Alors...
Maelie, douleur puis appréciation. Elle s'abandonne petit à petit au plaisir, bien qu'elle soit en train de souffrir le martyre au début. Mon personnage s'en fout carrément. Peut-être à la limite ça le fait chier parce qu'elle sera peut-être un peu moins obéissante, mais ça rentre pas vraiment en ligne de compte.
...ouais...
Donc du coup, on abandonne l'idée de l'anal pour Lucas. Il va pas être content que Maelie ne l'ait pas préparé. Du coup je vais devoir ajouter les prémices de la fin du RP.
Dehors, un petit bruit se fit entendre, mais cela n'interpella pas le faux médecin, qui était trop occupé avec Valentina.
Well... J'aime bien la musique... Bref, du coup, pour le post de Maelie, je pense que c'est bon. Celui de Lucas...
Ouais, en gros il subit et il aime ça. Okay ! Y'a pas de soucis, Ladies & Gentlemens ! Du coup, pour Mister Je-n'ai-pas-trouvé-de-nom-cool... Alors lui, déjà, il va achever Maelie. Ce serait bien que ça se fasse à ce post, car j'aime pas trop la situation. 'faut pas que j'oublie que, de toute façon, c'est surtout Lucas qui a fasciné le mec. Du coup, c'est normal qu'il veuille la faire tomber assez vite, pour pouvoir profiter de lui en paix, même si là, il réfléchit pas trop. Merde c'est vrai, y'a ce facteur aussi... Du coup, ça change quoi ? Euh... Il va se décharger plus vite peut-être ? Une seconde fois ? Ouais-nan, 'faut pas abuser quand même. J'avais prévu de le faire tomber une deuxième fois au début avec l'anus de Lucas. Poutou, poutou, poutou... En fait, surtout il va pas trop avoir de pensée extérieures à la position actuelle avec Maelie. ça me paraît correct.
Bon, il faut peut-être que je commence moi...
Lors de la première pénétration dans cet anus si accueillant, il avait entendu une longue plainte de douleur émanant de Valentina. Il semblait qu'elle avait souffert. Cependant, c'était loin de le déranger vraiment. Il savait qu'elle apprendrait à l'apprécier, un jour ou l'autre. Car il n'avait pas l'intention de la laisser partir, comme celui qui l'appelait "Maîtresse". A vrai dire, il ne comprenait pas vraiment cette volonté qu'avait les possesseurs d'esclaves que ceux-ci l'appellent par ce titre. Le concernant, celui de "Docteur" était plus... cruel. Car c'est son parfait opposé. Le docteur soigne les malades, alors que lui répand la maladie. Une maladie qui lui permet de s'assurer l'obéissance de ceux qu'il veut en son pouvoir.
Bon, ça c'est fait. J'aime bien la partie sur les maîtres. C'est vrai qu'il aime bien qu'on l'appelle docteur. ça lui donne un air malsain... J'aime. Bref ! La suiiiiiite... Ouais, faire évoluer Maelie, ça me semble être une bonne chose. C'est bien le fil conducteur de cette réponse nan ?
Les cris de douleurs de la première pénétration ne le faisaient pas réagir. Et lorsque Valentina se retourna, lui offrant un air effrayé, il avait répondu par un sourire cruel, un de ceux qui ne laissait aucun doute planer sur la suite. Il allait continuer, pour son plus grand plaisir, quitte à ce qu'elle n'apprécie pas au début. C'était juste un cap à passer. Certes il ne le passait pas de la manière la plus douce qu'il soit, mais il n'avait pas vraiment envie d'être doux. Elle l'avait chauffé, et maintenant, elle devait en payer les conséquences. Et puis, ça aurait pu être pire. Il aurait bien pu ne pas la préparer du tout.
Les cris de douleurs s'étouffèrent lorsque la femme posa son visage sur une fesse de Lucas. Il semblait qu'elle ne pouvait pas vraiment tenir. Bah, tant pis pour lui ! Elle ne devait pas vraiment l'aimer pour qu'elle ne le prépare pas correctement. Il l'avait prévenue pourtant !...
C'est un peu dommage qu'il supporte pas l'anal. Enfin, c'est surtout dommage qu'il l'ait annoncé alors que la mentalité du perso soit aussi avancée. Il faudrait que je remonte beaucoup plus haut pour dégager cette envie de mon perso, ce qui changerait beaucoup trop de choses dans le RP. Tant pis !
Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Lucas.
Nan, pas Lucas bordel ! Dimtry !!
Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry.
Voilà. 'faut que je fasse gaffe moi !... Bref, la suite ! Merde, j'suis totalement paumé moi maintenant, le temps d'écrire mes pensées...
Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry. Puis, petit à petit, sa récompense personnelle vint à ses oreilles. Maelie
Valentina !!!
Valentina dégagea son visage du fessier du jeune garçon, et le violeur n'entendait plus aucun son trahissant une quelconque douleur. Tout au contraire, sa respiration indiquait qu'elle était excitée par son traitement, qu'elle appréciait celui-ci. Son énergie en fut alors décuplée.
Well well... Il arrive quoi ensuite ? Bon, il continue de la prendre, ça c'est totalement évident. Il accélère, ce qui semble évident, même si je ne peux pas le faire maintenant sans changer la suite de sa réponse. Nan, du coup, je vais le faire admirer le cunni de Maelie sur Lucas, et ça va bien l'exciter. Ensuite, quand elle demandera plus, ça va le stimuler, et là il va vraiment la défoncer jusqu'à sa jouissance. Non, jusqu'à leur jouissance. Ouais, ça me paraît bien. Vu qu'il peut maîtriser son érection, il n'a pas vraiment apprit à se retenir de jouir pour prolonger le coït, le transformant en véritable fontaine version masculin. Putain, mais qu'est-ce que je raconte comme conneries moi encore ? Et dire que des gens vont peut-être lire ça... Tiens, oublié le "l" à "Teal"...
Bien, continuons ça.
Il eut l'intention de forcer la cadence, mais le spectacle qui se déroulait devant ses yeux l'en dissuada. Car si il accélérait vraiment comme il en avait l'intention, elle ne pourrait plus lui montrer ce magnifique cunnilingus qu'elle était en train de prodiguer au jeune homme. Certes il ne voyait pas grand chose, mais c'était surtout les hurlements de plaisir de Dimtry qui le stimulait.
Et voilà, j'suis encore en train de bander moi... N'empêche j'suis fort quand même !... Tiens, juste le fait d'écrire ça m'a calmé... Bref !
D'ailleurs, il criait un peu fort non ? Il devait avoir un orgasme... Rien que le fait d'y penser, cela l'incitait à redoubler de vigueur dans cet anus. Ceci ainsi que la demande de Valentina elle-même :
Oui... ne... vous arrêtez pas...
Je risque pas de m'arrêter ! répondit-il, grognant de plaisir.
Puis il fut sans pitié. Il la pilonna littéralement. Chaque pénétration lui arrachait désormais un soupir de plaisir. Sentir sa queue naviguer dans l'intérieur si étroit de la jeune femme était tout bonnement inimaginable. Tout son corps aspirait à la luxure, et il faisait qu'en profiter un peu. Il ne faisait que prendre la part qui lui revenait de droit. Et quelle part ! Il accéléra encore le rythme. Enfin, il eut l'impression d'accélérer, car il était déjà à son maximum. Par réflexe, il se pencha en avant, étant désormais au-dessus de Valentina, et ses mains bougèrent. L'une d'elle se cala sur le ventre féminin, pour l'empêcher de rompre le coït, pendant que la seconde lui pénétrait violemment la chatte avec trois doigts, pendant que le pouce titillait son petit bouton.
Tiens, j'avais oublié les balises rouges... Bon, je les ai rajoutées à la volée, la flemme de réécrire.
Il commençait à avoir du mal. Il voulait absolument la voir jouir pour vérifier si ce qu'elle avait dit était la vérité, mais aussi pour pouvoir profiter de son "esclave" sans avoir ses protestations, comme elle avait pu avoir par le passé. Sans crier gare, la jouissance arriva, le forçant à ralentir un peu le rythme à la même cadence que celle de ses jets de sperme se répandant à l'intérieur d'elle, grognant son plaisir de plus belle. Puis, il s'immobilisa pour concentrer son pouvoir une nouvelle fois et augmenter le débit sanguin de sa verge, la laissant ainsi aussi solide qu'un roc. A peine une minute plus tard, il reprit ses pénétrations, d'abord lentement, pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits en paix, mais il arriva bien vite au même rythme de croisière que précédemment. Sa main n'avait jamais lâché son intimité.
Il se pencha légèrement, et chuchota à son oreille :
Allez, jouis pour moi...
Whoah, la fin est passée comme une lettre à la poste ! Même pas eu besoin de réfléchir. Mes mains, je vous tire mon chapeau !...
Lors de la première pénétration dans cet anus si accueillant, il avait entendu une longue plainte de douleur émanant de Valentina. Il semblait qu'elle avait souffert. Cependant, c'était loin de le déranger vraiment. Il savait qu'elle apprendrait à l'apprécier, un jour ou l'autre. Car il n'avait pas l'intention de la laisser partir, comme celui qui l'appelait "Maîtresse". A vrai dire, il ne comprenait pas vraiment cette volonté qu'avait les possesseurs d'esclaves que ceux-ci l'appellent par ce titre. Le concernant, celui de "Docteur" était plus... cruel. Car c'est son parfait opposé. Le docteur soigne les malades, alors que lui répand la maladie. Une maladie qui lui permet de s'assurer l'obéissance de ceux qu'il veut en son pouvoir.
Les cris de douleurs de la première pénétration ne le faisaient pas réagir. Et lorsque Valentina se retourna, lui offrant un air effrayé, il avait répondu par un sourire cruel, un de ceux qui ne laissait aucun doute planer sur la suite. Il allait continuer, pour son plus grand plaisir, quitte à ce qu'elle n'apprécie pas au début. C'était juste un cap à passer. Certes il ne le passait pas de la manière la plus douce qu'il soit, mais il n'avait pas vraiment envie d'être doux. Elle l'avait chauffé, et maintenant, elle devait en payer les conséquences. Et puis, ça aurait pu être pire. Il aurait bien pu ne pas la préparer du tout.
Les cris de douleurs s'étouffèrent lorsque la femme posa son visage sur une fesse de Lucas. Il semblait qu'elle ne pouvait pas vraiment tenir. Bah, tant pis pour lui ! Elle ne devait pas vraiment l'aimer pour qu'elle ne le prépare pas correctement. Il l'avait prévenue pourtant !... Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry. Puis, petit à petit, sa récompense personnelle vint à ses oreilles. Valentina dégagea son visage du fessier du jeune garçon, et le violeur n'entendait plus aucun son trahissant une quelconque douleur. Tout au contraire, sa respiration indiquait qu'elle était excitée par son traitement, qu'elle appréciait celui-ci. Son énergie en fut alors décuplée.
Il eut l'intention de forcer la cadence, mais le spectacle qui se déroulait devant ses yeux l'en dissuada. Car si il accélérait vraiment comme il en avait l'intention, elle ne pourrait plus lui montrer ce magnifique cunnilingus qu'elle était en train de prodiguer au jeune homme. Certes il ne voyait pas grand chose, mais c'était surtout les hurlements de plaisir de Dimtry qui le stimulait. D'ailleurs, il criait un peu fort non ? Il devait avoir un orgasme... Rien que le fait d'y penser, cela l'incitait à redoubler de vigueur dans cet anus. Ceci ainsi que la demande de Valentina elle-même :
Oui... ne... vous arrêtez pas...
Je risque pas de m'arrêter ! répondit-il, grognant de plaisir.
Puis il fut sans pitié. Il la pilonna littéralement. Chaque pénétration lui arrachait désormais un soupir de plaisir. Sentir sa queue naviguer dans l'intérieur si étroit de la jeune femme était tout bonnement inimaginable. Tout son corps aspirait à la luxure, et il faisait qu'en profiter un peu. Il ne faisait que prendre la part qui lui revenait de droit. Et quelle part ! Il accéléra encore le rythme. Enfin, il eut l'impression d'accélérer, car il était déjà à son maximum. Par réflexe, il se pencha en avant, étant désormais au-dessus de Valentina, et ses mains bougèrent. L'une d'elle se cala sur le ventre féminin, pour l'empêcher de rompre le coït, pendant que la seconde lui pénétrait violemment la chatte avec trois doigts, pendant que le pouce titillait son petit bouton.
Il commençait à avoir du mal. Il voulait absolument la voir jouir pour vérifier si ce qu'elle avait dit était la vérité, mais aussi pour pouvoir profiter de son "esclave" sans avoir ses protestations, comme elle avait pu avoir par le passé. Sans crier gare, la jouissance arriva, le forçant à ralentir un peu le rythme à la même cadence que celle de ses jets de sperme se répandant à l'intérieur d'elle, grognant son plaisir de plus belle. Puis, il s'immobilisa pour concentrer son pouvoir une nouvelle fois et augmenter le débit sanguin de sa verge, la laissant ainsi aussi solide qu'un roc. A peine une minute plus tard, il reprit ses pénétrations, d'abord lentement, pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits en paix, mais il arriva bien vite au même rythme de croisière que précédemment. Sa main n'avait jamais lâché son intimité.
Il se pencha légèrement, et chuchota à son oreille :
Allez, jouis pour moi...
Dehors, un petit bruit se fit entendre, mais cela n'interpella pas le faux médecin, qui était trop occupé avec Valentina.