Alice avait bien pénétré Shiro, et elle était assez fière d’elle, pour le coup. Mélinda l’avait bien formé, et être douée en quelque chose, même une chose aussi futile et commune que le sexe, restait tout de même quelque chose dont on pouvait se sentir honorée. Alice suçait donc ce gode rose avec plaisir, frissonnant au contact des mains de Shiro sur sa tête. Hum, que c’était agréable ! Sentir les mains douces, chaudes, mais non moins fermes, de Shiro sur sa tête, se crispant dessus. Qui aurait cru que cette belle infirmière puisse être aussi perverse ? Bon, en réalité, il suffisait de voir sa tenue de travail pour constater qu’elle était une belle petite coquine... Mais, même malgré cet élément, Alice savourait profondément ce moment. Profondément, oui... La queue de Shiro s’enfonçait longuement en elle, et Alice se retirait ensuite, ses mains se crispant sur ses belles fesses. Elle se laissait bercer par ce moment, jusqu’à ce que Shiro ne finisse par la repousser. Le gode était suffisamment lubrifié, maintenant, et prêt à usage.
Se mordillant les lèvres, la Princesse se laissa porter, et retourna sur le fauteuil médical. Quand Shiro lui demanda d’écarter les jambes, Alice s’exécuta, écartant les jambes, en se pinçant les lèvres. Que Shiro était belle ! Elle était déjà très belle, avec ses formes magnifiques, sa longue chevelure claire, son visage angélique, mais ce gode rose trempé se dressant entre ses cuisses la rendait encore plus attirante. Alice mouillait sur place, et avait les joues rouges, rougies par l’effort, mais aussi par un plaisir naissant et croissant qui était en train de bouillonner en elle, montant progressivement. Elle se pinça les lèvres quand Shiro capta son regard, et lui parla de choses impudiques.
« Oui... Oui, je veux le sentir en moi, me labourer les entrailles, me... Me défoncer la chatte. »
Le sexe avait ce pouvoir incroyable d’exercer sur les gens une fonction libératoire. Quand on était excitée comme ça, on avait plus de facilités à parler de manière crue, et, loin de se sentir choquée par l’emploi de tels mots, Alice n’en ressentait qu’une excitation supplémentaire. Elle se pinça donc les lèvres, et ses doigts s’approchaient de son sexe, caressant ses cuisses, dans une position obscène, uniquement destinée à soulager sa frustration et à exciter Shiro. Alice pouvait être très perverse quand elle le voulait, exactement comme en ce moment. Il fallait aussi avouer que Shiro l’avait plutôt bien échauffée, et que, maintenant, Alice était une véritable cocotte-minute sur le point d’exploser.
Désireuse de prendre des précautions, l’infirmière lui proposa néanmoins d’utiliser une culotte pour étouffer les bruits. Alice se contenta de sourire, n’ignorant pas la grande portée érotique de ce geste... Et une portée érotique, car Shiro n’était pas la première infirmière du lycée, et les murs avaient été insonorisés. Néanmoins, la jeune tête blonde n’allait pas refuser l’opportunité d’avoir la culotte de Shiro dans la bouche.
« Ça marche... »
Shiro lui envoya la culotte, qui heurta son ventre, et c’est à cet instant qu’Alice nota que ses mains tremblaient. En réalité, tout son corps vibrait d’une lente excitation, et elle s’empressa de partir la culotte. La jeune femme l’observa silencieusement, puis ouvrit sa belle bouche, et la prit, l’enfouissant contre ses lèvres. Elle frissonna à ce contact, car elle avait vu, juste avant de la prendre, des traces, des petits cercles indiquant la présence de cyprine. Elle en avait souri, avant de le prendre en bouche. La culotte ressortait, mais elle se débrouilla pour la prendre le plus possible, sans pour autant l’étouffer.
Alice reprit son souffle, et Shiro se rapprocha ensuite. Ses mains se posèrent sur les hanches d’Alice, et son gode caressa ses cuisses. Alice se crispa, ferma les yeux... Puis l’infirmière rentra en elle.
« Hmmmmmmmmmmmm... !! »
Alice soupira longuement, et se tortilla sur le lit... Si tant est qu’on puisse qualifier cette banquette de « lit ». Shiro remuait en elle, la pénétrant joyeusement, et Alice... Oh, bon sang, que c’était bon ! Les mains de Shiro se posant fermement sur ses hanches, et tout son corps remuant contre elle, d’avant en arrière, tapant dans son corps. Shiro se pencha ensuite contre elle, et continua ses mouvements, amenant Alice à se demander si elles n’allaient pas tomber toutes les deux, ou si la banquette allait pouvoir les supporter. Les deux corps en transe remuaient ensemble, en profonde harmonie. La main d’Alice s’appuyait sur ses cheveux, et l’autre pelotait ses fesses.
Elle se crispait contre elle, sous son corps, gémissant et couinant, tout en sentant le gode rose de la femme continuer à la labourer. La Princesse soupirait donc, encore et encore, toujours, se mordillant les lèvres en éclatant de plaisir sous les vagues que Shiro lui offrait... Puis son orgasme éclata, au bout de multiples minutes d’ébats et de soupirs. Elle mordillait sa culotte en basculant sa tête en arrière, et l’une de ses jambes bascula dans le vide, alors qu’elle balançait tout un tas de mouille, traversée par un immense orgasme, un orgasme qui la souleva de part en part.
Ah, ça avait été si bon ! Elle resta étalée sur la banquette médicale, en sueur, voyant Shiro se retirer d’elle, puis retirer sa ceinture-gode, ce qui permit de faire tomber tout un tas de mouille sur le rebord de la banquette. La Princesse ne put que sourire, les joues rougies, sa poitrine se soulevant et s’abaissant lentement, au rythme de ses profonds battements cardiaques.
Shiro lui avoua ensuite avoir bien son pied, et Alice, qui soupirait, sourit alors, en hochant la tête.
« Oh, ça... Je dirais que tu as un don inné pour soigner tes patientes, ma chérie, je me sens... Si heureuse, si épanouie... »
C’était le moins qu’elle puisse dire.