«
Là, là... Hum... C’est bien, ma chérie... Plus bas, oui... Huummm... Haaaa... »
Se faire sucer au volant, c’était toujours aussi bon pour la sulfureuse professeur du lycée Mishima. D’une main, elle tenait le volant, et, de l’autre, elle allait régulièrement la poser sur la tête de la femme qui était occupée à avaler sa queue entre sa bouche, la pompant joyeusement. C’était une chance que Myumi ait une voiture avec une boîte de vitesses automatique, permettant ainsi de ne pas poser sa main là où il y avait le haut du buste de son élève.
Elianne Roy avait probablement rarement vu sa Maîtresse autant excitée. En effet, il y a quelques jours, elle avait appris que l’une de ses plus vieilles amies allait venir la voir, à l’occasion des vacances scolaires, pendant lesquelles Myu’ hébergeait volontiers son élève :
Kurosaki, qui, tout en étant une simple humaine, avait accompli le mince exploit d’être aussi perverse que Myu’. Quand Kurosaki l’avait appelé pour lui demander si elle pouvait venir, Myumi avait évidemment accepté, et en avait profité pour expliquer à Elianne de qui il s’agissait.
Kurosaki était une grande perverse, et, à l’époque, les deux filles s’amusaient à multiplier les amants juste pour coucher avec eux. Elle était la première femme, à l’exception de sa mère, à qui Myu’ lui avait montré son hermaphrodisme. Comme elle, Kurosaki était une professeur, et, comme elle, elle avait, à Tokyo, de multiples amants parmi ses élèves. Elle lui avait montré une magnifique image d’elle
en tenue de maid.
Ce soir, Kurosaki arrivait, et Myumi roulait vers la gare de Myumi. Kurosaki était partie après son travail, ce qui faisait qu’elle faisait partie du dernier train de la soirée. La voiture roulait vers la gare, et Elianne avait dû la sucer. Elle, Elianne, était une élève de Mishima, l’une des nombreuses amantes et esclaves sexuelles de Myumi, même si « esclave » était à prendre avec des guillemets. Avant de la voir, Elianne était déjà une perverse, et Myu’ n’avait fait que la pousser davantage vers les délicieuses voies de la luxure, du stupre et de la perversion. Elle avait goûté aux orgies que Myu’ organisait au lycée, et avait multiplié ses amantes : Shani Stevens, la secrétaire, Mélinda, etc... Myumi avait fait l’éducation d’Elianne, mais, pour autant, et malgré leurs innombrables amants, entre elles, il y avait un lien particulier, exceptionnel, un lien qui faisait qu’Elianne dormait presque toujours chez elle, et qu’elle y passait toutes ses vacances.
En un sens, lui présenter Kurosaki allait dans ce sens. Kuro’ et Myu’ formaient un véritable «
duo magique », et Myumi lui avait évidemment parlé d’Elianne. Partager leurs vacances avec une esclave n’était nullement pour déranger son amante, ce qui avait ravi Myu’.
Maintenant, la voiture se rapprochait de la gare, et Myu’ s’arrêta à un feu rouge, où elle finit par avoir un orgasme, balançant des filaments de foutre dans la bouche d’Elianne.
«
Oooooh oui... Haaaa... Hmmm... Merci, ma chérie ! »
Il n’y a pas à dire, ça faisait du bien... Cependant, le temps d’arriver à la gare, de se garer, Myu’ avait déjà la trique qui l’élançait durement.
«
Allons-y, le train ne devrait plus tarder... »
Elles rejoignirent les quais. Le train en partance de Tokyo était le dernier à arriver, et, quand elles grimpèrent, Myu’ nota rapidement la présence des toilettes, puis vit ensuite les phares du train, qui approchait rapidement.
Elle se mordilla les lèvres.