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La chevauchée fantastique (PV Lumna)

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

La chevauchée fantastique (PV Lumna)

dimanche 22 janvier 2023, 23:47:29

14h. Le bus rentre à l’hôtel par des vieux chemins de montagne. C’est interminable…

J’avais passé l’étape des demi-finales sans grand mal finalement, mais n’avais réussi à calmer mes ardeurs depuis ce soir-là, y a quelques jours. De jour comme de nuit, mes pensées n’avaient eu de cesse de dériver. J’y pensais constamment.

Lumna. Cette grande et plantureuse blonde, son corps, ses formes… son sourire. Ses cris. Ses cris…
Ce moment passé en sa compagnie, ce soir où, semblant de rien, elle m’avait arrachée ma virginité pour m’ouvrir les portes d’un monde… tout fait de chair, de rebonds, de caresses et d’intense orga-… bien-être. D’intense bien-être. Tout ça m’avait occupé l’esprit à chaque instant, m’avait fait baisser ma garde dans les mauvais moments, ce qui m’avait bien sûr valu les remontrances de mon entraîneur.

Passant le plus clair de mes journées avec une érection monumentale, j’avais dû me cacher aux toilettes plusieurs fois par jour durant la compétition. J’avais beau me vider presque toute la nuit durant, tout cela ne servait à rien tant revoir ne serait-ce que des cheveux blonds me ramenaient irrémédiablement à tout ça. Le soir, je sortais en douce et errais jusque tard dans les parties communes de l’hôtel en espérant la recroiser… retrouver la douceur de ses cuisses pour m’y blottir jusqu’à épuisement. Mais, au bout de cinq jours… rien. Pas le moindre signe ni la moindre nouvelle. Nous nous étions quittés comme ça, si vite…
Si seulement je lui avais donné le numéro de ma chambre ou… qu’elle m’avait donné le sien.

J’aurais passé mes nuits à lui faire l’amour, à lui faire… tout ce qu’elle veut. Fatigué, je l’aurais sûrement été et en aurait payé les frais mais… raaaah, ç’aurait été si bien !

Heureusement pour moi, aujourd’hui n’avait été qu’une demi-journée de compétition, du fait des intempéries à venir, annoncées à la météo plus tôt ce matin. J’allais pouvoir me reposer. Dormir un peu ou… penser à elle, seul dans ma petite chambre. J’allais au moins avoir l’occasion de souffler. Du fait de mon classement actuel, je savais déjà que mon entraîneur me ficherait la paix et ça… c’était pour le mieux.

Le bus s’était enfin garé et… je m’étais endormi.
Tout le monde était déjà descendu et il avait fallu l’intervention de mon professeur pour que je sorte de mon sommeil profond. Agacé, il m’avait répété ce qu’il avait déjà dit aux autres, à savoir que nous avions quartier libre pour la journée, en attendant qu’on en sache plus quant à la météo. Il était inquiet à l’idée que nous restions bloqués là et que la compétition finisse par être reportée, mais, quant à moi… je devais avouer que pour la première fois de ma vie, le judo n’était en rien ma priorité.

Le remerciant de ses bons soins, je descendais, mon sac sur le dos. Je repassais par ces sources chaudes, l’air pensif, et rentrais vite me mettre au chaud. Je contournais l’accueil et l’accès direct vers nos chambres, préférant faire un détour par un second couloir pour éviter l’attroupement formé par mes camarades.
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 1 lundi 23 janvier 2023, 20:10:33

Avançant à pas légers, la tête encore dans la lune au beau milieu de couloir désert, ne menant qu’à des chambres bien loins de la mienne, je ne me laisse que trop surprendre par ce cri soudain.
Je reconnais aisément cette voix, mais n’ai même pas le temps de me retourner que déjà, me voilà plaqué au mur.

Heureusement d’ailleurs qu’elle s’était annoncée une seconde plus tôt, auquel cas mes réflexes auraient pu ne pas être les mêmes. Mon coeur fait un bond dans ma poitrine, mais pas le temps d’adresser le moindre sourire…

C’est elle !
Je l’aperçois à peine que Lumna se jette sur moi à corps perdu. Ses deux gigantesques seins comprimés dans sa robe débordent presque alors qu’elle se presse tout contre moi. Sa bouche happe la mienne avec ardeur et, déjà, ses mains parcourent mon torse, glissent sur mon t-shirt, descendent sur mes hanches.

« Mmh ! »

Mon cerveau a à peine le temps d’imprimer qu’il me faut réagir. Son corps contre le mien me renvoie instinctivement à ces images d’elle nue, gravées dans ma mémoire. Mes mains se posent sur son visage que je dépasse d’une bonne tête au moins. Mes lèvres se scellent aux siennes en réponse de ses baisers… ma langue vient chercher la sienne, joue longuement avec, s’enroulant, se déroulant…

« Madame… L-Lumna… »

À l’image des ses mains baladeuses, les miennes n’en sont vite pas en reste non plus. Glissant longuement dans son dos, elles viennent bien rapidement, en hâte, pétrir son cul énorme. Mes doigts s’enfoncent à travers le tissu de sa robe, malaxent vigoureusement. Mes yeux s’entrouvrent et je m’assure que nous sommes seuls.

Ses mains sur mes hanches me font déjà frémir et, certain maintenant que nous ne sommes que deux, je fonds vite à leur rencontre. Hâtivement je déboucle ma ceinture, me saisis de ma braguette que je tire vers le bas. Une main sous mon jean passe vite à la recherche de ce que je veux tant lui offrir… et je m’en saisis.

D’un coup d’un seul, au beau milieu de ce couloir, j’extrais de mon pantalon ce colosse encore mou pour l’agiter devant elle.

« Haaa… moi non plus… »

Cela fait, je me raccroche à ses courbes vertigineuses, la tirant à moi. Je retourne masser ses fesses, dévorer sa bouche…
Cinq de mes doigts viennent enserrer les siens, tirant sa main vers le bas, plus bas. J’ai tellement envie de la sentir. Qu’elle m’empoigne.

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 2 lundi 23 janvier 2023, 23:34:12

Ô comme elle m’avait manqué…
Elle me donne si chaud, me donne tant envie d’elle. À peine s’est-elle pressée contre moi que je n’aspire désormais plus qu’à arracher ses vêtements pour la bouffer toute crue.

J’aime sa façon de se coller à moi, de me caresser. Et j’aime encore plus celle qu’elle a de prendre ma queue dans sa main, qui semble si petite en comparaison… Coquine et joueuse. Je me régale de lire dans ses yeux la même gourmandise que la fois dernière, alors qu’elle louche sur mon sexe lorsqu’elle se met à me branler. Ses yeux s’illuminent comme je soupire déjà d’aisance lorsqu’elle couvre et découvre mon gland que ses doigts fins triturent avec amusement.

« H-hum… ok. »

Je n’ai pas le temps d’être déçu à l’idée de ne pas la baiser là, sur place, tout de suite, qu’elle me tire jusqu’à l’ascenseur d’à côté, me plaquant là encore contre ses portes.
Ses doigts retournent se serrer plus fermement autour de ma verge pour l’astiquer, m’offrant une délicieuse branlette l’espace de longues secondes, pendant lesquelles nous observons tous deux avec appréhension la possible arrivée d’un invité inopportun. Mais personne ne vient. Ma queue gonfle doucement entre ses doigts, lourde mais bien molle encore. Aaah, c’était tellement mieux quand c’était elle qui s’en chargeait…

« Mmmh… oh, comme ça. Oui, juste là. Là. »

Ses lèvres effleurant la naissance de mes pectoraux ne me donnent que plus chaud. J’aime tellement ce qu’elle fait avec sa bouche…
Bien sagement je la laisse s’occuper de moi, restant bien plaqué contre les portes de métal jusqu’à leur ouverture soudaine. Je la laisse me pousser en arrière, prends appui contre ces nouvelles parois qui s’offrent à moi, avant de l’admirer, bouche bée, quand elle se laisse tomber devant moi. C’est exactement ce dont j’avais envie, là maintenant. La voir comme ça, juste au-dessous de ma bite, avoir une telle vue sur son décolleté si profond.

Je décalotte à peine mon gland qu’elle vient l’embrasser.
Je frémis.

« Oooh. Moi aussi Madame… j-j’ai pas arrêté. Toutes les nuits aussi. Surtout la nuit, dans mon lit. »

Sa langue vient laper mon gland d’un gros trait qui me fait bondir. Puis elle s’agite, tourne longuement autour. Mes mains se crispent contre les parois latéral du petit ascenseur, mes jambes s’arquent, se raidissent.

À la regarder comme ça, je me sens déjà chose, animal.
Attrapant la base de mon engin dressé à moitié, encore agile et flexible, je viens le lui secouer au nez, ma bouche entrouverte lâchant quelques petites souffles chauds.

« Est-ce que… ma bite vous a manqué ? »

Agitant mon gland, je le fais rebondir contre sa petite langue pendue, tout en cherchant de mon autre main les boutons de l’ascenseur. Je tâtonne, incapable de détourner mes yeux de pareil spectacle.
Je frotte ma queue sur la langue, l’agite de gauche à droite pour effleurer ses joues.

« Quel étage ? »

Fléchissant doucement les jambes, j’entame quelques petits va-et-vient à l’aide de mon bassin pour lui faire comprendre, faisant avancer et reculer sans cesse l’épaisse pointe de ma verge sur sa belle langue baveuse.

« J-je… je peux bloquer les portes ici un peu si… si hum… »

Regardant ailleurs, un peu hésitant, je mets quelques secondes avant de revenir à son regard insistant.

« Est-ce que vous voulez la sucer ? »

Levant ma verge pour attirer son attention sur mes bourses pleines et enflées au possible, je reprends :

« Il y en a encore beaucoup pour vous… »
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 3 mardi 24 janvier 2023, 20:09:48

Elle jouait. Le regard brillant, lubrique, Lumna avait tout l’air de s’amuser. Je soupirais bien fort pour ces petites cloisons pas bien épaisses, mais ne pouvais m’en empêcher tandis qu’elle gobait dans sa bouche chaque parcelle de ma queue qui pouvait bien passer par là. Tel un chat devant son jouet, elle s’agitait, sautillait sur ses genoux pour m’attraper… elle agitait sa langue sur tout le pourtour de mon gland qui palpitait déjà et parvenait bien vite à me faire tourner la tête.

Mes doigts ayant enfin trouvés les boutons de l’ascenseur, je n’eus d’autre réflexe que d’appuyer par automatisme, dès lorsqu’elle voulut bien m’annoncer quel étage serait notre arrêt.

Mais ses mains tiraient bien trop fort sur mon jean qui ne tarda pas à tomber sur mes chevilles. M’appuyant là où je le pouvais, je me laissais presque tomber, m’adossant pour ne lui tendre que mon bassin, les genoux à moitié pliés.

« Haaaaaa… »

Sa main vint soupeser l’une de mes couilles, la malaxer doucement pour ensuite la faire rencontrer sa jumelle… Elle me palpait longuement, m’offrant des caresses délicieuses, qui ne tardèrent pas à me faire bander toujours un peu plus.

« D-d’accord… alors… faisons ça… »

Mes yeux, fermés qu’un bref instant, reviennent s’entrouvrir doucement pour la regarder à l’œuvre. Doucement. Tout doucement, je la vois ouvrir grand… placer mon gland, si gros, contre sa langue si fine. Je frémis… me mords les lèvres… puis disparais, fonds.
Tout en douceur, le bout de ma pine se fait une place dans sa bouche étroite, gonfle ses joues, les raclent en se frottant à sa langue.

« MMMH !!! »

Puis elle me branle.
Sa petite main enserre à peine une demi-largeur de ce gros chibre qu’elle agite entre ses doigts et pourtant elle le fait si bien. Mon gland entre et sort lentement, dans des bruits de succion déjà sonores et savoureux. Je trépigne, tape du pied, les cuisses trop contractées…

Je ne tarde pas à durcir dans sa petite main, mes veines se mettant à gonfler, ma queue à enfler vivement. Ma peau si fine se tire d’elle-même…

J’appuie d’un geste sur le bouton servant à maintenir les portes fermées, et le tiens enfoncé.

« Ouiiii… haan oui. Restons là. Un peu… rien qu’un peu, le temps de… »

Constatant le mal qu’elle se donne à repousser ces mèches qui n’ont de cesse de tomber sur ma bite, je me penche, un peu. Passant la main derrière son crâne, je réunis ses jolis cheveux de blés entre mes doigts pour désormais les tenir en queue de cheval. Biens sûr, j’en profite, poussant un peu son crâne vers moi. Mais à peine.

« Oui, c’est bon. C’que c’est boooon… Haan, sucez-moi la bite Madame Lumna. Autant que vous voulez… tout l’temps… comme ça… »

Sans vraiment y prêter attention, mes hanches se remettent à onduler, allant frotter mon gland contre l’intérieur d’une joue, puis de l’autre, me donnant l’occasion de me délecter de cette formidable antre chaude que je rêvais d’explorer en profondeur.

Louchant parfois sur son corps de rêve, je ne pouvais m’empêcher de remarquer ses seins qui ballottaient sous sa robe. Je n’en étais pas bien sûr, mais je ne demandais qu’à voir : ne portait-elle rien là-dessous ? Avec des seins pareils ? Si tel était le cas…

M’affaissant un peu contre la paroi sur laquelle j’avais pris appui, je fléchissais les genoux pour me rapprocher d’elle au possible. Lâchant le bouton de l’ascenseur, je glissais un doigt sous le tissus de sa robe. J’attrapais à pleine l’un de ses gros seins ballottant, tirant dessus, prêt à découvrir s’il était nu… ou pas. Allez savoir quelle idée m’avait traversée l’esprit, je mourrais d’envie de les dévorer.
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 4 jeudi 26 janvier 2023, 23:08:35

Oh, quel régal.
Cette fois, la mise en bouche était totale et ainsi je découvrais les plaisirs enivrants d’une vraie fellation. J’ignorais encore si la belle Lumna simulait pour m’exciter ou bien si elle exprimait vraiment son contentement en ces petits râles contenus, mais j’en étais dingue. Je la touchais à peine qu’elle paraissait prendre un pied monstrueux à déformer ses joues ainsi, se régalant en dévorant ma bite comme s’il s’agissait là d’une accro au sucre avalant la plus grande sucette du monde.

Je me faisais aspirer, ni plus ni moins. Elle s’était déjà enfilée une bonne vingtaine de centimètres de queue qu’elle semblait en vouloir encore plus, pompant toujours plus intensément d’avant en arrière comme pour habituer sa gorge que je commençais déjà à racler.

« H-h-haa. Haaaa… ha… p-plus vite, plus vite… »

Sa bouche experte travaillait sa relâche pour me pomper plus intensément encore à chaque à-coups, mais comme si cela ne suffisait pas, sa main ne cessait non plus de s’activer, comme pour s’assurer que toute ma bite y ait droit. Elle montait, descendait et tournait en de petites rotations techniquement parfaites avant de s’écraser contre mes boules qui palpitaient sous l’effet de ce délicieux traitement.

Je m’appuyais, m’accrochais désespérément comme je le pouvais dans sa merveilleuse crinière, en continuant à glisser doucement contre la paroi de l’ascenseur, me laissant fondre, les yeux presque révulsés, la main ancrée dans sa douce crinière.

Elle extirpait du tissu son énorme nibard qui vint pendre dans le vide, retenu par ma grosse main avide. Me perdant à son contact si doux, si chaud, je finissais même par lâcher ses cheveux, les laissant retomber tout partout. Ma main glissait vite sur l’autre bretelle de sa robe pour la faire glisser en toute hâte. Libérant à peine la naissance de son second sein, je m’en emparais pour le faire sortir lui aussi, le laissant retomber et balancer, entrechoquant son parfait jumeau en les regardant tous deux, presque admiratif avant de reposer mes mains au mur…

« C’est ça… régalez-vous. Ooooh, bouffez-la moi… »

Mon appui bien solide, je reposais enfin mes mains sur ses cheveux, les caressant longuement en accompagnant tous ses mouvements. Comme une bête, je me mettais à feuler, ne tiltant même pas que j’avais arrêté d’appuyer sur le bouton censé nous retenir, et ce depuis un moment.

Heureusement que personne n’attendait derrière.
Les portes se rouvrirent sur ce somptueux tableau que nous peignions de nos corps, ma bite à moitié enfoncée dans la gorge de cette blonde sulfureuse et à moitié nue, dont les énormes seins gigotaient au rythme des intenses soupirs et bruits de succion qu’elle faisait.

De mes doigts, je venais vite serrer la large base de ma queue, la pressant fermement, tournant tout autour tel un forcené. Mes souffles se faisaient un peu plus courts. Tout cela était si… chaud.
J’extirpais ma bite pleine de bave et de traces de rouge à lèvres de son exquis fourreau en la regardant d’un air envieux et lubrique, joueur, venant vite la tapoter au bord de sa bouche délicieuse.

« Haa… si vous continuez comme ça… j’vais vous en remettre plein la bouche. Elle est si bonne que ça ? »
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 5 samedi 28 janvier 2023, 23:49:14

La salive presque au bord des lèvres, je ne m’en remets toujours pas tant c’est bon. Jamais n’aurais-je pu ne serait-ce qu’imaginer que se faire tailler une pipe soit aussi bon.

Mais, la vérité, c’est que c’est sans doute elle qui me fait ça.
Elle fait ça si bien. L’entendre et la voir faire, l’entendre me dire et me faire comprendre comme elle aime le goût de ma queue… c’est tellement bandant. Je suis comme un animal en rut à souffler si fort pendant qu’elle m’astique, à renfort de ses lèvres et de ses coups de langue gourmands.

Même lorsque nous nous arrêtons subitement, je peux sentir mon plaisir continuer à grimper. Ses doigts enserrent vivement ma grosse queue pour la pétrir comme une furie, m’obligeant à lutter pour garder les yeux ouverts. Elle est si bonne quand elle se lève, lorsqu’elle glisse ses doigts sur sa chatte pour ensuite les faire tremper sur ma bouche qui s’entrouvre… Je les lèchent, les suçotent. Avant qu’elle ne reparte à l’assaut, la robe montée bien au-dessus des fesses.

Son gros cul rebondi. Qu’il est beau de là où j’suis. Qu’il est énorme dans son petit string… Qu’elle est belle.
À la voir comme ça, je me jure déjà de la prendre par derrière cette fois-ci, histoire de le regarder rebondir et claquer, histoire de l’embrasser, de le lécher, de lui faire subir tous les sévices…

Mais toutes ces pensées disparaissent comme elles sont venues dès lors que mon gland vient de nouveau frotter sa gorge, d’un grand coup. Tout s’accélère sans me laisser le temps de penser. Elle suce si fort… un aspirateur, une véritable machine à pomper. Elle bave partout, m’aspirant si loin, si fort. Les jambes fléchies, je tremble de partout. Elle ne me laisse d’autre choix que de me rattraper comme je peux… et je choisis ses cheveux, que je reprends en queue de cheval entre mes deux mains. Elle pompe, elle pompe, pompe et pompe encore, bruyamment. Elle me branle comme une folle avide, malmenant ma bite, mes couilles. Elle s’active énergiquement sans jamais me recracher… J’ai l’impression d’être sur le point d’crever tant mon coeur s’emballe.

Je la suis, la guide parfois, tirant légèrement sur sa tête pour venir baiser sa bouche parfois. Je la martèle de coups de butoirs que je me retiens de faire violents, glissant sur sa langue si douce.

« HAAA HAAAA… HMMM »

Je n’résiste aucunement aux vagues de plaisirs qui viennent violemment gagner mon corps tout entier. Je ne retiens plus rien, me décrispe même, la laissant m’avaler comme il faut, bien satisfait de savoir que ma bite est pour elle comme un met de choix dont elle peut se bâfrer à volonté. Si seulement c’était possible, je lui aurais même demandé de me sucer toute la journée.

« OH M-OUI… »

Avant que les portes ne se referment, j’appuie d’un coup sur le bouton fait pour les garder ouvertes.
Ma seule main empoigne bien ses cheveux, la guidant plus fermement pour bourrer sa bouche comme s’il s’agissait de son cul. Mes cuisses s’ouvrent encore, se contractent. Tous ces spasmes sont bien trop forts pour moi. Je couvre seulement ma bouche de mon bras, masquant ces hurlements que j’aurais pu pousser.

« HmmmmmmmMMmmMMMMMMMMM HmmmmMMmMMmMM HMMMMM »

D’un coup je recule sa tête pour la laisser respirer. Je renfourne dans la seconde ma grosse bite entre ses lèvres si ouvertes, pose mon gland juste sur la pointe de sa langue. Je le ressors, devant sa bouche grande ouverte, caressant cette belle pointe rose.
Mon urètre s’est ouvert, palpite. Et la sauce monte si vite.

Un épais jet s’en échappe pour barbouiller sa langue de ma chaude crème blanche. Puis un second, visant directement sa gorge déployée, qui tartine tout l’intérieur de ses joues. Je me retiens d’hurler et ma semence ne cesse de se répandre.

Ma seconde main revient chercher ses cheveux. Et je la tire.
D’un nouveau coup, je comble sa bouche de ma verge. J’entre si loin dans sa gorge… Et sur ses cheveux je tire encore, faisant coulisser ma queue toute tremblante, électrisée par les spasmes de l’orgasme. J’attire son nez jusque sur mon aine, continuant de jouir en visant directement son intérieur. Mes bourses tremblent, palpitent fort sous l’effet de l’épaisse quantité de foutre à lâcher.

Et d’un coup, à bout de souffle, je me retire.

« Haa… HA. HA ! »
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Re : La chevauchée fantastique (PV Lumna)

Réponse 6 jeudi 02 février 2023, 23:39:50

Les jambes arquées, adossé de tout mon poids à la paroi du minuscule ascenseur, je me laissais complètement aller devant ce spectacle des plus torrides, m’effondrant à moitié, emporté par ce premier orgasme purement et simplement dévastateur.

Mes mains avaient lâché prise mais tout ne se terminait pas pour autant. Les bras presque le long du corps, je la regardais lécher, sucer, boire et avaler encore chaque goutte de mon foutre qu’elle pouvait bien récupérer de sa petite bouche pulpeuse. Quand bien même ses joues se gonflaient, déjà bien trop pleines, la plantureuse Lumna ne faiblissait jamais, me semblant si avide d’aspirer toute la sauce que je pouvais bien balancer. C’était foutrement bandant.

Elle lapait encore mon gland si sensible et me tirait de nouveaux cris que je ne pouvais contenir, totalement électrisé que j’étais, léchouillait mon nectar copieusement pour s’en délecter comme une affamée venant de traire une bête… C’était… électrique et tout ça me rappelait pourquoi c’est elle qui avait occupé mes pensées toutes ces nuits durant. La voir bouffer ma bite comme une gigantesque saucisse, trémousser son cul si large et pourtant si ferme, qu’elle avait couvert d’à peine un peu de tissu, comme si elle n’attendait qu’une occasion pour le montrer et faire tourner toutes les têtes…

« Oh… ooh. haaaaaaaaaaaaaaaa… Madame… madame… »

Toute la partie supérieure de son buste s’était recouverte de mon sperme. Il venait encore à couler partout, dans un autre de ces endroits si fréquentés de l’hôtel… et pourtant je n’en éprouvais aucune honte. De la satisfaction uniquement. J’étais si… fier de faire tout ça avec elle.

Peinant à reprendre mon souffle, je faisais toutefois de mon mieux pour esquisser un sourire et acquiescer à ses mots. J’avais commencé à ramollir un peu mais, comme elle, j’en voulais encore. J’avais envie de la prendre sans ménagement, comme l’autre fois, de la retourner juste ici, dans l’ascenseur pour faire gigoter ses grosses fesses tout contre moi. Mais… c’était encore dur. Enfin…

Le sexe en main, je revenais le secouer un peu sur ses jolies lèvres charnues avant de me plier un peu plus. Plus bas, je trempais mon gland dans ces grosses nappes chaudes et blanches qui avaient recouvertes ses mamelles, les tapotant de ma grosse bite toute entière pour l’enduire comme s’il s’agissait d’une glace que je venais lui recoller sous le museau. J’avais aimé comme elle m’avait pompé et ne demandait qu’à ce qu’elle le refasse encore, rien qu’un peu…

« J’en ai très envie aussi… »

Jetant un œil à la porte grande ouverte, je n’arrêtais en rien mon petit manège, m’attardant bien de longues secondes à enduire sa bouche de mon sexe tout collant.

« On n’a qu’à le faire là ? Tournez-vous. »
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