Une aide généreuse, mais étrange [Magdalena]

La pression que je ressentais contre ma verge était époustouflante, et me donnait l'impression que j’allais exploser. Ce trou de plaisir embuait mes yeux, le plaisir était juste trop grand, et il n'était rien comparé à celui qui me foudroya quand la belle blonde entreprit ses mouvement en me tenant avec ses bras. Chaque passage me faisait pousser des gémissements rauques, et je commença à suivre les mouvements pour augmenter encore le plaisir pour moi, mais surtout pour elle.

Ma main passa de l'autre côté de son corps pour rejoindre l'intimité encore trempé de Magdalena et le caresser, mettant même deux doigts à l'intérieur pour très rapidement la frotter dans sa zone que j'avais compris la plus sensible, ne lâchant pas le mouvement rapide de va et vient et mon pouce jouait avec son petit bouton d'amour.

Je laissa faire ça pendant un temps avant qu'une sensation étrange m'envahisse et que le besoin que mon sexe explose et que quelque chose en sorte devenait pressant. Les mouvements ne s'arrêtaient pas et finalement, je préféra avertir ma partenaire de jeux.

"J'en peux plus...ça vient...ça vient..."

Elle allait de plus en plus vite et gémissait de plus en plus fort, elle se donnait à fond pour lui donner un maximum de plaisir. Il n’allait sûrement pas oublier sa première fois de sitôt et cela faisait sourire Magdalena. Elle gémissait de plaisir et mouillait abondement alors qu’il venait jouer avec son entrejambe avec ses doigts pendant que ses fesses continuait de s’empaler sur son sexe.

C’était vraiment bon, elle adorait ça, il n’y avait pas vraiment de chose qu’elle n’aimait pas quand elle s’envoyait à l’air à vrai dire. Elle gloussa quand il dit qu’il allait bientôt jouir et elle redoubla de vitesse en montant et remontant le long de son membre viril pour le faire gicler plus vite :

« Vas y, lâche tout dans mon cul, inonde moi de ton foutre chaud. »

Vu comment elle le prenait et le temps qu’il avait passer sans se vider les bourses, ça risquait d’être une belle éjaculation et elle était ravi de l’accueillir en elle, un splendide jet qui viendrait repeindre ses fondement de blanc, c’était tout ce qu’elle voulait.

Les mouvements de Magdalena redoublèrent, je ne pourrais plus tenir longtemps maintenant, c'était sûr. Mais je cherchais tout de même à lui donner le maximum de plaisir. Finalement, un plaisir incroyable explosa dans mon corps et vida mon esprit une seconde alors que je sentais de mon sexe des flots de chaleurs sortirent pour inonder son cul. Je l'avais serrer plus fort contre moi alors que le plaisir était insoutenable.

Finalement, je repris mon souffle, heureux d'avoir put sentir un tel plaisir et Magdalena se leva du mieux qu'elle put, elle semblait heureuse aussi. Mais je sentais encore au fond de moi que je n'en avait pas eu assez, et mon érection restait bien présente, je la voulais encore. Sans même lui laisser le temps de respirer ou de parler, je l'attrapa et la coucha au sol alors que je pénétrai à nouveau sa fente trempé. Je n'allais sûrement pas la lâcher avant un moment.

Le soleil était bien haut dans le ciel, il était plus de 10h déjà et je venais juste de terminer avec la belle. Le mot endurant pouvait être un léger euphémisme, mais il faut dire qu'après avoir affronté pour sa survie des démons enragés durant des jours sans s'arrêter, et ce à plusieurs reprises, la fatigue ne venait pas facilement. Ma marque y était aussi pour quelque chose sûrement. La belle s'était endormie dans son lit, au moins il avait tenu le choc, et je m'éclipsa sans bruit.

Utilisant mes pouvoirs pour brûler la crasse et la transpiration, la purification comme je l'appelais, je repris mes affaires et sortis de la maison. Je ne pouvais pas m'imposer ici, et il fallait encore que je trouve ma voie dans ce monde, ainsi qu'une manière de survivre moi-même. Mais une chose était sûr, après une telle découverte, j'allais certainement recommencer cette façon de relâcher mes nerfs. Une bien belle découverte, et je me demandais ce que ce monde pouvait encore me faire découvrir de bien. Comme quoi, tout n'est pas si mauvais ici.