Gilgamesh est une demoiselle, mi-humaine, mi-déesse, elle était une reine d'un royaume assez grand sur Terra, près des contrées du Chaos, c'était une demoiselle guerrière qui comptait des centaines de batailles à son compte, elle était très forte. C'était grâce à ses sceaux sous forme de tatouages rouges sur le corps, ce qui pouvait booster ses capacités athlétiques comme la force l'agilité, ou cela permettait d'autres choses intéressantes comme se faire pousser un membre pour le sexe. La demoiselle était aussi tout aussi belle que puissante, une longue chevelure blonde, une poitrine généreuse, de belles courbes, elle guerroyait avec une armure dorée qui couvrait le bas de son corps, mais pas le haut, la poitrine à découvert, mais elle s'en fichait. Gilgamesh avait aussi des épaulettes dorées et des chaînes aux mains, reliées à son épée qu'elle maniait, noire avec des marques rouges semblables à ceux de son corps, une épée démoniaque. La jeune femme avait aussi un beau regard doré et un collier sur le cou. Elle dirigeait un royaume composé que de femmes, normales et hermaphrodites, dont certaines se battaient comme des guerrières pour ta cause.La bataille se faisait rage dans les contrées du Chaos, vous étiez en plein assaut d'un château ennemi dont le propriétaire était un homme très cruel envers les demoiselles esclaves, mais la bataille avançait lentement. Tu étais en train de déguster un bon vin, bien installée dans un canapé en cuir, mangeant des fruits qu'on te servait tout en écoutant tes messagères qui t'informaient de la situation, trouvant un peu le temps long. Tes soldats progressaient dans le domaine ennemi, elles étaient presque à l'objectif que tu les avais demandé d'atteindre, ce qui te ravissait, bientôt, ce serait à toi de rentrer sur le champ de bataille et de déployer ta force. D'ailleurs, une messagère arriva et te dit que le signal a été lancé, tu te levas d'un bon, prenant ton épée, un sourire sadique sur les lèvres, enfin, tu allais faire couler du sang, montant sur ton cheval. Tu galopas à toute vitesse à l'entrée du château, accompagnée d'une dizaine de guerrières les plus fortes et qui faisaient partie de ton armée, rentrant dans le domaine. Tu te frayas un passage dans la masse, descendant de ton canasson et tuant toute résistance sur ton passage afin d'aller vers la salle où le maître du château se terrait, étant un trouillard. Tu défonças la porte, des gardes protégeaient leur maître, tu te débarrassas d'eux avant de te trouver devant le maître, tout gros, un bon porc que tu pouvais égorger, mais tu étais clémente, il avait capitulé, cet endroit t'appartenait, ce qui signait ta victoire, la bataille pouvait s'arrêter, on entendait des cris de joie partout.
Le soir tombait et il fallait fêter ta victoire, évidemment, avec tes guerrières, dans la grande salle des fêtes que possédait le château, tu étais, bien sûr, bien installée sur le trône, une couronne sur la tête, buvant encore du vin, mangeant de la bonne viande préparée. Tu rigolais en discutant avec tes amies, vidant la réserve du château, deux femmes nues assises sur tes genoux, leur pelotant la poitrine, elles rougissaient, mais elles étaient obligées de se laissaient faire, tu étais leur libératrice après tout. Tes guerrières profitaient aussi d'autres demoiselles, les baisant carrément sur une table, étant déjà ivres, c'était le quotidien des fêtes. Apparemment, une surprise t'attendait pour ta victoire, deux esclaves, attachés avec des cordes à des trépieds, tous les deux nus, celle qui était une femme se trouvait dos dirigé vers le sol, l'autre, le jeune homme, était ventre dirigé vers le sol. La demoiselle avait les bras attachés au-dessus de la tête, les cordes attachées au niveau des orteils et des cuisses, ses derniers écartés, pour afficher son sexe à tout le monde, elle était suspendue au-dessus du sol grâce au trépied et les cordes. Le jeune homme était aussi suspendu, les mains attachées derrière le dos par des cordes reliées au trépied, des cordes au niveau des cuisses qu'il écartait, les jambes en l'air, le problème était son genre, mais tu avais de quoi régler le tir. Tu te levas t'approchant de ton cadeau de victoire, t'intéressant à la demoiselle, venant lui caresser la poitrine d'abord, pinçant ses tétons, avant d'aller lui caresser l'intimité, tes doigts dessinant le contour du sexe avant d'écarter les lèvres intimes. Tu lui souriais, caressant la fente, avant de lécher tes doigts légèrement humides :
« Eh bien, nous avons une belle brochette ici, tu m'as l'air très bien pour me divertir un peu et te souiller avec ma queue. »Tu te retournas vers le damoiseau, venant devant lui en te penchant vers lui avec un sourire, lui caressant la joue puis les lèvres, il était plutôt beau, des traits féminins, on dirait presque une fille, juste qu'il avait un service trois pièces. Parmi les tiens, les hommes étaient traités comme de la merde et on ne les baisait pas, on les tuait presque, c'est pour cela que tu allais changer un peu cela, claquant des doigts pour qu'on t'amène une pilule spéciale. C'était un mélange d'excitant sexuel, d'aphrodisiaque et permettait, à la personne qui l'avale, de devenir hermaphrodite, tu la mis dans la bouche, avant de venir embrasser le garçon et l'obliger à avaler la pilule en la glissant dans sa gorge. Tu en profitais pour jouer avec la langue de ton esclave avec la tienne, commençant une danse endiablée, rompant ensuite le baiser, un mince filet de salive reliant vos lèvres. L'effet de la pilule ne devait pas tarder, une poussée hormonale au niveau de la poitrine en la faisant grossir, une taille adéquate et l'homme était devenu une demoiselle hermaphrodite, avec les deux sexes entre les cuisses. Tu étais satisfaite du résultat, venant même derrière la nouvelle demoiselle et lui caressant l'intimité apparue, jouant avec cet orifice entre ses doigts, cela devait lui procurer du plaisir, puis tu revins vers la vraie femme. Tu venais te mettre debout devant la demoiselle à lunettes et qui avait les cuisses écartées, reprenant une pilule dans ta bouche et venant embrasser l'esclave, faisant de même que son acolyte. Tu rompis le baiser, voyant l'effet que cela faisait, une poussée d'un membre au-dessus de l'intimité, un sourire pervers sur les lèvres, venant lui caresser les deux sexes :
« Je pense que vous êtes prêtes, hm, qu'est-ce que je pourrais bien vous faire… Ah, je sais, amenez la minotaure et la centaure, nues bien sûr, elles vont monter ces deux-là. »A titre d'illustration, Kristina est dans cette position :
Shura est dans celle-ci :