La ferme et dépêche-toi de m'emporter hors d'ici, vieux con ! Je me gèle les pattes a t'entendre palabrer ducon.Teigneuse mais pas trop. Zack c'était imaginé que sa victime grognerait plus que ça après c'être battu comme une lionne, mais il semblerai qu'elle ai compris que c'était fini. Pas de cri non plus, cette dernière préféra se murer dans son silence. En général, il y a plusieurs type de filles : Les désespérés qui tente d'appeler l'aide de quelqu'un à tout pris, les bagarreuse qui préfèrent se battre que de se rendre... Quand à la voleuse, il semblerait que ce soit une résignée, elle a accepté sa condition et préfère expédier ça en vitesse. Si seulement...
Bien ! ça me va aussi. Lui dit-il.
Zack appuya sur les joues de la jeune fille avec son pouce et son index, pour lui forcer à ouvrir la bouche. Ce n'était pas spécialement nécessaire, la victime se laissait relativement faire, mais il était important de bien continuer à montrer sa force afin que l'information se grave dans l'esprit de la voleuse. D'un coup, le kidnappeur enfonça le bâillon dans la bouche de cette dernière, puis tira sur les lanières en cuir de la même façon qu'on tire les rennes d'un cheval, après tout, il chevauchait sa proie. Une fois correctement en place, il le noua à l'arrière de la tête de la jeune fille et serra suffisamment fort pour qu'elle ne puisse pas le recracher ou l'ôter sur un malentendu.
Je te trouve mieux comme ça. Un sourire narquois se dessinait derrière son masque.
Mais pourquoi tant d'empressement ? Profitons de cette instant pour ce réchauffer un peu.Tirant sur le tissus qui lui cachait les seins, Zack se pressa d'avantage contre le corps presque nu de la jeune fille. Ses mains glissèrent sous les seins pourtant écrasé de cette dernière et les joua avec. D'abord pressant avec force, malaxant comme pour pétrir une patte à pain, puis frottant les tétons en les faisant passer entre son index et son majeur. Alors qu'ils les pinçaient avec force, l'homme laissa glisser sa langue sur le cou de la voleuse, continuant lentement son chemin vers la joue de sa victime et de s’arrêter vers les oreilles, qu'il commença à mordiller. Son corps bougeait pour s'adapter aux gesticulation de la jeune fille, frottant son entrejambe sur les fesses de cette dernière pour lui faire sentir son érection. Sa bouche retourna vers le cou afin d'y faire un suçon dévorant. L'une de ses mains se désintéressa de la poitrine de la voleuse pour descendre jusqu'à la culotte. Les doigts se faufilèrent à l'intérieur pour y trouver les lèvres du plaisir, faisant de langoureux cercle pour pouvoir profiter de chaque parcelle de son intimité.
Toujours dans l'ombre de la ruelle, le quartier semblait désert. Peut être quelqu'un était passé, peut être même que quelqu'un les avaient aperçu malgré la pénombre. Mais nous sommes dans le quartier de la Toussaint. Au mieux, la personne serait un voyeur timide se délectant d'un viol, au pire, il aurait demandé à participer. Ça il n'en était pas question, tout du moins, pour le moment. Cette fille était SA proie, SON trophée et il comptait bien en profiter. Zack stoppa son "repas" pour se redresser, se tenant à genoux sur sa victime, il remit son masque et ouvra grand les bras.
Laisse moi la faveur de devenir ton hôte et de t’accueillir ... en moi. Dit il sur un ton solennel.
Soudain, ses mains s’enfoncèrent dans son propre torse. En temps normal, il aurait fallu une force incroyable pour pouvoir pénétrer un corps par la simple force de ses doigts, et une opération de cette violence aurait très certainement dû projeter du sang, mais il ne fut rien de tout cela. A la place d'un liquide écarlate, ce sont des filets de lumière qui s'échappa de la poitrine de Zack. Un craquement sinistre résonna dans la ruelle alors que ses mains agrandir la plaie avec peu de difficulté. Une fissure se forma allant du haut du cou de l'homme, puis se scinda en deux pour aller jusqu'au bas des pied. Le corps de l'agresseur semblait petit à petit s'ouvrir comme s'il s'agissait d'une porte à double battant, laissant s'échapper de plus en plus de lumière de lui. Alors que l'intérieur de Zack ne semblait être constitué que d'une matière visqueuse et translucide, des bras surgirent pour s'agripper sur le corps de la jeune fille. Ces dernier étaient recouvert d'une forte pilosité à la couleur noir comme le goudron, les doigts était terne, avaient une forme arachnéenne, et possédaient des griffes sales et cassantes. Ces masses noires commencèrent à tirer lentement la voleuse dans le corps de Zack, l'immergeant dans cette substance surnaturelle. Il était inutile de se débattre, car la situation était similaire à celle d'un sable mouvant mais en bien pire, car là, la victime était ligoté, avec des mains qui l'attiraient vers le fond et à peine capable de gémir de terreur face à un phénomène qui n'avait plus rien de logique. Alors que la moitié du corps de la la jeune fille avait été absorbé, d'autre griffes noir apparurent et s'enroulèrent autour de ce qui restait d'elle, l'enfonçant d'avantage et plus rapidement, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. C'est alors que l'homme referma son corps comme si rien de tout ça n'avait jamais eu lieu.
...Qui ne dit mot consent. Dit il comme s'il venait de terminer un rituel.
Huuum... Quel serait le meilleur endroit pour pouvoir profiter de mon trophée maintenant ? Se demanda t'il dans son esprit.
L'appartement est déjà occupé par le cadavre de son ancien propriétaire... Soudain, il s'exclama.
Je sais ! ça devrait être parfait.Et l'homme parti.
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La pièce était sombre malgré l'éclairage d'appoint, des ampoules autrefois enlevé avait été remis à leur place, des câbles qui avaient été mis pour tendre des pièges furent retiré pour être disposé autrement. Seul le strict minimum en terme de mobilier avaient conservé sa place. Le lieu était effectivement familier puisqu'il s'agissait tout simplement de la chambre de la jeune fille. Cette dernière d'ailleurs, toujours dans la même tenue que lorsqu'elle c'était fait absorber, était inconsciente sur le lit minable qui trônait au centre de la chambre. La disposition de ses liens avaient été changé, elle n'avait plus les mains ligotés dans le dos mais elles l'était à l'avant, lui octroyant un peu plus de liberté de mouvement. Sa bouche était toujours bailloné et un câble épais et noir formé un anneau autour du cou de la jeune fille. Enfin, cette dernière était relié à un réseau de fils plus fin qui parcouraient l'ensemble de la pièce jusqu'à ce rejoindre là où Zack était confortablement assis sur la seule chaise de la chambre.
Attendant patiemment que la voleuse reprennent conscience, il prit alors la parole.
Rebonsoir ma chère. Tu reconnais cet endroit ? C'est ta chambre. Lui dit-il avant de se lever. L'homme se dirigea alors vers elle calmement et lui ôta le bâillon de la bouche qu'il laissa pendre autour du cou de la jeune fille comme si c'était un collier.
Vois-tu, c'est l'endroit que j'ai choisi pour faire de toi une pute si tu n'es pas digne d'entrer dans ma collection.