Au loin... Dans la pénombre de la nuit, au sein du quartier le plus malfamé de Seikusu, des bruit de pas se faisaient entendre. Une marche irrégulière, rythmée par le bruit de talons contre le goudrons craquelés d'un rue sombre et mal éclairée. Cette marche, ce n'était pas celle d'une pute, mais bel et bien celle de la plus bouchère des tueuses en série de Seikusu, alias, la Duchesse. Il ne faisait pas très chaud dehors et Lulu avait donc revêtue
un grand manteau de fourrure noir, en dessous duquel elle portait sa combinaison d'infirmière en latex. La tueuse n'avait pas spécialement envie de tuer ce soir, ou du moins, pas pour l'instant. En réalité, elle cherchait de la drogue, un fix, un joins, un rail, n'importe quoi ! Pour vue que cela la face planer.
Elle dandinait nonchalamment ses grosses fesses quand elle vit un vieille entrepôt désaffecté, typiquement le genre d'endroit où elle pourrait trouver un peut de fix et ce, pour une modeste pipe ou, à défaut, un coup de scalpel bien placé. Notre tueuse regardât rapidement au alentours, puis, elle entra dans ce lieu sordide mais, une fois à l'intérieur, qu'elle fut sa déception ! Personne... Pas un rat ! Juste des débris et d'autres détritus, genre canettes de bière, sac poubelles, capote, bout de papiers. Nan... Il n'y avait vraiment personne.
Pfff... Merde !Elle soupira en se grattant l'arrière du crane, puis, elle rebroussa chemin. Mais cet alors qu'a la sortit du bâtiment, elle tomba nez à nez avec un grand gars de deux mètre, une putain d'armoire à glace qui la fit sursauter. Notre tueuse écarquilla les yeux en reculant de quelque pas en arrière, surprise par la carrure du gaillard.
Euh... Bonsoir...Un rapide coup d’œil l'alerta ensuite d'un autre type, juste derrière le grand costaud, un espèce de type qui, soit dit en passant, avait à peut de chose prêt le même regard que Lulu les soir de chasses.
Euh... Z'... Z'auriez pas un fist EUH ! Un fi... Fix... Nan parce qu'un fist... c'est pas trop pareil... Euh...Bon... Ont va pas ce mentir, Lulu avait encore des restes de sa dernière défonce, mais n'empêche, c'est qu'ils étaient vachement impressionnant ces deux gars là. Lentement, Lulu ravala sa salive, attendant une réponse de la part des deux hommes. Elle avait sa main droite contre sa poitrine et elle reculât encore d'un ou deux pas, en regardant les deux homme à tour de rôle.