Quitte à sodomiser cette belle petite neko, autant faire ça dans les règles de l’art, en faisant en sorte que ce soit bien pervers, bien comme il faut. Elle était petite, mignonne, et répondait en ce sens aux critères parfaits de domination brutale : fouetter et gifler tout ce qui est mignon et beau. C’était instinctif, mais Mélinda ne pouvait pas s’empêcher de vouloir la brutaliser... Sexuellement parlant, bien entendu. Tsuki avait de magnifiques formes, un esprit de soumise très intéressant, qui se couplait à une forte perversion. Elle avait, en somme, tout pour plaire, et il était bien naturel que Mélinda veuille rendre ça plus excitant. Son sexe s’enfonça dans le fondement de Tsuki, et son début de phrase se mua en un superbe hurlement de douleur, un cri qui n’était nullement feint. La vampire se mit à sourire, heureuse, bercée par les hurlements aigus de la neko. Elle adorait les faire hurler, que ce soit de douleur ou de plaisir. Dans une sodomie, on passait très aisément de l’un à l’autre, après tout.
Mélinda posait ses mains sur les hanches de Tsuki, qui était toute rouge, son sang explosant dans son corps. La neko finit par parler, au fur et à mesure qu’elle acceptait la présence, en elle, de la grosse verge tendue de Mélinda, et continua à satisfaire sa Maîtresse, en s’injuriant elle-même. N’y avait-il rien de plus beau à attendre qu’une belle et mignonne neko s’insultant de tous les noms ? C’était un véritable bonheur auditif, un régal pour les oreilles, et pour tout le reste. Elle accrut encore plus ses pénétrations, donnant de grands coups, ses griffes s’enfonçant dans la chair tendre et onctueuse de la neko.
« C'est une.. Une grosse salope.. Qui.. Ha.. En veux toujours pl.. Plus.. »
Mélinda sourit, et gifla alors les fesses de Tsuki, frappant fort avec l’une de ses mains, laissant plusieurs marques rouges.
« Oui, tu es une grosse pute, haaan !! »
La vampire donna un nouveau coup de reins. Son fondement était un délice. Il n’y avait pas à dire, Mélinda adorait vraiment la sodomie ! Elle prenait véritablement son pied en défonçant ainsi des arrière-trains, ou en se faisant elle-même défoncer. Il n’y avait réellement que dans la sodomie que toute l’alchimie du sexe s’exprimait : douleur et douceur, souffrance et plaisir, les extrêmes se réunissant pour former une osmose parfaite et féérique. La vampire n’allait pas négliger Tsuki, et continuait à la prendre, à donner des coups de reins, déformant son fondement, écartant ses parois internes, la prenant comme une chienne, bercée par les petits cris qu’elle pouvait pousser.
Elle s’amusait même à retirer son membre aussi loin que possible, avant de l’enfoncer d’un seul coup, l’envoyant si loin que ses testicules claquaient contre la chair de Tsuki, avant qu’elle ne retire son membre, pour continuer sa manœuvre. Des restes visibles de son intimité, sa mouille s’échappait, témoignant du plaisir qu’elle ressentait... Plaisir qui s’exprimait aussi par ce sentiment de toute-puissance grisant. Elle contrôlait le corps de cette esclave. Là, en ce moment, elle était plus que jamais LA Maîtresse ! Et c’était bon, c’était magnifique, c’était tout ce qu’elle voulait ! Oh oui, elle voulait la faire couiner, cette traînée, elle voulait qu’elle comprenne qui était la Maîtresse !
« Allez, ma salope, hurle, couine, insulte-toi, fais-moi plaisir !! ordonnait Mélinda sur une voix forte, amplifiée par la douleur que son membre lui procurait, ainsi que par l’excitation vibrante et explosive qu’elle ressentait. Miaule, miaule ! »
Et, encore une fois, Mélinda gifla férocement Tsuki. Pour le coup, il n’y avait aucune trace de douceur dans ce qu’elle faisait.
Ce n’était que du sexe.