Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'érotisme est au sexe ce que les confidences sont à l'amour [Pv - Pepper]

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Jody Radwell

Humain(e)

D'abord, le sport habitue à l’effort et, pratiqué avec sérieux, il requiert presque inévitablement un dépassement de soi. On va plus loin qu’on ne le prévoyait, qu’on ne le désirait, on apprend à se dépasser. Ce jour-là, je m'étais surpassée jusqu'à courbaturer chacun de mes muscles et m'ouvrir une lèvre maintenant pansée. Pourtant, je n'étais aucunement décider à arrêter pour ce soir. La tête collée à la vitre du bus, les yeux posés sur le paysage qui défile, oscillant entre la noirceur de la nuit teintée de lumière et l'obscurité du sommeil qui m'emportait peu à peu, je me dirigeais activement vers un endroit où je pourrais de nouveau mettre mon corps à l'épreuve de la fatigue ; un club de strip-tease. Un baîllement décrochait ma mâchoire, le bus finit par s'arrêter en indiquant le terminus. D'un pas las, je réussis à traîner mon corps hors du véhicule avant d'être attaquée par le froid mordant d'une douce nuit d'hiver. Et merde, il fait super froid. Je soupirais et grognais avant de me hâter au café du coin pour avaler un remontant qui - je l'espèrais - me ferait tenir toute la nuit. Malgré un pantalon large à la teinte beige, des chaussures de ville et un sweat bien chaud, je pouvais sentir les regards happés par mon corps quand je franchissais le seuil du café. Bande de chiens. Au comptoir, je commandais un café à emporter n'ayant aucune envie de rester dans cette atmosphère où les phéromones semblaient embaumer la pièce. De nouveau, je trainais mon corps dans le froid, avalant quelques gorgées au rythme de mes pas tout en fixant chaque enseigne clignotante jusqu'à trouver celle du club. Conseillé par une connaissance, je n'y avais encore jamais mis les pieds mais, ça ne saurait tarder. Au loin, je finis par déceler l'enseigne clignotante rouge m'indiquant la direction de mes pas. Et bien voilà.

Quand je franchissais le seuil de l'entrée, une odeur de cigarette mêlée à celle de l'alcool et peut-être  un peu de canabis m'agressait le nez. Les lumières tamisées qui rythmaient la piste de danse donnaient des airs de maison close à l'endroit où je fus bien vite accueillie par une charmante hôtesse aux formes généreuses cachées par quelques frêles morceau de tissus. Après quelques brèves explications sur les règles de bonne conduite, je fus accompagnée dans la salle principale avec la longue piste de danse pourvue de barres métalliques. Mes yeux s'écarquillaient, illuminés d'une lueur enfantine alors que je m'enfonçais dans cette ambiance mêlant chaleur, transpiration et autres fluides corporels. Woah. Maladroitement, je pris place à une table avant d'héler la serveuse pour commander une pression. Sans une once de gêne, je profitais de l'instant pour épouser chaque forme de son corps et notamment son cul plutôt large qui m'aurait presque donné une érection. Mon regard fut rapidement happé par une nouvelle femme à la démarche bien plus sensuelle et féline. Des formes généreuses, une tenue moulante horriblement sexy et une longue chevelure sauvage qui cache un visage angélique. Je ne détachais pas mon regard de cette ombre qui se déhanchait sur scène et ceci dans ses sensuels mouvements qui la rapprochait parfois de moi. Seulement, je n'étais pas une fille facile, je n'étais pas en chien, moi. Il en fallait plus pour me faire céder à la tentation et m'arracher les billets logés dans mon porte-feuille. Les bras croisés, les muscles saillants, j'observais toujours la petite danse. « Plutôt sexy la demoiselle hurlais-je à son attention. » Rien ne pouvait m'empêcher de la pousser à venir me voir.

Il faut dire qu'une chaleur naissante commençait à taquiner mon bas-ventre et que mon érection soulevait légèrement mon pantalon y formant une bosse difficile à voir dans la semie-obscurité de la pièce. Pendant ce temps, la serveuse m'apportait ma commande, louchant par la même occasion sur cette dite bosse. Personnellement, je ne lui offrais pas un regard, toujours perdu et enivré par cette femme. D'une main, je portais le liquidede houblon frais à mes lèvres, les humectant pour goûter celui-ci avant d'en avaler une gorgée. Mes doigts se crispaient presque nerveusement sur le verre, je rêvais de me caresser ou de me faire caresser mais, quand était-il de la suite de la soirée ?
« Modifié: mardi 08 mars 2016, 22:29:14 par Jody Radwell »

Pepper Calgary

Humain(e)

On disait que la prostitution était le plus vieux métier du monde.. Que cet adage soit vrai ou non, il fallait bien reconnaître que Madame Xanadu était l’un des plus vieux établissements de Seikusu. Lorsque la ville avait été construite, une maison de thé, un ochaya, avait été conçue, essentiellement destinée à recevoir les marins et les ouvriers venant de s’installer dans ce qui, jadis, n’était qu’un simple port. Les premières geishas de Seikusu avaient fait leur apparition dans cet ochaya, et étaient originaires de Kyoto Avec le temps, la maison de thé avait évolué, et était maintenant un club de strip-tease moderne, très occidental, et qui bénéficiait d’un important soutien de la part des autorités locales, des puissantes familles de la ville, et y compris du crime organisé. C’est à ce titre que le club, parallèlement à ses activités de strip-tease, servait aussi de maison close. En soi, ce n’était même pas illégal, car, au japon, la prostitution était entendue à son sens le plus strict : la pénétration vaginale, soit le coït.

La législation prohibait en effet le coït, mais pas le reste. Ainsi, il était possible d’organiser des fellations ou des sodomies, et, pour contourner la législation, de nombreux clubs avaient ouvert, portant des titres vagues, mais qui, concrètement, désignaient une activité de prostitution. On parlait ainsi de « fasshon herusu » pour désigner des « salons de massage » où, concrètement, la masseuse pouvait vous faire une fellation, et où vous pouviez la sodomiser. Ainsi, et pour le dire autrement, outre être un club de strip-tease, « Madame Xanadu » était aussi un salon de massage très particulier. Et, si le coït n’était, officiellement pas possible, en pratique, quand on pouvait sodomiser une « masseuse », on pouvait aussi la prendre par un autre trou.

Voilà donc ce qu’était Pepper : une strip-teaseuse et une « masseuse ». Elle était comme ces super-héros de comics. Le jour, Pepper était une surveillante dans un lycée, et, le soir, elle travaillait au « Madame Xanadu », qu’elle considérait comem son vrai métier. Surveillante, c’était juste une couverture, et surtout, pour elle, un moyen de rester proche du lycée Mishima, un établissement scolaire envers lequel elle entretenait d’étroites relations, car, après tout, c’était là-bas qu’elle avait perdu son innocence, et avait clairement décidé de sombrer dans une saine et jouissive luxure.

Ce soir, Pepper dansait autour d’une barre métallique, absorbée dans son art. Elle portait sa tenue de cow-girl, et se déhanchait sur place. La soirée commençait toujours par une danse sensuelle, dans le but d’appâter des clients. Pepper était une femme très connue au sein du club, et, alors qu’elle dansait, tournoyant autour de la barre, ses oreilles captèrent une voix féminine, et, en tournant la tête, elle vit une femme... Une ganguro qui était assise à côté de sa piste, et qui semblait n’avoir d’yeux que pour elle.

*Sexy...*

Les ganguros, ce phénomène tokyoïte, se répandaient dans tout le Japon, et Seikusu n’était pas épargnée. Autant Pepper trouvait certaines ganguros particulièrement laides, autant celle-ci... Et bien, à n’en pas douter, valait clairement le détour. Magnifique et superbe, la femme la regardait avec des yeux brillants de désir, et un sourire traversa les lèvres de la jeune femme, qui dansa alors un peu plus lascivement autour de la barre de danse, ondulant des fesses pour elle, jetant de brefs regards, pour voir notamment la serveuse rougir légèrement en regardant la ganguro, avant de partir.

Pepper avait appâté sa cliente de la soirée, elle le sentait, et, si la femme ne regardait qu’elle, il en allait de même pour Pepper, qui se mit à multiplier les figures. Tenant la barre d’une main, elle commença doucement par un walk suivi d’un fireman, tournoyant ainsi autour de la barre, puis enchaîna ensuite avec une série de tricks, des figures consistant à grimper sur la barre pour en mettre plein la vue. Autant dire qu’il fallait avoir des muscles pour faire ça, car Pepper commença par se hisser avec les épaules, et fit un grand écart vers la ganguro, dissimulant la vue de son sexe contre la barre. Elle se maintint ainsi en position pendant quelques secondes avant de redescendre, et planta alors un regard vénéneux vers la ganguro.

Elle ne sourit pas, se contentant d’être à genoux, après avoir passé plusieurs minutes à se hisser sur la barre. La sueur commençait à couler le long de ses cheveux, mais, pour elle, c’était une véritable passion, et, tandis qu’elle fixait la femme, elle opta pour un floorwork, avançant sensuellement à quatre pattes sur la salle, suscitant quelques sifflements encourageants, puis se trémoussa ensuite sur le sol, optant, face à la ganguro, pour des poses plus que sensuelles. Elle se coucha ainsi sur le côté, redressant bien haut l’une de ses jambes, dévoilant ainsi une belle vue sur son sexe, recouvert par son minishort, et ondula ensuite du ventre.

*Allez, ma chérie, balance ton fric...*

Est-ce qu’elle avait réussi à la convaincre ?

C’est ce qu’on verrait bientôt !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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Jody Radwell

Humain(e)

Un filet de bave pourrait couler le long de mes lèvres tellement cette demoiselle m'enivre. Mon sexe a pris toute sa vigueur, cloisonné sous le tissu de mon pantalon alors que mon regard décèle chaque mouvement de la stripteaseuse qui se déhanche avec une sensualité qui m'était encore inconnue. À la fois professionnelle, sexy et un brin vulguaire dans sa tenue de latex, la demoiselle a tout pour réussir et susciter l'intérêt des clients. Il y en a peu ce soir, deux hommes prostrés de part et d'autres de la pièce qui observent comme moi le show mais, je suis la seule à démontrer un intérêt captif à cette performance. Je ne la quitte pas des yeux mais, j'avale quelques gorgées de bière, savourant le précieux liquide tout en savourant cette femme du regard. Quand elle semble s'approche telle une tigresse dans un floorwork, je m'imagine caresser son corps et épouser chaque parcelle de sa peau de mes lèvres ou de mes mains. Un frisson parcourt mon échine, hérisse les poils de ma nuque et semble de perdre jusqu'à mon pubis. Merde, je peux pas me retenir... Maladroitement, je me lève pour sortir mon porte-feuille de la poche arrière de mon pantalon et j'en tire quelques billets. De quoi l'apprivoiser sans pour autant la combler. Un sourire mi-vicieux, mi-sérieux étire mes lèvres alors que j'agite vaguement les billets avant d'enjamber la table.

Les règles de l'établissement ne me reviennent pas en tête, je suis emballée par l'excitation et la tension palpable que me fait ressentir cette femme au déhanché si sexy. Une fois la table enjambée, je m'appuie sur le bord de la scène et tend le bras. D'un doigt, je tire son minishort au niveau des cuisses avant d'y glisser mes quelques billets. L'odeur de la sueur mélangée à celle de l'excitation me taquine les narines et ne fait que redoubler mon envie. Un grand sourire étire mes lèvres, le bas de la scène cache mon érection à la stripteaseuse et tant mieux, s'il se passe quoi que ce soit, j'aimerais lui faire la surprise de la gourmandise qui pandouille entre mes jambes. « J'ai encore plus d'argent... et si on allait dans une cabine privée pour que tu me montres l'étendue de tes talents et moi... mon fric lui demandais-je d'une voix presque sensuelle. » Je me décale rapidement de la scène et lui tend la main en guise d'invitation. Mon corps entier semble être un brasier à feu par l'excitation. Je me pince les lèvres. Accepte... pitié accepte... Et elle a intérêt à accepter

Spoiler: HRP (cliquer pour montrer/cacher)

Pepper Calgary

Humain(e)

Pepper aimait ça. Tout simplement. Le sexe... Mishima avait transformé cette jeune femme en une terrifiante perverse, à tel point que sa famille l’avait renié, et qu’elle avait choisi de s’appeler « Pepper ». Pepper était un surnom, mais son véritable nom n’avait aucune importance. Ce que Pepper était avant avait été tué à Mishima, et, maintenant, elle était, pleinement et entièrement, une femme dévouée pour le sexe. Le « Madame Xanadu » lui donnait la possibilité d’exercer à fond cette facette méconnue de sa personnalité, ce qu’elle faisait en ce moment bien volontiers, en se dandinant sur la scène. Il y avait plusieurs spectateurs qu’elle connaissait, mais, assez rapidement, elle avait choisi de concentrer son attention sur la ganguro. En effet, ce n’était pas tous les jours que Pepper voyait une ganguro si sexy la regarder, en temps que simple cliente. C’était une scène très excitante, et, tandis qu’elle se dandinait, la ganguro fut lentement hameçonnée, ce qui, en conséquence, l’amena à se redresser, et à se rapprocher de Pepper. En se mordillant les lèvres de plaisir, cette dernière sentit leur accord se conclure quand, tirant sur son minishort moulant, la femme l’écarta pour y glisser quelques billets.

La jeune strip-teaseuse entendit alors la femme lui proposer... Un service plus approfondi. Le Madame Xanadu affichait ses prix à l’entrée, selon ce que le client voulait comme prestation privée. Seul le coït était « officiellement » exclu des services proposés, avec cette hypocrisie proche au Japon, mais tout à fait légale. N’était-ce pas un beau pays ? Entendant cette proposition, Pepper se mordilla les lèvres, et se retourna alors, relevant l’une de ses jambes pour la passer par-dessus le corps de la femme, avant de se tenir, face à elle, allongée sur la scène... Puis ses jambes vinrent s’enlacer autour de la taille de la femme, comme pour la maintenir contre elle, et elle se redressa en lui souriant, venant ensuite enrouler ses bras autour de son cou, et se maintint ainsi contre la femme. Elle se redressa, son bassin frôlant la verge érigée de la femme.

« Laisse-moi t’offrir un avant-goût... »

Pepper se pencha vers elle, et l’embrassa alors, caressant les cheveux de la femme, tout en plaquant tendrement et sensuellement ses lèvres contre sa bouche. Ainsi, elle brisait le premier tabou dans un club de strip-tease ordinaire : l’interdiction de toucher. Ici, tout dépendait des femmes, mais, généralement, aucune strip-teaseuse ne se refusait au contact tactile. L’argent, à ce stade, n’était pas la première motivation de Pepper, ce qu’elle indiqua après ce baiser :

« L’argent est nécessaire... Mais il y a d’autres choses que j’attends de toi, ma belle... »

Et, toujours lovée contre elle, elle alla s’approcher de son oreille, et murmura quelques suaves mots :

« Sache que je suis ouverte à tout, ma chérie. Mon unique objectif est de prendre mon pied et de m’éclater avec les clients... »

Elle lui lécha tendrement l’oreille, puis se laissa tomber, maintenant sa main dans celle de la femme, avant de lui faire un clin d’œil :

« Je m’appelle Pepper, au fait... »

Pepper se déplaça ensuite, traversant le club, laissant la ganguro la suivre. Elle remuait légèrement des hanches à chaque pas, donnant lieu à un déhanchement sexy, et souriait aux clients qui la reconnaissaient, allant caresser brièvement leurs visages avec ses doigts gantés.

« Superbe danse, Pepper !
 -  J’aime toujours autant ton cul, ma pute adorée ! »

Elle sentit même une main gifler brièvement ses fesses, ce qui ne manqua pas de l’émoustiller.

Ensuite, elle rejoignit le fond du club, et un videur la laissa passer, elle et Jory. La porte donnait sur un long couloir éclairé par des néons bleuâtres. Les loges privées étaient séparées du couloir par des portes, et non par de simples rideaux. Descendant une petite estrade, elle s’approcha d’une porte, sourit encore une fois à l’attention de la ganguro (sans avoir encore remarqué sa protubérance à hauteur de son bassin), puis ouvrit la porte.

Cette dernière menait à une petite chambre sans fenêtre, éclairée par d’autres néons aux couleurs sensuels émanant des murs. Il y avait une barre de danse, un fauteuil rembourré... Et un lit.

« Je te laisse décider ce que tu veux me faire, ma chérie... »

C’est ce qu’on disait... La cliente est reine !
DC d’Alice Korvander.

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Jody Radwell

Humain(e)

Chaleur, quand tu nous tiens. J'observe la femme avec une envie qui me brûle les chairs, en bas. Quand elle glisse ses jambes autour de mon, je frémis. Un long frissons qui parcourt mon échine , hérisse les poils de ma nuque et anime ma peau. Je salive comme une chienne, j'ai envie d'elle, tellement. Quand elle se rapproche, la chaleur semble s'emplifier, maintenant érigée ma queue bloquée dans mon boxer tellement compressée. Finalement, elle est contre-moi, mon coeur heurtant ma poitrine dans une course folle alors qu'elle effleure maladroite la protubérance entre mes cuisses. Je pince mes lèvres et là, elle les embrasse, plaquant les siennes contre les miennes. Ma langue glisse entre ses lèvres pulpeuses et vient chercher son alter ego pour une tendre danse érotique. Je glisse mes mains sur ses hanches, je les saisis, les prends fermement en ondulant légèrement les hanches. Plus plus... j'en veux tellement plus... Je veux la baiser. Après ce langoureux et brûlant baiser, elle me glisse quelques conditions aux creux de l'oreille, son souffle chaud s'écrasant contre sa peau qui frémit. Ouverte à tout ? Elle va prendre tellement cher celle-là. Ce tendre baiser se termine par une main qui se glisse dans la mienne avant de m'attirer tendrement vers elle et... peut-être une place plus chaude et sexuelle ?

Elle me somme son nom : Pepper. Pepper, ça sonne comme un bon nom de prostituée, stripteaseuse, je souris. Quelques clients lui glissent des mots crus ou plutôt lui hurlent, d'autres lui font un sourire, quelques esquisses et caresses. Il faut avouer que cela me dérange, jamais je ne laisserais quelqu'un me parler comme ça mais, apparemment mon amante de ce soir n'en éprouve que du plaisir alors, je n'ouvre pas la bouche et la suit docilement. Après tout, je serais bien capable de traiter une stripteaseuse ainsi. Peu à peu, on s'enfonce dans le club, les lumières tamisées accentuant l'allure de maison close à l'endroit. Le videur nous laisse passer, plus on avance, plus la tension sexuelle semble croître, tout autant que la tension dans mon caleçon. Notre traversée nous mène jusqu'à une chambre aménagée à la perfection : lit, barre de striptease, fauteuil, il manquerait plus qu'une armoire pleine de jouets pour s'amuser. Ce que je veux hein ? Je veux commencer doucement. Sensuellement, j'éprends ses hanches fermement avant de l'embrasser de nouveau tout en veillant à tenir mon bassin éloigné d'elle. Apparemment, elle n'a pas encore saisis la nature de mon sexe et j'en profite pour m'amuser.

Après ce langoureux baiser, je la pousse sur le lit et grimpe au-dessus d'elle pour agripper son minishort en latex. Le latex me plaît mais, il faut bien le retirer. Je le fais glisser le long de ses jambes avant de m'attaquer à son corset pour le retirer à son tour, dévoilant une poitrine opulente. Mon sexe semble frémir dans mon boxer comme pour répondre à ce corps nu qui m'est offert. Lentement, je viens mordiller son oreille, dessinant celui-ci en un sillon humide avant de descendre dans son cou. J'y dépose une cascade de baiser jusqu'à atteindre ses seins. En bouche, je prends les tétons, les suçote, les mordille et parfois je tirais dessus quitte à la faire gémir, hurler et gigoter. Après avoir assez joué, je descendais plus bas jusqu'à me retrouver à l'amuse gueule entre ses jambes : une chatte suitante et agréable. J'entrouvre les lèvres, prends son clitoris en bouche et le suçote en l'effleurant vaguement de mes dents de temps à autre. Je me plais à glisser deux doigts dans son sexe avant de commencer à la doigter furieusement, taquinant ses parois intimes pour faire grimper son plaisir mais, dès que je sens l'orgasme approcher ce corps, je m'arrête de suite avec un très large sourire. « Alors, ça te plaît trésor ? Par contre, pour jouir, il va falloir m'offrir une belle gâterie et me faire jouir avant.... dis-je avec un grand sourire. La cliente est reine ! »

Pepper Calgary

Humain(e)

Le Madame Xanadu était l’héritage moderne d’un ochaya, ces salons de thés où les clients pouvaient bénéficier des services fournis par les geishas. Une version moderne et occidentalisée, dans laquelle le Madame Xanadu se concevait autant comme un club de strip-tease que comme une maison close, et où les « masseuses » étaient payées avec de l’argent et le stupre de leurs clients. Dans cette pièce, il y avait effectivement quelques discrets placards, enfoncés à même le mur, qui abritaient effectivement des sex toys. Tout avait été pensé pour fournir aux clients une expérience de plaisir maximale, et, tandis que Jody découvrait l’endroit, Pepper, elle, avisa sa queue. Impossible de ne pas la voir, Jody semblait bander comme un taureau, ce qui excitait énormément Pepper. À Seikusu, les hermaphrodites étaient presque normales, et, quand on avait passé ses études au lycée Mishima, il n’était plus du tout surprenant d’en voir. Au contraire, Pepper avait même tendance à trouver ça très excitant. Une ganguro hermaphrodite belle comme une Déesse, il fallait bien admettre que ça ne se voyait pas tous les jours. Pepper avait très envie de se faire prendre par elle. La luxure, ça la connaissait, et elle s’en mordillait les lèvres, tout en frissonnant sur place.

*Ne t’emballe pas trop, c’est une nouvelle cliente, tâche de rester professionnelle ! Si tu la contentes, tu en feras peut-être une amante occasionnelle !*

Soit une amante qu’elle verrait en-dehors du boulot. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, Madame Xanadu, la tenancière, tolérait ceci. Pepper ne savait pas trop comment l’établissement fonctionnait, mais, visiblement, se faire du profit n’était pas le premier souci de la femme. Chaque masseuse avait droit à une commission très généreuse, et…

Trêve de palabres inutiles, la cliente venait de l’embrasser, plaquant ses lourds seins contre sa poitrine, et Pepper trembla sur place. Nul ne viendrait les déranger ici. On avait le droit de tout faire, ce qui avait aussi pour conséquence que les videurs passaient rarement. Pepper ne s’en formalisait guère, et elle répondit au baiser de la femme, posant l’une de ses mains gantées sur ses cheveux, sentant, curieusement, cette dernière écarter son bassin. Avait-elle honte de sa queue ? En tout cas, Jody la poussa, et les chevilles de Pepper heurtèrent le bord du lit, puis elle tomba sur ce dernier, son chapeau de cow-girl filant sur le côté.

Certains clients préféraient faire l’amour à Pepper avec ses vêtements, en tirant sur les fermetures pour avoir accès aux zones sensibles… Mais pas sa ganguro, visiblement. Elle tira sur le minishort rose de Pepper, puis lui dégrafa son très court bustier, la laissant nue, à l’exception de ses longs gants et de ses belles bottes à talon. Jambes écartées, Pepper se mit ensuite à gémir de plus belle quand la ganguro partit à l’assaut de son corps, sa queue s’enfonçant contre sa chair.

« Haaaa… Hnnn… »

Son amante descendit le long de ses seins pour s’attaquer à son sexe, et entreprit de la doigter. Elle agissait bien curieusement, puisque, avec une telle trique, la ganguro aurait probablement souhaité que Pepper intervienne… Mais faire l’objet de telles attentions ne risquerait certainement pas de déranger la belle Pepper.

« Hmmmmm… !! »

Les mains de Pepper caressaient les beaux cheveux de la femme, s’y crispant, ses jambes remuant sur le lit… Jusqu’à ce que la femme, les doigts et la bouche pleines de mouille, ne se redresse. Elle expliqua alors que, pour jouir, Pepper allait d’abord devoir faire jouir la ganguro. La prostituée ne put que sourire.

« Ça me semble… Tout à fait acceptable. »

La cliente lui laissait les rênes, et Pepper se redressa, puis, en lui prenant la main, lui fit signe de s’asseoir sur le fauteuil. Pas de danse, mais Pepper avait déjà une idée. Elle laissa la ganguro s’asseoir, puis Pepper, face au lit, ouvrit alors un tiroir mural, révélant toute une série d’instruments : plugs anaux, boules de geisha, martinets, cravaches, pinces pour les seins…

« Au fait… Tu peux utiliser tous ses instruments si tu le souhaites. »

Certains plugs étaient fixés à des queues poilues, il y avait même des oreilles de chat… Bref, tout un assortiment. Pepper referma doucement le placard, puis se rapprocha de la femme, et se mit à genoux devant elle. Ses mains se posèrent sur ses genoux, et elle les écarta, révélant ainsi le sexe. Malgré son pantalon large, sa queue était visible, et Pepper s’y rapprocha.

« Je crois qu’il y a quelqu’un qui aimerait bien sortir ici… »

La ganguro portait une tenue ne mettant pas vraiment en valeur ses attributs, une sorte de tenue de sport. Mais même ça ne suffisait pas à atténuer sa beauté surnaturelle. Pepper défit les lacets de son pantalon, et vit ensuite le sexe de la femme, une verge érigée qui déformait sa culotte. La jeune femme s’en mordilla les lèvres, et se rapprocha ensuite, venant totalement délivrer ce sexe, et y apposa ses narines, l’humant avant de donner un coup de langue dessus.

« Oh, j’adore tellement cette odeur… Tu es très bien membrée ! »

Pepper s’attaqua ensuite à ce sexe, et commença en douceur, par de simples masturbations ponctuées de baisers et de lèchements le long de toute sa surface.

De quoi exciter comme il fallait son amante… Du moins, l’espérait-elle.
DC d’Alice Korvander.

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