La bonne, la brute, et le truand [PV Jericho]

- Je sais que tu aime quand c'est simple, mais là il va falloir la jouer dur, et j'ai besoin que tu face un effort pour ne pas tout défoncer sans réfléchir.

Serguey est assis dans son fauteuil, 250 000 dollars en petites coupures disposés sur la table appuient sa demande avec plus d'efficacité que tout les arguments du monde pour Jericho.

Installé en face de lui, une paire d'As dans la main, le géant immortel écoute le chef de la Bratva de Seykuzu lui exposer son plan pour prendre le contrôle des rues. Derrière les carte de son adversaire de jeu, il remarque la chevelure blonde coiffée en queue de cheval d'une esclave. Elle monte et descend au rithme et au son humide de ses lèvres sur son penis.

- 250 000 de plus si tu y arrive. Et pour la suite c'est jackpot, même ce demi million de dollars te parraitra dérisoir en comparaison de ce qu'on rafflera. Mais pour ça j'ai besoin que tu sois concentré et patient. Je t'explique.

Il tire sur une chaine dépassant de sous la table et le bruit de sussion s'arrête, remplacé par la respiration etouffée de la jeune femme qui reprend son souffle.

- Dona Florenza n'est pas une femme comme les autres. C'est "Max" la baronne du crime, la chef de la Famille de Seykuzu, elle a botté le cul des Yakuza, des Triades, et de l'ancien patron de son propre clan. On peut pas se contenter de la buter et de prendre sa place. Ses hommes l'admirent ou en on peur, et si on y va sec, on créera juste une nouvelle guerre des gangs jusqu'à ce qu'un de ses lieutenants la remplace.

Il relance de 500 billets et continue.

- Mais on a un avantage avec elle. C'est une femme, et avec une femme, on est pas obligé de tuer pour raffler la mise. Il suffi qu'on parvienne à l'enlever, discrêtement, et à briser sa volonté pour en faire une marionnette qu'on replacera tranquillement à sa place pour bosser à notre compte. T'imagine ? Faire de Rachele notre pute perso comme Natasha ?

Ajoute t'il en tirant violemment sur la chaine reliée au collier de l'esclave blonde, l'obligeant à se redresser d'entre ses jambes. Nat, Jericho l'avait bien connu avant, c'était une tueuse intelligeante, farouche et indépendante au service de la Bratva,  il avait entendu dire qu'elle avait disparue après avoir déplue au Boss.
Il pensait qu'elle était partie se planquer quelque part mais elle n'était alé nulpart...

L'ancienne tueuse était désormais nue et sans défense, le corps prisonnier d'un entrelas de cuir et d'anneaux d'acier qui mettait en valeur ses formes provoquantes. Il ne se souvenait pas qu'elle avait d'aussi gros seins, Serguey lui avait surement fait subir une augmentation mamaire impressionnante et inconfortable, tout le corps de la jeune femme plombait vers l'avant à cause du poid de ses obus.

Ses bras , liés dans le dos, étaient engoncés dans un long gant unique qui lui interdisait tout mouvement de résistance.  Mais le chatiment le plus cruel était celui qu'il avait infligé à ses sens. Ses yeux étaient masqués d'un lourd bandeau de cuir, ses oreilles et ses narines bouchées par de petit objets étranges. Elle était privée de tout repaire ou sensation en dehors de celle que lui procurait la queue du Boss quand elle le prenait entre les lèvres.

- Regarde, seulement deux petits années de dressage et elle est devenue la reine des suceuses.

Il donne deux petits coups sur la chaine en guise de signal. Natasha se jete sans vergogne sur la queue de son maitre pour recommencer à la sucer avec passion. Ces longs mois de privation sensorielle l'avait rendu completement adict au moindre sensations bucales et elle se mis à gémir de plaisir en recommençant à le satisfaire malgré tout ce qu'il lui avait fait.

- Et tu veux la cerise sur la gateau ? La petite baronne quand elle avait que 19 ou 20 ans, bas elle était tombé entre les pattes de son oncle qui l'avait transformée en junky nymphomane. Quand elle s'en est tiré elle a passé une année en détoxe et en asile pour redevenir normale mais le gros du boulo est déjà fait. Ce qui aurait pris des années pour une autre, on peut le faire en quelques semaines si on ce démerde bien.

Sergey sait que Jericho aime miser gros même quand il n'a rien entre les mains, il attend de voir s'il va relancer de mille billets et ajoutant:

- Alors ? T'en est ou pas ?

Il avait écouté, même si il n'en avait pas parut. Derrière ses Ray-ban fumées de noir, le Boucher Immortel avait dardé son oeil unique sur les cartes qui se dressaient entre ses doigts tout comme il avait suivi les actions de jeu de Serguey. Attentif, le colosse n'avait pas pipé mot et s'était contenté de laisser le russe déblatérer tout ce que sa bouche avait à chier. De temps à autres, Jericho avait porté une main à son froc pour ajuster sa trique dans le tissu -sa putain de queue était énorme et le moindre début d'érection pouvait vite être gonflant. Mais le dressage de cette pute en latex l'avait émoustillé et il avait finit par caler sa viande bandée de façon à ce qu'elle puisse raidir sans trop le serrer.
Et il avait continué d'écouter, relançant de mille de mieux quand son tour arrivait.

On lui proposait du fric pour mettre au pas la dernière salope en vue du Milieu. Donna "Max" Florenza, dont tout bon gredin de la ville n'ignorait ni l'ascension ni la qualité du cul d'enfer qu'elle se plaisait à remuer sous le nez des mâles qui l'environnaient. Une pute comme une autre, pour Caïn. Elle avait grimpé quelques échelons et sucé les bonnes bites pour en arriver là où elle se trouvait et maintenant elle voulait faire main-basse sur les business les plus juteux du coin, ce qui commençait à chauffer les boss en place. A raison, il fallait l'admettre : Max avait bien joué ses coups jusque là, mine de rien.
Jericho aurait pu avoir des problèmes avec elle également, mais son gang était encore mal installé. Elle ne se serait intéressée aux Six Dragons que pour récupérer de la main d'oeuvre... Comme le faisait Serguey, qui voulait embaucher le Boucher pour se débarasser d'un problème sans trop se salir les mains.

Le colosse ne dit d'abord rien, plus claqua des doigts après un moment. De l'ombre de la pièce sorti alors sa fidèle Yuuko, toujours aussi avantagée par le tailleur de grand luxe qui ceintrait ses formes parfaites. Jericho tendit la main et la belle y déposa une liasse cylindrique de billets verts -plus de 1500 à la relance pour peu que l'Immortel ne les pose sur la table.
Il ne renvoya pas Yuuko qui resta à son côté, observant le sort de Natasha sans trop savoir si elle devait l'envie ou la plaindre. Elle reporta finalement son joli regard azur sur le russe tandis que son boss prenait enfin la parole pour s'adresser à ce dernier.

- Tu viens me voir avec des billets pleins la poche et de la merde plein la gueule, fit-il de sa voix puissante et profonde, pour me prendre pour un con ?

Autour des deux hommes, leurs hommes de main respectifs portèrent lentement la main à la crosse de leurs armes par précaution, mais la situation ne dégénéra pas. Jericho quitta ses cartes de l'oeil, les déposant face cachée sur ses cuisses, avant de détailler Serguey.

- Tu viens m'appâter avec le fion de Rachele en pensant que j'éviterai de m'intéresser à ses affaires une fois qu'on l'aura mise hors-circuit parce que j'aurai une chatte à bourrer. Tu crois que je ne sais pas que si Max se fait plomber, c'est la Bratva la mieux placée pour récupérer ses biz' ? Si elle se fait plomber. Tu pourrais envoyer des hommes à toi, mais tu chies mou des répercussions si ils se plantent, parce que c'est toi qui finira comme ta salope en cuir, à sucer des bites dans les caves où Max te traînera. Donc tu m'envoies moi, parce que tu te dis que si j'y arrives ce sera tout bénef' et que si je me plante, tu auras le cul propre.

Comme bien d'autres, Serguey voyait surtout en Jericho le barbare moderne qu'il avait l'air d'être. Si il n'avait pourtant pas tort, c'était pourtant sous-estimer grandement le Boucher. En 500 années à traîner son cul increvable un peu partout, il s'était forgé un esprit alerte. Des mecs comme Serguey, il en avait croisé plus qu'il n'aurait su le compter. Et il s'était assez fait enfler au début pour reproduire le schéma maintenant qu'il avait de la bouteille.

Dans le salon privé du club tenu par Jericho, l'ambiance était électrique. Les gardes du corps étaient nerveux, prêts à dégainer pour truffer de plomb le camp d'en face. Même Natasha avait semblé hésiter et ses mouvements de langue sur la queue de l'envoyé de la Bratva s'étaient faits moins avides -la situation risquait de dégénérer en moins de deux et quelque part, son instinct de tueur lui criait que ça risquait de mal finir pour son cul aussi.
Ce fut Fuuko qui calma légèrement le jeu, en apposant une main délicate sur l'épaule massive de Jericho. Elle lui adressa un sourire léger et se pencha en avant. Dans son décolleté, elle avait calé un cigarde qu'elle proposait ainsi à son boss. Le Boucher pencha légèrement la tête pour venir attraper le cubain entre ses dents et Fuuko le lui alluma en craquant une allumette.

L'instant d'après, sa main descendait vers le bas-ventre de Jericho pour masser légèrement la forme plus que prohéminente qui déformait le pantalon de l'Immortel. Ce dernier tira une bouffée sur le cubain, puis revint à la discussion.

- Ton boulot pue la merde. Un demi-million pour dresser Max ? On sait tous les deux que c'est pas assez vu le bordel que ça va être. Mais je vais le faire, ajouta-t-il après un moment de silence. Selon une ou deux petites conditions.

Il dressa son index pendant que Fuuko adoptait un rythme de caresse plus lent. Malgré son action, la secrétaire suivait avec une grande attention la négociation et n'en perdait pas une miette.

-  D'abord, je récupère la puta pour mon compte. Elle me servira de vide-burnes perso' et je verrais si je daigne la fournir à d'autres pines. Mon jouet, mes règles. Prise d'effet immédiat dès que je lui fous la main dessus. Ta Bratva aura rien à réclamer dessus, ou j'enculerai à sec le premier connard qui pensera que c'est une bonne idée de faire une remarque à ce sujet. Ensuite, je te laisse ses affaires. Mais je veux trois de ses clubs pour les ajouter à mon cheptel.

Fuuko opina doucement du chef les paroles de son chef, alors qu'elle le branlait un peu plus vigoureusement.
Jericho reprit ses cartes en mains, et déposa la liasse de billets sur la table avant de la pousser vers le tas de la mise, relançant ainsi la partie.
Signe si il en était que c'était à Serguey de jouer, tandis pour le poker que le banditisme.

- A prendre ou à laisser, putain d'russe.

Serguey prend l'air surpris, mais Jericho sait qu'il n'en est rien. Ce n'est qu'une facette de plus dans la négociation entre mafieux et le russe en connait toutes les ficelles. Comme lui, Serguey est un grand joueur de poker mais contrairement à lui, il n'était pas du genre à jouer l'intimidation quand il a une bonne main. C'est un homme de compromis et de maitrise, et c'est la raison pour laquelle il occupe un poste aussi haut et aussi dangereux depuis tans d'années. Jericho se doute en ne le voyant pas céder, qu'il a surement de nombreux autres atouts que lui-même dans sa main.

- Jericho mon ami... ça me peine beaucoup que tu prenne les choses comme ça. Ca veux dire que malgrés toutes ces années tu ne me fais toujours pas confiance alors que je suis un des seul gas sur cette terre à savoir de quoi tu es vraiment capable.

Il relance de 1000 aussi et continue comme si de rien n'était.

- Si je te laisse simplement le cul de Rachele et trois de ses clubs tu feras de petits profits à la con et sa disparition provoquera une nouvelle guerre des gangs et ça, c'est pas bon pour les affaires. Donc ta proposition ne m'interresse pas et si tu refuse celle que je vais te faire je m'adresserai à un autre Superman... je te l'ai proposé à toi en premier parce que je sais qui tu es, et que tu sais qui je suis.

Avant d'abattre ses cartes il ajoute.

- Tu as raison, Max est dangereuse et puissante, elle est admirée par ses hommes et ils se battrons jusqu'à ce qu'il ne reste plus un mur debout en ville pour la venger ou la récupérer.
Alors on doit la retourner contre son camp. C'est le seul moyen, et je sais que si je te la laisse à toi seule tu ne fera rien d'autre que l'enchainer dans ton garage pour la baiser contre ton hummer. Mais je te rappel que cette pute à 180 de QI et une volonté en béton armé. Elle ne cedera jamais si tu te contente de la violer pour te vider les couilles et un jour ou l'autre, tout immortel que tu sois, elle te les fera couper une fois, deux fois, trois fois.

Il lache ses cartes sur la table: As de coeur, 10 de coeur, Roi de coeur, Reine de coeur, Valet de coeur, Quinte Flush Royale, la main parfaite.

- Voici ma proposition. Fait ce coup avec moi, et je ne te récompenserais pas comme on récompense un sous-fifre. Tu deviendras mon partenaire, cinquante cinquante sur toutes les pares de marché. Quand on aura choppé Rachele, tu la partagera avec moi et je te montrerai comment on brise une femme pour la transformer en marionnette docile.

Serguey fait reculer son siège et attire l'ancienne tueuse vers lui en tirant violemment sur la chaine, ce qui la fait hoqueter de surprise. Il dégraffe ses gants pour lui libérer les mains et les bras, lui retire ses bouchons d'oreilles et son masque. Jerricho connait bien Natasha, ses réflexes de tueuses et son temperament du furie, et c'était une des rare femmes qu'il n'avait pas reussi à mettre dans son lit tans elle était tétue et orgueilleuse. Voyant faire Serguey, il se dit qu'il est en train de commetre la dernière erreure de sa vie.

- Regarde Jericho.

Serguey dégaine son flingue et le pointe entre sa queue et le visage de Natasha, le canon braquée entre ses yeux. A cet instant Jericho s'attend à la voir lui prendre l'arme des mains et à devoir netoyer ses Ray-Ban de la cervelle du mafieux. Mais au lieux de ça, la jeune femme torturée et bafouée penche la tête et prend le canon de l'arme entre ses lèvres pour le sucer avidement. Ses mains, si habiles à tuer, elle les dirige vers son propre corps pour se ploter elle même les seins et la vulve en soupirant de plaisir.

- Si tu travail avec moi sur Rachele, on ramènera cette petite petasse surdouée au QI d'une ado attardée de 16 ans qui ne pense qu'a ce faire baiser par tout les mecs de son bahu. Et une fois en place on jouira d'elle, et de son commerce.

Et pour appuiller sa demande, il repousse Natasha en arrière, la retourne pour qu'elle face face à Jerricho et lui tire les cheveux en arrière pour lui parler au creux de l'oreille.

- Va lui montrer ce que je peu faire avec notre prochaine copine Esclave numéro 17.

Et sans un mot la jeune tueuse brisée se remet à quatre patte et avance en dandinant du cul vers le colosse. Elle qui s'était toujours refusée à lui est maintenant en train de lui ouvrir la braguette pour en extirper son énorme membre. Quand elle s'assié à ses pieds pour lui lécher la queue, il voit sur ses bras, ses cuisses et sa poitrine les traces de son calvaire et quand il croise ses yeux, il comprend que la tueuse n'est plus, ce n'est plus qu'une nymhomane décérébrée maintenant.

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Scène: ATTENTION SCENE EXPLICITE
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En y réfléchissant, Jericho se rappel qu'un an plus tôt, il avait fait des avances à la belle Dona Florenza, et que celle-ci lui avait ri au nez avant de lui envoyer quelques piques méprisantes et de partir. Regardant le corps hypersexuée de Natasha et son regard vide, il comprend que Serguey peut lui offrir la plus douce des vengeances...

- Alors Jerricho ? Partenaires ?

Concernant Rachele, Jericho avait des projets autrement plus concrets que ce que à quoi Serguey pouvait penser. Concernant son cul... il fallait bien admettre que le russe n'avait pas tort dans sa vision du devenir de la Donna, mais c'était là des façons qui plaisaient au Boucher depuis plusieurs siècles déjà. Pourquoi en aurait-il changé ? Pour se prendre la tête avec un dressage compliqué comme celui qui avait amené à la docilité nouvelle de Natasha et ses mamelles redimensionnées à l'extrême par son propriétaire ? D'après Caïn, c'était une perte de temps. Un trou était un trou, et Rachele ne faisait pas exception. Sa garniture supplémentaire était simplement un peu plus bandante que ce qui se faisait en général. Pas de quoi se galérer avec des conneries tortueuses : la baiser, ça pouvait se résumer au plus simple.
Toutefois, il laissa Serguey déblatérer. Le russe avait raison. Les compères se connaissaient bien maintenant et les affaires menées ensemble jusque là avaient été juteuses pour tous les deux. La Bratva n'emmerdait pas les Six Dragons -le gang de Jericho- et la vie était belle au pays du vice. De là parler de confiance, c'était autre chose. Les codes d'honneur à la con, c'était dans les films.
Tout au plus y avait-il entre deux bandits un respect ténu.

- Des hommes, ça se brise. Surtout des pouilleux qu'une salope suceuse de spaghettis mène par le bout de la bite. On pourra toujours les fumer. Et ta pétasse, je ferai en sorte de lui casser les chevilles pour m'assurer qu'elle ne sortira jamais de mon putain de garage pour tenter de me couper les burnes.

Des femmes de caractère, Jericho avait eu tout le loisir d'en voir passer au fil des années écoulées de sa longue vie. Il avait vu comment on détruisait des empires à néant, comment on pulvérisait les petites putes un peu trop hautaines. Max était juste une salope perchée sur des talons un peu plus haut que la moyen, pas la foutue fille du Diable ! Rien que Caïn n'estimait ne pouvoir dresser, ou tout au moins casser définitivement.
La discussion se serait arrêtée là avec la plupart des gens, mais le colosse laissa continuer Serguey qui venait de lui coller dans la gueule une Quinte Flush Royale. L'espagnol insulta sa mère en dévoila une main plus médiocre, le laissant remporter la belle mise.
Il en profita pour réfléchir à la nouvelle proposition de Serguey, qui illustra ses talents de dresseur Pokémon en mettant en avant Natasha.

Et Natasha se met à sucer comme une affamée le canon du flingue de son maître, comme une maladie vénérienne le ferait d'une bite malpropre. Impressionnant. La blondasse avait du répondant, par le passé. Maintenant, c'était un automate qui se distinguait par un appétit inédit pour la pine et ce sur simple demande de Serguey de se faire pomper jusqu'à l'os.

Le russe envoya son jouet vers Jericho et le borgne eut le plaisir de voir son putain de membre chevalin se faire déballer et lécher avec passion par une langue habile salivant abondamment. Une carcasse vide, la Natasha, avec un esprit qui se résumait à une fonction : Obéïr.
Le Boucher se cala contre le dossier de son fauteuil de cuir, laissant la blondasse s'activer sur son monstrueux membre tandis que lui tirait sur son cigare en détaillant Serguey de derrière ses Ray-ban, un moment pensif.

- Je te laisse les parts et faire le dressage, mais je garde la Donna pour mon usage personnel. Tu veux la baiser ? Tu pourras, le temps que tu seras occupé à la faire fonctionner comme cette salope sur la gueule de qui je vais juter. Et même après, si je suis satisfait du boulot. L'amitié ça s'entretient, après tout.

Il passa la main dans les cheveux de Natasha pour la retirer de force de son vit le temps de se lever, mais lui recolle bien vite sa queue massive au fond de la gorge une fois debout. Le voilà qui tend la main à Serguey pour conclure le deal tandis que l'ex-tueuse s'étouffe à moitié sur le mandrin insensé, qui finit par juter ses litres de foutre chaud directement dans son estomac, lui tapissant les entrailles de sperme et lui encombrant tant la bouche que son nez en laisse passer des filets épais.

- On peut conclure le deal, ruskoff ? On a un raid à monter. Je veux le cul de Max dans ma cave au plus rapide. Un petit massacre à l'épée calmera les opposants à la Bratva, en bonus. Côté massacre, on a jamais rien fait de mieux que les méthodes à l'ancienne.

Serguey lui tend la main en disant.

- Ne t'en fais pas... j'ai une taupe chez elle... on aura même pas besoin de se battre pour la capturer... Et tans mieux, si elle disparait après un massacre, ça va paraitre louche, et nous, on veux qu'elle remonte sur son throne, mais une fois qu'elle sera devenue ta pute...

--- Dans une ruelle, près du Rachele's ---

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Serguey et son nouvel associé sont tapis dans une vaste limousine noire aux vitres teintées. Ils attendant. La taupe de Serguey leur à dit que pour se rendre à son centre de désintoxication, la baronne passe seule par cet endroit pour ne pas attirer l'attention des badeaux.

Outre les nombreuses bouteilles d'alcool et d'un antonoire en plastique rangés dans le bar central, Serguey sort devant Jericho plusieurs objets. D'abord un petit flacon portant la mention "chloroforme" muni d'un épais mouchoir de coton blanc. Puis une petite trousse avec tout un attirail de junky, une seringue, une cuillère, un briquet et quelques cristaux de couleur blanche.

- Comme je savais pas ce que tu préferais pour l'enlèvement j'ai un peu tout pris. Le chloroforme ou l'alcool, classique et efficace mais faut quand même bien la tenir, elle va se débattre, ça, c'est ton taf. En revenche le chloro ça va la faire pioncer direct, donc pour s'amuser c'est bof. Sinon la drogue, à savoir que c'est ce qu'il y aura de plus traumatisant pour elle vue qu'elle se bat contre cette addiction depuis des années.  Ensuite si tu t'en fou je choisirai le moment venu.

Un petit moment ce passe pendant lequel Jericho lui donne sa réponse. Puis une porte discrête vient de s'ouvrir dans la ruelle et les deux comparses reconnaissent immédiatement la silouette fine et plantureuse de Rachele qui se faufile dans la ruelle vétue d'une superbe robe noire.

- Tu es prêt ? On auras que quelques secondes, on arrive à sa hauteur, j'ouvre les portes, tu la chope et tu la fait rentrer, faut pas qu'elle ai le temps de crier avant qu'on ai fermé les portes. Ensuite quand elle sera dans la limo ce sera bon, elle pourra gueuler autant qu'elle voudra...

Le chauffeur se rapproche d'abord discrêtement, puis fonce jusqu'à hauteur de Rachele et l'interromp dans sa marche. Serguey ouvre grand les portes à Jericho devant une jeune femme prostrée et muette de surprise...

Verre de whisky à la main, le cul enfoncé dans les confortables sièges en cuir de la limousine, Jericho écoute à peine Serguei lui déballer l'attirail du parfait petit tordu et préfère regarder la rue qui remonte jusqu'au flamboyant Rachele's. Tout cette mise en scène de dressage, est-ce que ce n'était pas qu'une putain de perte de temps ? Le Boucher doutait des dires du russe. Ne pas pouvoir faire l'éducation de Max à coups de mandrins dans la gueule et de sévices directs, impossible ? Aucune femme n'avait la volonté nécéssaire pour résister sur la longueur aux mains du colosse immortel, de véritable battoirs à viande fortifiés au cours des siècles ? Alors pourquoi laisser ce lécheur de borsh lui dicter la conduite à suivre ?

Jericho fit claquer sa langue contre son palais, agacé contre lui-même. Serguei le faisait chier et Max le faisait bander. Putain oui, rien qu'à l'idée de la détruire du bout de sa bite il se sentait raidir comme pas permis. Un bon petit viol... Hm. Non. La transformer en serpillère comme l'était Natasha la tueuse apportait un petit plus. Une satisfaction de domination que devaient éprouver les souverains sur les cons de paysans avec lesquels ils se torchaient. Et ça, Jericho avait bien envie de savoir ce que ça faisait. De cracher à la gueule de quelqu'un qui en redemanderait volontairement, à cors et à cris, comme si sa putain de vie de merde en dépendait.
Il acheva son verre d'un trait et le posa sur le mini-bar.

- Tu es prêt ? On auras que quelques secondes, on arrive à sa hauteur, j'ouvre les portes, tu la chope et tu la fait rentrer, faut pas qu'elle ai le temps de crier avant qu'on ai fermé les portes. Ensuite quand elle sera dans la limo ce sera bon, elle pourra gueuler autant qu'elle voudra...
- Elle n'aura pas le temps de broncher, ne t'en fais pas pour ça. Colle lui un petit fix pour la mettre en appétit, qu'elle aie de la came dans le sang mais assez de neurones disponibles pour comprendre que c'était juste l'apéro.

Tandis que la caisse remontait à hauteur de Rachele dont la première vue qui s'offrait fut son monumental cul bombé, Jericho ajusta son col et posa la main sur la poignée de la portière. La limosine freina alors tandis que le colosse était au niveau de la jeune femme et il s'extirpa rapidement de la limo' malgré son gabarit, dressant sa silhouette de gladiateur sous dopant devant l'allure plus frêle d'une Max figée par la surprise.
Avant qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, la large paume de Jericho lui attrapa le visage et étouffa ses mots d'une poigne infernale qui se concrétisa également sur son poignet. En un tournemain, Max se retrouva soumise à une clef de bras terrible qui menaçait déjà durement de lui faire sauter l'épaule -le colosse n'aurait eu qu'à forcer légèrement, l'italienne n'étant pour lui pas plus impressionnante qu'un bâton de gressin. Facile à briser.

Il ne dit rien et la balança sans ménagement dans la limousine, la faisant s'écraser comme une pauvre merde sur la banquette où il la rejoignit aussitôt, ayant le loisir de voir son cul relevé par le choc. Ses gros seins devaient être écrasés devant Serguei, mais ce dernier préparait apparemment déjà l'injection qu'il destinait à leur proie.
Jericho referma sur lui et la bagnole démarra en trombe. Pour éviter que Rachele ne se débatte trop et complique la vie de Serguei, le Boucher l'attrapa par les cheveux et lui décolla une gifle. Juste de quoi expliquer à cette pute servile en devenir que la machine à baffe était un distributeur gratuit, et surtout de quoi la sonner un peu le temps que Serguei puisse la piquer. Promis, il ne lui avait pas abîmé sa petite gueule -ça serait pour plus tard, ça, il s'en faisait la promesse.

- Maintenant, camarade, tu vas pouvoir faire montre de tes talents. J'suppose qu'on doit attendre avant de lui coller une queue dans les entrailles, avec tes conneries ?

Puisqu'il avait accepté de jouer selon les règles de Serguei, Jericho accepta de ne pas labourer Rachele à même la banquette. Il grogna et compensa en attrapant la fille par les cheveux à nouveau, lui collant la gueule contre la forme de sa bite bandée à travers le pantalon. Ça le calmerait un peu pour le moment.
Le reste était entre les mains du russe.

Pendant que le véhicule se rapproche Serguey prépare calmement et avec une grande maitrise le poison qu'il compte injecter dans les veines de sa concurente. Suivant les instructions de Jericho, il ne prend qu'un seul cristal qu'il fait fondre dans une cuillère et qu'il mélange à une poudre blanche, le mélange devient alors translucide et il l'aspire du boit d'e l'aiguille de sa seringue.

Quand Jericho ouvre enfin la porte et bondit sur la jeune femme sans défense, elle reste d'abord prostrée de terreur. Une fois qu'elle réalise ce qui lui arrive, les mains du mastodonte sont déjà retombées sur sa bouche et son poignet. Elle essai de se dégager, mais la prise est trop forte, et sa tentative ne fait que faire rebondir ses seins sur sa poitrine bombé en avant par la clef de bras.

Il la jete sans ménagement sur la banquette arrière et referme la porte derrière lui. En voyant le russe, Rachel passe instantannement de la stupéfaction à la colère.

- Serguey ! Espèce de fils de pute tu...

La poigne de Jericho se referme sur la queue de cheval de la jeune femme . Il la tire en arrière et la retourne vers lui. Avant qu'il n'ai le temps de la gifler, elle réagit avec vivacité et parvient à se jeter en avant pour lui donner un violent coup de boule. La jeune femme se montre combative et résistante, peut être même parvient elle à impressionner l'immortel, mais sa force est dérisoire en comparaison de la sienne, et son attaque ne fait pas la moindre égratignure au géant qui lui donne une claque dédaigneuse mais puissante.

- ho...

Gémit Rachele au moment où la main de Jericho vient la cueillir sur la joue et la fait basculer sur le côté. Serguey profite que Rachele dodeline de la tête, à moitiée sonnée,  pour lui prendre les bras, les ramener dans son dos passer et les attacher avec des bracelets en cuir noir. La belle est alors à genou sur le sol de la limousine entre les deux conjurés, le visage posé sur la cuisse droite de Jericho et le russe derrière son dos.

Le chef de la Bratva lui passe alors un garrot autour du bras et le serre. Rachele reprend conscience et réalise ce qu'il s'apprête à faire.

- Non ! Salaup ! Pas ça arrete !

Commence t'elle à hurler en se débattant sans succès pour se libérer de leur emprise. Son visage se met à gouter de sueur à cause de la chaleur de l'habitacle, de la peur et de l'effort titanesque qu'elle fournit dans l'espoir d'échapper au sort funesque que lui réserve Serguey.

- Bouge plus !

Lui hurle t'il, la figeant net dans son effort.

- Si l'aiguille se brise tu meurs...

Rachele se tétanise alors qu'elle le sent approcher son bras armée de cette substance qu'elle ne connait que trop bien, et qui la terrorise tans...

- Mmmm !

Gémit elle entre ses dents en sentant l'acier pénétrer sa peau délicate et venir se ficher dans la veine de son bras. Habitué à l'exercice, Serguey pompe quelques goutes de sang dans la seringue pour que la substance se mélange, il donne deux petits coups du bout des doigts sur le tube pour accelerer le processus, Rachele gémit encore et agite sa tête de droite à gauche en signe de refut. Il desserre un petit peu le garrot pour que la circulation revienne et lentement il presse sur le piston.

- Gueu...

Balbutie t'elle alors que sa bouche commence à s'ouvrir et ses yeux à trembler et rouler légèrement dans ses orbites.
Aux premières loges, Jericho peut admirer le travail de la drogue qui commence à serpenter vers le cerveau de la belle captive. Sa peau, jusque la livide à cause de la peur, prend une teinte rose et satinée. Le haut de ses joues rougissent et mettent en valeur ses petites paumettes. De fines larmes de désespoir coulent de ses yeux et emportent avec elles son rimelle noir.

- Détend toi petite pute... Ton corps va se souvenir... laisse toi aller...

Lui chuchote le russe, rappellant aux occupants de la limousine le passé de junky de Rachele, quand elle était captive de son oncle. Le corps de la belle, aillant gardé l'emprunte indélébile et la mémoire de son long enfer d'accro, se laisse facilement dompter par la substance qui roule dans ses veines et noie sa volonté.

Attention contenu explicite:

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- Maintenant, camarade, tu vas pouvoir faire montre de tes talents. J'suppose qu'on doit attendre avant de lui coller une queue dans les entrailles, avec tes conneries ?

- Ca viendra plus vite que tu ne le pense mon ami... Mais en attendant rien ne nous empèche de profiter de sa bouche, je suis sure que Rachele se rappel très bien de ce qu'elle faisait quand elle était la petite poupée de son tonton ? N'est ce pas petite pute ?

- Non... non... je...

Face au refut de Rachele, le mafieux sourit et d'un geste vif, défait le noeuf du garrot. Toute la drogue accumulée dans les veines de son bras bondit alors vers son coeur et remonte en un battement vers le centre de sa psychée.

- Haaaaaaaaaa...

Gémit Rachele alors qu'elle perd le contrôle et sent tout son corps s'enflamer et se relacher. Quand Jericho prend les cheveux de la captive dans ses mains, il croise son regard embrouillé et noyé par le désir, elle salive comme une adolescente en chaleur en le regardant d'un air perdu et vulnérable.

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- Tu vois, les anciennes junky ont un point faible, elles sont très sensibles et vulnérable aux effets et au manque. Va y Camarade, elle est prête pour toi, c'est ton premier paiement en nature, profite en...