Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Dans le dos de Pepper, Mélinda pouvait constater que, effectivement, Liléanne avait une passion avérée pour les seins. Une passion qu’elle comprenait tout à fait, car une poitrine était délicieuse, douce, chaude. La caresser, l’embrasser, était souvent très agréable, surtout qu’on sentait ce petit téton qui dépassait de la bosse, un téton agréable, formant une couche supplémentaire de plaisir. Ainsi, lorsque Mélinda s’écarta pour aller dans le dos de leur hôte, Liléanne se contenta de nicher sa tête contre les seins de la femme, et joua avec l’un d’entre eux, faisant doucement soupirer Pepper, qui, en retour, lui caressa les cheveux. Et Mélinda, elle, sentait toute l’excitation de la femme. Liléanne avait très certainement envie qu’on caresse son sexe, car il y avait une belle concentration de sang à cet endroit... Mais, avant ça, Mélinda devait s’occuper d’un petit cul.

Car, s’il était vrai que la vampire aimait les seins, elle devait avouer largement préférer les fesses. Un beau cul, c’était quelque chose de magique, même si, pour cela, elle n’avait aucune explication concrète à fournir. Mais, après tout, ceux qui aimaient les seins ne pouvaient, également, fournir la moindre explication. C’était quelque chose d’inné, d’instinctif, et, en s’accroupissant derrière Pepper, Mélinda saliva devant ce beau cul. De belles fesses rebondies, formaient une très agréable bosse, avec cette ligne séparatrice au milieu. Elle voyait même un peu de sueur couler du dos de la femme, et se mordilla les lèvres en voyant une goutte glisser dans sa croupe.

*C’est magique...*

Clignant des yeux, Mélinda finit par sortir de sa torpeur, et vint à caresser, doucement, chacune des fesses de la femme. Ses mains se posèrent dessus, les soulevant, puis elle approcha sa bouche, et, tout en enfonçant ses pouces contre cette masse de chair, et les redressa lentement, avant de les relâcher, et d’aller les embrasser. Mélinda déposa ainsi, sur chaque fesse, un beau baiser, puis s’amusa ensuite à les malaxer, assise sur ses genoux.

« Hnnn... Haaaan, mes chéries... »

Pepper avait toujours su que les Terriennes pouvaient se montrer talentueuses, et elle était ravie de voir que sa théorie, en ce moment, se confirmait. Deux beautés pour elle, c’était un spectacle qui l’émoustillait grandement. Elle avait perdu de vue l’aspect séance de photo’ de ce moment, pour quelque chose de nettement plus sensuel et moins professionnel. Pour autant, els caméras continuaient à tourner, et promettaient, pour la suite, un magnifique film pornographique. Liléanne enfouissait sa tête tout contre les seins de Pepper, et Mélinda finit par lécher sa croupe, en écartant ses fesses l’une de l’autre avec ses pouces, pour lécher, embrasser, et frotter cette zone sombre, son nez caressant également sa peau, quand ce n’était pas sa bouche qui le faisait.

« Hmmmm... »

Indéniablement, la vampire aimait ça, cette sensation, ce moment... Le plaisir s’insinuait dans son corps, rebondissant avec les autres, et, tandis qu’elle jouait avec ce cul, elle sentait l’excitation galopante chez ses deux amantes. Une excitation qui lui donnait des idées. Tandis qu’elle léchait ce cul, elle finit par déplacer ses mains, et vint caresser le ventre de Liléanne, devant elle. La femme étant en train de doigter Pepper, Mélinda choisit de se montrer charitable, et glissa, par la suite, ses doigts dans l’antre intime de Liléanne, venant ainsi la masturber, à son tour.

Puis elle donna un nouveau baiser sur le popotin de Pepper, et le mordilla même un peu.

« Ah, j’aime ça... »

C’était même quelque chose qu’elle aimait beaucoup !

Pour être parfaitement honnête, j’avais complètement oubliée que l’on était filmée. Cela ne me dérangeait pas outre mesure puisque j’avais déjà l’habitude de poster des vidéos érotiques et sexuelles sur internet, sur mon blog. L’avantage qu’on on a déjà vécu ça, on a moins de stress que les toutes premières fois. Certaines filles ont tendance à surjouer et à ne pas décrocher la caméra des yeux, ce que je trouve absurde et vulgaire. Je préfère nettement faire comme s’il s’agissait d’une chose que je ferais en étant seule ou avec quelqu’un, mais sans caméra. C’est sûrement pour ça que Pepper m’avait complimentée auparavant. Mais trêve de blabla, ça n’est pas ça qui nous intéresse !

La réalité montante fit que ce que j’avais prévu d’entreprendre était un échec. A la base, je voulais satisfaire notre patronne dans les règles de l’art et être soutenue par Mélinda. Mais au lieu qu’elle la doigte comme je l’avais voulu, elle entreprit de me doigter moi. Non pas que cela me dérangeais hein ! Mais c’est juste que niveau préférence… Ho et puis zut. Toute cette excitation m’avais fichu dans un état lamentable, bien que je ne suis pas du genre à mouiller abondamment comme avait sûrement put remarquer Mélinda, j’étais suffisamment chaude pour ressentir certains besoins devenu insoutenable. Du moins qui auraient pu l’être pour le commun des mortels. C’était donc avec joie que je l’ai accueillie chez moi, si vous vous aussi vous arrivez à saisir la référence.

Sous un léger cri étouffé par ce qui cachait ma petite mais mignonne bouche, je m’étais mise à y aller un peu plus franchement. Tellement franchement même que j’avais pas tout de suite capté que j’avais placé un doigt dans la patronne. Franchement, à ce stade là, ça n’était plus qu’un détail, mais je dois avouer que j’aurais aimé un peu plus de lenteur. Paradoxalement, cela me fit beaucoup de bien d’être à la fois en haut et en bas en même temps sur elle. Je ne dirais pas que c’était défoulant, puisque ce n’étais pas vraiment du sport même s’il y a certains point commun avec le sexe, mais cela avait le mérite de me dépenser tout en profitant également de ce que je recevais. Non non, je ne parle toujours pas de sport !

- Très tentaculaire ce plan à trois…

Lorsque j’eût remarqué ma petite folichonade, oui ce mot n’existe pas et je vous emmerde, je n’ai pas hésité à y aller tout en profondeur avec notre patronne. J’avais remarqué qu’avec ce qui la cernait, sa position debout n’était plus vraiment adaptée à l’énergie qu’on lui pompait… Ou alors c’était dût à autre chose que je n’avais pas autant saisi que ses seins. Quoi qu’il en soit, j’avais reculé mon visage de là où il se trouvait, c’est-à-dire un des seins de Pepper, pour gémir un petit coup. Mélinda faisait bien sa part du boulot en bas et c’était jouissif à souhait, mais je me devais d’assurer également car je me sentais à la ramasse. Avec le bout de mes doigts, j’utilisais ma salive pour dessiner de petits cercles, et sans plus tarder je passais à de petits pincements avec mes ongles en faisant attention à ne pas faire mal. Je les avais suffisamment raccourcit pour ne pas couper avec, surtout que ça n’est pas vraiment pratique pour se masturber ou doigter une damoiselle.

- Nous devrions peut-être nous placer sur le lit. Nous serions plus apte à garder notre énergie…

Je proposais ça comme ça, et j’espérais qu’on allait suivre mes directives. Mais bon, dans le pire des cas, on ne bougerait pas et continuerais à faire ce que l’on fait hein !

Pepper, Mélinda, et Liléanne étaient toutes les trois en train de se faire plaisir, de s’explorer mutuellement, se préparant et s’échauffant pour la suite, que Liléanne matérialisa en demandant à aller sur le lit. Mélinda n’était évidemment pas contre, et, si Pepper était aussi favorable, elle avait aussi une autre idée.

« Commencez par y aller toutes les deux, mes chéries, je vous rejoindrais ensuite. »

En tant que pure Tekhane, Pepper avait aussi envie de se rincer l’œil, et, pour ça, il n’y avait rien de mieux que de regarder deux belles adolescentes en train de se faire l’amour. Et Mélinda et Liléanne étaient deux beautés magnifiques. Elle, Pepper, faisait physiquement plus âgée, et elle ne voulait pas gâcher l’harmonie du moment. La vampire, elle, n’y voyait en réalité aucun problème, car Liléanne était une très belle amante. Les deux femmes se redressèrent, et Mélinda joignit sa main dans celle de Liléanne, en lui souriant doucement.

Par la suite, les deux femmes se déplacèrent, Pepper leur ouvrant une porte. Ladite porte donnait droit sur une belle chambre, magnifique, avec un lit deux places. La pièce était grande, avec d’autres caméras. Mélinda sourit.

« Tu comptes nous filmer ?
 -  Bien sûr... Il y a aussi des caméras au plafond, sur les murs... De cette manière, nous pourrons faire un vrai film, avec différents points de vue. »

Cet endroit était un vrai studio de montage, et, depuis la chambre, Pepper le leur montra en ouvrant une porte sur la gauche, face au lit. Elle donnait au centre du studio, une sorte de salle informatique avec plusieurs ordonnateurs qui bourdonnaient, et de multiples écrans, montrant toutes les caméras. Plusieurs opératrices étaient là, et l’endroit était à l’image du reste du studio... Il y avait des vibromasseurs un peu partout, et les informaticiennes étaient en sous-vêtements, et venaient de se masturber.

Pepper se retourna ensuite vers les deux femmes.

« Allez... Prenez place les filles, et, si jamais vous voulez des accessoires... »

Pepper ouvrit un placard dans la chambre. Cravaches, menottes, vibromasseurs, ceinture-gode, gag-ball, colliers... Pepper, pour éviter les anachronismes, n’avait acheté que des sex-toys terriens.

« À vous de voir... On va dire que vous pouvez faire tout ce que vous voulez, ici.
 -  Tu nous fais confiance ? s’enquit Mélinda, avec une lueur amusée dans les yeux.
 -  Je fais confiance aux deux petites perverses que vous êtes... »

La séance de photo’ était bien éloignée, maintenant, et, en souriant, Mélinda alla s’asseoir sur le lit, et attrapa l’autre main de Liléanne, puis l’amena face à elle.

« Viens m’embrasser, ma chérie... »

Comment refuser une telle invitation ?

Ma petite proposition avait été bien accueillie, mais pas comme je l’entendais. Bien sûr, cette alternative de pouvoir y aller en duo avec Mélinda me plaisait. Mais j’étais quand même curieuse de savoir ce que notre patronne avait en tête. Main dans la main avec mon amante du jour, nous nous dirigions vers le dit lit, en me posant quelques questions futiles en cours de route. Notamment un éventuel lien que pourrait avoir ces deux femmes que je ne connaissais que très peu. J’avais remarqué qu’elles avaient parfois une espèce de code… Comme si elles avaient planifiées avec exactitude ce qui allait se dérouler une fois dans cette pièce. Comme si elles se connaissaient… Ho bien sûr, elles ont tout à fait le droit de se connaître, mais si c’est pour faire une espèce de cinéma dont j’étais la victime surprise, non merci ! Je pourrais peut-être essayer de m’échapper avant que cela dégénère, mais pour l’instant, ce que l’on faisait me plaisait trop pour que je m’en aille.

Arrive dans la pièce adéquate, je m’aperçût d’un tas de trucs et de machins que j’avais pas soupçonnés. En fait, c’était bien plus qu’une simple pièce destiné à tourner de petits spots publicitaires. Il avait des tas et des tas de caméra et d’assistantes. Plus que je ne pourrais certainement jamais en ranger dans mon appart’ ridicule c’est pour dire ! Et à en juger par ce qui traînait comme objet ici et là, plus les tenues de ces demoiselles et également ce qui trainait un petit peu partout, on avait fait quelques émois lorsqu’on était encore en plein débat ! Ce qui était un très bon point en mon sens !

- Hey j’aime bien la miss à gauche !

J’avais entraperçut une belle rousse typiquement pas japonaise, mais pas eu le temps de rajouter quoi que ce soit que l’attention était déjà retombée. Mélinda et Pepper reprenaient à discuter entre-elles. Et si j’oserais, je dirais que je n’avais pas été super attentive car il y avait une armoire ouverte avec plein de gadgets sexuels en tout genre… A croire qu’en réalité, tout avait été réellement prévu depuis le début. Encore que j’en avait pas grand-chose à cirer vu que ce genre de rebondissement est du genre qui me plait ! Brefouille, Mélinda s’était tournée vers moi, histoire que je l’embrasse. Bien entendu, c’est ce que je fis. Je l’ai prise par la taille pour mieux la ramener contre moi, et je lui ai ensuite roulé un patin d’enfer tout en la faisant basculer. Vous savez, comme dans les films avec un mec soit parfaitement ridicule, soit un vieux beau-gosse des années 70-80. Placée à l’horizontale quoi. Mais j’avoue que je n’avais pas trainé à la remettre droite vu ma musculature de mouche. Sinon, j’aurais finit par la lâcher pour la faire tomber.

- Corrige-moi si je me trompe mais… Tu n’es pas du genre à te faire cravacher, n’est-ce pas… ?

J’avais dis ça parce que... Enfin… Pour une fois que j’avais droit à tout un florilège de trucs et machins sexuels gratis sous la main, j’avais bien envie de les essayer. D’ordinaire, je ne devrais avoir aucun souci d’argent pour en acheter. Mais bon… Je n’y connais malheureusement pas grand-chose à ce niveau-là donc je laisse les copines amener leur propre matos quand elles en ont.

J’attendais la réponse de Mélinda, même si j’étais presque persuadée qu’elle ne serait pas du genre à vouloir ça. Au pire, ça serait moi qui prendrais.

Cette séance de photographie prenait un virage bien intéressant. C’est avec joie que la vampire suivait ce changement, qui se symbolisa définitivement quand, après leur avoir présenté tout un attirail de jouets, Pepper laissa les deux filles s’embrasser ensemble. Bien entendu, la vampire n’était pas contre l’idée d’une orgie, mais elle savait que, avec les Tekhanes (et elle était maintenant convaincue que toute cette organisation était organisée par des Tekhanes), rien n’était jamais joué. De manière plus générale, la vampire savait que la plupart des grands États terrans, au courant de l’existence des failles, avaient implanté des sociétés sur Terre, s’en servant pour couverture légale pour implanter ce qui, à leurs yeux, s’assimilaient à des colonies. Dès lors, il n’était pas impossible que cet atelier soit en réalité occupé à faire des produits  destinés au marché tekhan. Et, dans tous les cas, ceci n’empêchait nullement à Mélinda d’apprécier les baisers de Liléanne, qui alla même jusqu’à la faire pencher sur le côté.

La main de Mélinda s’appuya sur la nuque de la femme, tout en prolongeant leur intense baiser, sa langue jouant avec la sienne, ses yeux étant clos pour pouvoir apprécier au mieux cette situation.

« Hmmmm... »

Les baisers, c’était toujours agréable, et Liléanne redressa ensuite la belle Mélinda. Restant près d’elle, elle lui parla alors des jouets qu’elles avaient vues, notamment de la cravache. Ceci fit doucement sourire la vampire, surtout lorsque Liléanne proposa qu’elle la cravache. La vampire, les yeux pétillants de malice, s’en mordilla les lèvres. Visiblement, même Liléanne, qui, pourtant, ne la connaissait pas, semblait voir en elle davantage une dominatrice qu’autre chose. D’aucuns auraient pu arguer que cela venait de sa nature de vampire, une condition qui faisait que, inconsciemment, les humains sentaient la supériorité naturelle de la personne leur faisant face.

Mélinda, en tout cas, sourit, et répondit à la femme par un tendre bisou esquimeau, ce qui amena son nez à venir se frotter contre celui de la femme, tout doucement et tout tendrement.

« Oh, vraiment ? Tu aurais envie de me cravacher les fesses, dis-moi, hm... ? »

Ses propres mains vinrent, comme pour illustrer ce propos, caresser les fesses de la femme, les massant tendrement, les malaxant généreusement.

« Je peux tout faire, Liléanne, et j’aime beaucoup jouer avec des instruments de ce genre. Tu veux tenter ta chance sur moi ? Je t’y autorise... »

La force de Mélinda, c’est qu’elle se plaisait autant dans la soumission que dans la domination, car, après tout, elle était une ancienne esclave. S’il était vrai qu’on la voyait surtout dans le rôle de la Maîtresse perverse et moqueuse, elle pouvait aussi inverser les rôles.

« Je te laisse décider si tu veux que je sois ton esclave, ou ta Maîtresse... Le choix t’appartient, car tu me plais beaucoup, ma chérie... »

Elle lui sourit ensuite, et l’embrassa doucement dans le creux du cou...

...Tout en la mordillant un petit peu, comme pour lui faire un suçon.