Un plaisir partagé [pv leona]

Une bien belle journée aujourd'hui. Le ciel était bleu et pas un seul nuage se faisait apercevoir. Alors pourquoi nous forcer à aller en cours par un si beau temps ?
Comme à mon habitude, je venais de me décourager une nouvelle fois en une seule réflexion. Un cours de sport... cela servait-il réellement à quelque chose ? Après tout je connaissais un sport mille fois plus agréable et oh combien physique. Sentir en nous tout nos muscles se tendre, réagissant à la moindre caresse. Rien que de penser à cela je commençais d'ailleurs à me donner envie. Enfin bon, je devais aller en sport, malgré l'heure avancée... un peu trop avancée même ?
Je m'imaginais alors les autres courir, laissant vide un vestiaire entier et où personne n'irait avant les deux prochaines heures minimum. L'endroit rêver pour une gâterie personnelle non ?
Mes joues rosir alors d'envie et je me précipitais jusqu'aux vestiaires.
Comme je m'y attendais, le vestiaire était vide. Une large salle où s'alignaient des casiers et des bancs afin de se changer et de ranger ses affaires.
Chacune de nous autres étudiantes avions un casier, normal allez vous dire mais oh combien pratique contre les vols et pas que. A cet instant, j'avais dans l'idée d'user de mon casier d'une manière un peu moins conventionnelle.
A tout moment quelqu'un pouvait entrer ici et pour m'assurer un peu d'intimité afin de ne pas gâcher le moment que je voulais vivre, j'ouvris mon casier et me glissait dedans avant de refermer derrière moi la porte. J'étais un peu à l'étroit dedans mais ma petite me permettait de me mouvoir tout de même.
Enfin le moment était venu. Je soupirai déjà d'aise à l'idée que ma main glissait le long de mon blazer et venait se glisser sous ma courte jupe. Je me remerciais alors de ne pas avoir choisi la robe ce matin même et d'avoir opté pour la jupe, bien plus pratique en ce moment même.
Mes doigts vinrent se poser délicatement sur mes lèvres intimes tandis que ma main gauche se porta d'instinct jusqu'à ma poitrine.
Je sentais la chaleur monter en moi et un sentiment de bien être qui venait à son tour. Je saisis alors avec fermeté mon sein gauche, sentant au travers de mes vêtements mon téton durcir à cause de l'excitation.

« huuum... »

Mes doigts dansaient le long de ma fente et vinrent se loger peu à peu à l'intérieur, tournant autour de mon clitoris afin de m'exciter davantage. Il n'y avait pas à dire, ce genre de cours m'intéressait bien plus que de courir bêtement le long d'une piste. Je continuais alors de jouer avec mon corps, sentant mes doigts s'humidifier bien assez vite. Je mouillais déjà et portais mes doigts à mon clitoris. Je ne pus alors empêcher un cri de plaisir, priant pour qu'à l'instant personne ne soit à l'extérieur. Je recommençais à me toucher, une goûte de sueur perlant sur mon visage et mes joues empourprées par ce que je faisais là. C'était décidément bon et mes doigts commencèrent un rapide va-et-viens dans le but de me faire jouir. Je bougeais ma main en moi et je basculais la tête en arrière, mes mèches se rabattant sur le côté quand j'entendis des pas dehors, dans le vestiaire.

« non non non, pas maintenant »

J'allais jouir d'un instant à l'autre et cela arriva. Je retirais mes doigts de mon entre jambe mais cela fut le mouvement de trop. J'atteins l'orgasme clitoridien et, gémissant bien trop fort à mon goût, je glissais le long du mur, me retrouvant assise dans mon casier, la porte ouverte par mes jambes qui était légèrement dépliées devant moi.

Et eeeencore une journée d'ennui. N'allant pas en cours, Léona n'était pas considérée comme membre de l'établissement. Elle était en train de s'ennuyer à marcher dans les couloirs de l'établissement, ne trouvant pas l'Exgemme indiquée par Skellington. Elle soupirait longuement, attendait que quelque chose se passe... et RIEN! Rien rien RIEN! Elle s'ennuyait, ne trouvait pas ce qu'elle cherchait...
Au final, elle se mise en route pour le gymnase. Peut être pourrait elle au final, se disait-elle, trouver du réconfort dans les bras musclés d'une sportive qu'elle torturerait ensuite en l'attachant sur une chaise et en lui faisant subir les pires vices sexuels! Quoi qu'il en soit, à la place de ça, elle eut le silence.
Ses pas de gamines sautillant résonnaient dans les vestiaires. Elle se concentrait sur le propre son qu'elle faisait, n'arrivant pas à trouver autre chose à faire. Soudainement, un bruit, une odeur! Fan de saveurs, elle sent l'odeur de cyprine fraîche et de gêne... Puis elle voit un casier entrouvert.
Pas une, pas deux, elle l'ouvre et voit une femme assise dans le casier. Pas besoin d'être devin pour savoir ce qu'elle faisait!! Immédiatement, elle affiche un large sourire avant de lui dire, hésitant à se passer la langue sur les lèvres

"Oooooh toi... Tu as choisis le lieu par-fait!"

La belle Léona releva alors son sweat de cuir, dévoilant un bas de corps totalement nu. Elle se débrouille pour entrer dans le placard et, par la souplesse humaine et sa force dominatrice, fait en sorte que la belle soit adossée au sol du casier. De son côté, Léona est assise sur son visage et dévore l'intimité trempée de la belle de coup de langue frémissante

"De la cyprine si chaude~! Et pleine de goût... Toi tu veux prendre~!"

Elle rigole et agite sa langue sur le bouton de plaisir de la jolie Hikari, insérant majeur et annulaire en elle pour les bouger vivement. Elle chercher à lui faire perdre pied, à lui procurer du plaisir, voulant jouer avec elle. Elle suçote son clitoris, bouge ses doigts plus vite et finit par dire

"Et comment s'appelle la perverse du casier ♥?"