Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jane Watson

Pages: [1] 2 3 ... 15
1
Les alentours de la ville / Re : Réveil... || PV Jane Watson
« le: lundi 02 octobre 2017, 01:03:15 »
Dès qu’elle en avait l’occasion, Jane fila à bride abattue. Quelle histoire démente ! Elle ignorait qu’elle déclencherait de telles réactions en récupérant cette mystérieuse dent. Ce colosse aux cheveux blancs était tout simplement effrayant, et, face à lui,  Jane ne pensait qu’à fuir, à fuir le plus loin possible, en laissant les policiers faire leur travail. Elle entendit des coups de sifflets, des hurlements, et fila sans trop savoir où elle allait, le cœur bondissant nerveusement dans sa poitrine. Jane n’avait jamais été aussi paniquée qu’en ce moment, convaincue qu’elle allait se faire tuer, capturer, violer... Les pires scénarii se multipliaient dans sa tête, et, alors qu’elle fuyait, elle entendit une masse se rapprocher rapidement d’elle, eut à peine le temps de tourner la tête sur le côté, et sentit une puissante onde la frapper à l’arrière de la nuque...

...Puis le noir.



« Gnnnn... »

Un grognement étouffé s’échappa de ses lèvres. Elle secoua lentement la tête, en sentant quelque chose de froid dans son dos, de froid et de dur. Que se passait-il ? Elle avait le sentiment d’avoir fait un curieux rêve, quelque chose impliquant une étrange dent magique, et un costaud aux cheveux d’argent... Un rêve idiot, assurément ! Toutefois, peu à peu, les souvenirs lui revinrent. Elle secoua encore la tête en entendant le bruit de sirènes, et releva la tête brusquement en ouvrant les yeux.

« Mais... Mais où est-ce que je suis ?! »

Elle vit un homme lui tournant le dos, à l’entrée de la ruelle, près de l’entrepôt d’une scierie. Jane secoua encore la tête, et constata qu’elle était dans une petite impasse. Il faisait nuit, et la police était sur le qui-vive. Les souvenirs lui revinrent rapidement. La dent... Ce mystérieux colosse qui avait déboulé pour récupérer la dent... Puis la fuite, la cavalcade, et la police. Il s’était enfui de l’hôpital, avait surmonté les tranquillisants, pour la poursuivre.

Jane chercha des yeux une arme, un objet contondant, quelque chose, n’importe quoi... Mais l’homme se retourna vers elle, et elle se ratatina sur place.

« Je... Je vous préviens, j’ai des amis très puissants. Si vous me touchez, ils vous le feront payer très cher ! »

Sachant que la police n’était pas très loin, Jane inspira alors, afin de pouvoir hurler qu’on vienne l’aider... Sauf si l’homme se montrait suffisamment rapide pour l’empêcher d’hurler.

2
Jane sentait bien que cet accent lui était familier… Une British ! Éva Granger se mit ensuite à lui parler en anglais. Elle parlait plutôt bien, et lui expliqua ne pas connaître Sayaka, ni Terra. Sur ce point, elle n’avait aucune raison de mentir, et confirma donc à Jane que la magie existait bien sur Terre. C’est ce qu’on lui avait dit lors de son bref séjour. La magie était présente partout, y compris sur Terre, même si elle était moins puissante que sur Terra.

Éva lui posa une question, et manipula alors sa baguette. Jane se retourna brusquement en entendant des bruits autour de la porte, et constata que cette dernière l’avait verrouillé, vraisemblablement pour éviter des oreilles indiscrètes. C’était hautement improbable, dans cette partie en rénovation du lycée, mais Jane le comprenait.

*Deux précautions valent mieux qu’une…*

Se remettant peu à peu de sa surprise, Jane s’avança un peu, et lui répondit, en parlant en anglais, avec son accent très californien :

« J’appartiens à une lignée de sorcières… Mais ma famille n’a pas eu de sorcières depuis plusieurs générations, déjà. J’ai trouvé dans le manoir familial, au grenier, un étrange grimoire. Tout le monde disait qu’il ne comprenait que des conneries et des contes pour enfants, mais… Les recettes contenues dans ce livre se sont avérées très efficaces. C’était le livre des Watson, abritant des formules magiques et des recettes alchimiques propres à la famille. »

Jane avait trouvé le livre purement par hasard, mais, même maintenant, elle ne s’expliquait toujours pas pourquoi elle avait choisi de conserver ce livre, de croire à ce qu’il y avait dedans, au point de devoir se rendre au Japon. À bien y repenser, tout ça semblait totalement cinglé, comme si elle avait suivi les pérégrinations d’une démente.

« Mais… J’ai bien du mal à les maîtriser. Pour l’heure, je suis plus douée dans les potions qu’autre chose. Je suis venue ici, au Japon, parce que le grimoire parlait de Seikusu comme un endroit… Très spécial. Je pensais pouvoir contrôler mes pouvoirs, mais… La magie est une chose difficile à gérer, en réalité. »

Très difficile, même, puisque Jane, en plusieurs mois, n’avait pas vraiment progressé.

« Bon… Et toi, alors ? C’est quoi, ton histoire ? »

3
Il y a quelques semaines encore, Jane avait appris que le Japon ne pouvait plus la satisfaire. Elle avait rencontré une étrange élève, ici, qui lui avait montré un monde extraordinaire*. Si Jane était aussi blasée en ce moment, et surtout du Japon, c’était parce qu’elle était tiraillée entre mener une vie normale, en Californie, ou partir là-bas, dans ce monde issu d’un roman de Tolkien. Elle maîtrisait mieux la magie, maintenant, mais c’était uniquement grâce à son séjour sur Terra. Jane ne savait plus quoi penser, et, errait donc... Et voilà donc que, dans cette errance, elle était tombée dans une pièce magique !

Ce genre de tours, elle l’avait vu là-bas. Il s’agissait d’un sortilège consistant à tordre l’espace. On entrait dans une pièce pour réaliser qu’elle était beaucoup plus grande que ce qu’on pensait. Difficile de ne pas penser au principe de Lavoisier en voyant ça. Ce genre de phénomène consistait à jouer avec le Multivers, les mondes parallèles, et la physique quantique... Pour faire simple, on parlait donc de magie.

Et, devant elle, il y avait...

*The fuck ? C’est cette nana !*

Celle qui avait été présentée ce matin... Machin, là ! Jane se concentra, tandis que l’élève, surprise, tenant à la main une baguette de sorcier, lui parla, en lui demandant qui elle était.

« Jane. Toi, tu es... Euh... Eva j’sais-plus-quoi... Sorry, j’dormais à moitié ce moment quand on t’a présenté au reste de la classe. »

Au moins, elle se rappelait de son prénom, ce qui, somme toute, n’était pas si mal ! Jane regarda autour d’elle, en ayant un curieux sentiment de déjà-vu.

« Tu traînes pas, toi... La vache, c’est impressionnant. Tu déboules en une journée, et tu me fous déjà la misère. Tu viens de Terra aussi ? T’es la copine de Sayaka ? »



* : Cf. RP « Le grimoire magique ».

4
Pour Jane, c’était une nouvelle journée ennuyante au lycée. La jeune femme la passa à bâiller, au fond de la classe, tout en réfléchissant à son avenir. Devait-elle retourner en Californie ? Son pays lui manquait. Les grosses voitures, les McDo avec les portions de frites et les Coca... Au lieu de ça, elle était au Japon, dans ce pays de tarés adorateurs de Pokemon, de cosplays de lapins roses, et d’autres trucs de tarés. Jane était venue ici pour tenter, en vain, d’apprendre la magie. Mais, depuis qu’elle était là, elle enchaînait surtout les déceptions, les canulars, et les escroqueries. Elle avait bien compris que ce lycée était un baisodrome géant, et que la magie existait vraiment, mais elle n’avait pas réussi à l’utiliser. Comme si la magie se refusait à elle, ce qui avait tendance à la frustrer.

*Peut-être que j’ai fait tout ça pour rien...*

Jane en était donc là, à réfléchir à son avenir, ce qui fit qu’elle ne fit même pas vraiment attention à la nouvelle venue, qui fut présentée en cours par un prof’. Éva Granger. Elle nota au moins le nom, qui faisait british, et continua ensuite à faire ses propres exercices. Elle essayait de faire des formules alchimiques, de concocter des potions, mais, à chaque fois, ses effets ne donnaient rien de bon. Le problème, c’est qu’elle n’avait pas de manuels très précis sur la question, et que trouver de bons ingrédients magiques, ça n’était pas si simple que ça.

Qu’est-ce que le Japon pouvait lui offrir de plus, finalement ? Voilà la vraie question que Jane, en ce moment, se posait, tout en songeant à ce qu’elle allait faire de son futur. Et, alors que la journée se terminait, et qu’elle s’apprêtait à rentrer chez elle, elle sentit soudain... D’étranges impulsions.

*Qu’est-ce que c’est que ça ?*

Elle était dans le couloir, et s’arrêta sur place, sentant comme d’étranges vibrations qui palpitaient le long de son corps. Ce n’était pas la première fois qu’elle ressentait ce genre d’étonnantes sensations, comme des bourdonnements. Elle se déplaça alors, et s’avança, intriguée. Elle n’avait jamais trop compris ce genre de sensations, si ce n’est qu’elle savait que ce n’était pas dans sa tête. Alors, faute de comprendre ce que ça voulait dire, sa déduction, c’était que son intuition ressentait l’utilisation de la magie.

*Mais ça n’a jamais été aussi fort que maintenant...*

Jane se rendit dans un couloir en rénovation du lycée, suite à des infiltrations d’eau. Les impulsions se faisaient de plus en plus forte, jusqu’à ce qu’elle les identifie, près d’une porte. Elle s’en rapprocha, et posa sa main sur la poignée.

*Mais qu’est-ce que... ?*

La femme ouvrit alors la porte... Et écarquilla les yeux en déboulant dans une pièce qui était... Bien trop grande et bien trop coloré pour correspondre à une salle de cours.

« The fuckin’ hell ?! » s’exclama-t-elle spontanément.

Mais qu’est-ce que c’était que ce délire ?!

5
Le parc et son sous-bois / Re : Something In The Woods [Shire]
« le: lundi 08 mai 2017, 22:19:52 »
*L’est franchement zarbi’, cette nana...*

Elle ignorait ce que voulait dire « pédophile », débarquait en pleine forêt, et, comme par hasard, juste aprèsque Jane soit tombée dans ce putain de piège à la con. Sur le coup, Jane avait cru au hasard, mais... Maintenant, elle devenait suspicieuse. Pour une gamine qui avait perdu ses parents en pleine forêt, elle ne semblait pas particulièrement choquée. Non, il y avait décidément quelque chose de bizarre là-dedans, Jane en était de plus en plus convaincue. Et rien que le nom... Shire. Depuis quand les Japs’ s’appelaient Shire ? Jane continua à l’observer, en s’intéressant davantage à ses cornes, à sa fourrure le long de ses jambes, en se disant que ce costume était vraiment très (trop ?) réaliste.

Jane la vit alors se saisir de deux bouts de bois, et les poser sur sa tête.

« Hey, mais... Qu’est-ce que tu fous ?! »

Shire lui expliqua qu’elle serait sûrement très laide avec des cornes, et Jane grogna en secouant la tête, agacée.

« Je ne veux pas de tes cornes, okay ?! Là, il faut... »

Jane allait dire qu’il fallait partir d’ici, quand son téléphone se mit à sonner. Elle se tut brusquement, et soupira encore, puis glissa sa main dans sa poche, et en sortit son iPhone. La sonnerie intrigua visiblement Shire, mais Jane ne le releva pas, et vit surtout le nom s’afficher sur l’écran : « NELL ». Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Jane, qui appuya sur le bouton vert.

« Ouais ?
 -  ...
 -  Non, j’ai rien trouvé ! Enfin, mis à part une gamine qui s’est perdue dans les bois, mais...
 -  ...
 -  Je t’entends mal, là... Bon...
 -  ...
 -  J’te rappelle, okay ?! Merci ! »

Sa grande sœur était gentille, mais un peu pénible par moment. Bref, Jane raccrocha, et se retourna vers Shire.

« Je suppose qu’on pourrait appeler tes parents, mais ça capte mal, par ici. Alors, suis-moi, tu les appelleras depuis chez moi. »

Jane marcha encore, jusqu’à rejoindre le petit parking où elle avait garé sa voiture. La jeune femme n’avait pas le droit de conduire au Japon, mais elle avait passé son permis aux États-Unis, et il était fréquent qu’elle conduise en prenant la voiture de Nell. Là encore, sa grande sœur s’en offusquait, mais Jane était du genre têtue. Elle se rapprocha donc de la voiture, et l’alluma à l’aide des clefs. La voiture bipa, puis les phares s’enclenchèrent.

« Voilà... Grimpe à bord ! »

Jane ouvrit sa portière, mais, avant de se faufiler dans sa voiture, elle se retourna vers la femme, ayant encore une question à lui poser :

« Et tu vis où, d’ailleurs ? Je peux te conduire, ça sera peut-être plus simple que d’aller chez moi... »

6
Le parc et son sous-bois / Re : Something In The Woods [Shire]
« le: mardi 18 avril 2017, 00:39:47 »
Énervée par ce traquenard (et par le fait qu’elle avait mal au cul), Jane s’était défoulée sur la première personne lui tombant sous le nez. Enfin... « Défoulée » était quand même un bien grand mot. En d’autres circonstances, et, surtout, si elle avait été moins cartésienne (ce qui était tout de même un comble pour une femme voulant devenir une sorcière), elle aurait pu se dire que voir une fille débarquer avec des cornes sur la tête et des pattes de boucs, en pleine forêt, était quand même un peu gros pour un simple déguisement... D’autant plus que ce déguisement semblait bien trop réel pour être factice. Mais Jane venait d’avoir la tête en bas, elle avait passé sa soirée dans cette forêt pourrie à chasser après les rumeurs, et avait été surprise par une inconnue, qui aurait pu être un gros pervers avec un ventre énorme, une longue barbe, et une machette, afin de faire un remake japonais de Leatherface.

Dans cette scène surréaliste, la fille se mit à pleurer, en lui expliquant qu’elle s’était perdue, probablement sutie à un passage en forêt.

*Et tes parents ont pas appelé la police ? songea-t-elle, avant de se raviser. Bah, après tout, il arrive même qu’ils abandonnent leur enfant en pleine forêt pour les punir. Les Japs’ sont tarés.*

Jane se rappelait en effet de ce fait divers, qui avait défrayé aussi bien la chronique locale qu’internationale. Pour punir leur enfant, un couple avait été en forêt, et l’avait laissé là, repartant, en faisant mine de l’avoir abandonné. Une idée aussi stupide que cruelle, puisque, quand les parents étaient revenus récupérer leur bambin, en s’attendant à ce qu’il soit en larmes, le petit avait tout simplement disparu. Comble du comble, quand la police avait enfin réussi à le retrouver, le gamin avait indiqué qu’il était en tort, et qu’il n’avait rien à reprocher à ses parents !

Pays de cinglés congénitaux... Jane, toute perdue dans sa colère et son bougonnement usuel, se releva donc, sans voir les incohérences. De base, elle n’était guère sociale, mais, ce soir, elle le serait encore moins que d’habitude... Ce qui n’était pas peu dire. Tout ce qu’elle voulait, c’était rentrer, prendre une douche, et dormir... Si elle avait eu un esclave sexuel, le pauvre aurait largement souffert ce soir, mais, à défaut, elle n’avait que Nell, sa charmante sœur, qui allait sûrement se foutre de sa gueule pour son trekking en pleine forêt.

Époussetant sa jupe, elle releva sa tête vers la fille, tout en ramassant sa lampe-torche.

« Bon, ça va, arrête de chialer, Boucles-d’Or, je vais te ramener chez toi ! Tes parents habitent où ? Et... ‘Fais gaffe où tu marches, on ferait mieux de pas traîner, si y a un piège, c’est qu’il y a forcément un sale gros tas pédophile quelque part pour les poser. »

Elle s’avança donc sur quelques mètres, et se retourna ensuite vers la mystérieuse femme.

« Ah, by the way, je m’appelle Jane. Et toi ? »

Elle s’arrêta brusquement en voyant le faisceau lumineux sur les cornes de la femme. Les lèvres de Jane s’entrouvrirent sous l’effet de la surprise, et elle rajouta, ensuite :

« Hm... ‘Sont vachement bien faites, tes cornes... Comment elles tiennent ? »

7
Le parc et son sous-bois / Re : Something In The Woods [Shire]
« le: lundi 10 avril 2017, 13:10:29 »
Jane avançait à travers l’obscurité de la forêt, en entendant des voix dans sa tête lui convaincre de plus en plus que tout ça ne servait à rien. L’apprentie-sorcière ne ressentait rien ! Peut-être avait-elle espéré que se rendre dans ce lieu déclencherait quelque chose ? Genre, comme Lancelot tombant sur la Dame du Lac... Mais rien ne se passa. Absolutely nothing ! C’en était particulièrement frustrant pour la jeune femme. Jane avait tout misé sur un coup de poker, quittant la Californie pour le Japon dans le cadre d’un programme scolaire international d’échanges. Mais, au-delà de ce cadre, et au-delà des volontés de sa sœur, Nell, qui avait toujours eu envie d’étudier au Japon (en arguant qu’il était indispensable de séjourner dans un pays qui avait inventé le tentacle hentai), Jane, elle, avait voulu venir à Seikusu pour perfectionner ses pouvoirs magiques. Les études scolaires ? Meh ! Trouver un bon boulot, un bon mari riche qui ferait tout pour vous en vous traitant comme une Reine ? Ouais, c’était cool, mais... Avoir des pouvoirs magiques, devenir une fuckin’ sorcière, et utiliser ses pouvoirs pour déclencher des orgasmes, et pour, au final, créer un culte à son nom (le janisme), ça, c’était de l’ambition !

Néanmoins, Jane était là depuis plusieurs mois, mais n’avait guère décollé d’un iota. Elle grommelait sur place, et commença à rebrousser chemin, en empruntant un autre sentier. Elle n’y voyait pas grand-chose, entendait le bruit des hiboux, des criquets, le sifflement du vent sur les arbres. Son pied se posa sur le sol, et elle entendit un sifflement rapide et strident.

« Hu... »

Une force obscure la tira soudaine n arrière, et Jane poussa un hurlement de surprise, avant que son dos ne heurte un tronc d’arbre, la sonnant sur le coup.

« Aaaaaaahhh... !! »

Le choc la sonna donc, et, les bras ballants, elle planait. Il fallait le temps que son cerveau comprenne ce qui s’était passé, et qu’elle arrive à se persuader qu’elle n’était pas sur Endor, et que des ours en peluche armés de lances et de sarbacanes n’allaient pas débarquer autour d’elle. Soit dit en passant, du fait de sa position, sa minijupe de lycéenne s’était abaissée vers le bas, révélant donc sa culotte. Jane secoua la tête en voyant une silhouette approcher.

Une voix enjouée, guillerette, féminine, n’ayant rien à voir avec le profil d’un violeur, vint alors lui parler. Tout ce que Jane vit, ce fut des pattes en forme de bouc, avec une fourrure orangée remontant à hauteur des mollets.

« What the fuck ? »

Un déguisement d’Halloween? Elle remonta encore, vit une belle paire de seins, et un visage joueur, avec des yeux en forme d’amande, et des cornes de bouc sur la tête.

« Hooo... »

Jane toussota alors, et sentit la corde la retenant gémir. On négligeait souvent cela, mais, pour qu’une corde vous retienne, il fallait encore qu’elle soit suffisamment lourde pour ça. On ne comptait plus, par exemple, le nombre de cas où des gens, en tentant de se pendre, finissaient surtout par s’écraser lamentablement sur le sol, faute d’avoir fait des nœuds suffisamment solides pour retenir le poids du corps humain.

La jeune Californienne tomba donc à nouveau à la renverse quand la corde lâcha, et atterrit sur les fesses, dos à l’arbre.

« Putain de bordel de sa mère la pute ! » grogna-t-elle alors.

C’était le signe qu’elle reprenait du poil de la bête.

« Tu es qui, toi ? Fais gaffe où tu marches, petite, un malade a foutu des pièges à la con ! Et... Ouais, tu t’es trompée de date, Boucles-d’Or. Halloween, c’est pas cette nuit ! »

8
Le parc et son sous-bois / Something In The Woods [Shire]
« le: lundi 27 mars 2017, 00:48:03 »
*Sérieux, mais qu’est-ce que je fous là ? On dirait le début d’un film d’horreur...*

Difficile de ne pas tenir compte de toutes les rumeurs circulant sur les bois de Seikusu. Le Japon avait toujours été un pays très superstitieux, et, quand on était une jeune fille bien sage, il était déconseillé de se promener dans les bois en pleine nuit, avec une lampe-torche et une bombe au poivre en guise de seule défense. Jane s’aventurait dans la forêt, suivant le sentier, en essayant de se convaincre que les violeurs traînaient du côté du parc municipal, et pas en pleine forêt.

*N’empêche que c’est une idée totalement débile !*

Nell, sa grande-sœur, avait été clairement contre, mais Jane pouvait se montrer têtue. Depuis plusieurs jours au moins, une rumeur circulait sur l’existence, dans la forêt, d’une sorte d’esprit des bois. Certains lycéens affirmaient l’avoir vu. Vrai ou faux, on était à Seikusu, et Jane avait commencé à comprendre qu’elle n’était pas venue pour rien dans cette ville. Il y avait vraiment quelque chose ici, et, sans pouvoir se l’expliquer, elle était convaincue, instinctivement, qu’il y avait bien, dans les bois, quelque chose d’anormal... Et, par « anormal », elle pensait bien à un phénomène mystique.

Dit comme ça, tout ressemblait à un délire assez incroyable, mais c’était pourtant bien la réalité. Jane venait des États-Unis, à la base. Une Californienne qui avait découvert qu’elle disposait de pouvoirs magiques. Elle s’était rendue à Seikusu pour apprendre à les améliorer, à les perfectionner, avec l’aide de sa grande-sœur, Nell. Toutefois, si Jane était motivée, elle ne progressait pas beaucoup dans la maîtrise de ses pouvoirs.

*Voire pas du tout... Mais là, je sens un truc !*

Dans un petit coin de sa tête, elle se disait qu’elle devait vraiment avoir une triste vie pour passer sa soirée à crapahuter dans les bois, plutôt que d’aller se fendre la gueule en soirée. Mais bon, avec la magie, on ne rigolait pas. Et Jane avait vraiment cette impression qu’il y avait un truc spécial, comme si... Comme si on l’appelait !

*Ou peut-être que je me fais des films... À part des arbres, je ne vois rien ! Ma chérie, tu commences à devenir gâteuse ! Fuck !*

La tentation était grande de repartir. Elle n’était pas si éloignée que ça de la ville, car elle avait emprunté un sentier qui filait depuis les quartiers résidentiels pour aller ici. Ensuite, elle n’avait eu qu’à suivre le sentier, qui serpentait à travers les bois. C’était le genre de parcours que les familles empruntaient le Dimanche après-midi, avec des bancs de pique-nique, et des exercices en plein air pour les gosses.

Personne ne se promenait ici le soir. Personne de censé, en tout cas...

*Sauf une pauvre dinde qui a envie de se geler les miches !*

Il n’y avait personne... Personne.

Mais, alors, pourquoi avait-elle le sentiment indicible d’être suivie ?

9
Les alentours de la ville / Re : Déménagement [Nô]
« le: lundi 15 août 2016, 02:24:46 »
De Nô, Jane avait bien compris, depuis longtemps, qu’elle était dangereuse. Elle, elle était une véritable beauté fatale, froide comme la banquise. Difficile de comprendre ce qui, chez Jane, pouvait tant lui plaire, mais, si tout cela était un piège, alors c’est que Nô avait l’esprit diaboliquement compliqué. Si elle avait vraiment voulu punir Jane pour son impertinence, elle aurait eu l’occasion de le faire depuis longtemps. À défaut, Jane se disait que, en son for intérieur, le Papillon pourpre devait voir en elle une personne amusante, suffisamment audacieuse pour l’interpeller, ce qui n’avait pas dû lui arriver depuis des années. Le toupet de Jane était le meilleur argument de vente de la Californienne, au-delà même de sa plastique et de ses autres charmes naturels.

Elle suivit donc Nô dans son ascenseur, puis dans un couloir, arrivant dans le bureau de la femme, au sommet de son immeuble. Un peu intimidée, elle se pinça les lèvres. Elle avait une tenue dans son sac à dos, et espérait que Nô l’apprécierait. En attendant, elles arrivèrent dans l’antre de Nô, et Jane blêmit en voyant la femme soulever un drap noir, sous lequel il y avait tout un arsenal d’armes de ninja, de samouraï, et de trucs comme ça.

*Euh... Mais pourquoi elle me montre ça, au juste ?*

Sans rien dire, et sans que rien ne manifeste une quelconque émotion particulière chez elle, Nô referma le drap, et elles entrèrent ensuite dans le bureau. Jane hocha alors la tête, se refusant à demander pourquoi Nô avait une cargaison d’armes avec elle, peu sûre d’aimer la réponse.

« D’accord, mais... Il faut un endroit où me changer... Et tu ne regardes pas ! C’est une surprise ! »

Oui, on devait sûrement compter, sur les doigts d’une seule main, le nombre de personnes capables de parler ainsi à Nô. Jane fila donc avec son sac à dos dans une sorte de petite pièce à côté, et ouvrit son sac, puis se déshabilla, et se changea. Heureusement, elle s’était entraînée à enfiler cette tenue, ce qui fit que ça alla plutôt vite... Et c’est ainsi que, au bout de quelques minutes, elle rouvrit la porte.

Elle retourna ainsi près de Nô... Dans une très élégante guêpière, avec un décolleté filant le long de son ventre

« Alors ? Comment tu me trouves ? Je l’ai faite sur mesure... Rien que pour toi ! Ça me donne un joli cul, non ? »

10
Les alentours de la ville / Re : Déménagement [Nô]
« le: vendredi 05 août 2016, 13:33:02 »
Quelque chose de bizarre se produisit. Un truc vraiment « weird », comme dirait Jane. Quand Nell proposa un dédommagement corporel, elle crut, en effet, discerner une espèce de... De sourire... Sur les lèvres de Nô. Enfin, plutôt un genre de sourire en demi-teinte, presque une oscillation des lèvres, comme un tic nerveux, mais il y eut bien quelque chose, et, au vu de son regard, ce n’était pas du dégoût. Cependant, cette brève expression corporelle disparut aussi vite qu’elle était apparue, et, probablement pour éviter que Jane ne la charrie là-dessus (car c’était tout à fait le style de Jane), Nô prit congé, en leur disant de la rejoindre dehors.

« Eh ben... Elle est space, ta nouvelle Maman...
 -  Tu sais, ça s’est fait sans vraiment réfléchir...
 -  Je me demande bien ce qu’elle peut te trouver, en tout cas. Si j’étais ta mère, il y a longtemps que je t’aurais fessé à coups de martinet pour l’état déplorable de ta chambre. »

Jane haussa les épaules, et rajouta, de mauvaise foi :

« Ça fait partie de mon charme. Le désordre, dans une chambre, ça lui donne une vie, une personnalité. Quand tout est propre, bien rangé, on a l’impression d’être dans une boutique d’exposition, c’est d’un chiant.
 -  Tu ne t’arrêtes jamais, toi... En tout cas, je dois bien reconnaître qu’elle est bien roulée. On dit que les Japonaises ont des nichons petits, mais elle... Bon, on est encore loin du niveau d’Anna Hawkins Turner, mais y a une putain de belle vue. »

Anna H. Turner était une femme vivant à Atlanta, et connue dans le monde entier pour avoir la poitrine naturelle la plus grosse du monde. Jane avait vu les photos sur Google, c’était limite effrayant. En tout cas, tandis qu’elles parlaient, Nell enfila au moins un débardeur rose, avec la mention « I ♥ COCKS » inscrit dessus, et une minijupe en jean lui arrivant au ras des fesses. Difficile de faire plus vulgaire, et elle récupéra évidemment son téléphone portable. Nell ne savait pas ce que Nô faisait dans la vie, mais elle ne se faisait guère d’illusions. Elle savait combien le crime organisé était influent au Japon, surtout à Seikusu. Quelques recherches sur Internet, et des amis à la fac’, lui avaient appris que tout le complexe scolaire de Seikusu, à savoir le lycée Mishima, et l’université, avaient été reconstruits après la Seconde Guerre Mondiale par des fonds privés, essentiellement. Un cabinet d’avocat prestigieux, le cabinet Dowell, gérait une fondation, la Fondation Mishima, dont le but était de financer le complexe. Or, l’origine de ces fonds était d’origine louche.

Jane, de son côté, était prête, et les deux filles finirent donc pas sortir, Nell ayant enfilé des bottes noires à talon, avec des lunettes de soleil. Sa tenue habituelle pour aller en cours, pour ainsi dire.

« Tu ne t’es jamais dit que ton débardeur faisait vulgaire ? s’enquit Jane dans l’ascenseur.
 -  Pas cette fois... Quand je vais en cours, j’emporte toujours une sucette » expliqua-t-elle.

Jane sentit le besoin de se faire un facepalm, mais y résista. Le duo sortit ensuite de l’immeuble, pour rejoindre la voiture de Nô. Une élégante voiture, mais, toutefois, le groupe se sépara le long du trajet. Nell devant juste visiter les locaux, elle fut emmenée dans une camionnette, entourée par plusieurs hommes.

« Alors, c’est comme un genre de kidnapping, hein ?
 -  Soyez assurée que nous ne vous ferons aucun mal. »

Nell sourit, semblant presque déçue, et regarda Jane, avant que la voiture ne démarre à nouveau.

« Et pas de cachotteries, hein ! »

Jane lui fit un sourire joyeux, puis retourna s’asseoir à côté de Nô, observant encore cette dernière. En réalité, la jeune Californienne partageait les interrogations de Nell. Elle n’avait pas grand-chose de japonais. Jane aimait le rock américain, était une grande provocatrice, et n’avait donc que très peu de respects pour les traditions, contrairement à Nô. Était-ce pour ça que la Japonaise l’appréciait ? Parce que Jane évoquait quelque chose qu’elle ne connaissait pas, et qui l’intriguait ? Jane doutait que tout ça soit une machination pour la tuer, car Nô avait largement eu l’occasion de le faire auparavant.

La jeune femme était venue avec un sac à dos posé à ses pieds, et qui comprenait une tenue spéciale, faite pour après.

La voiture finit par rejoindre sa destination s'enfonçant dans le parking souterrain. Les deux filles en sortirent, et Nô en profita pour dire qu’elles avaient du temps libre devant elle. Un sourire vint perler sur les lèvres de Jane.

« Ça tombe bien, j’ai une tenue spéciale dans ce sac à dos... Mais ne compte pas sur moi pour faire ça dans le parking, c’est glauque, et je vais me choper un rhume ! »

Elle rajouta rapidement, avec un sourire espiègle sur le coin des lèvres :

« Tu me conduis dans une de tes chambres ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un monde parallèle [Pv : Jane Watson]
« le: mercredi 15 juin 2016, 01:40:44 »
Difficile de savoir sur quel pied danser avec Jane. Rapide, nerveuse, d’humeur changeante, elle passait du coq à l’âne en moins de temps qu’il n’en faut pour reprendre sa respiration. La logique Jane n’était pas simple à percevoir, mais qui irait la repousser ? James, face à elle, déglutit donc, avant de tenter de l’insulter, ce qui fit soupirer Jane, qui secoua la tête :

« C’mon, you can do better than that ! »

L’anglais était vraiment la langue naturelle de Jane, revenant fréquemment à l’assaut quand elle parlait. Avec elle, il valait donc mieux être bilingue. James déglutit donc, tandis que Jane, ne le suçant pas tout de suite, le masturbait doucement. Elle sentait la queue de l’homme grossir et enfler, la délicieuse odeur de ce sexe venant l’enivrer. Par expérience, Jane savait que bien des femmes n’appréciaient pas cette odeur, ni la fellation. Elles trouvaient ça répugnant, et même dégradant. Mais Jane, elle, aimait ça, sans trop pouvoir se l’expliquer. Après tout, un fantasme, ça se vivait, ça ne s’expliquait pas.

James commença donc à l’invectiver avec plus d’assurance, et elle alla fourrer pour de bon sa queue dans sa bouche, posant ses lèvres dessus, et releva les yeux, voyant le visage de l’homme se tordre sous les vagues de plaisir qui le traversèrent. Il se mit donc à l’insulter plus fermement, et elle soupira, remuant sa tête sur lui, glissant sa langue sur sa hampe de chair, léchant ce gros mandrin, comme une sorte de délicieuse et magnifique sucette.

« Hmmmm… !! »

Ce contact était vraiment magnifique, intense et jouissif. Les mains de l’homme se posèrent sur sa tête, et, pendant un certain temps, il ne se passa rien d’autre que les mouvements buccaux de Jane. L’apprentie-sorcière continuait à sucer ce membre avec une énergie tendre et passionnante, relevant fréquemment les yeux pour voir comment son amant réagissait au traitement qu’il était en train de subir… Et, manifestement, il y réagissait plutôt bien, ce qui ne manquait pas de doucement exciter la belle Jane.

Le temps passa donc, jusqu’à ce qu’elle finisse par relever la tête, en reprenant son souffle. Elle s’avança alors, et posa une main sur le torse de l’homme, le renversant sur le lit, puis se coucha contre lui, et l’embrassa, posant ses mains sur ses épaules, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Hmmm… Mon voleur de culottes pervers... J’aime sentir ta queue contre moi, you know ? Pose tes mains sur mes fesses, malaxe-les, allez… N’aie pas peur, s’il y a pile la bonne distance pour permettre à des mains de pétrir des culs, ce n’est pas pour rien. »

Jane avait naturellement pris les rênes de leurs ébats, et elle laissa l’homme agir, tout en venant l’embrasser dans le creux du cou. Elle se redressa ensuite, toujours avec un petit sourire sur le coin des lèvres, et posa une question à laquelle elle avait déjà la réponse, mais dont elle aimait bien entendre la réponse :

« Est-ce que tu as envie de moi, James ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un monde parallèle [Pv : Jane Watson]
« le: jeudi 09 juin 2016, 12:29:42 »
Le pauvre James n’en menait pas large face à Jane, et à son humeur changeante. Quasiment hystérique par moment, Jane se montrait néanmoins terriblement sexy, ce qui suffisait largement à compenser son humeur changeante… Non ? En tout cas, elle se tenait devant ce sexe. Jane connaissait bien les hommes, assez pour savoir que, chez eux, le désir sexuel était une vraie montagne russe. Ça montait en flèche, ça redescendait aussi vite, mais ça pouvait remonter. Les doigts gantés de Jane vinrent ainsi frotter son membre, le masturbant. Elle sentit cette queue enfler et grossir un peu, ce qui amena sur ses lèvres un sourire. Son visage si proche de son sexe, elle pouvait en percevoir l’odeur, une odeur qui repoussait toujours au début… Mais, comme un dentifrice qui aurait mauvais goût, à force de frotter, on finissait par en apprécier le goût. Elle le masturba donc, lentement, tendrement, accélérant progressivement le rythme. La texture d’une verge avait toujours fasciné Jane, ce mélange de mollesse et de dureté, les plis de la peau qui se repliaient quand la queue était molle, avant de progressivement devenir lisse au fur et à mesure que la verge se roidissait et se durcissait.

« Hum… »

James, en sentant le désir revenir, demanda alors si Jane avait fait usage de magie rose. En souriant, elle releva la tête, et serra alors la queue de l’homme entre ses doigts.

« Crois-moi, James, le jour où je maîtriserai la magie rose, mon premier souhait, ce sera d’aller à une place publique, et de déclencher une orgie. »

Elle relâcha son sexe, et déposa un baiser dessus, en le caressant plus doucement.

« Mais là, c’est juste mon talent naturel. »

Jane fanfaronnait, mais les faits étaient à son avantage. Elle avait rendu à James sa virilité, son ardeur naturelle, et il était donc normal qu’elle se la pète un petit peu. Elle avait bien redressé ce sexe, mais c’était encore bien insuffisant. Elle avait maintenant ses lèvres dessus, et le léchait, avant d’aller lécher ses testicules, flattant ainsi l’intégralité de cette verge. Elle finit ainsi par bien la recouvrir de salive.

« Tu veux que je te suce, James ? » demanda-t-elle alors en relevant les yeux, un regard profondément sensuel posé sur l’homme.

Elle se mordilla doucement les lèvres, avant de reprendre.

« Ask for it. Dis que tu veux que je suce ta queue… »

Tout en parlant, elle frottait doucement son visage contre son sexe, sa joue glissant dessus, puis son menton. Imperturbablement, elle continuait à le regarder, et, comme précédemment, Jane allait se montrer d’humeur changeante :

« Mais… Je veux que tu m’insultes, James. Que tu me traites de grosse chienne pour que je te suce la queue… Sois vulgaire, traite-moi de salope. Understood ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un monde parallèle [Pv : Jane Watson]
« le: mardi 24 mai 2016, 19:50:28 »
Jane dansait joyeusement sur le corps de l’homme, dans sa position favorite. Chevaucher un homme, c’était vraiment bandant. Là, elle se sentait en position de domination, car c’était elle qui imposait son rythme sur son partenaire, et non l’inverse. Jane mouillait abondamment, et sentit soudain James se vider, ce qui la fit sourire. Ilo jouit généreusement en elle, preuve qu’il était encore vierge. Les vierges se déchargeaient toujours avec talent… Du moins, c’est ce que Jane aimait croire, car elle les imaginait forcément plus excités que des hommes expérimentés. Elle, en revanche, n’avait pas encore joui, même si elle mouillait abondamment, et, vu que James venait de jouir, elle sentait la taille de sa queue se décroître… Ce qui amena la cravache de Jane à lui fouetter le nez.

« Tu as joui ! Quand est-ce que j’ai t’ai autorisé à jouir, you little jerk ? »

C’est très naturellement que Jane reprenait le rôle de la Maîtresse, de la dominatrice, et elle se releva alors, le corps surexcité, ses muscles tremblant nerveusement. Elle se rapprocha du lit, et s’assit dessus.

« N’espère pas te reposer si facilement, asshole, je veux que tu me baises de toutes tes forces, James ! Compris ? I want you to fuck me like if I was the biggest bitch you’ve ever met, understood ? »

Ça, pour le coup, sous l’effet de l’excitation qui triturait son corps, l’anglais revenait bien plus facilement dans sa bouche. Ses joues étaient encore toutes rouges, trahissant bien tout le plaisir qu’elle avait ressenti. Assise sur le lit, elle ne laissa pas James se releva, posant son pied sur sa queue.

« Elle est toute flasque… Petit égoïste. Tu y penses, à mon plaisir à moi, hein ? Assieds-toi à ma place ! Quickly ! »

Avec Jane, il semblait difficile d’objecter, et, tandis qu’il s’exécutait, elle s’agenouilla devant lui, et écarta ses jambes. Elle renifla alors son sexe, qui était recouverte de sperme, mais aussi de mouille, formant, ici et là, de multiples dépôts de fluide sexuel. En voyant cela, Jane déglutit lentement, se mordillant doucement les lèvres, puis avança l’une de ses mains gantées, et le masturba un peu. Sa queue était molle, mais elle avait bon espoir de vite la réveiller, et continua à le caresser, jusqu’à sentir la raideur revenir.

Alors, elle pourrait utiliser sa bouche…

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un monde parallèle [Pv : Jane Watson]
« le: mardi 17 mai 2016, 18:47:46 »
Il était… Vierge ? Jane nota cette information tout en dansant sur lui. Oh, elle aimait vraiment cette position ! Elle appelait ça « faire l’amour à l’Américaine », car elle était comme une cow girl chevauchant son cheval, disposant même de la cravache pour le faire hennir ! Quand on couchait avec Jane, il fallait s’attendre à être dessous. Les délicieuses joues de la Californienne se couvraient de rouge, tandis qu’elle continuait à danser sur le corps de l’homme, d’avant en arrière, s’empalant joyeusement dessus. Hum ! Quelle joie immense était-ce que de recevoir, dans son corps, une verge bien tendue, qui remuait en vous, un mandrin solide et tendu. Jane se sentait délicieusement remplie, et la présence de cette queue renforçait son appétit, en lui donnant envie de s’empaler dessus, encore et encore, avec toujours plus de force, toujours plus d’énergie. Soupirant et gémissant, elle ne réalisait pas que James commençait à avoir mal au dos, faute d’un tapis pour rendre cette séance plus confortable.

« Haaaa… Hhhhnnnn… Hhhhhmmmmm… »

Elle, elle mouillait joyeusement, le fait de coucher avec un homme vierge ne rendant la scène qu’encore plus jouissive. Elle avait bien du mal à se calmer. C’était comme vouloir stopper un train en pleine course, toutes les barrières volaient en éclats. Jane soupira donc à nouveau, avant de se pencher vers James, crispant ses mains sur ses épaules, en lui souriant, des gouttes de sueur glissant le long de son menton.

« Pe… Petite nature… Tu as… Haaaa… Tu as le privilège de t’enfoncer en… En moi… Et… Hmmm… Tu ne penses qu’à… Qu’à des détails sans… Haaaa-putain… Sans importance… ! »

On ne se défaisait pas si facilement de Jane, et elle sourit donc à ce dernier.

« J-Jouis… Hummm… Remplis mon ventre de ton foutre… Haaaa… Et… Et… Hnnn… On i-ira sur le lit, haaaa… !! »

Mais certainement pas avant ! On n’arrêtait pas la machine une fois qu’elle était lancée.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Un monde parallèle [Pv : Jane Watson]
« le: mercredi 11 mai 2016, 13:49:59 »
Jane était loin de se douter que c’était la première fois de James. Cependant, même si elle l’avait su, elle savait d’emblée que ça n’aurait pas changé grand-chose. James était à elle, ce sale pervers qui voyageait dans le temps et qui fantasmait sur les culottes. Il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même, il avait tellement agacé Jane qu’elle avait fini par se prendre au jeu, et s’empalait délicieusement sur l’autre, sa cravache remuant de bas en haut dans l’une de ses mains. Elle dansait sur lui,d ominant l’homme, dans l’une de ses positions favorites. Pour une dominatrice, il était normal d’aimer être dessus, d’aimer chevaucher les hommes.

« Haaaa.... Hnnnn... Hhhhmmmm... !! »

Jane, elle, était bien loin d’être vierge. Quand elle était arrivée à Seikusu, elle avait déjà participé à quelques orgies et aventures sexuelles incestueuses avec sa sœur. Autant dire que, depuis lors, les choses ne s’étaient guère calmées. Criant sans retenue, soupirant profondément, Jane exprimait, en ce moment, le profond plaisir qu’elle ressentait. Elle gémissait de plaisir, longuement, et sentit les mains de James se poser sur ses cuisses, se crispant dessus.

Son corps remuait contre le sien, en harmonie. Oh oui, comme elle pouvait aimer ce moment ! La sensation magique de ce sexe remuant en elle, son corps filant de haut en bas, ondulant sur ce membre. Elle s’empalait dessus, avec joie, enfonçant parfois ce mandrin aussi loin que possible, et cessant de remuer pendant quelques secondes, de manière à pouvoir encore mieux le sentir en elle. Ah, ah ! Délicieuses sensations ! Han, elle sentait cette queue se tendre en elle, écartant ses parois, s’enfonçant dans sa chair, et sa mouille venait à le recouvrir.

Les mains de James sur ses fesses, recouvertes de latex, faisaient doucement crisser ce dernier quand elle remontait et descendait. Les doigts se crispaient dessus, et c’était bon, tout simplement...

« O-Oui, haaa... Palpe-moi le cul, hmmm... Haaaaa... !! »

Jane n’était pas du genre à dissimuler son plaisir, surtout quand elle portait du latex.

Ouais, c’était vraiment magique ! Dieu, qu’elle pouvait adorer ça !

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