, en effet, pour réveiller, mais Ivy savait qu’elle ne devait pas abuser des bonnes choses. L’Empoisonneuse s’assit alors sur le sol, juste à côté de Saune, et écarta ses jambes.

« Viens t’asseoir contre moi, ma Saune d’amour... »

Ivy s’était assise d’une façon bien particulière, afin d’avoir une vue sur sa première fille. Saune la rejoignit donc, et se nicha contre son corps. Ivy caressa son visage d’une main, veillant à caler la tête de Saune contre ses seins, et, usant de son autre main, elle masturba doucement sa belle queue.

« Là, voilà... Tu dormiras plus tard, ma chère Saune. Regarde ta chère sœur, pour le moment, vois comme elle aime se faire baiser. Tout ça... Elle le fait à cause de toi, tu sais. Tous ces animaux, tout ça... C’est le fruit de notre amour, ma belle. »

Pamela avait une main douce, mais non moins assurée, glissant énergiquement sur le chibre de Saune.

« Vas-y, Kyli ! Régale ta sœur et ta Maman, ma chérie ! » l’encouragea-t-elle.

C’est tout ce qu’elle voulait voir, après tout...

Avec maman et Saune occupées, je me consacrais pleinement au loup alpha et à sa belle verge poilue, la suçant goulûment et jouant avec ses testicules d'une main. Je ne savais pas si je pourrais lui faire aimer ça au point qu'il en voudrait encore, mais moi en tout cas, j'aimais ça plus que je ne l'aurais cru au premier abord. Avoir cette queue veineuse et tressautante entre mes lèvres me faisait mouiller sur place, ou peut-être était-ce à cause du tentacule végétal s'agitant dans mon cul. En tout cas, j'étais bien excitée. Et en le sentant proche de jouir, je retirai ma bouche pendant quelques instants pour lui parler tout en le masturbant vigoureusement.

« Aahh... allez mon gros loup... jouis pour moi. »

Au dernier moment, je reprends sa queue dans ma bouche, juste à temps pour le sentir éjaculer sa semence dans ma bouche. Je me régalai de cette crème blanche et épaisse, jaillissant sans discontinuer pendant plusieurs secondes avant de s'arrêter. J'avais du sperme de loup plein la bouche et même sur le visage et la poitrine.

« Oh... mais regardez moi ça. Tu as vraiment fait une grosse bêtise mon mignon. »

Laissant le loup se remettre les idées en place, je regardai en direction de maman, et je vis que non seulement elle avait réveillé Saune, mais qu'elle lui avait fait pousser un phallus, qu'elle masturbait doucement. Elle me demanda aussitôt de les régaler avec un spectacle sexuel, ce que je n'allais pas refuser.

« Avec plaisir maman. »

Je continuais à penser qu'il aurait fallu laisser ma petite sœur se reposer, mais maman était une personne intelligente, elle ne l'aurait pas réveillée si elle n'estimait pas qu'elle pouvait tenir.

Au début, j'eus envie de reprendre le loup en fellation, mais moi aussi j'avais envie de jouir, donc il était temps qu'il se rende un peu utile.

« Eh... approche mon loulou. »

En temps normal, jamais je n'aurais essayé de donner des ordres à un animal aussi imposant, mais d'après ce que j'avais pu voir autour de moi, les animaux étaient plus ou moins contrôlés par nos phéromones, donc il était possible pour nous de les faire obéir dans une certaine mesure. Une main sur le museau de la bête, je parlai un peu fort pour être sûre que ma famille entendait bien ce que je disais.

« Je veux que tu me lèches l'entrejambe avec ta grosse langue. Et quand tu m'auras faite jouir, je te sucerai encore, puis tu pourras me pénétrer. »

Prête à me défendre au cas où l'alpha s'énerverait, je le regardai se soumettre et se pencher en avant. Je m'allongeai complètement sur le sol, écartant les jambes en grand pour lui laisser la place d'agir.

« Regardez toutes les deux, je vais recevoir un cunni d'un loup. »

Et quand je sentis sa langue se poser contre mon bourgeon, je poussai un petit cri.

« Aahh ! »

Sa langue était tellement grande qu'elle parcourait toute ma vulve en un seul coup. Il se mit à me lécher aussi goulûment que quand je l'avais sucé, sans doute pour me faire rapidement jouir et obtenir une nouvelle gâterie. Moi, je restais allongée, prenant mon pied, regardant maman et Saune.

« Hhhmmm... ooouuuiii... maman... Saune... regardez moi ! Je me fais... aaahhh... lécher la chatte.... par un loup... et j'adore ça ! Il va me faire jouir ! Ouuuaaaiiisss ! »

Ce que cette bête me faisait n'avait rien à voir avec tout ce que j'avais déjà connu dans le sexe. Ce n'était pas aussi intense que d'être prise en sandwich entre maman et tata Harley, ou se retrouver au milieu d'une armée de tentacules, mais c'était quand même mieux que de se faire lécher. Les animaux ne connaissaient pas la retenue et ne réfléchissaient pas comme le faisaient les humains, ils allaient tout de suite à l'essentiel. Et là, ce loup me procurait un plaisir fabuleux.

Déjà bien excitée par la sodomie du tentacule, il ne me fallut pas longtemps pour sentir que l'orgasme arrivait.

« Aahh... vas y... mon gros loup... encore... ça vient... OOOUUUIII ! »

Ma mouille éclata de mon entrejambe, éclaboussant la truffe du loup. Une fois le choc passé, je pus me relever et tenir parole envers mon amant poilu, qui se coucha vite sur le dos pour me présenter sa verge.

« Tu ne perds pas de temps, hein ? Petit pervers. »

Avant de me lancer, je me tournai vers ma mère et ma sœur pour leur faire une petite introduction.

« Vous voyez, j'aime tellement sucer des verges de loup que j'y retourne dès maintenant. Profitez bien du spectacle. »

A genoux devant l'alpha, je commençai à lui tailler une pipe tout en agitant mes fesses pour que maman et Saune aient plus de choses excitantes à regarder.

Saune était assoupie, se reposant du sommeil de la bien heureuse repue. Elle rêvait de relations libidineuses avec sa mère et sa soeur, un effet secondaire du Green très certainement. Son sommeil fut interrompu par une douleur infime au niveau de son cou qui s'y enfonça comme une aiguille relarguant une substance rose. Doucement ses yeux s'ouvrirent à nouveau, elle sentait un regain de vigueur la gagner à nouveau, comme si son corps venait d'être dopé par un mélange d'aphrodisiaque et d'adrénaline. L'effet fut si grand sur son organisme qu'une verge de taille imposante fit son apparition, bien plus grande que la précédente. L'envie était pressante, il ne fallut guère longtemps avant qu'elle n'accepte la proposition de sa mère, venant s'installer au creux de ses cuisses, sa tête posée contre sa poitrine. La jeune pousse se sentait bien dans cette position tandis que les mains maternelles vinrent prendre l'engin en érection entre ses doigts fins et doux.

Décalottage, recalottage, elle prenait un sacré plaisir tandis que sa mère prenait soin de son corps. Ses fesses bien coincée entre les cuisses de celle-ci. Elle fixait sa soeur en train de s'en donner à coeur joie. Elle détournait la tête de temps à autre du spectacle pour embrasser Ivy langoureusement. Saune apprenait vite la perversion propre à son espèce. Les gènes sont les gènes et rien ne peut réellement se rebeller contre la génétique. 

HANNNNNN maman.... Saune Aimer Maman....

Saune se cambrait de plus en plus en arrière excitée par la vision de sa soeur et du loup. Il semblait apprécier le traitement qu'on lui faisait subir car il s'était répandu sur le corps de ma soeurette avant que celle-ci n'exige qu'il la lèche. L'animal semblait obéissant, très certainement subjugué par les hormones. Les léchouilles furent terriblement intense faisant rapidement venir l'Alraune qui comme promit retourna le sucer pour le remercier de ses services.

Jouir Maman... Excite Saune...

De la semence commençait déjà à perler au bout du gland de la verdâtre. Elle se mordait les lèvres, couinant son plaisir à haute voix. Les mains de Saune passèrent dans son dos, venant caresser avec tendresse, quoi qu'un peu crispée par le plaisir, le fessier de sa mère. Dans les songes, elle avait vu que sa mère aimait une certaines chose et elle se décida à le tenter. Elle lui donna donc une petite claque sur la fesse gauche puis la droite, attendant la réaction de celle-ci avant de recommencer.   

Si Saune pensait se reposer si facilement, elle se trompait ! Elle était entre Ivy et Kyli, et elle allait vite constater que son corps disposait de ressources insoupçonnables. Pamela s’était souvent demandée d’où venait ces pulsions sexuelles... Quan delle était à Gotham, elle n’était pas comme ça. C’était comme si l’air pestilentiel de Gotham avait tué son désir, ou, plutôt, l’avait perverti, la rendant plus amère, plus dure, plus cruelle. À Seikusu, elle avait enfin pu s’épanouir, et, quand elle se rendait sur Terra, elle était un pur atome de plaisir. Kyli était comme elle, et Saune aussi. Sa jeune fille était encore bien jeune pour une Alraune, venant à peine de sortir du cocon, mais avait déjà une solide expérience sexuelle. Sous leurs yeux, Kyli continuait à jouer avec le mâle-alpha, accomplissant l’impossible avec ce loup : le commander. La tâche était difficile, car elle ne pouvait pas aller contre les instincts profonds du loup. Si elle se refusait, il se frustrerait, et risquerait de devenir très dangereux. Mais, pour le reste, elle pouvait effectivement le commander.

« Regarde ça, Saune... Regarde comme ta sœur est douée... »

Kyli leur offrait un sacré spectacle, et, pendant qu’elle faisait ça, Ivy pouvait sentir la queue de sa fille croître sous ses doigts, gonflant et enflant. Elle l’aida à se relever, et les deux femmes se tinrent debout, la main d’Ivy continuant à glisser sur sa queue. Elle pourrait la faire jouir, tant Saune était excitée, mais sursauta soudain en sentant les mains de Saune se tendre vers l’arrière, et gifler ses fesses. Pamela sourit. Elles s’embrassaient régulièrement, Ivy tournant le visage de sa fille pour fourrer sa langue dans sa bouche, leurs phéromones en harmonie.

Pamela sourit donc, et embrassa Saune dans le creux du cou.

« Tu es une Alraune, Saune, réagis comme tel... N’utilise pas tes mains, fais pousser des tentacules, et fouette-moi... »

Elle sentait que Saune voulait jouir, alors Ivy ralentit le rythme, car, sous l’effet du désir, l’être humain réagissait davantage par instinct qu’en réfléchissant. Et c’était précisément ce que Pamela voulait développer chez elle. Elle sentit les tentacules s’approcher, caressant ses cuisses, la faisant frémir. Deux beaux tentacules verts, gluants, et elle-même retira sa main de la queue de Saune, faisant pousser un gros tentacule. Une sorte de belle fleur apparut aux pieds de Saune, et les pétales s’ouvrirent sur un long tentacule, comprenant une série de picots et de bosses. La bouche du tentacule s’ouvrit alors, sa bouche formant comme une croix. Le tentacule engloutit alors la queue de Saune, et se referma sur elle. À l’intérieur du tentacule, de multiples tentacules roses plus petits s’enroulèrent autour du sexe de Saune, et remuèrent dessus, se crispant , le masturbant énergiquement.

Pamela gémit alors en sentant les tentacules fouetter son cul. Ils étaient reliés à Saune, de sorte qu’elle pouvait également ressentir le plaisir de fesser sa mère.

« Hmmm... Ce tentacule, haaaa... Celui qui te suce... C’est... Comme si c’était le mien, hmmm... »

La main de Pamela caressa ce tentacule, le sexe chaud de Saune pulsant dessous.

« Là, voilà, hmmm... Regarde le cul de ta sœur, haaa... Vas-y, hmmm... So... Encule-là ! »

C’est ainsi que Saune apprendrait à se contrôler...

A genoux devant le loup, j'accomplissais une double tâche : je me faisais plaisir en gobant la trique imposante de cette bête, et j'assurais le spectacle pour ma mère et ma sœur en agitant mon petit popotin. Je ne pouvais pas les voir, mais je les entendais très bien. Maman avait réveille Saune avec un jet d'adrénaline, qui lui avait également fait pousser une queue entre les jambes, et maintenant elle la masturbait tout en la conseillant sur ce qu'elle devait faire. Par exemple, une Alraune ne donne pas des fessées à la main, elle fouette les fesses avec des tentacules. C'était plus intense, et on ressentait toujours le plaisir de donner une fessée puisque les tentacules étaient reliés à notre corps. Mais elle voulut pousser le vice plus loin, et demanda à ma chère sœur de venir m'enculer.

« Hhhmmm... Saune... écoute maman... viens. »

Je remuai encore mes petite fesses pour lui donner envie.

« Le cul... de ta grande sœur... haaannn... est en feu. J'ai besoin... de ta lance... pour qu'elle m'éteigne... ooohhh... avec son jus. »

C'était peut-être un peu trop imagée pour elle, mais sous l'effet de l'excitation, j'aimai m'exprimer avec des métaphores.

En attendant qu'elle se décide, je continuai de sucer mon amant poilu, lui donnant du plaisir jusqu'à ce qu'il jouisse encore une fois dans ma bouche. Cette fois, je pris soin de tout avaler, savourant le goût si particulier de sa semence.

« Hhmm... je préfère quand même la cyprine. »

Chose promise, chose due. Après avoir bien sucé le loup, je me dressai au-dessus de lui, les jambes écartées, venant m'empaler sur son sexe bestial.

« Aaahhh ! Oh oui... quel pied ! »

J'avais fait en sorte de laisser l'accès à mon autre trou libre pour que, si Saune finissait par se décider à bouger ou à m'envoyer un de ses tentacules, je sois prête à la recevoir. Et rien que l'idée de finir prise en sandwich entre ma petite sœur et une bête sauvage m'excitait au plus haut point.