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« le: samedi 22 mars 2025, 17:17:21 »
Identité : Azariah Qiqen
Âge : 56 ans
Sexe : Féminin
Race : Elfe
Sexualité : Hétérosexuelle
Physique :
Des nombreux corps que j'ai pu occuper, j'admets que celui-ci me plaît énormément. Une jeune elfe dans la fleur de l'âge, d'un corps et de formes des plus graciles. Pas très grande pour une elfe, je l'admets, et d'un poids plume qui me surprend encore à la prise du vent. Je suis parfois encore maladroite dans ce corps, je n'ai pas l'habitude de me sentir si légère. Mince et frêle, ce corps possède néanmoins une poitrine des plus généreuses, et de hanches accueillantes. Même si je n'ai personne pour apprécier ces courbes, elles me suffisent à moi-même. Une peau de nacre, légèrement teintée pêche sur certaines zones telles que les jours. L'inconvénient est qu'elle marque assez facilement, je me retrouve parfois avec des bleus disgracieux juste en me cognant légèrement. Sa chevelure est longue, très longue et dorée comme un champ de blé. Je profite de cette vie luxueuse pour me parer de vêtement sophistiqué et agréable. Je n'apprécie pas les tissus lourds, et opte pour des tissues légers et souples, épousant parfaitement mes courbes.
Caractère :
Rares sont ceux qui m'apprécient, je dois certainement avoir de nombreux ennemis qui souhaiteraient voir mon corps délester de ma tête. Azariah était une femme cruelle, sournoise, et perverse. Prenant du plaisir à faire souffrir les domestiques ainsi que les personnes qu'elle considère comme inférieur. Depuis que je suis dans son corps, son entourage se trouve étonné de voir ce brusque changement de comportement... Bien que je tente de ne pas éveiller les soupçons quant à cette imposture, je ne peux non plus me montrer aussi cruelle qu'elle pouvait l'être. Je me montre donc distante, froide, parfois autoritaire, il est vrai, mais loin de moi l'idée des tortures et des meurtres. Je tente au contraire, d'éviter les conflits et d'avoir le moins de contact possible avec les autres. Profitant de ma vie de luxe pleinement... Je l'avoue, j'aime la luxure et le confort. Je serais plus encline à me montrer douce et bienveillante envers les autres, mais se saurais trahir ma véritable identité et je ne souhaite pas que d'autres comprennent que je ne suis pas la vraie princesse. Je suis assez lunatique, voire laxiste. Un défaut lorsque l'on est princesse, car l'on m'accorde aussi beaucoup de responsabilités. C'est le mauvais côté de la chose.
Histoire :
Une histoire qui ne commence pas dès la naissance d'Azariah, mais plus précisément lorsque je vins à prendre possession de son corps. En vérité, je me nomme Amy, et Célia, puis Gabrielle... Et tant d'autres prénoms qui m'ont été attribués au cours de mon existence. Je ne saurais vous dire qu'elle est ma véritable identité, je n'ai plus aucun souvenir de mon premier prénom, ni de ce que je pouvais être... Humaine ? Terranide ? Ange ? Tant de possibilités. Une chose dont je me souviens, c'est de cette fichue malédiction qui m’empêche de trouver le repos éternel. J'ai dans le passé, prier le mauvais dieu, ou confronté le mauvais démon. Lorsque le corps que j'occupe se meurt, je retrouve la vie lorsqu’une autre âme quitte son corps. C'est ainsi que je me suis retrouvée dans le corps de Azariah, allongée sur le sol, de l'écume encore fraiche sur les lèvres, et en sa main un verre brisé. Nul doute, dans ce verre se trouvait un poison qui lui aura ôté la vie, et me voilà à reprendre les rennes, là où elle les avaient laissées. J'ai toujours trouvé son geste étrange, et doute du suicide... Aurait-on tenté de l'empoisonner ? Si cela s'avère vrai, je devrai rester vigilante, car le commanditaire pourrait ne pas comprendre que son acte a été un échec. Je sais ce que vous allez me dire... Quelle importance ? Je retrouverais la vie dans un autre corps. Ce n'est pas aussi simple que cela, chacune des morts que j'ai vécues était un véritable calvaire. Je revis certes, mais je souffre chaque fois de plus en plus. J'aimerais bien, une fois... Pour une fois... Vivre une vie normale. J'ai l'intime conviction que si je venais à mener une vie tranquille, et mourir naturellement, la malédiction prendrait fin.
Pour être honnête, je suis plutôt dans le corps de cette Elfe. Il s'agit d'une princesse, vivant dans le confort, la luxure et peut obtenir tout ce qu'elle souhaite en un simple claquement de doigts. Ma précédente vie était plutôt... Tout l'inverse. Alors oui, je profite de ce que l'on m'offre à présent, probablement un peu trop. Je suis toutefois étonnée de l'attitude des personnes envers moi, et comprends pourquoi quelqu'un ai tenté de mettre un terme à la vie de la princesse. Nombreux sont ceux qui tremblent devant moi, effrayés du moindre châtiment lorsqu'ils se mettent à commettre un impairs. Les domestiques sont distants, mais tentent au mieux de répondre à mes exigences. Je découvre alors que la jeune Azariah n'avait rien d'une douce et bienveillante princesse... Elle était plutôt d'un genre tyrannique, tortionnaire, cruelle, et d'une beauté froide. De toute évidence, elle devait avoir de nombreux ennemis... Sous ses ordres ont été exécutées et torturées plusieurs personnes, pour son plaisir pervers. Tout le monde s'étonna du brusque changement de comportement de la jeune femme. C'est pourquoi je fis passer cela pour une amnésie, faisant croire avoir perdue la mémoire après une chute. Je ne sais pas si tout le monde y croyait... Mais ça permettait de dissiper un peu les doutes. Pour lever les soupçons, j'ai tenté de maintenir une part de son caractère, en me montrant assez froide et distante. En revanche contrairement à elle, je n'avais nulle envie de torturer et de tuer pour le simple plaisir ou pour une petite erreur.
Heureusement, elle n'avait pas d'amis ou de personne proche pour remarquer ce changement d'âme. Je profite donc pleinement de cette vie, et de la richesse sans me préoccuper des autres. Je ne voulais plus me faire d'amis, ni même tomber amoureuse... Au cours de mes nombreuses vies, j'ai trop souvent été déçue, je ne souhaite plus revivre une trahison. Il m'est arrivé d'aimer et être aimé je l'admet... Ces moments ont été précieux, et le seront toujours à mes yeux... Mais cela reste du passé. Je me suis résignée dans cette vie, à rester seule, tant pis si l'on me déteste en me voyant encore tel que l'était Azariah. Je ne veux plus aimer, ni être aimer, je ne veux plus m'attacher, ni accorder ma confiance. Laissant simplement le temps s'écouler jusqu'à trouver enfin un repos éternel.
L'autre ombre au tableau, son frère. Lui aussi est à l'image de sa sœur, un être cruel, et sadique. Il ne semblait pas apprécié sa sœur cadette, pour cette raison je préfère aussi me tenir à distance de ce personnage. Mes doutes se tournent vers lui quant au poison dans le verre... Je reste donc méfiante.
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