Petit bobo et révélation [Shiro Ishimi]

C'était le genre de journée qui commençait bien et se terminait mal pour Miya. Aujourd'hui, elle avait eu cours d’athéisme, le genre de sport où elle excelle en temps normal et où il n'y a généralement pas grand chose à déclarer. Habituellement, elle se contentait de courir sous les encouragement de ses amis et les sifflements des garçons, notamment à cause de sa poitrine qui remuait à chacune de ses enjambées. Sauf que cette fois-ci, un des garçons contre qui elle courrait l'avait bousculé au moment où elle le doublait. Résultat, Miya s'était vautrée sur la piste et avait finie avec la une grosse douleur à la cheville et tout l'avant bras droit éraflé.

L'élève c'était donc retrouvé dans le bureau directorial, tandis qu'elle même était sur un lit de l'infirmerie. Cette dernière étant absente, elle se tenait le bras dans une serviette humide, sa cheville posée sur une chaise devant elle, gémissant de douleur.

* Bordeeeeel.... Pourquoi ça m'arrive ? Et elle fout quoi l'infirmière ? *

D'habitude, la paperasse n'est que la partie ennuyeuse du travail d'infirmière de Shiro, qu'elle compense par tous ces ''examens médicaux'' dont l'administration n'a pas besoin d'être informée. Mais aujourd'hui, elle allait se mettre à empiéter sur cette partie agréable.

Alors qu'elle portait une pile de listes de commandes de médicaments au bureau de l'intendance, elle croise une élève qui lui dit qu'une de ses amies s'est blessée en cours de sport et qu'elle attend à l'infirmerie pour se faire soigner. En entendant ça, la jeune femme augmente la cadence pour aller au plus vite donner les feuilles, remplir encore un peu de paperasse pour confirmer qu'elle les a bien données, puis retourner rapidement à son infirmerie en pestant à voix basse contre la lenteur de la bureaucratie.

Une fois arrivée, elle entre sans prévenir et trouve, assise sur un des lits, la jeune fille blessée. Une jeune fille au corps fin et légèrement musclé, avec un visage tout rond et tout mignon, une chevelure brune et courte, de grands yeux dorés, une peau lisse qui incite aux caresses, une poitrine bien fournie et des fesses de rêve. Son physique réveille l'instinct de chasseuse de Shiro, qui voit en cette nouvelle patiente une partenaire des plus agréables. Mais d'abord, elle doit faire son travail et soigner les blessures de cette pauvre petite, qui semble avoir fait une mauvaise chute sur la piste de course.

L'infirmière vient s'asseoir au bord du lit.

« Bonjour. Je suis Shiro, l'infirmière du lycée. Tu peux me dire comment tu t'appelles, s'il te plaît ? »

La lycéenne lui répond qu'elle s'appelle Miya. Tachibana Miya.

« Enchantée Miya. Tu permets que je jette un coup d'œil sur tes blessures ? »

Shiro enlève délicatement la serviette humide qui recouvre le bras de sa patiente et l'incite à s'allonger et à poser sa cheville blessée sur le lit afin qu'elle soit confortablement installée. Elle observe d'abord la blessure au bras.

« C'est une sacrée plaie. Comment tu t'es fait ça ? »

Miya lui explique qu'un garçon l'a faite tomber en cours d'athlétisme, pendant qu'elle le dépassait.

« Pas très intelligent de sa part. J'espère que le proviseur s'occupera bien de son cas.
Ne bouge pas, je vais chercher du désinfectant. »

L'infirmière se lève pour aller chercher de l'antiseptique dans son armoire à pharmacie, et en profite pour réfléchir à comment elle pourrait charmer cette jeune fille. L'avoir à coups de caresses comme avec Anaé ? Y aller directement comme avec Alice ? Lui faire avaler des aphrodisiaques comme avec Mai ? Il y a tant de possibilités qu'il est difficile de choisir. Elle finit par se décider à attendre un peu et à observer les réactions de sa patiente pour prendre la décision la plus judicieuse.

Elle revient vers Miya avec un coton, une bouteille de désinfectant et une compresse froide pour sa cheville. Elle enduit le coton de désinfectant.

« Bien. Serre les dents, ça va piquer un peu. »

Shiro applique l'antiseptique sur la blessure et, effectivement, la lycéenne en tremble. Heureusement, ça ne dure pas longtemps. Après avoir nettoyé la plaie, l'infirmière passe ses doigts sur la cheville de sa patiente pour juger des dégâts, mais aussi pour observer sa réaction face à ses caresses. En même temps, elle utilise sa voix d'E.S.P.er.

« Ça te fait mal ? »

Miya était donc là, sur le lit de l'infirmerie, à souffrir en silence, jusqu'à l'arrivée de l'infirmière. Lorsque celle-ci entra, l'élève haussa un sourcil en voyant sa tenue. Oh, elle était jolie et assez sexy dans l’ensemble, là n'était pas le problème, mais... les oreilles de bunny, ça fait pas super professionnel, si ? Enfin bref, elle se présenta et expliqua ce qui lui était arrivée à la femme, qui alla chercher du désinfectant. Une vive douleur la saisit lorsqu'elle appliqua le produit sur ses plaies, et une longue plainte, presque féline, s'échappa de ses dents serrées, des larmes coulant sur ses joues. C'est que ça piquait vachement ce truc à la con !

Elle promena ensuite sa main sur sa cheville, lui arrachant de nouvelles douleurs, et Miya regarda méchamment l'infirmière, comme un chat s’apprêtant à sortir ses griffes. Pour le coup, elle était totalement insensible au charme de la femme.

- Ça te fait mal ?

- Nan, ça chatouille ! A votre avis ?

Apparemment, Miya n'est pas encore sensible aux charmes de Shiro, elle se montre même assez agressive envers l'infirmière. Mais cette dernière, loin de se laisser décourager pour si peu, préfère pendre cela sur le ton de la plaisanterie, en se disant en elle-même que ce n'est que le début et que, très vite, cette jeune fille lui tombera dans les bras, comme toutes ses camarades avant elle.

« Je vois. Pardon si je t'ai fait mal.
La bonne nouvelle, c'est que ta cheville n'est pas cassé. La mauvaise nouvelle, c'est qu'il va falloir que tu voies un médecin pour vérifier s'il s'agit simplement d'une foulure ou s'il y a plus que ça. Je vais appeler tes parents pour qu'ils viennent te récupérer. En attendant, essaie de te reposer. »

Shiro se lève du lit pour aller à son bureau, prendre son téléphone portable et appeler le numéro contenu dans le dossier médical de Miya à contacter en cas d'urgence. Une fois en ligne, elle explique calmement à la mère de sa patiente ce qui s'est passé et demande s'il est possible de venir la récupérer. Une fois la conversation finie, elle raccroche son téléphone et retourne voir la lycéenne.

« Bien, j'ai eu ta mère au téléphone. Elle a dit qu'elle passerait te prendre dès que possible. En attendant, je vais rester ici avec toi. »

L'infirmière voit que sa patiente est toujours en proie à la douleur à cause de sa cheville et décide d'intervenir en allant piocher dans son armoire à pilules, de laquelle elle sort trois comprimés blancs, qu'elle amène à la lycéenne avec un verre d'eau.

« Tiens, avale ça. Ce sont des calmants, ça te fera oublier un peu la douleur à la cheville. »

Ce que Miya ne sait pas, c'est que l'un de ces trois cachets contient une petite dose d'un aphrodisiaque magique crée par Tessia, qu'elle lui a demandé de tester sur une de ses patientes pour voir le résultat. Si les effets escomptés sont les bons une fois le comprimé ingéré, cette patiente devrait passer de ''toutes griffes dehors'' à ''douce et agréable chaleur''.

Bon, selon l'infirmière, sa cheville n'était pas cassée, mais il fallait tout de même qu'elle aille voir un médecin pour passer un scanner. Honnêtement, si Miya revoyait le type qui l'a mise dans cette état, juste par dépit de perdre face à elle dans une course, elle jurait de lui faire passer un sale quart d'heure. La lycéenne regarda l'infirmière s'éloigner ensuite pour téléphoner à sa famille et pesta dans son coin. Elle lui avait désinfectée ses plaies, mais n'avait pas pensée à les bander. Du coup, elle avait encore sa longue éraflure au bras à l'air libre et n'osait pas trop le bouger, pour éviter qu'il ne frotte contre quelque chose et ne de lancée de nouvelles douleurs.
Finalement, elle revint quelques minutes plus tard.

- Bien, j'ai eu ta mère au téléphone. Elle a dit qu'elle passerait te prendre dès que possible. En attendant, je vais rester ici avec toi.

Miya hocha la tête tandis que l'infirmière s'éloigna de nouveau pour prendre des comprimés et revenir vers elle, en précisant que ce sont des calmants. Elle qui allait lui dire que son bras faisait tout aussi mal que sa cheville, ravala ses paroles. Au moins, elle n'aura plus mal du tout pendant un temps. Elle les pris donc et les avala sans poser de questions, avec un verre d'eau pour mieux les faire passer. Après quoi elle pris un ton un peu penaud.

- ... Merci...

Miya s'allongea ensuite sur le lit, essayant de s'installer au mieux. La femme le remarquera sans doute, mais la jeune fille se lova plus qu'elle ne s'allongea, un peu à la manière des félins. D'ailleurs, depuis le début, son comportement évoquait d'avantage un chat sauvage qu'une humaine...

Tout de suite après avoir pris les calmants, Miya change de ton envers Shiro, qui ne peut que s'en réjouir. Elle regarde ensuite la jeune fille s'installer dans le lit pour se reposer, mais remarque qu'elle est plus en train de s'allonger comme le ferait un chat plutôt que comme une humaine. A cet instant déjà, son intérêt pour cette patiente est sollicité. Ne pouvant résister à la tentation, elle attend un peu de la voir s'assoupir et viens s'asseoir sur le bord du lit pour caresser le sommet de sa tête. En réponse, Miya se tortille et gémit très doucement.

Sans doute les effets de l'aphrodisiaque de Tessia... Mais j'ai l'impression qu'il y a autre chose.

Quelque chose chez cette fille est hors-normes, et ça n'a rien à voir avec son incroyable poitrine, ou avec son fessier que l'infirmière suppose aussi bien fourni. Sans pouvoir expliquer précisément pourquoi, Shiro est sûre que cette demoiselle cache un secret aussi bizarre que ses pouvoirs d'E.S.P.er ou le fait que Tessia soit une succube. Et l'aphrodisiaque conçu par cette dernière, que l'adolescente a ingéré avec ses calmants, pourrait bien aider à percer ce secret. Il faut juste la mettre dans de bonnes dispositions.

Shiro s'amuse à la titiller dans son sommeil, curieuse de voir comment cela va influencer son inconscient, et surtout sa réaction au réveil. Gentille petite fille douce ou chatte sauvage prête à hurler et à se débattre ? Ou peut-être même un intermédiaire.

Miya en réalité, ne dormais pas vraiment, mais était juste en train d'essayer de se relaxer. Petit a petit, les calmants faisaient effet et la douleur disparaissait, pour laisser la place à une douce chaleur. Cela ne l'interloqua pas pour autant. D'une part, même si elle était encore vierge, il lui était déjà arrivé de se caresser ou de pratiquer la sodomie. Et ensuite, de part son côté félin, la jeune fille était très friande de caresses et de câlins. Aussi, elle mît ses chaleurs sur le compte des douces grâtouilles que l'infirmière lui prodiguait sur le haut du crâne, la faisant doucement ronronner.

- Mwrrrrrr... Mwrrrrrrrraaa...

Au fil des minutes, Miya sentit sa température augmenter, ses tétons et son clitoris pointant sous leur barrière de tissu. Transpirant doucement sur le lit, elle remua faiblement, avant d'attraper soudainement la main de la femme et de la fixer comme un chat.

- Grouuuw.... J'ai chaud... Caresse moi là... Mais pas touche à mon hymen...

Et elle déplaça la main de l'infirmière jusqu'à son intimité.

Shiro s’amuse avec Miya pendant quelques minutes, puis cette dernière se réveille et attrape la main de l’infirmière d’un seul coup pour la porter à son intimité, lui demandant de la caresser sans toucher à son hymen.

« Oh… d’accord. »

L’infirmière ne peut que s’étonner de voir un changement de comportement aussi radical chez sa patiente, mais elle met ça sur le compte de l’aphrodisiaque expérimental de Tessia et fait passer sa main sous le short et la culotte de Miya pour aller titiller son intimité déjà humide. Amusée par la situation, elle use de ses pouvoirs pour attiser encore plus le feu intérieur de la demoiselle.

« Ton clitoris est déjà tout dur… »

Sa main libre passe sous le t-shirt de la lycéenne pour venir peloter un de ses seins.

« Et ta poitrine n’est pas en reste non plus. Je te fais tant d’effet que ça ? »

Elle vient même lécher et mordiller une de ses oreilles pour lui donner encore plus de plaisir.

Une main contre sa poitrine, l’autre récoltant sa mouille, Shiro contrôle totalement le corps de la demoiselle, et il ne faut pas longtemps avant de la sentir jouir. La mouille contre ses doigts, le cri poussé, son corps qui tremble de partout… que de plaisir pour l’infirmière. Seulement, elle ne peut pas s’attendre à ce qui suit la jouissance de Miya.

- Ton clitoris est déjà tout dur… Et ta poitrine n’est pas en reste non plus. Je te fais tant d’effet que ça ?

- Nyaaa~ C'est pas çaaa...

Lorsqu'elle était en état d'excitation avancée, Miya ne se contrôlait plus beaucoup et laissait d’avantage s'exprimer ses instincts félins. L'infirmière vint à caresser délicatement sa fleur intime tout en venant titiller un de ses tétons, avant de malaxer un de ses seins de son autre main. La jeune fille sentit sa température corporelle augmenter un peu plus et se tortilla sur le lit, gémissant délicieusement, se laissant complètement faire. Déjà très câline et sensible aux caresse, les médicaments et le doigté de la femme, chauffait ses sens au rouge. De fait, Miya était aussi chaude qu'une femelle ayant ses chaleurs. Et bien évidement, sous l'effet de l'aphrodisiaque, elle ne tarda pas a avoir un puissant orgasme, son corps se cambrant et se soulevant tandis qu'elle expulsait quelques jets de mouille brûlante sur les doigts de l'infirmière.

- Nyâââââââââââ~ ♥

La lycéenne venait de perdre le contrôle et, inévitablement, son corps changea tout le long de sa jouissance. Ses oreilles devinrent félines, se déplaçant au sommet de son crâne, une queue caudale poussa au dessus de son fessier et, surtout, une douce fourrure orangée et beige remplaça son épiderme. Pour parachever la métamorphose, ses pupilles devinrent verticales et de petit coussinets apparurent dans ses paumes et sous la plante de ses pieds. Ainsi, ce n'était plus une humaine, que l'infirmière avait sous les yeux, mais une jolie et jeune tigresse furry, à moitié assoupie et encore tremblante de son orgasme. Lorsqu'elle repris ses esprits, Miya la regarda de ses yeux dorés, avant de se retourner et se mettre à quatre pattes, le cul redressé, écartant ses fesses à l'aide d'une patte pour lui montrer sa petite rondelle.

- Graaaw... Je suis toute chaude à cause de vous... Faut vous occuper de moi maintenant... Sensei...

Sans qu'elle ne s'y attende, Shiro voit Miya se transformer peu à peu sous ses yeux jusqu'à devenir une magnifique tigresse furry. Bien que surprise, elle ne dit pas un mot et se contente de regarder. Quand sa patiente reprend ses esprits, elle la regarde rapidement avant de se mettre à quatre pattes sur le lit, le cul bombé et les fesses écartées.

- Graaaw... Je suis toute chaude à cause de vous... Faut vous occuper de moi maintenant... Sensei...

L'infirmière jubile intérieurement de cette évolution de la situation. Elle approche tranquillement, pose une main contre ses fesses et fait glisser l'autre contre son ventre, remontant peu à peu vers son menton.

« Si on m'avait dit que je ferais l'amour avec une tigresse aujourd'hui... »

Même si ce n'est pas la chose la plus insolite qui lui soit arrivé, c'est quand même une situation inédite, autant bien en profiter. Shiro fait des grattouilles sous le menton à Miya, un point qu'elle sait sensible chez les félins, tandis qu'elle suce les doigts de son autre main pour les introduire plus facilement dans la rondelle de la demoiselle. Étonnamment, cette entrée supposée étroite se révèle facile d'accès, et l'infirmière arrive à y rentrer deux doigts très facilement.

« Oh, ça rentre si facilement. »

Elle penche son corps en avant pour pouvoir murmurer à l'oreille pointue de la tigresse avec sa voix d'E.S.P.er.

« Je parie que tu as l'habitude de te mettre des choses entre les fesses, n'est ce pas ? »

Une petite tigresse sodomote… la journée s'annonce intéressante.

A force de doigter l'anus de Miya, Shiro la voit s'abandonner à un nouvel orgasme. Elle retire alors ses doigts de sa rondelle et les présente devant sa bouche en utilisant ses pouvoirs.

« Lèche mes doigts ma petite chérie. »

Histoire de voir si la petite chatte sort encore les griffes ou si elle est toute douce maintenant qu'elle est en chaleur.

- Si on m'avait dit que je ferais l'amour avec une tigresse aujourd'hui...

Miya pouvait dire la même chose. A aucun moment dans la journée, elle n'avait prévue de s'envoyer en l'air avec l'infirmière et à lui dévoiler son secret. Elle était pourtant bien là, à lui offrir tendrement son petit cul alors qu'elle était chaude et que sa fleur intime était trempée de mouille. En vérité, elle se fichait complètement qu'elle l'ait vue sous sa forme de furry à présent. La tigresse avait juste envie de sexe et de ressentir du plaisir. Aussi se mit-elle à soupirer doucement, poussant de petits miaulements mignons tandis que la femme remonta sensuellement le long de son ventre, contournant ses seins pour finalement grattouiller sous son menton, ce qui la fit aussitôt ronronner bruyamment. Et plus particulièrement lorsque l'infirmière pénétra deux doigts dans sa rondelle.

- Mwrrrrrrrrrrrraou~

- Oh, ça rentre si facilement. Je parie que tu as l'habitude de te mettre des choses entre les fesses, n'est ce pas ?

Sa voix est tellement sensuelle à ses oreilles, que cela la mit en confiance immédiatement. Et ce fut entre deux soupirs, d'un plaisir intense, qu'elle lui répondit.

- J'ai... Haaaan... J'ai l'habitude... d'y mettre des jouets aussi épais... qu'un bras... Haaaan... Quand c'est pas Onisan qui m'encule... Grouwwwww~

Jusqu'à présent, seul son grand frère l'avait pénétré avec son membre. Il avait été son seul et unique amant. Vu sa particularité, qui se révélait lorsqu'elle avait un orgasme, c'était avec lui que Miya avait connue les plaisirs de la chair. Si elle ne parvenait pas à briser sa malédiction, il faudrait bien qu'elle assure la descendance et elle devait trouver quelqu'un de confiance, qui ne s'enfuirais pas, de peur ou de dégout, en voyant une tigresse dans son lit. Mais comme toutes les jeunes filles de cette ville, la lycéenne n'avait pu attendre et avait donc craquée, surtout qu'elle voulait alors savoir ce à quoi elle ressemblait en furry.

C'était donc plus par curiosité - puis parce qu'elle aimait être une tigresse - que par perversion qu'elle avait pratiquée le sexe dans ses débuts. Puis seulement ensuite elle avait été pervertie par son frère. Mais pour le moment, elle ne pensait à rien de tout cela. Seul l'instant présent et l'immense plaisir qu'elle ressentait étaient important. Les minutes défilèrent, son plaisir se fit de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle ait un nouvelle orgasme, arrosant généreusement les draps du lit tout en se cambrant délicieusement.

- Nyuuuuuuuuuuu~ ♥ Haaaaa..... Haaaaaaa....

Yeux plissés et bouche grande ouverte avec la langue pendant mollement sur l'oreiller, Miya se sentait de plus en plus excitée et, lorsque la femme lui demanda de lécher ses doigts, la jeune fauve ne se contenta pas de les lécher, mais elle les engloba tendrement pour faire tournoyer sa langue autour en soupirant. Mais deux doigts, ce n'était pas assez pour calmer ses ardeurs, il lui fallait plus...

Quelque chose de beaucoup plus gros dans son fondement.

La demoiselle qui avait été si agressive à son arrivée est maintenant douce comme un chaton, et tellement obéissante qu’elle ne se contente pas de lécher les doigts de l’infirmière, elle les prend complètement dans sa bouche pour pouvoir les sucer et passer sa langue tout autour. Shiro se régale en observant le spectacle puis, quand elle fait enfin sortir ses doigts, elle décide de passer à la vitesse supérieure avec cette patiente déjà bien assoiffée.

« Puisque tu as déjà l’habitude de te faire enculer, autant s’y mettre dès maintenant. En plus, il ne faudrait pas que ta maman nous surprenne en pleine action. Alors je vais aller prendre de quoi te faire miauler, mon chaton. »

La jeune femme se rend dans l’une des salles de bains adjacentes à l’infirmerie, utiles pour pouvoir faire l’amour dans un cadre plus intimiste, et se dirige vers un placard, duquel elle sort un magnifique gode-ceinture rose en plastique et une bouteille de lubrifiant aphrodisiaque goût fraise. Quand elle revient présenter le tout à Miya, elle la voit trémousser le bassin d’impatience. C’est une bonne occasion pour la femme d’utiliser ses pouvoirs.

« Si tu veux cette jolie chose dans ton cul, il faut d’abord le mériter. Et pour commencer… »

Elle se met à genoux devant sa patiente et soulève le bas de sa tenue d’infirmière, dévoilant sa culotte déjà humide.

« … il faut que tu me fasses mouiller encore plus pour que je puisse rentrer le gode intérieur dans mon intimité. Je veux sentir ta petite langue de chaton contre ma vulve. »