Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Daclusia Shadowstick

Pages: [1]
1
Le coin du chalant / [Script] Destruction; étape 1
« le: mercredi 22 juillet 2009, 22:11:26 »
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=1867.0

Si vous avez le courage de lire, vous verrez que j'ai eu... Quelque peu la main lourde pour ce qui était sensé être une simple distraction... Maintenant que j'ai lancé le script dit "Destruction", pour tenter de mobiliser un maximum de personnes dans ce qui risque d'être un script apocalyptique, je cherche quelques personnes qui seraient d'accord pour avoir un RP en parallèle de celui-ci, soit dans le lycée, parmi les élèves évacués, en tenant compte du combat qui oppose Misa et moi même, ainsi qu'aux lycanthropes que j'ai lâché dans le lycée, soit à l'extérieur, témoins de l'explosion s'approchant pour voir de plus près, et tombant nez à nez avec les lycanthropes qui ont quitté l'enceinte du lycée...

Nul doute que l'église saura faire ne sorte d'effacer l'évènement de la mémoire des gens... Seuls les joueurs s'en souviendront, et c'est pour ça que j'aimerais que certains d'entre vous participent. Pour faire vivre le script et enfin faire bouger le forum.

A bon entendeur... Salut!

2
Complexe d'études secondaires et supérieures / Casse-brique [PV Misa Kiss]
« le: mercredi 22 juillet 2009, 21:59:58 »
Ils étaient tous les deux là, posés sur le toit du lycée, à admirer la lune... Tous les deux avaient un fort attachement à cet astre céleste, si beau et si plein de mystères...
Lui, le chasseur, avait troqué sa blouse de scientifique contre un long manteau de cuir rouge, et son pantalon large vert kaki à un jean bien plus serré, noir comme la nuit. Ses sandales, troquées contre des rangers. Noires elles aussi. Toujours torse nu, il portait cependant sous son manteau quelques fioles de ses produits, ainsi que, dans les poches extérieures de son manteau, des balles pour une paire de pistolets qu'il portait rangées sur ses jambes. Les cheveux détachés, pendant sur le côté droit de son visage, un clope au bec.
L'autre, le vendeur, portait une tenue d'infiltration, noire, où de nombreuses sacoches côtoyaient des morceaux de cuirs faits pour protéger le corps. Les cheveux attachés derrière la tête, seule une mèche dépassait du côté gauche de son visage. Il ne portait pas ses lunettes, ni son air habituellement si bienheureux, mais un visage sévère et sérieux, caché derrière un masque sur la partie basse de son visage. Ainsi vêtu, il ressemblait presque à un ninja, ou à un assassin.

Tous deux restaient là, sans mot dire. Quand on discute avec soi même, les mots sont superflus et inutiles. Mais pour le lecteur, qui n'est ni la tête de l'un ni de l'autre, le vendeur tentait de raisonner son double. S'attaquer à un lieu aussi lourdement investi par l'église était... Dangereux... C'était la grande ligne qui revenait dans le débat. Le reste ne regardait qu'eux... Et n'aurait pas grand sens pour le lecteur. Mais la conclusion de cette réunion au clair de lune fut la suivante:


" Tu sais bien à quel point il est difficile de trouver des humains qui méritent qu'on s'intéresse à eux... Me gâche pas mon plaisir, je sais que toi aussi tu cherches la même chose! "

Sur ces mots, il avait bondit du toit de l'immeuble. Tout devait se passer sans le moindre accroc. Il avait tout planifié. Mais comme on est jamais à l'abri d'une surprise... Il enclencha les deux pistolets, des desert eagle, l'un noir avec une crosse d'ébène, l'autre blanc avec une crosse d'ivoire.
Se faufilant, ombre parmi les ombres, dans le lycée à proprement parlé, il chercha pendant un moment sur les plans la position de la chaudière, ainsi que sa correspondance dans les étages supérieurs. Au rez de chaussé, il s'agissait d'une classe vide. Idem au deuxième. Au troisième, cependant, il semblerait qu'une colle ait lieu. Au quatrième,  le vide. Y aurait quelques victimes. Tant pis. Dommages collatéraux.
Arriver au sous-sol ne fut pas facile. Il ne fallait surtout pas se faire repérer avant le début de l'opération. Et il semblerait que tous les pions aient décidé de patrouiller le même soir dans la même zone. Pourtant, après de nombreuses dérobades, un petit passage dans un conduit d'aération, et enfin un coup du lapin à un surveillant malchanceux, Daclusia était arrivé à la chaudière. La serrure étant verrouillée, il la fit céder d'une balle, en prenant bien soin de fermer toutes les portes et de camoufler le bruit au maximum. Une fois à l'intérieur, placer des charges explosives fut un jeu d'enfant. Maintenant, tout ce qu'il fallait c'était attirer un maximum de monde le plus loin possible de la zone de la chaudière, pour qu'ils puissent donner l'alerte sans sombrer dans l'inconscience à cause du souffle. Pour ce faire, le chasseur se fit voir volontairement, après être parti à l'opposé, et fit du bruit de manière à attirer une demi douzaine de surveillants dans la cour extérieure, d'où ils seraient au premières loges pour assister au feu d'artifice.

Explosion. Tout le quartier avait du l'entendre, le JYL n'avait pas lésiné sur la dose. Le sous sol entier s'effondra sous un éboulement. La salle du rez-de chaussé, ainsi que quelques autres adjacentes partirent en fumée. La zone du premier étage ne survécu pas non plus à l'explosion. Le deuxième étage, déséquilibré et fragilisé par l'explosion, s'effondra comme un château de cartes, entrainant la salle de colle du troisième avec lui, et laissant la salle du quatrième étage branlante et sans sol.
A l'horizontale, les dégats furent plus modérés. Trois salles du rez-de-chaussé volèrent en éclat, tandis que le double s'écroula à cause du souffle. Au premier étage, les deux salles adjacentes à celle du point de la déflagration étaient détruites, ne laissant plus que des murs qui ne soutenaient plus rien. Au troisième étage, seul la salle du point de déflagration fut touchée. Dans tous les chauffages dans un rayon plutôt important autour de la chaudière, des flammes jets de vapeurs bouillants jaillirent, tandis que les plus proches explosaient sous la pression. Toute une partie du lycée venait de s'envoler, et une plus grande encore était devenue un véritable enfer à cause de la chaleur. Des flammes cramoisies dévoraient les corps du surveillant et des élèves du troisième étage, et se repaissaient des bureaux et autres matériaux scolaires, tout en léchant les quelques murs encore debout, les rendant fragiles au moindre petit choc.

Telles étaient les conséquences des bombes posées par le chasseur, qui plongeait non sans une certaine satisfaction son regard dans les flammes, qui exécutaient pour lui une danse hypnotique. Mais pas au point de lui faire oublier la dure réalité. Les pions, qui avaient bien vu l'explosion, et qui voyaient maintenant Daclusia se tenir en souriant devant les flammes, n'avaient aucun doute quand à l'identité de l'artificier. Ils foncèrent sur le chasseur qui, les voyant approcher, se contenta de sourire en les prévenant:


" Je serais vous messieurs... Je surveillerais surtout ce qui se passe autour de vous... "

Avant d'avoir pu prendre en compte le sage consel du JYL, deux des pions furent fauchés dans leurs course par deux ombres qui avaient jailli de ce qui restait de la chaudière, et qui, dans un hurlement, étaient en train de dévorer les deux pauvres surveillants. Des lycan. Directement importés d'Ashnard par un portail se trouvant dans l'ex salle de la chaudière. D'autres en sortirent, accompagnés de créatures bien moins rassurantes que de "simples" lycanthropes...
Ces bêtes monstrueuses, cependant, n'attaquaient pas Daclusia. Comme si elles avaient été amenées ici par lui... Ou plutôt parce qu'elles étaient effrayées par une bête encore plus dangereuses qu'elles...
Marchant tranquillement au milieu des créatures, qui commençaient à se répandre à travers tout le lycée, voir à l'extérieur pour certaines, Daclusia s'arrêta bien en vue, au milieu de la pelouse, et s'alluma une clope. Son plan était en marche. L'ordre d'évacuation serait sans doute bientôt donné. Et avec les fuyards, viendrait sûrement le service de sécurité... Si quelqu'un allait lui mettre des bâtons dans les roues, il viendrait ici, dans la cours, pour faire sa fête à celui qui semblait le principal coupable, sans se soucier de son double qui permettait à la petite Fouine de s'échapper de l'antre du chasseur... Étouffant un rire satisfait et malsain, du haut de son corps de presqu'adolescent, le JYL s'alluma une clope, et prononça ces paroles qui marquèrent le début réel des choses sérieuses:


" Que la fête commence! "

3
Complexe d'études secondaires et supérieures / Sous couverture... [PV Elysia]
« le: vendredi 17 juillet 2009, 02:16:54 »
Il est 16 heures, les premiers cours se terminent. Une belle journée ensoleillée, qui laisse prévoir une belle après-midi à ceux qui viennent de sortir de cette prison scolaire, et une bonne soirée pour ceux qui préfèrent se lover dans les ténèbres de la nuit. Il y a aussi ceux qui, malgré ce beau temps, préfèreront rester en intérieur, pour surfer sur le net ou bien jouer à des jeux vidéos. Il y a ceux qui se cachent des autres pour laisser libre cours à leurs pulsions primaires. Ceux qui trainent en bande, ceux qui font du sport, celles qui passent leurs temps à faire les boutiques, en profitant par procuration du regard des hommes sur leurs corps jeunes et en pleine éclosion. Ceux qui regardent, hypnotisés, ces jeunes demoiselles exhiber leur corps de femme naissant. Ceux qui broient du noir dans des coins isolés, ceux qui jouent au golf, dans un terrain vague près d'une rivière, en utilisant des canettes de soda comme balle.
En sortant de la jeunesse, il y a les nouveaux jeunes adultes, qui entrent, intimidés, dans le monde du travail, qui vont, avec des collègues, se détendre après une dure journée de labeur. Il y a les plus anciens, qui regardent d'un bon œil la fougue de la jeunesse. Ceux qui les regardent d'un mauvais œil car la jeunesse ne respecte plus rien. Il y a les vauriens, trop téméraires, qui arrachent à des jeunes femmes leurs sacs en pleine rue, car ils pensent qu'elle sont des proies plus faciles. Il y a ces jeunes femmes, qui à défaut de griffes, ont des bombonnes lacrymogènes. Même les animaux profitent de ce temps magnifique pour s'épanouir et entamer leurs danses de séduction.

Et au milieu de tout ça, une noisette qui pose des affiches, pour annoncer un tournoi de base-ball inter-scolaire. Noisette... Mais si. Ce jeune homme, d'à peine 13 ans. Plutôt bien bâti, légèrement bronzé, avec des cheveux bruns coupés cours, qui se disputent pour savoir qui sera le plus revêche, ainsi que de grandes pupilles vert menthe, dans des yeux en forme d'amande. Étudiant au lycée de Seikusu.
...
Disparu sans laisser de nouvelles pendant plusieurs jours...
...
Et bien il était de retour, et posait des affiches. En punition, lui avait-on dit, de sa disparition aussi brusque qu'entourée de mystère. Punition donc. Il devait coller sur les murs du lycée toutes les affiches qu'on lui avait confié, traitant du tournoi de base-ball inter-scolaire qui aurait lieu dans quelques semaines. Il s'en contrefichait de ce tournoi Noisette. Il voulait s'en débarasser le plus vite possible pour... Mais bon, plus vite il collerait ces affiches, plus vite il serait libre. Il était d'ailleurs en train de poser la dernière, et se félicitait du travail accompli.
Prenant une petite pose, il s'assit, dos au mur, où il venait de poser le morceau de papier, et réfléchit pendant quelques minutes à ce qu'il allait faire maintenant, absorbé par une tâche d'une matière indéfinissable du plafond, coincée entre le rouge bordeaux et le vert vomi. Il était seul dans le couloir, aussi personne ne lui fit remarquer qu'il n'avait rien à faire là, allongé par terre comme un miséreux. à côté de lui, il y avait une classe, visiblement pas occupée, dont l'emploi du temps était libre pour le reste de la journée, et dont la porte était mal fermée. Il y avait aussi des toilettes, vide pour le moment, où les seules décorations étaient des boules de papier mâché collées aux murs, et de tags sur les portes des cabinets. Les fenêtres donnaient sur le côté ouest du bâtiment. Un peu d'herbe, et quelques fleurs, voilà tout. Puis le grillage, élément indispensable d'une école digne de respect...

Puis, entendant quelqu'un arriver dans le couloir, Noisette se redressa, se demandant bien qui pouvait passer dans un endroit aussi désert, le couloir étant un cul de sac ne menant à aucune salle de cours, et où les toilettes n'étaient pas réellement utiles, car éloignées et sales.

4
Le coin du chalant / De chasseur à chasseur...
« le: mardi 30 juin 2009, 02:40:58 »
J'aimerais tenter une chasse en triangle. Deux chasseurs, dont moi, qui se disputent une proie, le troisième participant.
Ce serait donc une traque, entre Daclusia, le chasseur à corps d'adolescent, capable de mouvements dignes d'un combiné de spiderman et de hulk, combinant finesse et force de l'un, et un autre chasseur du forum, qui aurait repéré la même proie. Une compétition de charognard pour se départager un bout de bidoche...

Des volontaires?

5
Archives publiques / Who is the next Alice ~ ?
« le: dimanche 31 mai 2009, 21:39:58 »
There was once a little dream.
No one knows who had dreamt it.
It was really such a small dream.

This made the little dream think,
"I don't want to desapear..."
"How can I make people dream me?"

The little dream thought,
And at last had an idea.

"I will make people come to me,"
"And they will make my world."


Alice of human sacrifice

6
Le quartier de la Toussaint / Le chasseur et sa proie [Libre]
« le: samedi 30 mai 2009, 02:17:29 »
L'excitation était encore à son comble dans la tête de Daclusia. Il avait trouvé une proie interessante. Et maintenant qu'il allait la laisser se développer, il avait besoin d'une autre proie de moins bonne qualité pour satisfaire son appétit. Prendre du satin avant de passer à la soie en quelque sorte. Et de ce qu'il avait pu voir, le quartier de la Toussaint serait parfait pour une première pioche.
Son long manteau noir flottant au vent, et la lune pour seule lumière, poussant des grognements animaux, le JYL, qu'on aurait dit revenu à l'état sauvage, se déplaçait presque à quatre pattes, sautant d'immeuble en immeuble, de mur en mur, plongeant dans les ruelles noires, frôlant la lumière des lampadaire et glissant sur les toits. Trouver une proie était peut être plus grisant que la chasse elle même...

Une odeur. L'odeur d'une proie. Dans... Cette direction. Sautant aussitôt de toits en toits, se dirigeant vers la source de vie qu'il avait détecté, il tomba bientôt sur une forme qui marchait le long des bâtisses, sur le trottoir, et qui dégageait l'impression de ne pas appartenir à cet endroit. ça ferait une proie parfaite pour ce soir...

Histoire de l'angoisser un eu, Daclusia se fit beaucoup moins discret. Ses bonds étaient audibles, ses atterrissages aussi, et surtout, surtout, on l'entendait grogner là haut, depuis le trottoir. Qu'était-ce?
Un loup garou? Un vampire? Un Jack the Reaper?
Non, pire... Bien pire...

Claquement d'un vêtement dans le vent. Maintenant quasiment collé à la surface du toit, se faufilant de plus en plus près de sa cible, il atteignait un point de chute idéal. Se laissant tomber dans le vide, le bruit et la chute furent tous deux amortis par des sacs poubelles en contrebas de la ruelle. Il n'avait pas été repéré.
Autant corriger cette erreur... Une chasse n'est excitante que si la proie se défend... Rampant devant la personne sans s'être fait remarqué, il se redressa pourtant d'un bond, le chasseur faisant maintenant face au chassé. Et le seul échange verbal fut ceci:


" Bouh ! "

7
Le coin du chalant / La proie approche...
« le: vendredi 29 mai 2009, 22:00:37 »
Sujet du topic=>Traque, puis torture si envie.

Nombre de participants=>on va commencer doucement. Juste moi et ma proie.

Trame=>Autant les violentes que les douces et innocentes jeunes filles, toutes se font piéger... Traquée? Draguée? A vous de voir vos préférences, mais vous finirez sur la table de torture...

Qualité de post=>Du bon. Que je puisse pleinement jouir de la situation.

http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=1647.0

8
Prélude / Daclusia Shadowstick
« le: vendredi 29 mai 2009, 20:50:13 »
[Nymphetamine]

Nom : Shadowstick

Prénom : Daclusia

Age : âge réel inconnu. Corps d'apparence 14 ans environ.

Sexe : Mâle maléfique

Race : JYL

Orientation sexuelle: bisexuel. Mais la plupart du temps, ne couche pas. Torture.

Description physique : Un gamin. Voilà ce qu'il est advenu de Daclusia. Pourquoi? Comment? Par envie. Daclusia est somme tout un être égoïste qui ne veut que passer du bon temps. Voici pourquoi il a changé de corps. Pour s'amuser de voir les gens effrayés par un gamin. Ce nouveau corps, d'un mètre quarante-trois, est celui d'un enfant de 14 ans. Hormis ce changement, il est semblable à avant: de longs cheveux châtain foncés, très foncés, qui lui tombent en une grande mèche sur le côté droit du visage. Des yeux rouges où deux miroirs se renvoient leur propre reflet. Un corps fin, agile et musclé font de lui un tombeur, cumulé à tous les autres points.
Niveau vestimentaire, on voit vite ses passions: une blouse blanche de scientifique, ouverte sur un torse nu, un pantalon vert kaki large, et des sandales. Dans les moments où il faut s'introduire en société, un smoking noir de la plus grande classe.

Caractère : Commençons par le commencement. Daclusia est quelqu'un d'intelligent, cultivé, calculateur, souriant, chaleureux et avenant. Voilà pour le masque. Derrière, il est encore plus intelligent, encore plus cultivé, encore plus calculateur, car révéler sa vraie force est un point faible majeur. Et pour ce qui est du reste... Sadique, son plus grand plaisir est de faire souffrir, mentalement aussi bien que physiquement de pauvres humains qu'il aura au préalable traqué. La chasse. C'est bien l'une de ses activités favorites, peut être même plus que la torture. Sentir sa proie affolée, ou, au contraire, rassurée et confiante, jusqu'au moment fatidique où le piège se referme... Il n'y a rien de meilleur. Sarcastique, la cerise sur le gâteau de la torture est de briser verbalement une victime innocente, de se gausser de son apparente terreur, ou tout simplement de noter un détail insignifiant, pour montrer la vérité qu'est la sienne: le sort de ses victime ne lui importe pas le moins du monde.
Curieux, il s'intéresse à tout, et mène des expériences sur de nombreux domaines, sa plus grande fierté étant les RSX.
Et enfin, sa plus grande haine va à la stabilité. L'immobilisme. Ce rapport qu'à un système, visant à le rapprocher le plus possible du point où il ne subit plus aucune modification. La solution? Introduire le plus possible dans l'équation de la vie des facteurs chaos capable de faire bouger le monde encore et encore.

Histoire : Les JYLs hein...? J'vais vous dire, tout, absolument tout, réside dans la balance. Ce qui existe a toujours une contrepartie, rien ne nait du vide. Rien ne se crée. Rien ne se perd. Tout se transforme. Les JYLs n'outrepassent pas cette règle. Car si tel était le cas... Je ne serais pas là...

Je suis né un 31 octobre. Lors d'une nuit sans lune, le jour de la fête des morts dans ce monde, j'ai émergé de l'esprit d'un gamin. Tout d'abord, il m'a vu enfant. Ou du moins, adolescent. Un garçon violent, antipathique, quoiqu'à l'époque, plutôt sympathique. Pourquoi? Car à l'époque, ce que certains pourraient qualifier de "mauvaises parties" existaient en dehors de moi, sous la forme d'un être, double de moi, ombre de moi. Ombre. Je vivais, relativement heureux, dans l'ombre de ce gamin. J'étais une partie de lui, et vu mon caractère, j'étais lui. Ou plutôt, ce qu'il refoulait. Ce qu'il gardait en lui, par peur de le libérer sur les autres. Aussi, un peu, ce qu'il voulait être. Cool. Beau. Sachant se battre. Maniant la magie.

C'était le temps de l'enfance. Vint le temps de l'oubli.

Puis, un jour, je me suis réveillé, seul avec Ombre, dans une pièce noire. Au mur, une inscription: "je ne veux plus te voir. Je te condamne à l'oubli, moi, roi de mon imaginaire." Imaginaire... Pfeuh... Il oubliait qu'il ne m'avait pas créé comme quelqu'un qui renonce facilement. J'ai regardé mes mauvais côté. Je les ais regardé dans les yeux. Et je les ai réabsorbé. Grâce à eux, je me suis fortifié. Et en contrepartie, j'ai gagné le dégoût de mon créateur. Quand il se souvint de moi, au fond de ma prison, quand il me vit changé, altéré, monstrueux, il voulu m'enterrer encore plus profondément. Trop tard pourtant. J'étais sorti. Et maintenant, plus rien n'allait pouvoir m'enfermer à nouveau. Squattant un coin de l'esprit de mon "père", je grandissais. Je me nourrissais toujours de ce qu'il refoulait. Je devenais encore plus monstrueux. Et parfois, quand la soupape était trop pleine, j'explosais. Je prenais le dessus, et je déchainais tout ce que mon créateur avait gardé au fond de lui depuis la dernière éruption. Plus le temps passait, plus c'était fréquent. Plus le temps passait, plus il me fuiyait.

C'était le temps de la haine. Vint le temps du binaire.

Hais, oui, je l'étais. Et puis, chose étrange, peu à peu je n'étais plus seul. Inconsciemment, peut être, il créait un monde en lui. Ce n'était, au début  que les formes incertaines de sa psychés qui se modelaient en manoirs, habitations, immeubles, en escaliers, plates formes, pièces et meubles, mais peu à peu, c'était tout une ville qui se forma. Puis tout un pays. Puis son reflet dans un miroir. Les royaumes jumeaux des ténèbres et de la lumière. Sur ce terrain de jeu, je testais les limites de mon nouveau moi. Des mentalités, des cruautées, des fantaisies et des cauchemards... Le nombre incalculable de fois où ce monde s'est effondré pour se reformer, j'ai arrêté de les compter après la millième fois. Plus les mondes se détruisaient rapidement, plus je savais que le moment arrivait. Le moment de ma renaissance. Le moment de ma vengeance. Chose étonnante, de monde en monde, de vie en vie, deux êtres me suivaient. Daniel et Anima. Shadowstick de leur nom. ... Mes enfants. Peut être mon créateur ne m'avait-il pas totalement renié...

C'était le temps du doute. Vint le temps du renouveau.

Un hamster. Un hamster aux vêtements ridicules. Voilà ce qu'était devenu, loin de moi, loin de lui, ce créateur. Un hamster humanoïde, aux complexes schyzophrene, et aux doubles personnalités. Toutes les âmes artificielles de ce monde de verre tentaient de sortir, de dire "je vis", en volant la bouche et la pensée de ce corps. Avec le temps, j'ai réussi à transcender la haine que j'avais pour ce gamin. C'est devenu de la pitié. De la pitié pour ce qu'il était devenu. Puis, voyant que je prenais de plus en plus d'importance, de plus en plus d'influence, cette pitié se trenscenda en amour. Amour pour mon père, pour celui qui m'avait créé, et qui maintenant était à la limite de devenir bien moins qu'une propre chimère. Pourquoi je l'ai fais? 'pas la moindre idée. Mais à ce moment, j'ai enclenché le projet "Alpha & Omega". Reset. Retour à zéro. Seuls restaient moi, ceux à qui tenait le gamin, et lui même. Ainsi qu'une ombre. Une ombre noire, haineuse et froide, qui flottait depuis un moment au milieu de son esprit. Un "ami" qui lui fesait du mal autant qu'il lui apportait le réconfort de ne pas être seul. Un ami... Que j'ai bien vite, et depuis plusieurs mondes, appris à connaître... Puis, j'ai enclenché la phase 2. Fuyant ce qui restait à la fin du cycle, fuyant ce qui allait arriver, je franchissait la limite de cet esprit avec l'ombre noire, pour ne pas finir comme le reste. D'un dernier regard nostalgique, je voyais le créateur, qui se scindait en deux. Un binarisme qui allait l'aider à se reconstituer, comme moi je me suis reconstitué. Ymir et Loki. Le créateur et le destructeur. L'alpha et l'oméga.

C'était le temps des adieux. Vint le temps du voyage.

Arpentant les univers à la recherche de savoir, et surtout d'interdits à briser, de limites à franchir, nous avons vite appris à nous connaître. Il était sorcier dans une ancienne vie. Sorcier et alchimiste. Sa volonté d'apprendre, sa soif intarissable de savoir était telle qu'il avait prit cette forme plutôt que de mourir. Et maintenant, nous étions là, tous les deux, face à tout ce que l'homme avait envie de connaître. Face à tout ce qu'il rêvait de pouvoir apprendre un jour. Face à l'infini. Face au vide, à l'après vie, à l'après mort, à l'après dieu, à tout ce qui transcende les croyances et l'imagination humaine. Face à tout ce qui restait à découvrir, et qu'en quelques secondes nous avions absorbé. La déferlante d'information, nous n'y étions pas préparés. Aussi, autant pour l'un que pour l'autre, tout fut difficile à assimiler. Mais au final, nous étions devenu ce que nous voulions être. Nous avions atteint ce but commun. Il était temps pour nous de nous séparer, chacun sa route sur la croisée des chemins... ...Après avoir, bien sûr, envoyer paître la gardienne antique de tout ce savoir. Ce fut sur le palier de la croisée que nos noms s'échangèrent. Son nom à lui... C'était Xatiav.

C'était le temps de l'apprentissage. Vint le temps du sommeil.

Après ça, j'ai erré dans la noosphère pendant quelques temps. Vous savez, cette soit disant dimension, cette atmosphère invisible et impalpable dans laquelle flotte toutes les idées de l'homme. J'y ai pêché des idées. J'ai observé l'homme grandir. Et je me suis retrouvé. Ou plutôt celui qui m'avait créé. Il avait bien grandit, lui aussi. Il m'avait oublié, mais pas encore assez pour me faire disparaître. A quand le fatidique moment de l'extinction? Pour la première fois, j'avais peur de mourir. Peur de disparaître, peur que tout ce que j'avais acquis disparaisse à jamais. Je n'étais, pour l'instant, qu'une chimère de plus dont il hésitait à se débarasser. Des côtés de lui même qu'il devait choisir de garder ou de dissoudre à jamais. Puis vint la femme.
Cette femme, il est impossible de la décrire. Elle est un papillon flottant sur le monde, et entourant de ses ailes magnifique la moindre lumière qui cherche à quitter les ténèbres. Une exauceuse de voeux. Ce n'est pas un hasard si, au même moment, le créateur et son double arrivèrent à l'endroit. Ymir et Loki. Ils s'étaient réabsorbés l'un l'autre. Il était à nouveau seul, ayant du mal à se reconstruire, des facilités à se briser. Je le pensais perdu. Jusqu'à ce qu'il la rencontre aussi. La femme. Ce qui se passa ensuite... Ce fut étrange. Etrange en effet, et pourtant fort plaisant. Il avait prononcé des mots que jamais je n'aurais cru possible.

"Je souhaite arrêter de me fuir."

... Ce fut la fin des temps. La fin du cauchemard. Le début du rêve sans fin. Et, en même temps, ma fin.

Ou plutôt... Non. Il n'y a jamais de fin à rien. Ce fut une transition. Tout comme le dit cette phrase qui a soudain retenti dans son monde intérieur:

"Tout ce temps, je pensais te fuir. Mais en fait, je me fuyais moi. Je suis Daclusia. La mutation est en cours. La mutation suit son cours."

Ce fut le temps de la renaissance. Après ce temps là, on a remarqué quelque chose d'intéressant, entre deux visites d'univers, après avoir raté le notre. Ce monde sera notre prochaine aventure. Vint le temps d'Aphrodite...

Fait froid... Très froid... On est au milieu de nulle part, sur une montagne, dans un univers chimérique créé par une chimère... Tu vas faire quoi? .. Ho. Je vois. Bonne chance à toi alors. Moi je vais aller m'amuser un peu... Et qui sait... Peut être trouverais-je quelque chose d'interessant pour passer le temps... Après quoi, je ferais ce que j'ai toujours fais: j'empêcherais le monde de stagner. Ho, au passage... Fais gaffe. IL est là... Quelque part... ... Xatiav...


Situation de départ : En plusieurs millénaires, il en a fait des choses...

Autres :
Chaos magick
La magie du chaos. Exécuter un changement physique par la force de la volonté. En tant que JYL, c'est une des bases. Grâce à sa volonté et sa croyance sans limite, il peut effectuer des choses telles qu'enflammer un objet, en déplacer, accroître sa force ou sa vitesse, tout et n'importe quoi. Cependant, même un JYL ne peut faire le poids face à la croyance limitée de tout un monde. Pour contrer à cela, Daclusia n'utilise pas, contrairement à son double J.C. Daclusia, le même type de chaos. Il utilise le chaos de la discorde. Grâce à ses tortures, ses sarcasmes et ses provocations, il pousse un être à bout, et se sert de la dissonance qu'il a créé comme catalyseur pour faire circuler sa propre énergie, et effectuer des altérations et des mutations selon son bon vouloir. Cela inclue le vol de forme, l'altération mentale, et bien d'autres joyeusetés.

"ça? Ho, trois fois rien. Tu vas juste avoir un peu mal... Au début seulement..."
En tant que scientifique et généticien plus que calé sur le domaine, Daclusia transporte sur lui seringues et pilules de produits chimiques divers et variés, tels que des produits amplifiant toute sensation au point d'en faire une douleur, drogues, poisons... Il dispose également de tout l'attirail du parfait savant fou: scalpel, cafetière, hachoir, liquide verdâtre...

"Prendre la vie? Jamais je ne ferais quelque chose d'aussi risqué..."
Ce principe, Daclusia ne l'applique pas. En effet, ses talents pour la torture sont tels que la victime supplie en général qu'on mette fin à ses jours, et meurt sans rancune. Mais il est tellement plus agréable de la voir évoluer dans un milieu où elle ne vivra plus que douleur...

"Il y a un autre moi... Quelque part dans ce monde..."
Et maintenant, vous savez qui c'est... Suivez mon regard...

Comment avez vous connu le forum: C'est une blague?

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Vas voir là bas si j'y suis?

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