Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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J.C. Daclusia (v.2)

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Daclusia Khaleos

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J.C. Daclusia (v.2)

mardi 12 mai 2009, 11:50:34

[A ceux qui se demanderaient le pourquoi du comment de cette v.2, je trouve mon bg vide et incomplet. Certes, on est sur un forum délirium, et peut être que c'est pas nécessaire, mais j'avais envie de refaire mon bg. voilà tout]

Nom : J.C. Daclusia (seul lui et quelques personnes savent à quoi correspondent ces initiales.)

Surnom : le vendeur; Daclu; Jycé; J.C. .

Age : Inconnu.

Apparence du corps : environ 17 ans.

Sexe : Male

Race : A été humain. Est maintenant un J.Y.L., un esprit qui s'est désincarné pour mieux comprendre le monde.

Orientation sexuelle: Puceau, on ne peut donc pas parler de sexualité. Il est à noter que, considérant l'amour et le sexe comme deux choses séparées, il peut avoir du sexe sans amour et vice versa.
A cela s'ajoute le fait qu'il considère que l'amour véritable ne se préoccupe pas de la barrière de l'espèce.

Description physique : Posons la base. Un corps d'un mètre soixante-quinze, environ. Légèrement enveloppé. Un visage rond et amical. Une masse de cheveux châtains sur le crâne, descendant un peu plus bas que les épaules. Une pilosité ni trop épaisse, ni trop développée. Un sexe d'une quinzaine de centimètres à taille maximum.
Précisons un peu. Des yeux bleus turquoise, tirant au gris, dans lesquels se reflètent cette mise en abime qu'est celle de deux miroirs posés l'un en face de l'autre. Des cheveux attachés en courte queue de cheval, ne laissant que deux mèches tomber de chaque côté du visage. Une barbe de trois jours sous le menton, rasée assez souvent.
Posons la couche de vêtements. Le plus souvent, à l'extérieur, c'est un sweat à capuche noir, ouvert sur un t-shirt blanc ou gris selon les jours. Un pantalon jean noir ou bleu, des chaussures noires et légères, à motif de tête de mort sur le côté intérieur des chaussures. Un triskel en pendentif.
A l'intérieur de la boutique, par contre, tenue bien plus décontractée: pieds nus, ou sur sandale, pantalon de jogging gris clair, ample et confortable. T-shirt blanc à manches courtes. Toujours un triskel.
Pour les clients, la tenue change parfois. Quelques fois c'est une toge, parfois un kimono, de temps à autre une robe masculine, et pourquoi pas des tenues plus farfelues.

Caractère : Calme. Posé. Voici ce que reflètent les prunelles bleues de Daclusia. Un océan de calme survolé par quelques nuages blancs. Jamais emporté, toujours serein, sa joie la plus élevée n'est qu'un sourire enfantin, et son agacement le plus haut n'est qu'un soupir fatigué. Appréciant le calme et la tranquillité, il n'en est pas moins aimant de la bonne ambiance et des fêtes, même si les "grosses teufs" ne sont pas sa tasse de thé.
Les choses qu'il aime sont diverses et variées, et on peut dire qu'il aime tout à partir du moment où les choses sont bien faites. Mais ses passions sont tout de même la lecture, la philosophie, le dessin, la musique, et l'activité geek. Pour ce qui est des autres choses, plus matérielles, la pizza, le thé à la menthe, le poulet aux épices, les sucreries et les confiseries, les pâtisseries, les jeux de hasard, les jeux vidéos, les choses attisant la curiosité.
Pour ce qu'il n'aime pas, c'est à peu près la machinerie inverse. Il n'aime rien à partir du moment où il n'y a pas de cœur dans leur préparation. Mais il y a quand même des choses qui ne changent pas: la politique, la télévision, les magazines people, l'autodestruction, et la violence. Pour les choses matérielles, le dégoût va aux légumes, aux choses amères et acres, à la viande saignante, aux alcools de tout type, et aux personnes rabâchant toujours la même chose.

Histoire :

Prologue: la mort d'un humain

De la curiosité nait la soif de connaissance.
De la soif de connaissance nait le savoir.
Du savoir nait l'envie d'en savoir plus.
Le savoir est une chose non finie, exponentielle, qui grandit de seconde en seconde;
chaque évènement est une transformation irréversible et une évolution de la pensée.
Ainsi, de ce que l'on sait, de ce que l'on croit savoir, de ce que l'on pense savoir, naissent progrès et avancées, qu'elles soient scientifiques, ou philosophiques.
La seule limite consiste en ce que l'homme veut bien croire possible...

A une époque, j'étais humain. J'habitais sur une planète, la terre. J'étais un simple être humain, inconscient de ce qui m'entourait, uniquement préoccupé par mon sort, et j'avançais les yeux fermés. Au fur et à mesure que la vie avançait, je devenais violent. Je renonçait à toute main qui m'était tendue. Par peur. Par crainte. Pas par peur des autres. Par peur de ce que je pourrais faire aux autres. Et, lorsque j'étais au bord du gouffre, presque régressé au stade d'animal craintif, il y eu le déclic.
Renfermé sur moi même, enfermé dans mon cocon, je pris, pour la première fois depuis longtemps le temps de réfléchir. Qu'est-ce qu'était la vie, qu'est-ce qu'était ma vie.
Rien ne me vint. Je ne savais rien de la vie après tout. Alors, je voyageais. J'ai tout claqué, tout, pour m'enfuir de ce cocon. Je découvrais des paysages inconnus, je rencontrais des gens formidables, et je survivais du mieux que je pus. Des choses que jamais je n'aurais cru voir s'avançaient devant moi, et j'avais l'impression d'entrevoir la lumière au bout du tunnel. D'ouvrir les yeux.

Ce fut le début de ma fin.

Avec cette ouverture de conscience nouvellement acquise, je pensais tout savoir. Et puis je l'ai rencontré... Une femme formidable. Une vendeuse, dans une boutique d'une ville du japon. Quand je la vis pour la première fois, je crus déceler en elle quelque chose d'irréel, d'immatériel. Quelque chose qui appartenait à notre monde, mais s'en était extrait. A ce moment, une nouvelle ligne de code s'inscrivit dans mon cerveau, cette machine reprogrammable à l'infini.

Crois.

Quel était la signifiance de cet unique mot? Qu'en croyant en une chose, même la plus improbable, elle existait? En tout cas, c'est le premier raisonnement qui me parut le plus logique. Puis la femme m'expliqua que sa boutique exauçait les vœux, en échange d'une compensation. Ce qui se passa ensuite fut très étrange. J'eus l'impression que mon âme prononça ces mots, sans que mon cerveau n'acquiesce, sans que mon corps ne parle. Mais pourtant, la femme prononça, en bougeant à peine les lèvres, mais d'une façon très claire:

"Exauçons ce voeux..."

Voilà ma fin. Voilà ma mort. On voit souvent la mort comme un noir total, puis un blanc, avant de tomber au paradis, ou dans l'oubli et le néant. Sans doute était-ce parce que c'est ce que je croyais, mais pour moi ce ne fut pas le cas. J'étais là, forme translucide et transparente, flottante et étant relié à ce corps désormais sans vie par un mince filin argenté. On eut pas besoin de m'expliquer davantage. Un déclic très net retentit dans mon esprit, ainsi qu'un BANG, première explosion de l'amas chaotique de mon être spirituel. On ne peut décrire cet instant là.
Puis je redescendis sur terre. Fin de la petite mort. Mon corps était à bout de force. Incapable de bouger, incapable de supporter toutes les informations.
Cette petite mort m'avait fait croire à une chose que je pensais impossible: l'âme. Il y eu réaction en chaîne. D'un coup, toutes les serrures de ma conscience avaient volé en éclat. Tout était désormais à mes yeux possible. La femme me sourit tendrement, à la fois bienveillante et attristée.

"Tu avais déjà ouvert les yeux. Je t'ai juste aidé en retirant le voile qui était posé dessus. Maintenant, tu ne peux plus les refermer... Pour ce qui est de la compensation..."

L'odyssée d'une âme sans corps

Me voici dans le monde des rêves à présent. La compensation fut de laisser mon corps. Et maintenant que la conscience collective, la noosphère, se tient devant moi, j'y plonge avec une curiosité non dissimulée, à la découverte de tout ce que les humains ont pu un jour imaginer.
Là, à gauche, des chimères fantastiques, tantôt agressives, tantôt joueuses.
Là, à droite, des machines rivalisant les unes des autres d'ingéniosité.
Par là bas, un monde rêvé. Par là, un autre! Et encore un! Et encore un!

Car tout cela existe car je les vois, je les rêves, je suis à présent ce que j'appelle un JYL. J pour le rêveur. Celui qui rêve de tout ceci, le concrétise et le maintient réel par sa foi.
Y pour le créateur. Celui qui protège les idées et les mondes, les fait émerger du néant et les rebâtit.
L pour le destructeur. Celui qui dévaste, anéanti, et réduit au silence les idées et les mondes qui tentent d'exister.

Voilà le début de mon odyssée. En une fraction de seconde, qui équivalait à plusieurs centaines d'années, je disparais dans un monde, m'incarne dans un être, vit l'espace d'une vie, et reviens, avant de plonger, tel un dauphin d'un cerceau à un autre, dans un autre monde à explorer. Je remarque que tous sont semblables. Tous se ressemblent. Les rêves sont inter-connectés. Les mondes aussi.
Alors, entre deux mondes, prenant le temps de réfléchir, je me décide à créer, moi aussi, mon propre monde. Mais c'est bien plus dur que ce que j'imaginais. Il faut que chaque partie de moi, chaque parcelle de mon âme, devienne rocher de ce monde, plante de cette terre, être vivant de cette planète. Je ne suis pas encore prêt... La création de monde, ce sera pour plus tard.

Mais... Qu'est-ce que ceci? D'un coin de psyché émerge une grande forme, entourée d'amour et de passion. Un autre être comme moi? Non... Celui-ci est différent. Ce n'est pas un être qui s'est émancipé... C'est un rêve devenu réalité... Aphrodite. Déesse grecque de l'amour. Et que fait-elle? Elle crée un monde? Voilà qui promet d'être intéressant...

Épilogue: vous êtes dans une boutique...

"...Une boutique où l'on exauce les voeux..."

Me voici installé. L'incarnation fut douloureuse. Le corps a mit plusieurs mois à assimiler mon âme. Créer mon propre corps plutôt que d'en squatter un était peut être pas une si bonne idée... Mais ce qui est fait est fait non? Et en parlant de ça...
J'ai ouvert une boutique. Telle celle qui fit de moi ce que je suis, j'ai ouvert une boutique où j'exauce les souhait des gens. C'est amusant. Parfois, j'ai la rencontre d'être surnaturels, mais qui pourtant sont considérés comme normaux sur ce monde... Aphrodite... J'ai hâte de vous rencontrer...

Situation de départ : On pourrait penser que Daclusia, en plusieurs millénaires à flâner de monde en monde, a eut le temps de se dépuceler... Ben non. Mis à part le fait que le corps ait été créé récemment, Daclusia n'a jamais pensé au sexe, trop occupé à explorer les mondes, émerveillé qu'il l'était par ces merveilles de créations métapsychiques.

Autres :
Chaos magick.
La magie du chaos. Exécuter un changement physique par la force de la volonté. En tant que JYL, c'est une des bases. Grâce à sa volonté et sa croyance sans limite, il peut effectuer des choses telles qu'enflammer un objet, en déplacer, accroître sa force ou sa vitesse, tout et n'importe quoi. Cependant, même un JYL ne peut faire le poids face à la croyance limitée de tout un monde. Ses pouvoirs sont limités par ce qu'un monde est capable de croire possible. Sauf en un espace. La boutique. Le seul endroit qui lui appartienne, qui soit à lui. Son refuge intérieur mit à la vue de tous... Ou presque...

"Les yeux sont la fenêtre de l'âme."
Celui qui a créé cette expression l'a fait pour Daclusia. Bien que JYL, son corps, lui, est humain. Et un humain est encore un animal... La lutte entre le contrôle et l'instinct sauvage est perpétuel, et parfois, souvent après un choc émotionnel, ou un ras-le-bol, l'instinct reprend le dessus sur l'esprit.

Bleu : la couleur habituelle des yeux de Daclusia. Il est lui même.
Rouge : la couleur du sang. Sous l'emprise de la colère, il redevient une bête sauvage. Pas une colère ciblée, non, bien pire. Une colère pure, et totale. Ses mots sont crachés, violents, et ses postures n'ont plus rien d'humaines. Il est une bête fauve, et tout autour de lui est source de haine.
Jaune : la couleur de l'or. Un jeu de roulette, un poker, un simple pile ou face, et le voilà poussé dans ses pulsions joueuses. S'amusant de tout, et de tout le monde, toute personne et tout objet autour de lui devient un pion sur l'échiquier de la vie, qu'il s'amuse à pousser pour voir où cela mènera.
Gris : la couleur de l'uniforme. Un mur lisse et froid, voilà ce qu'il est. Indifférent à tout, et à tout stimuli, plus rien n'a d'importance. Ce n'est pas une pulsion suicidaire. Il se fiche juste de vivre ou de mourir. Ne bouge plus. Ne respire que par réflexe. Mais un mur brisé peut vite devenir une pierre qui roule...

"Prendre la vie? Jamais je ne ferais quelque chose d'aussi risqué..."
Malgré tout ce qui peut arriver, perte de contrôle, virée au rouge, emprise mentale, jamais Daclusia ne tuera quelqu'un. Même sur demande. Prendre la vie est un lourd fardeau. Un fardeau qui finit par écraser. Écraser à peu près tout. Car même si on le renie, la culpabilité nous ronge. Inconsciemment. Et la victime, elle, en voudra toujours à son meurtrier... Même dans la mort...

Seuls les animaux échappent à cette règle: eux savent que la mort fait partie de la vie. Et sauf en cas de meurtre par plaisir, pourquoi en voudraient-ils à la vie...?

"Eux? Ils s'appellent Ate et Ade..."
De leurs noms complets: Atheo et Adeus.
Le premier a les cheveux blancs en pics, les yeux verts, et une expression de joie infantile sur le visage en quasi permanence. Il est habillé exclusivement de noir, à savoir une veste à queue de pie, un pantacourt, un t-shirt, et des chaussettes, seuls éléments blancs, ainsi que des sandales japonaises.
Le second a les cheveux noirs et longs, attachés en queue de cheval asiatique, les yeux rouges, et une expression d'amusement agaçant sur le visage en quasi permanence. Il est exclusivement vêtu de blanc, à savoir un haut de kimono, une ceinture couvrant l'arrière de ses cuisses et le bas de son dos avec une petite cape, et un pantalon très large. Il se promène tout le temps nus-pieds.

Tous deux sont dépossédés d'âmes. De ce fait, ils ne peuvent sortir de la boutique. Leur corps sans âme ne supporterait pas. Ils aident Daclusia à la boutique en tant qu'assistants. Leurs yeux, grands et vides, dépossédés de pupilles, reflètent les mêmes énigmes que les milles paillettes des yeux d'un chat.

"Vivre seul, durant toutes ces années, m'aurait été impossible... Il y a un autre moi... Quelque part dans ce monde..."

"La ferme! Pas de spoiler sur ma présence!"
"Ho, bon, ça va... Désolé..."

Comment avez vous connu le forum : BG v.2 de moi même

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels : idem qu'avant hein, je peux faire de la pub auprès de ceux qui sont interessés  ;D

Pfiouuuu... Enfin fini... ;_; *mal aux doigts*

Sandji

Humain(e)

Re : J.C. Daclusia (v.2)

Réponse 1 mardi 12 mai 2009, 12:49:51

C'est bien gron tout ça. °^° Mais que tes deux larbins ne s'approchent pas de la chevelure de Sandji, les couettes ne (re)passeront pas.

*Valide*


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