Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Pepper Calgary

Pages: [1]
1
Aujourd’hui, la grande famille du lycée Mishima allait recueillir un nouveau membre. Pepper avait reçu l’information hier. Le conseil d’administration de l’établissement avait accepté de recruter un nouveau surveillant, un individu originaire de Seikusu. Pepper n’avait que peu d’informations sur lui, et ne l’avait, en tout cas, jamais rencontré personnellement. Après tout, elle ne pouvait pas se targuer de connaître tous les habitants de la ville. Ce qui l’étonnait, c’était de voir qu’il ressemblait à un prêtre, avec son pendentif en forme de croix chrétienne qu’il exhibait sur sa poitrine... Un pendentif un peu trop gros, selon elle. Est-ce qu’il n’y avait pas des règles sur le prosélytisme religieux qui interdisait le port de pendentifs de ce genre ? Enfin, dans tous les cas, elle était décidée à accomplir son rôle.

Mishima était un établissement scolaire assez conséquent, puisqu’il était situé sur le même campus que celui abritant l’université. L’ensemble s’étalait donc sur plusieurs hectares, comprenant, outre le lycée à proprement parler, de multiples annexes et dépendances, notamment des cours de sport, des gymnases, des vestiaires... Le conseil d’administration estimait ainsi nécessaire, dans bien des cas, d’effectuer une visite personnalisée des lieux avec les nouveaux membres, que ce soit les élèves, ou, a fortiori, les surveillants. C’était là le rôle de Pepper aujourd’hui : faire découvrir à Ikami Mishima. Une visite préalable qui lui était obligatoire avant de pouvoir exercer.

Le lieu de rendez-vous était fixé dans le hall, et Pepper était assise sur un banc. Elle portait, sous elle, et comme à son habitude, sa tenue de cowgirl rose flashy, qu’elle dissimulait sous un ensemble plus professionnel. On pouvait néanmoins en voir quelques morceaux, que ce soit par ses gants roses, qui recouvraient ses mains, ou ses bottes. Pepper était là très tôt. Le rendez-vous était fixé à 8h00, mais la jeune femme n’avait tout simplement pas dormi de la nuit. Elle avait passé sa soirée au club de strip-tease, et était donc arrivée tôt au lycée, juste le temps de prendre une douche, et de se préparer. Autant dire qu’elle avait eu une nuit très chaude.

*Il a un look de garçon rebelle, en tout cas...*

Le dossier comprenait peu d’informations sur son passé.  Il avait été à un autre lycée que celui de Mishima. En tout cas, il ne faisait pas vraiment surveillant. À voir sa photo, on aurait plutôt dit... Un voyou. Mais bon, ce ne serait pas la première fois qu’un individu au passé atypique se retrouvait au sein de l’établissement.

Pour l’heure, tout ce que Pepper avait à faire, c’était de l’attendre, et de se concentrer en oubliant sa folle soirée jusqu’à ce qu’Ikami arrive...

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Soumission [Ethan Garest]
« le: jeudi 01 décembre 2016, 19:02:37 »
« Ethan Garest... Et c’est avec lui que tu veux t’amuser, cette fois ?
 -  Oui... Le club se réunit d’ici quelques jours, ce sera parfait ! »

Les Morimoto disposaient d’un impressionnant manoir, situé en-dehors de la ville. Majestueux, il était à l’image de cette famille, luxueux et arrogant. Les Morimoto, en effet, contrôlaient un important keiretsu, et disposaient d’une fortune considérable. Cette très ancienne famille avait fait partie des familles pionnières, ayant fondé Seikusu, et procédé au développement de cette dernière. Les Morimoto faisaient ainsi partie de l’une des principales familles participant au financement du lycée Mishima, et avaient fait partie des pontes de la ville ayant autorisé la construction de tout le complexe scolaire.

Ensemble, les deux filles héritières du clan passaient un agréable moment dans un salon très végétal, entouré de plantes exotiques et d’arbres. Deux hommes, musclés, pénétraient et caressaient la puissante Reina. La jeune femme était une surdouée, aussi intelligente que nymphomane, et dirigeait véritablement le clan. Son père était un imbécile patenté, dont le seul rôle était d’éviter d’ennuyer sa fille dans la gestion des affaires en participant, à sa place, à toutes les réunions avec les actionnaires. Il était un dirigeant de paille, car c’était Reina qui dirigeait les affaires, d’une main de fer. Depuis quelques années, elle avait ainsi pris le contrôle de la keiretus, et la fortune des Morimoto avait considérablement augmenté. Quant à sa petite-sœur, Leona, elle était entourée par une série de belles nymphes, des femmes qui la léchaient et l’embrassaient tout le long du corps.

« Il vient d’arriver au lycée, tu ne veux pas... Hmmmm... Lui laisser le temps de s’habituer ?
 -  Et laisser cette garce de Warren me le piquer ? Un petit vierge, c’est tout ce dont j’ai envie en ce moment ! »

Un soupir s’échappa des lèvres de Reina, sans qu’il ne soit possible de déterminer si cela était dû aux coups de reins qu’elle recevait, ou à l’impatience de sa sœur. Mélinda Warren était un peu comme le cheveu sur la soupe des Morimoto. Une jeune femme, très belle, qui les narguait, en parvenant à avoir son propre réseau, et qui était maintenant presque aussi populaire que Leona... Si ce n’est plus. Alors, un petit puceau... Mignon, qui plus est... Reina ne pouvait que la comprendre, tout en crispant ses mains sur le torse musculeux de l’homme contre elle.

« Aaahh... Cette rivalité est ridicule, Leona, hmm... Tu as couché avec elle, en plus, alors... Haaaa... Je ne comprends pas tes hésitations.
 -  J’ai mes raisons ! Je veux m’occuper de ce puceau, c’est tout ! »

Reina aurait pu refuser... Mais il était bien connu qu’elle ne refuserait jamais rien à sa sœur.

Et, pour organiser ça, le mieux était de recourir à l’une de leurs plus fidèles soumises, une surveillante du lycée, Pepper...

C’est ainsi que, le lendemain matin, Pepper se tenait devant l’entrée principale du bâtiment central, attendant l’arrivée du jeune Ethan...

3
Dans le manoir Morimoto, et, plus précisément, dans l’un des salons de l’immense manoir, Pepper assistait à l’une des séances usuelles de cette puissante famille : une nouvelle intronisation dans le clan Morimoto. Dominant la scène, Leona Morimoto, l’une des deux héritières du puissant groupe financier, souriait malicieusement, assise sur la tête d’un jeune homme, dans une tenue rouge en latex, très courte, et terriblement moulante. Comme toujours, Leona dominait son monde, et avait fait boire à l’homme son urine, en écartant son string.

« Bien... À partir de maintenant, tu es l’un de mes chiens, Tomoto. Un délicieux petit soumis pour moi, ma famille, et mes autres esclaves. »

Au sein de Seikusu, les Morimoto étaient une famille aristocratique très puissante. Ils avaient énormément d’argent, et la famille faisait partie des familles fondatrices de Seikusu. Les Morimoto avaient également participé au financement du lycée Mishima et de l’université, et avaient utilisé leurs fonds pour créer ce vaste campus pédagogique, qui regroupait à la fois le lycée et l’université. Leona était donc une lycéenne du lycée, mais qui disposait d’un grand contrôle, vu que sa famille participait au financement du lycée, au financement des professeurs, des secrétaires, des surveillants... Un domaine vaste, et Leona en profitait pour raffermir son emprise sur le lycée.

Elle n’était pourtant que la seconde héritière, derrière sa sœur aînée, la puissante Reina Morimoto. Pepper avait déjà bu l’urine de Leona, léché les pieds de Reina, et, aujourd’hui, si elle assistait à cette séance, c’est parce que Leona avait une tâche à confier à la belle surveillante. Pepper était leur amante depuis de nombreuses années, et c’était grâce au lycée qu’elle avait totalement changé de vie. Elle en avait même changé de prénom, ses parents l’ayant renié, et elle-même ayant décidé de se consacrer entièrement au sexe.

Leona lui fit signe de se rapprocher, pendant que d’autres femmes rejoignaient le soumis, mettant autour de son sexe une sorte de gros brassard noir l’empêchant de jouir, s’occupant de lui. Des femmes belles et plantureuses, en latex, qui s’assuraient qu’il ait une érection magnifique, suçant son sexe, l’embrassant. Pour l’heure, Leona observait, avant que Pepper ne se rapproche, et, pendant que les filles passaient aux choses sérieuses, Leona embrassa doucement Pepper, palpant son corps, faisant, comme toujours, soupirer Pepper. Elle avait toujours vu Leone comme sa Maîtresse, même maintenant qu’elle n’était plus officiellement son esclave.

« Que voulez-vous que je fasse, Maîtresse ?
 -  Une nouvelle élève vient de rejoindre le lycée Mishima. Une Tokyoïte dont le papa travaille pour notre groupe  dans la capitale. »

Pepper hocha la tête, tout en entendant Nishizaki Momone gémir profondément de plaisir en sentant cette queue tendue, gonflée par les électrochocs du brassard, s’enfoncer en elle. Elle en sourit, se rappelant de toutes les fois où elle s’était réveillée dans l’infirmerie, à subir les multiples assauts sexuels des infirmières, jusqu’à ce que la verge du docteur ne vienne s’enfoncer en elle, la faisant couiner et gémir.

Le couple avait déménagé à Seikusu, et leur fille allait rejoindre Mishima.

« Tu vas te charger de l’accueillir... Et me l’apporter sur un plateau.
 -  Hannn... Maîtresse... »

Tout en disant ça, Leone tenait son menton entre ses doigts, et alla à nouveau l’embrasser, enfonçant sa langue dans sa bouche. Comme toujours, les baisers de sa Maîtresse étaient merveilleux, empreints de douceur, et témoignant aussi de sa grande expérience. Elle rompit le baiser en lui souriant, puis lui fit signe de rejoindre les filles en train de s’occuper du nouveau soumis. Pepper, bien évidemment, ne put qu’acquiescer...



Mishima était réellement un grand complexe scolaire, puisque le campus abritait, outre le lycée, l’université. C’était donc un vaste ensemble, composé de plusieurs bâtiments, avec des plans, des cartes, le tout au centre de la ville. Il avait fallu d’importants travaux pour concevoir ce campus, en détruisant d’anciennes usines abandonnées, et en réaménageant les immeubles pour en faire les dortoirs. Le lycée disposait d’un bâtiment principal, et l’une des pratiques de l’établissement était de fournir à chaque nouvel élève une présentation personnalisée des lieux, incluant, outre le lycée, les activités périscolaires... Car, au Japon, il était extrêmement fréquent, après les cours, de faire des cours supplémentaires.

Pepper, elle, attendait la jeune femme dans le hall d’accueil... Prête à l’accueillir, et à lui présenter Mishima.

Tout Mishima.

4
« Alors, c’est ta première journée ici ? Je suis sûre que tu vas te plaire ! Même s’il faut se lever tôt... »

Le système scolaire japonais était réputé dans le monde entier pour son élitisme et son caractère extrêmement chronophage et anxiogène. Une réputation entièrement justifiée, quand on savait par exemple que certaines écoles maternelles organisaient même des concours d’entrée pour les bébés. Toute la scolarité japonaise était faite sous le regard d’une compétition féroce entre les élèves, et, selon de nombreux analystes, était l’une des principales raisons du fait que le Japon soit l’un des pays connaissant le plus grand nombre de suicides... Et peut-être aussi la raison pour laquelle, aux yeux des étrangers, l’imagination japonaise apparaissait comme totalement farfelue. Dans une société étouffante et asphyxiante, l’art était un moyen de s’évader et d’égayer ses pensées en songeant à autre chose que les cours. Mais, parfois, le système éducatif se rappelait cruellement à vous, et, pour Mishima, c’était le cas quand le Sentā approchait.

Le Sentā, c’était un mot qui pouvait déclencher des crises d’hystérie. On l’appelait, plus globalement, le « test du Centre national des admissions à l’université », et c’était un test qui était géré par une autorité » administrative indépendante, rattachée au gouvernement japonais, et qui, au Japon, faisait office de ce que, chez les Occidentaux, on appelait « Baccalauréat ». Cependant, si, en France, le Bac’ était un examen scolaire destiné à vérifier l’acquisition de compétences jugées élémentaires et fondamentales à l’approche de la majorité civile, au Japon, le Sentā n’était rien de plus qu’une porte d’accès vers l’université. Dans les faits, comme on ne pouvait plus faire grand-chose en France avec juste son pauvre Bac’ en poche, cette différence idéologique était estompée, mais une autre différence résultait dans le fait que le Sentā, contrairement au Bac, était un concours dont le niveau variait selon ce que les lycées et les universités proposaient.

Ce test était très difficile, et, à chaque fois qu’il approchait, le lycée recrutait plus de surveillants pour aider l’équipe actuelle de surveillants. C’est dans ce cadre que le lycée Mishima proposait un Sentā blanc, et le lycée avait sollicité plusieurs surveillants pour venir surveiller les classes, avec possibilité, par la suite, d’avoir un emploi. Il n’était évidemment pas à temps complet, mais c’était ainsi que l’emploi fonctionnait au Japon, par une série de courts emplois dans différentes boîtes. De cette manière, le Japon évitait le chômage, mais flottait malgré tout au bord de la récession économique... Ce qui faisait du Japon un cas à part pour les analystes économiques, car c’était le seul pays du monde disposant d’un taux de chômage très faible, et d’une croissance économique inexistante. On ne faisait rien comme les autres au Japon, après tout.

Tout ce laïus pour dire que Pepper avait maintenant une nouvelle collègue, qui avait répondu à l’annonce du lycée, et qui avait été engagée par le lycée. Cependant, Pepper ne se faisait pas d’illusions. Il y avait, certes, le Sentā blanc, mais Stella n’avait été recrutée que parce qu’elle était belle. Son dossier, comme n’importe quel dossier ce candidature, avait été transmis au bureau de la personne désignée par le Conseil du lycée, pour gérer les candidatures : Morimoto-san. Morimoto-san était un homme d’affaires riche, l’héritier d’une longue famille de Seikusu, très riche, et qui avait participé à la création du lycée. Cependant, et encore plus concrètement, ce n’était pas Morimoto-san en personne qui gérait les dossiers de candidature, mais sa fille, Reina Morimoto, qui était aussi une terrible perverse.

Stella n’était là que pour servir d’amante sexuelle, et, si elle voulait avoir un emploi durable à Mishima, il allait falloir qu’elle gère le vrai visage de Mishima... Car Stella n’était pas née à Seikusu, mais venait d’arriver dans la ville. Elle avait donc légitimement besoin d’un emploi, et Mishima payait bien... Mais Mishima demandait des compétences qu’on ne pouvait pas vraiment mettre sur un CV.

Voilà donc où les deux femmes se trouvaient, dans une salle de repos, à 6h30 du matin, en attendant l’arrivée d’un supérieur pour pouvoir préparer la salle d’examen. Pepper avait ouvert la porte à Stella, avant de la guider vers la salle de repos.

« Ça va, t’es pas trop fatiguée ? Tu... Tu veux que je prépare du café ? »

Pepper avait pris soin de ranger son gode, mais, en proposant de faire du café, ce n’était pas totalement innocent... Car Pepper comptait mettre dans le café, qu’elle ferait elle-même, un petit ingrédient spécial, made in Mishima.

De l’aphrodisiaque...

5
Les alentours de la ville / Les Délices de Xanadu [Gabriel Valmy]
« le: mercredi 28 octobre 2015, 17:26:02 »
« Superbe, votre show, les filles ! À force, vous allez finir par nous mettre sur la paille ! »

Une claque résonna sur les fesses de Pepper, faisant sourire cette dernière. Elle se surpassait de plus en plus, mais elle n’en était qu’à moitié responsable. Elle coula un regard en coin, volontiers concupiscent, vers sa partenaire pour leur danse torride sur la piste de danse. Voodoo était une strip-teaseuse torride, et les deux femmes avaient dansé ensemble pendant une bonne dizaine de minutes, sous une foule de regards admiratifs, d’érections spontanées, et de sifflements. Dos-à-dos, elles avaient frotté leur cul ensemble en tournoyant, et avait conclu par un voluptueux baiser, entièrement spontané, et qui était la preuve qu’on pouvait aimer le fait d’être strip-teaseuse. Un baiser qui en disait long sur les relations entre les femmes, et sur le fait qu’elles étaient déjà des amantes régulières.

Ce constat, néanmoins, pouvait volontiers s’étendre à tout le personnel du Madame Xanadu, nom de ce strip-club qui ne dissimulait clairement pas le fait qu’il était, outre un club de strip-tease, un club de prostitution. C’était bien simple. Au Japon, le strip-tease pur était en crise. Il y avait un tel essor du porno’ sur Internet que tous les clubs voulant juste proposer des déhanchés fermaient. Le strip-tease n’était pas propre au Japon, mais était une chose implantée par les Occidentaux après la Deuxième Guerre Mondiale, et qui, s’il avait bien marché pendant un temps, s’écroulait maintenant. Pour survivre, il fallait donc aller plus loin, et Madame Xanadu avait donc plusieurs volets. Le club était comme une pyramide inversé, où, plus on s’enfonçait, et plus on découvrait des choses immorales.

Le club était tenu par une femme qui répondait au nom éponyme, Madame Xanadu, qui était connue pour sa superbe robe rouge fendue, et ses deux énormes loups veillant sur elle. C’était une femme aussi perverse que cruelle, qui n’hésitait pas à donner ses ennemis en pâture à ses loups... Ou ses femmes. Madame Xanadu ne se refusait presque à aucun tabou sexuel, et les employées du club étaient triées sur le volet. Hors-de-question de servir des immigrées qui ne faisaient pas ça par plaisir. Elle voulait des professionnelles talentueuses et compétentes, car c’était à ce titre que Xanadu pouvait dissimuler des activités nettement plus illégales que de simples relations sexuelles, par ailleurs légales, tant qu’elles n’impliquaient pas la pénétration vaginale, une situation atypique due à la législation japonaise, où on pouvait tout montrer, sauf les parties intimes.

Ainsi, outre les chambres de prostitution, Madame Xanadu organisait, dans les profondeurs du club, des choses plus hardcores. Vente d’esclaves sexuelles, pédopornographie, ou fantasmes plus déviants, s’y mélangeaient, et c’était là-dedans qu’elle envoyait souvent les jeunes clandestines qu’on lui donnait. Il ne fallait pas croire que Xanadu était une femme sympathique et avenante. Si elle aimait bien ses prostituées, pour le reste, elle était d’une cruauté terrifiante. Ayant de multiples relations, Madame Xanadu était notamment proche du clan yakuza des Guramu, l’un des plus vieux clans de la ville, et l’un des plus influents Policiers, juges et hommes politiques venaient régulièrement coucher dans son club.

Pepper, elle, ne savait pas grand-chose des activités souterraines de Xanadu. Elle était juste venue ici pour satisfaire ses pulsions sexuelles, mais, en toute honnêteté, elle était bien loin de se douter de ce que Xanadu faisait. Elle la voyait juste comme une femme assez vieille (même si elle faisait très jeune), et visiblement dotée de pouvoirs surnaturels, et qui venait parfois sélectionner plusieurs femmes pour qu’elles couchent avec ses gros loups. Pepper y avait déjà eu droit, et elle avait eu du mal à marcher par la suite.

Après sa danse, elle se tenait donc dans la loge des filles. On s’embrassait joyeusement ici tout en se maquillant. C’était une ambiance que Pepper aimait bien, comme tout ce qui était lié au sexe. Elle s’approcha de son vestiaire avant de sentir Voodoo se glisser dans son dos. Pepper eut à peine le temps de se retourner qu’elle sentit la femme se plaquer contre elle, venant lui voler un nouveau baiser.

« Hmmmm...
 -  Tu sais que j’ai senti ton plug quand on a frotté nos fesses ensemble ?
 -  Han, vraiment ? Hum... Il faut bien que j’entretienne mes fesses... C’est qu’elles sont très deman... »

Sa phrase mourut dans un nouveau baiser. Voodoo l’embrassa joyeusement, quand la porte s’ouvrit sur un homme en costume. Nobuo, l’un des gardes du corps de Madame Xanadu. Les filles se tournèrent vers lui. Quand Nobuo venait ici, c’était toujours pour une raison particulière, une sorte de commande spéciale. Les baisers et les gloussements cessèrent donc, et le visage de Nobuo tourna lentement, comme un phare, avant de se poser sur Pepper et Voodoo.

« Pepper ! Madame Xanadu souhaite te voir !
 -  Oh... Euh... J’arrive ! »

Est-ce que ses loups avaient encore une grosse soif ? Dans sa tenue de call-girl, se composant d’un chapeau rose, de longs gants, d’un corset, d’un minishort moulant, et de longs collants avec des bottes à talon, elle s’empressa de suivre Nobuo vers l’ascenseur, rejoignant les appartements de Madame Xanadu.

Son bureau était en face de l’ascenseur, après un agréable couloir. Pepper l’ignorait, mais Xanadu avait eu un récent problème.

Pour maintenir son activité à flots, elle avait plusieurs contacts au sein de la police, et l’un de ces derniers s’était fait récemment arrêter par ses collègues, après s’être fait surprendre à participer à du trafic de stupéfiants. Xanadu avait donc besoin d’un nouveau contact... Et, quand Nobuo guida Pepper dans le grand bureau de la femme, ce fut pour voir, sur un fauteuil, un homme avec une chevelure blonde...

6
Prélude / Pepper. Surveillante/Strip-teaseuse/Prostituée. [Valisuccubisée]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 01:08:18 »
[Avertissement : les liens contenus dans cette fiche renvoient vers des images qui, sans être foncièrement explicites (pour la plupart !), sont néanmoins d’un caractère pornographique certain.

Vous savez donc à quoi vous attendre !
]



Identité : « Pepper Calgary »
Âge : 20 ans
Sexualité : S’est fait prendre dans tous les sens
Sexe : Femme

Physique

Pepper Calgary est une superbe femme au physique occidental, qui aime porter des tenues courtes en rose, ou en latex. Disposant d’une très belle poitrine, et de formes généreuses, elle a de longs cheveux bruns qui tombent en cascade sur ses omoplates, et, le soir, en travail, elle porte généralement sa tenue de cow girl, se composant de bottes roses de cow boy, d’un chapeau rose, d’un débardeur extrêmement court, d’une minijupe moulante, et de gants longs... Le tout dans un rose voyant et brillant, cela va de soi. Les tenues vestimentaires de Pepper sont ainsi hauteur de sa mentalité, que nous verrons un peu en bas. Pepper porte généralement, lors de son travail du jour, une tenue « normale », et dissimule dessous, ou dans son casier, les tenues qu’elle aime enfiler : sa tenue de cow girl, ou encore des tenues en latex, clairement axées sadomasochisme.

Avec ses beaux yeux bleus, son sourire d’ange, et ses généreuses formes qu’elle entretient à la perfection, Pepper sait qu’elle est belle, et entretient énormément sa beauté. Après tout, c’est ce qui la fait vivre.

Détail ultime : elle a un petit point beauté au-dessus de la bouche.

Caractère

Jadis, Pepper était l’archétype de la fille chiante : timide, intelligente, elle passait son temps à faire ses devoirs, sous la surveillance de parents extrêmement stricts. Et, de fait, à cette époque, elle ne s’appelait pas « Pepper Calgary ». Si le cœur vous en dit, vous pouvez chercher dans son village natal une quelconque Pepper, ou une famille s’appelant Calgary, vous ne trouverez rien, absolument rien. Pepper est le nom d’artiste que la femme a adopté, et désormais le nom qu’elle porte continuellement, comme une sorte de manière rituelle de symboliser sa nouvelle existence. Oubliez donc tout de cette ancienne Pepper, car, entre-temps, Pepper a fait son coming out.

Pour mieux comprendre ce mécanisme, je vous invite à vous familiariser avec certains concepts freudiens (parce que parler de cul et de psychanalyse, finalement, c’est assez proche), notamment le second topique de Freud. Suivant ce second modèle, l’esprit humain est divisé en trois catégories :

  • Le « moi », correspondant à la zone consciente de l’esprit ;
  • Le « sur-moi », une zone morale, correspondant à l’ensemble des obligations et devoirs qui ont été inculquées à une personne ;
  • Le « ça », une zone de liberté absolue, de plaisir, d’égoïsme fort.



Pour vous représenter ça, imaginez-vous revenant enfant, en vous trouvant face à un bonbon, et avec deux voix en vous ; l’une vous dit de manger ce bonbon parce que c’est bon (ça, c’est votre « ça »), et une autre voix qui vous dit que ce n’est pas bien de manger des bonbons, et qui, au choix, ressemblera un peu à l’image de votre mère/père/tuteur/grand-père/autre-figure-d’autorité, et qui symbolise votre « sur-moi ». Et, si vous continuez encore à nager, rappelez-vous vos lectures de « Tintin », quand Milou, face à un os, était face à un dilemme moral entre un Ange (le « sur-moi ») et un diable (le « ça »).

Pourquoi je vous parler de tout ça ? Parce que, et de manière générale, ces deux conseillers spirituels s’opposent continuellement, et ce sont dans ces oppositions qu’on se construit. Pepper a grandi avec un « sur-moi » étouffant, représenté par des parents à l’éducation stricte, des puritains japonais conservateurs qui rêvaient du mieux pour leur fille, mais qui l’ont empêché de s’épanouir. Il a fallu que Pepper s’échappe du cocon familial pour que son « ça », brimé pendant des années, se réveille... Et éclate son « sur-moi ».

Autrement dit, et pour le résumer simplement, Pepper a renoncé à ses études universitaires, alors qu’elle avait un dossier très brillant, pour pleinement se consacrer à son art : le sexe.

Histoire

L’histoire de Pepper, donc, commence sous son ancien nom, qu’il est inutile de révéler, et ce parce que, pour Pepper, ce nom n’a plus aucune importance. Originaire d’un petit village de la préfecture de Kyoto, Pepper était une fille talentueuse, discrète, dont la vie était sous la coupe réglée de sa mère, une femme surprotectrice, et de son père. Bien qu’elle soit née au Japon, ses parents étaient deux Américains, ou, plutôt, des fils d’Américains qui avaient émigré suite à la Seconde Guerre Mondiale. Le grand-père de Pepper avait choisi de rester au Japon, et sa femme l’avait rejoint. Or, le grand-père de Pepper était un Mormon, ce qui fit que Pepper n’avait aucune chance. Elle vécut avec très peu d’amis, un phénomène classique au Japon, sa mère étant ce qu’on appelle une kyōiku mama. Pepper, elle, se contenterait de dire « super-salope mal baisée », mais, comme nous sommes des gens plus polis qu’elle, nous dirons juste que la mère de Pepper accordait une importance maladive au statut social, et au fait d’avoir de bonnes études. La famille vivait dans un endroit assez isolé, relativement fermé sur lui-même, un village composé de bon nombre de Mormons, ayant une philosophie rigoriste, une approche du sexe très puritaine, et un mode de vie spartiate, se ressourçant dans les philosophies zen du Japon. Fort heureusement, le plus proche lycée se trouvait à Seikusu, et, compte tenu des prix de l’immobilier là-bas, la famille de Pepper décida de la placer dans les dortoirs du lycée Mishima. En définitive, ce fut ce mode de vie spartiate qui joua contre la famille de Pepper. En effet, auraient-ils eu Internet qu’ils auraient sans problème pu voir tous les scandales et la sinistre réputation du lycée, mais eux ne virent que les brochures que l’administration de Mishima envoyait aux villages, et qui, bien évidemment, ne faisaient guère mention des procédures judiciaires avortées, ou des associations de parents d’élèves fulminant contre les dépravations régulières ayant lieu dans cet établissement scolaire. La famille se méfiait d’Internet, la jugeant comme une tentation cancéreuse et mortifère.

De fait, Pepper lut son premier manga en arrivant au lycée. Ses parents la conduisirent, et, à l’époque, Pepper était une jeune fille très proche de sa mère. Il ne lui était jamais venu à l’esprit de se rebeller. Pas de télévision, pas de téléphone, elle était comme une antiquité du 19ème siècle quittant sa secte pour rejoindre le monde réel. Elle eut comme colocataire une jeune femme, au visage radieux et innocent, la belle Yukie. On lui aurait donné les clefs du Paradis sans concession, et, alors qu’elle avait droit à un redoutable interrogatoire de la part des parents de Pepper, elle réussit à s’en sortir avec mention « Excellent », surtout quand elle leur expliqua qu’elle était la Présidente d’une association de soutien scolaire, afin de se préparer aux concours d’entrée aux universités. Les parents de Pepper furent rassurés, mais Pepper devait leur écrire à chaque semaine.

En réalité, donner à Yukie les clefs du Paradis était une grave erreur... Car elle faisait partie de ses élèves contribuant à donner une réputation de choc au lycée Mishima. Or, Yukie vit très vite qu’elle avait un poids de choc avec Pepper, qui refusait de parler aux hommes, de porter autre chose qu’une jupe longue, et qui ne se mettait pas du tout en valeur. Yukie y alla tranquillement, avec pour but d’en faire une élève du « vrai » Mishima.

Ce fut en réalité bien plus facile que prévu, car la puberté faisait irruption chez Pepper, et ce n’était sûrement pas sa mère qui allait l’éduquer. Yukie s’en chargea donc, et, peu à peu, Pepper sombra... Et le fit avec plaisir. Yukie se chargea de l’éduquer sexuellement, en lui montrant quel était le but réel de son association... Non pas faire les devoirs ensemble, mais honorer le véritable esprit de Mishima, en couchant ensemble. Yukie eut ainsi droit à ses séances d’entraînement quotidiennes, où elle fut également joyeusement déflorée.

En réalité, le club de Yukie ne comprenait que des filles, car l’objectif était de les former, afin de les offrir ensuite à un club de mecs, où elles se faisaient prendre pendant de longs moments, et ce parfois dans des endroits très insolites. Inversement, les filles se faisaient également plaisir avec certains garçons, les torturant sexuellement joyeusement.

C’est ainsi que Pepper découvrit très rapidement les joies profondes de la sexualité, participant à chacun des évènements spéciaux, comme à des orgies spéciales où elles devaient se comporter comme des animaux. Pepper plongea avec cela avec joie, et chacune des femmes du club s’appelait avec un pseudonyme. C’est ainsi que Pepper choisit son nom, en référence à un hentaï.

Si certains des membres du clan continuèrent ensuite à mener une vie normale, quand Pepper termina ses études, elle était incapable de repenser à autre chose que le sexe, qu’à ce qu’elle avait vécu... Elle refusa ainsi de participer aux concours universitaires, puis coupa tout lien avec ses parents, en leur envoyant une vidéo d’elle en train de se faire baiser par trois mecs... Un message suffisamment clair pour que ses parents l’abandonnent, ce qui n’était pas pour la déranger. En finissant les études, Pepper obtint un poste de surveillante au lycée, tout en ayant aussi, le soir, un boulot de strip-teaseuse et de prostituée dans un club de la ville. De cette manière, Pepper continue à s’entraîner, et est très amie avec l’actuelle Présidente de l’association d’aide aux devoirs, Reina Morimoto.

Et Pepper vit actuellement une vie de rêve !

Autres

Faire cette fiche fut très amusant ^^

RPs

1°) Folies nocturnes [Axelle Shepard] [EN COURS]
2°) Les Délices de Madame Xanadu [Gabriel Valmy [EN COURS]
3°) Premiers cours de Maxime Helis [Maxime Helis] [EN COURS]
4°) Le vrai visage du lycée Mishima [Stella Farron] [EN COURS]
5°) L'érotisme est au sexe ce que les confidences sont à l'amour [Jody Radwell] [ABANDONNÉ]
6°) L'éducation de Mishima [Saki Miyo] [EN COURS]
7°) Soumission [Ethan Garest] [EN COURS]
8°) Insubordination collée [Shirt Windaria] [EN COURS]
9°) Visite guidée [Ikami Naiko] [EN COURS]
10°) Le strip-tease consiste à faire impression sans produire d'effets [Astrid Erlandsson] [EN COURS]
11°) Le club secret [Arlan Solis] [EN COURS]

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