L'homme était partie, et en son chemin avait laissé aux deux femmes les bourreaux de leur humiliations, ces fleurs, ces Annériahs, ces créations de l'enfer qui n'avaient nullement nature à exister dans une pareille forteresse, et qui ne devraient normalement même pas avoir l'idée de se servir des femmes comme d'un moyen d'user de leurs graines, de leurs contenus, pour les soumettre à la volonté de cet être abominable qu'était l'ancien maître des lieux. Ses connaissances magique encore une fois la précédait, et Valérie Sainte-Etoile ne pouvait que constater que la liche avait bien eut la maligne idée de leur mentir en prétendant qu'elles étaient difficile à élever, car ces fleurs n'avaient que peu besoin de chose pour évoluer et croître, seulement de cadavres ! Non, ce qui devait sûrement être bien plus embêtant pour l'homme, c'est de permettre à ces horreurs de considérer les vivants comme une potentielle cible, et d'ainsi d'user de leur capacités sans avoir à les broyer, ou les tuer, afin d'en faire des onguents capable de rendre fou le plus grand des puritains. Elle comprenait aussi que par ce procédé, l'homme parvenait clairement à utiliser les capacités de transmutation magique de la plante pour conserver la magie lumineuse, et que cela devait aussi être le but d'un long conditionnement de ces plantes, mais malgré toute cette analyse, elle ne pouvait pas se rassurer, bien au contraire. Finalement, ce que la liche était parvenue à faire par-dessus tout, c'était créer le pire des châtiments pour les deux femmes, l'exemple même d'une ignominie exécrable, et d'une situations dont elles ne pourront peut-être jamais revenir vivante.
« N’a... N’approchez pas ! »
Son amie qui venait de crier. Contrairement à elle, Maud de Rehen était en pleine position pour remarquer la lente approche de ces bestioles, dont les racines maladroites ne permettaient finalement pas une progression des plus rapides, mais qui rendait du coup leur approche d'autant plus menaçante, d'autant plus terrifiante, car chacun des mouvements qu'elles accomplissaient était une nouvelle manière de leur prouver qu'elles ne pouvaient se défendre face à pareille ennemie. Ses yeux rivés sur le corps de son amie, dont la respiration de plus en plus angoissée était en train de faire rebondir sa poitrine, Valérie put remarquer dans le coin de son regard que l'une des deux plantes présentes venait de la dépasser pour se diriger droit vers la paladine, lui offrant enfin la vision lente et fatidique que son alliée contemplait depuis maintenant une bonne minute, et qui lui offrit rapidement les long frissons qui ne manquèrent guère de lui donner envie de pleurer d'un sincère dégoût. Ces choses étaient immondes, et c'était ça qui allait les prendre, les envoûter, les violer et les drainer de leurs énergie pour finalement permettre au seigneur des lieux de faire avancer son terrible bastion sur les différents champs de batailles de ce monde ? L'outrage lui nouait la gorge, et en son for intérieur, elle se haïssait de ne plus avoir la moindre capacité de se défendre, ou de pouvoir lancer le plus petit sort, encore plus quand elle vit la longue forme tentaculaire commencer à monter en direction du visage de la paladine, et s'enfoncer dans sa bouche quand elle vint à protester de l'approche de cette immondice !
« N’approchez pas sale... MMH !
- Maud !... Oh bon dieu pardon mon amie, pardon de tout mon... Nnnnnnnnh ! »
Elle ne put terminée sa phrase alors qu'un claquement violent vint à se produire dans la pièce, un claquement sec qui l'obligea à se mordre la lèvre pour ne pas perdre le contrôle de ses mots, et de gémir au cœur de sa tentative d'exprimer le tout de son pardon à sa chère amie, dont elle pouvait observer l'évolution lente de la fleur sur son corps, en direction de son visage. La plante qui était allée vers elle, et dont elle n'avait jusqu'ici pas conscience de la présence s'était mise, de manière tout à fait ignoble à faire claquer ses racines les plus solides sur ses fesses, lézardant sa chair blanche de longs traits rougeoyants alors qu'elle continuait ses maltraitances avec un amusement malsain, chaque coup se répercutant dans le couloir avec un son distordu, effrayant. Mais le pire ne provint pas finalement des fessées, car alors même qu'elle tente comme elle peut de résister pour ne pas gémir, pour ne pas abandonner son amie sous l'effet de la douleur, pour lui prouver qu'elle sera forte, et qu'elle résistera aux attaques de cette chose ignoble pour lui apporter autant de respect que de soutien, elle commence à sentir quelque chose d'épais couler le long de sa croupe, suivre l'arrondie de ses fesses avec une lenteur dérangeante, et glisser avec tout autant d'empressement sur ses cuisses, mais surtout, sur sa vulve. Et elle sait ce que sait, il s'agit du suc ignoble de ces plantes, de cet aphrodisiaque nourrissant dont il a parlé, et elle se doute bien que cette chose doit être bien facilement absorber par la peau, ce qui commence à lui faire comprendre ce qui est en train de se dérouler : Tout comme Maud est en train de consommer la chair des racines et la sève qui vas avec par la bouche, il vas en être de même pour elle, mais de manière sûrement plus direct...
« Mmh... »
« Maud... Tiens le coup, elles... »
schlak
« Nnnnhh... Elles n'attendent qu'à ce qu'on aban... »
schlak
« Aaaaaah... abandonne ! Ne leur laissons pas... »
schlak
« Aaaaah... pas cette joie »
Bien plus facile à dire qu'à faire. Son corps commence déjà à absorber le liquide, et même si elle ne se retrouve pas à l'avaler goulûment comme sa consœur de voyage, elle est de plus en plus sensible à la moindre de ses attaques, le lynchage de ses fesses, désormais quasiment entièrement rougie par les coups de racines de l'Annériah, commençant à lui distiller en son corps bien plus que de la souffrance, à savoir un plaisir des plus malsains. Elle fait tout pour que ses cris étouffés ne se muent pas en gémissements, mais le fait est que la situation est lentement en train de la mener aux portes de ses capacités à résister, et le pire étant sûrement les flot de plus en plus épais et continue de sucs qui sont en train de couler sur sa fente, l'enflammant à une vitesse qu'elle n'aurait jamais cru possible. Et c'est là qu'elle se rend compte de l'élément le plus évident, l'élément le plus troublant, mais aussi le plus dur à concevoir à ses yeux jusqu'ici, parce que l'idée ne lui était jamais venue à l'esprit, et qu'elle avait laissée cet aspect là de son être bien loin, pour se concentrer uniquement sur la magie. C'est vrai, elle ne l'avait jamais, elle était toujours vierge, et si parfois elle s'était certes amusée avec ses doigts, pour un peu de détente, elle n'avait pour autant jamais connue un contact plus direct, plus profond. Ces choses allaient non seulement l'humilier par le viol, mais pire encore, elles allaient lui ôter une virginité qu'elle avait garder intacte pendant longtemps, espérant l'offrir à une personne de valeur. Ce constat, terrible, commença lentement à élimer son moral, se mit rapidement à affecter son esprit, et comme si d'un coup ses résistances venaient à se briser, la chaleur intense de son désir se répandit de son corps, enflammant ses chairs, et corrompant son esprit... Elle commençait à vouloir être prise, et cette découverte la poussa aux portes du désespoir.
« Non... Oh pitié, non... Je ne veux pas... Arrêtez, ne me touchez pas, ne me touchez plus...Putain je suis vierge, pourquoi ça doit se faire ainsi ! »
Mais alors qu'elle se disait cela, qu'elle protestait, les choses s'accélérèrent d'un coup, autant pour elle que pour sa camarade attachée au mur. Tout d'abord, ce fut leurs runes qui se mirent lentement à s'éclairer, à réagir, prouvant aux plantes qu'elles commençaient finalement à être prête pour une utilisation plus directe, mais surtout ces inscriptions sur leur ventres et leur poitrines produisirent rapidement un effet que l'homme n'avaient que volontairement choisit de leur dissimuler ! Elle stimula leur circulation sanguine, vint accroître leur sensibilité, permit à toutes ces étranges molécules aphrodisiaques contenue dans le suc de parcourir leur corps à une vitesse bien supérieur, les envahissant pleinement de ce désirs immondes qu'elles pouvaient ressentir, celui de se faire sauter par quoi que ce soit qui puisse les enivrés de plaisir charnel. Maud n'eut plus à consommer le suc de la racine, car la plante relâcha sa tête pour descendre vers son sein gauche, autour duquel elle vint placer ses racines, le malaxant par là, avant qu'un autre ne se mette lentement à descendre entre ses cuisses afin de s'y apposer, prêt à s'enfoncer sous peu. Quand à la mage, elle n'eut que le déshonneur de sentir les coups de fouet végétaux changer de cible, et venir cingler ses chairs les plus sensibles, l'écorce molle claquant terriblement sur sa fente détrempée, avec un rythme quasiment insoutenable, tandis que son excitation montait à pic, véritable drogue dont elle ne parvenait plus à se défendre comme elle le souhaitait. Là, à cette occasion, et bien malgré sa volonté à garder les lèvres closes, il ne fallut guère plus de quelques coups pour qu'elle finisse par ouvrir la bouche, et se mette à gémir alors que ses tétons ardents et dressés frottaient contre le tapis sur lequel elle était installée.
Et elle vint se haïr quand ses quelques mots sortirent tout naturellement de sa bouche entrouverte :
« Viole-moi... J'en peux plus... AaaaAAaaah ! Déflore-moi, par pitié... ! »