Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lloyd

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Magnifique. J'avais réussi à convaincre Jack, le beau soldat de m'écouter et d'accepter le marché. De toutes façons, je n'avais pas d'autres issues envisageables. Le neutraliser ne faisait pas parti des plans qui m'ont été confiés et repartir en abandonnant les mouchards n'aurait certainement pas été une option plus acceptable pour la hiérarchie. Il devait donc être absolument mis sous écoute et aucune autre option n'était possible. J'étais donc coincé et je pense qu'il devait s'en douter pour sembler en arriver à me faire confiance et croire en la véracité de mes mots. Quant au détecteur de portails, ce que je ne lui avais pas précisé, c'était que je pouvait facilement en redemander un autre pour moi, avec bien sûr certaines réserve d'en abuser. Mais en vrai, ma proposition avait tellement bien prise chez lui, qu'il ne me laissa même pas le temps de lui répondre pour lui expliquer le fonctionnement du détecteur. Ma queue et mes oreilles se sont surtout mises à réagir et à durcir tout aussi sec, dès que je l'ai vu poser son arme et commencer à retirer les premières pièces d'équipement qu'il portait sur lui. Un sourire en coin, à la fois conquis et lubrique se dessina sur mon visage, surtout lorsqu'il retire sa ceinture. J'allais ainsi sauver la situation, en plus, me faire plaisir sans ménagements avec un homme tel que lui, le temps d'un instant. Jack semblait être d'ailleurs très direct et entreprenant, chose qu'il confirma quand il me traina sans grand ménagement en direction des couchettes. Cette fois, c'était la queue que j'ai entre les jambes qui commençait à se raidir lorsque je sentais très clairement sa domination soudaine sur moi. La vérité était que j'aimais être traité comme ça par le hommes ou tout type de mâles plus en général. Les plus doux ne me dérangeaient pas, mais je préférais le direct et le cru. Sans doute étais-je beaucoup plus habitué à recevoir ce genre de traitement et qui m'avait toujours parfaitement convenu avec ce que j'étais.

- Haha... Et bien quelle fougue vous avez, monsieur Marston. Ho oui!... Ha...

Tout en me laissant entrainer et manipuler selon ses désirs, je commence déjà à gémir d'excitation en sentant sa domination, avec le museau maintenant plaqué contre le matelas du lit du bas, les fesses placées en l'air et pour finir cette puissante poigne qui me retenait mes deux petits poignets. C'était... parfait! Exactement comme j'aime...

- Oui monsieur Marston! Faites-vous plaisir sans retenue, je suis là exprès pour ça. Finissons de dissiper ce malentendu entre vous et moi, comme vous le dites si bien vous-même. Faites-moi vibrer.

C'est avec une certaine excitation que je ne cherche en rien à contrôler, je lui réponds d'une voix à la fois mielleuse et pleine d'entrain. Après tout, donner mon cul aux mâles était récurrent et quotidien pour moi, mais seulement une minorité parvenait vraiment à me satisfaire pleinement. Et je devais avouer que ce soldat avait du potentiel.

Je n'ai pas plus le temps de réagir, que le magnifique objet de plaisir et de soumission que je suis maintenant devenu pour lui, se fait retirer précipitamment la culotte que je porte sous la robe. Sans bouger de la position parfaite pour accomplir cet accouplement à la fois direct et bestial, j'ai un sourire encore plus appuyé lorsque je le sens venir presser sa belle grosse verge contre mon petit cul parfaitement entrainé à ce genre jeu. Aussi ne suis-je pas non plus réellement surpris lorsqu'il s'immobilise, ayant sans doute découvert la vérité à ce que je suis vraiment derrière mon genre féminin totalement assumé. Il semble d'abord reculer légèrement, puis rire après.

- Ho.. On dirait bien que j'ai été totalement révélé. Je vous jure monsieur Marston que je vous avais dis toute la vérité, mais que j'ai sans doute volontairement pu omettre certains petits détails de la chose...

Tout en restant provocateur et en gardant la voix suave, je lui répondais avec amusement, tandis qu'il m'avouait s'être fait avoir... Si tant est pouvais-je accepter que l'on puisse dire cela d'un être aussi mignon tel que moi... Je me sens ensuite intérieurement victorieux dans un certain sens, lorsque mes incroyables charmes remportent une fois de plus cette guerre psychologique sous-latente. Jack m'avouant que les mecs ne lui déplaisaient pas entièrement, tout en me faisant ressentir en même temps qu'il rapprochait de nouveau son gardebout entre mes petites fesses prête à le recevoir avec délice.

- Mais la vérité mon beau, c'est que je considère toujours ça comme un simple détail. Tu as la chance de t'amuser avec une jolie créature séduisante et adorable telle que moi, prête à te combler sans la moindre retenue. Pourquoi résister?

Je continue de sourire, jouant entre la séduction et maintenant l'arrogance, pour lui donner envie de poursuivre le petit jeu qui n'arrêtait déjà plus de m'exciter. J'avais maintenant une putain d'envie de me faire prendre le derrière par ce mec et j'étais en plus aux premières loges pour en profiter.

- Mais la principale différence entre toi et moi mon chou, c'est que moi je laisse tout le temps les hommes comme toi venir profiter de mon joli derrière toujours prêt à l'emploi... et aussi de ma bouche, si tu as envie de me faire taire parce que tu me trouves bien trop vilaine et insolente... ou devrais-je dire vilain et insolent.

Sur ces paroles, je me dandine et je remue la queue, n'attendant plus que le recevoir en moi.

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Il ne me fallut pas attendre bien longtemps pour comprendre que je venais de miser sur la bonne stratégie. Lui faire les yeux doux, tenter un début de séduction et lui dire la vérité pour désamorcer le conflit. Mais il n'empêche que cet homme me faisait un certain effet. Il semblait être aussi dangereux que attirant et quelque chose dans tout ça ne me laissait pas indifférent. Comme à mon habitude, je redevenais volontiers plus enjoué dès que je sentais que j'avais de nouveau repris à peu près le contrôle de la situation. Du moins au premier abord, car mes pupilles rétrécissent et un léger frisson me parcourt l'échine, lorsque je vois le gros morceau mettre sa main sur son énorme crosse. Mais je continuais-je de garder confiance et ne pas perdre mon sang froid, car je commençais à déjà ne plus vraiment compter le nombre de fois où je m'étais mis en danger pour cette foutue organisation. Et puis ce n'était pas comme si j'étais sans atouts non plus... Pendant que le beau militaire reprenais ensuite la parole, je l'écoutais avec attention, tout en m'époussetant par réflexe et en repositionnant soigneusement quelques mèches de cheveux devenues rebelles, suite à cette petite altercation aussi imprévue que mouvementée.

- Monsieur Jack Marston, je comprends légitimement vos inquiétudes. Aussi permettez-moi de me présenter. Lloyd Atramita. Je travaille effectivement pour le gouvernement de Tekhos. Sachez qu'un petit imprévu purement personnel de ma part, m'a fait quelque peu arriver en retard dans votre somptueux engin. En temps normal, j'aurai déjà fini de poser ces balises et partir avant même que vous ne reveniez. Mais puisque c'est moi qui suis en situation délicate, permettez-moi de vous en apprendre un peu davantage sur le fonctionnement de ces balises...

Un petit frisson lubrique me parcourt le corps, lorsque je réalise la fin. Cela dit, la définition de position d'infériorité n'était peut-être pas tout à fait le meilleur mot. Car j'avais toujours sur moi des armes, des atouts ou tout simplement l'aide de ma puissante magie du vent pour surprendre et me défendre à tout moment. Mais quelque chose m'amusait dans cette situation qui s'était montrée imprévisible. En même temps, je devais avouer qu'il serait plutôt ennuyant à ce que je reparte d'ici en annonçant un échec à la hiérarchie. Et c'est pour cela que je devais à tout prix le convaincre de ne rien toucher et d'accepter de jouer le jeu.

- D'abord monsieur Marston, sachez juste qu'on ne me donne jamais toutes les informations en main. Je peux vous expliquer ce que je sais, mais on ne me communique jamais les résultats, ni le pourquoi du comment de mon travail. Comme je vous l'ai dis, je ne suis qu'une modeste employée. Mais considérez-moi comme votre alliée. Je vous assure que vous ne regretterez pas ce que j'ai à vous dire ensuite.

Je lui fais un petit clin d’œil, tout en me rapprochant lentement de lui pour éviter tout gestes potentiellement malentendants.

- Ces balises de détections sont des puissants traceurs qui peuvent vous suivre de très loin. Elles peuvent aussi vous écouter. Enfin pas pour l'instant, puisque c'est à ce moment-là que vous êtes arrivés avec votre profil de superhéros à faire tomber de son fauteuil dans les salles de cinémas des personnes telles que moi, pour interrompre subtilement le programme en cours d'exécution. Enfin rassurez-vous, l'armée ou même d'autres espions ne risqueront pas de venir en catastrophe sur les lieux.

Je retrouve une posture naturellement plus détendue et donc féminine, tout en continuant de regarder le bel humain dans ses habits militaires. A chaque seconde qui passait, quelque chose commençait à allumer un désir certain pour lui. Il me plaisait et je ne cherchais absolument pas à le lui cacher à travers mes expressions naturellement charnelles.

- La distance des balises d'écoutes peuvent dépasser la stratosphère et aller extrêmement loin dans l'espace. Elles peuvent même écouter jusque dans d'autres systèmes solaires et selon la fréquence utilisée, arriver encore à réagir dans le cas où vous changeriez éventuellement de dimension.

Je remets une nouvelle fois une longue mèche de cheveux en place, puis je croise les bras et je lui souris. Évidemment, je savais que rien dans ma description ne le donnerait envie de vouloir être volontairement mis sous écoutes, mais j'avais un atout de poids important à encore jouer entre les mains.

- Mais les balises ont potentiellement plusieurs modes de fonctionnements, notamment un mode de sécurité qui peut être déclenché lors de leur activation. Il me suffit par exemple de leur donner un temps d'écoute limité dans le temps et elles finiront par s'auto-désactiver toutes seules une fois le temps écoulé. Je pourrais tenter cette option, à condition que vous acceptiez d'être suffisamment mis longtemps sur écoute, au vu que cela ne déplaise à ma hiérarchie dans le cas contraire. Pour le reste, étant donné que je doute que vous fassiez réellement parti d'une liste de priorité extrême pour notre gouvernement, je pourrais cependant toujours essayer d'arranger la bavure. Tant qu'ils auront eu assez d'informations sur vous, ça devrait être suffisant pour eux...

Je pose un instant de silence, tout en me penchant légèrement en avant, avec les deux mains tenues dans le dos. Je caresse du regard le beau Jack avec un air langoureux. Même si je prenais tout ceci à la légère, il était important que je réussisse à le convaincre si je ne voulais pas avoir de quelconques ennuis par la suite. Puis je réponds pour finir à sa dernière question, préparant à jouer ma carte maitresse.

- Pour ce qui est des portails, je passe par un réseau souterrain de la cité qui me donne accès à un portail contrôlé. Le principe est d'entrer les données, puis une fois passé à travers celui-ci, le portail vous emmène vers un autre portail proche de la destination que vous avez préalablement sélectionné. Mais les portails d'arrivée sont toujours instables. Le système est complexe et encore plus ou moins incontrôlé, même pour un organisme comme nous. Et je doute que la cité ait envie de consacrer des années de travail à vous construire un tel système.

Tout en m'assurant que les appareils connectés que j'ai sur moi ont bien été mis en veille, je sors avec délicatesse de mon joli sac à main, un petit appareil en forme cubique. Mon meilleur atout... Il s'agissait d'un détecteur de portails. J'affiche alors un sourire davantage enjoué, osant aller jusqu'à presque me coller contre le beau soldat bien viril, dont une certaine différence de taille pouvait se faire sentir entre nous deux. Je dois lever la tête pour continuer de lui parler.

- Cet objet vous aide à détecter tous les portails instables des environs. Mais retenez qu'il ne vous aide qu'à seulement les détecter et non à choisir leur destination, bien que l'appareil peut vous aider à plus ou moins deviner où est-ce que vous pourriez potentiellement vous retrouver avant d'entrer. Ce n'est donc pas aussi efficace que le portail sur-mesure sciemment stabilisé et durement contrôlé qui se trouve dans centre principal de notre grande cité, mais c'est toujours mieux que rien.

Pendant que Jack regarde forcément avec intérêt l'objet que j'ai entre mes charmantes petites mains graciles et un brin animale, je finis de développer.

- Si vous voulez, nous pouvons faire un marché. Vous me laissez terminer mon travail en acceptant de laisser les balises émettre suffisamment longtemps, pour que Tekhos obtiennent les informations qu'ils veulent et en échange, je vous donne cet objet... et je suis aussi prêt à accepter de faire un petit extra au grand et beau capitaine de ce ravissant cockpit. Qu'est-ce que vous en dites?

Je caresse doucement le plastron du beau Jack Marston, misant ainsi tous mes atouts pour le faire accepter le marché qui me paraissait plus qu'équitable. De mon côté, je m'en tirerais ainsi sans bavures ou presque, tout en profitant des ravissants atouts virils ce bel homme qui me donnait vraiment envie.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: vendredi 04 avril 2025, 18:45:44 »
La petite souris que je trouvais très drôle et amusante, se mettait à me fixer étrangement avant d'essayer de reprendre le contrôle d'elle-même. Intéressant. Ainsi je sentais qu'il n'avait peut-être pas totalement encore accepté ma proposition, malgré que je voyais bien qu'il avait du mal à totalement s'y opposer. Noa confirma mes impressions, lorsqu'il sembla vouloir me défier avec ses mots, tandis qu'il se mit à reculer de moi et de mon manche en érection, non juste après l'avoir léché encore une dernière fois. Mes pupilles se mirent instinctivement à rétrécir, tandis que je le voyais toucher sa petite queue bien raide d'excitation, tout en y passant la main sur ses lèvres pour y enlever le pré-sperme qui commençait vraiment bien couler de ma verge excitée et dont l'odeur de nos effluves corporelles commençait sacrément à envahir la pièce. Je laisse échapper un petit rire volontairement moqueur, lorsque je le voyais bien être piégé dans son propre jeu. Noa avait beau vouloir essayer de résister autant qu'il le voudrait, plusieurs signes évidents montraient qu'il essayait de me cacher la vérité, malgré ses dires. Quand le souriceau essaye de continuer de me défier en disant que je ne pourrais le briser aussi facilement, je m'étais mis à ressentir un léger agacement, juste avant qu'il ne retourne un instant pour me sucer la queue en vue d'y finir le travail. Et alors que je suis vraiment sur le point de jouir, Noa cesse de nouveau ses câlineries sur mon engin. Mes pupilles rétrécissent de nouveau, me confirmant qu'il essayait de jouer avec moi à un jeu relativement dangereux, en particulier dans ces instants où je n'avais plus que l'envie de vouloir jouir dans sa bouche.

- Tsss... Si j'étais toi, je ferais plutôt attention à ce que je dirais, car je crois surtout que tu n'es pas réellement celui qui tient les bonnes cartes en mains pour se permettre de parler ainsi, petit souriceau.

C'est avec ce mélange de désir impatient de vouloir me finir en lui et avec le fait que j'avais maintenant l'envie de lui mettre une bonne petite correction bien méritée, que Noa s'installe sur le canapé sans vouloir lâcher son regard arrogant du mien. Pendant qu'il m'accuse être sûr de moi et de mon coup, ce qui était loin d'être faux je devais l'avouer, Noa effleure son torse du bout des doigts avec une certaine provocation. Puis il me désigne de la tête et se met encore à me narguer, me rétorquant alors si j'étais capable de faire mieux que ce que nous étions actuellement en train de faire ensemble. Un agacement profond, mêlé par l'éternelle excitation ressentie jusqu'au bout de ma verge et de mon cerveau momentanément en ébullition, me laissa un instant silencieux et confus à la fois. Mais je fis aussi vite que possible taire ce trouble qui s'était emparé de moi. Bien que j'avais envie d'utiliser la violence histoire de l'intimider et aussi pour bien lui faire rappeler lequel de nous deux était la soumise de l'autre, j'essayais de me contenir malgré la difficulté de la situation. Ou du moins comptais-je bien user de ses armes pour les retourner contre lui, pour rappeler à la petite chose aussi agaçante que terriblement lubrique à mes yeux, de quoi étais-je réellement capable dans une telle situation.

- Je vois ça... Ainsi le jeu vient à peine de commencer, que te voila en train d'essayer de vouloir me provoquer et m'impressionner.

Je me rapproche de la petite souris affichant une expression qui mélangeait le mépris et le désir. Restant debout, la queue poitée juste en face de son minois insolent, je feintais vouloir prendre un instant mon temps avant pour lui rappeler la réalité des faits. Bien que je devinais qu'il soit possible qu'il essayait de jouer à ce jeu avec moi dans le but à ce que je donne le maximum de moi-même pour le dominer, je n'oubliais pas qui était Noa. On l'avait engagé tout comme moi en tant qu'agent. Tous les agents avaient certains même points communs, notamment celui d'user de la manipulation. Mais il pouvait dire ou exprimer ce qu'il voulait, je voyais bien que son corps et surtout sa petite queue, ne mentait vraiment pas face à la réalité des faits. Aussi souriais-je en regardant son entre-jambe à peine caché par ses cuisses, avant de lui répondre.

- Tu as beau dire ce que tu voudras, tu sais que ton corps ne ment pas. Je sais parfaitement que tu essaies de lutter intérieurement. Je sais très bien que tu ne veux pas trahir les tiens et que ce choix a quelque chose de profondément amoral. Seulement je vois bien que tu aimes ça. Tu aimes être dominée. Tout comme moi, tu aimes qu'on te traite comme une pauvre chose soumise le temps que l'on joue avec ton corps. Je sais ce que tu éprouves, car j'ai ressentis les même choses que toi par le passé. Si je devais te raconter toute ma vie, y compris ma vie sexuelle, tu ne te sentirais pas si différent de moi. A la différence de toi que je n'ai jamais eu besoin d'être surveillé ou rappelé à l'ordre par les miens. Aujourd'hui tu as joué et tu sais que tu risques de tout perdre. Ta seule échappatoire est l'offre que je te propose et tu le sais. Tu ferais donc mieux d'être sage et d'obéir, car selon ta gentillesse à mon égard, tu sais que je pourrais ou non décider de balancer tout ce que je viens d'obtenir sur toi et ton ami. Alors sois sage et suis les règles, si tu ne veux pas te faire mettre en brochette par nos agents. Aujourd'hui tu as joué et tu as perdu. L'histoire se conte toujours à travers les vainqueurs. Seule ta traitrise envers les tiens et ta soumission envers moi sera ton salut.

Je prononce les derniers mots tout en me rapprochant de l'une de ses paraboles de chairs, tout en les murmurant à voix basse. En réalité et ce malgré la difficulté d'arriver à pleinement me contenir, il restait primordial pour moi de savoir garder le contrôle de la situation. Je lèche ensuite langoureusement son petit faciès poilu et adorablement mignon, avant de pointer ensuite l'un de mes doigts griffu en direction de son entre-jambe que je forçais à s'ouvrir en y appuyant bien dessus. Malgré que je n'en pouvais vraiment plus, je finis par me redresser. Je prends mon instrument de chair que je secoue juste devant Noa pour l'exciter et ainsi essayer de lui faire enfin entendre raison pour de bon. Dans tous les cas, qu'il accepte ou non définitivement le compromis, je comptais bien profiter de son corps jusqu'à ce que j'estime être entièrement satisfait. Le résultat de sa sentence dépendrait ses choix personnels

- Allez. Abandonne-toi à moi et à tes désirs que tu essaies de refouler en vain. Conclus notre alliance en venant me faire jouir avec ta bouche et après ça, je te promets que je vais te donner tout le plaisir que tu recherches en tant que soumise. Sache que je peux me montrer très dominant si je le veux. Tout ne tient plus qu'à toi. Alors ne gâche pas ta chance, mon adorable petit souriceau soumis.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: mardi 18 mars 2025, 18:36:37 »
Ma queue tremble quand je vois Noa en position de soumis à mes pieds, alors que je devinais qu'il était clairement en train de faire un dilemme des plus désagréable et dégradant pour lui, dans sa petite tête de souris. Ceci était d'autant plus vrai pour elle, lorsque je l'ai vu se dégager de la prise que j'avais sur sa grande oreille de souriceau, ce qui avait eu pour effet de me faire glousser en retour. Je comprenais parfaitement que de devoir accepter de trahir les siens, dans le but de sauver ses petites fesses de soumise en échange d'accepter mon offre en la concluant par sa soumission sexuelle, devait avoir quelque chose d'assez moralement dérangeant. Mais c'était exactement le but que je recherchais et c'était ça qui m'excitait tout particulièrement. J'adorais jouer avec le principe du moralement douteux quand c'était possible. Faire plier mes proies à toutes mes volontés et les faire accepter de se livrer avec bassesse et soumission, allant parfois jusqu'à remettre leurs convictions les plus chères et profondes en jeu. Aussi je gémis de longue satisfaction, quand je vois cette trainée accepter l'échange en allant me baiser le gland, juste avant de se mettre ensuite à le lécher de façon très coquine et langoureuse avec sa jolie langue de perverse.

- Oui, c'est bien ma jolie. Je savais que rien n'était plus gratifiant pour toi que de te faire baiser par les mâles comme moi. Je te l'avais dis, tu es né soumise et tu mourras comme telle. Personne ne peut résister face au jeu de l'abandon au désir.

C'est avec un sourire malsain qui se dessinait parfaitement sur ma gueule de loup, que je caressais à nouveau la tête de Noa. Tandis que mon gland se mettait de plus en plus à réagir à chaque fois qu'il y passait sa délicieuse langue de souriceau bien dessus, Noa finit par prendre mon bel engin dans sa bouche. Je ressens alors une importante décharge électrique qui se propage en plein sur mon pieux, dès que la coquine se met à le gober et à y pousser lentement sa tête en avant. C'est tout en continuant de gémir avec satisfaction, que je laisse la trainée s'amuser avec ma queue qui était en train de subir toute sa pleine attention. Plusieurs fois je la sentais se contracter bien dessus, tandis que je me suis mis à placer les mains au niveau de mon bassin, histoire d'y admirer le spectacle aussi dégradant que désirable, tout en y prenant bien mes aises. Après plusieurs gémissements de ma part, celle-ci finit au bout d'un certain temps par arrêter de me pomper la verge, pour venir lentement lécher l'ensemble de l'instrument. C'est qu'elle était particulièrement douée, malgré la lenteur de ses gestes. Et plus ça allait, plus ma bite et ma queue lupine me donnaient la sensation de durcir encore plus fort. Je récompense ainsi la petite trainée en la gratifiant de légers tapotements sur la tête en guise d'humiliation et de satisfaction en même temps, tandis qu'elle se transformait de plus en plus en une chienne en chaleur, prête à tout pour recevoir ce qu'elle aimait le plus au monde. Nul doute qu'elle cachait bien son jeu. Ou pas tant que ça, après tout...

- Coquine. A peine on se rencontre que te voila déjà à mes pieds en train de me tailler une pipe. Je crois qu'on va vraiment bien s'entendre tous les deux. Crois-moi que tu ne regretteras pas d'avoir pris la bonne décision en te soumettant à moi. N'est-ce pas ma jolie?

C'est tout en le sentant alterner de plus en plus les rythmes et les pressions faites à mon manche qui n'attendait que ça, que je gratifie de nouveau la chère petite souris qui semblait être particulièrement adepte à l'avilissement. Je devais d'ailleurs reconnaitre que la voir être à présent si peu habillée, avec sa petite bite tellement en érection et en attente d'être satisfaite, avait quelque chose de profondément plaisant. Et c'est quand Noa se met à me lécher la veine juste sous le dessous du gland, que je sentais mon manche tressaillir de plus en plus. Nul doute que je ne tiendrais pas longtemps avec une telle bouche comme la sienne.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: dimanche 09 mars 2025, 18:09:19 »
C'est avec un éternel sourire en coin, que je regarde Noa craquer de plus en plus. Cela se remarquait autant à travers certains de ses gestes, comme avec le fait qu'il aille volontairement se coller toujours au plus près de moi pour que j'y ressente avec délice son corps à la fois chaud et poilu. Ou tout comme y enrouler délicieusement sa longue queue de souriceau autour de mon mollet, en gage de soumission. Et tandis que la souris qui devenait de plus en plus soumise à ma volonté, poussait de temps en temps des gémissements qui trahissaient son désir qui montait de plus en plus en flèche, je voyais son regard qui se perdait peu à peu dans les méandres de la passion. Au point qu'il dise vouloir aller jusqu'à y muter dans ma propre section, juste pour que je puisse lui donner ce genre de cours particuliers. C'en devenait vraiment amusant. Puis Noa qui me caresse ensuite le torse sans me répondre directement sur la question qui portait sur le fait que j'imaginais bien assez ses mœurs légères face aux être masculins de tous genres, poilus comme non poilus, prend alors un ton encore plus sensuel. Aussi ne pouvais-je qu'approuver pleinement, lorsqu'il me disait que c'était moi qui lui faisait cet effet là. Noa approche ensuite ses lèvres au niveau de la pointe sensible de mes oreilles lupines pour y déposer un délicat baiser. Son souffle que capte mes oreilles ultra sensibles, se voulait être aussi court que rapide. Preuve qu'il attendait que je passe à la vitesse supérieure dans la suite notre petit jeu coquin. Ce qu'il me confirma lui-même, juste au moment où j'avais deviné ses intentions.

- Tu es... impatiente et prévisible ma chère petite souris. Mais à quoi d'autre devais-je m'attendre venant de la part de quelqu'un qui s'habille de la sorte? Nul doute que tu es née soumise et que tu termineras soumise jusqu'à la fin de ta vie. Ainsi es-tu faite.

Tout en devenant volontairement un peu plus dominant après mes derniers mots, je lui caresse la tête avec ma main griffue avant d'empoigner sa chevelure, sans même le prévenir. Puis j'approche mon museau contre l'une de ses grandes oreilles rondes, histoire de bien lui faire entendre la suite que je prévoyais exprès pour lui.

- Moi aussi je compte bien profiter de tes charmes sans la moindre retenue, petit souriceau soumis.

Tout en lui murmurant ces mots dans une tonalité à la fois sensuelle mais davantage ferme, je finis de presser une dernière fois nos queues raides et de plus en plus brûlantes et agréablement odorantes, l'une contre l'autre avec ma main. Je lâche ensuite cette longue étreinte charnelle amoureuse et coquine, pour le repousser avec davantage de vigueur sur le canapé. Je me lève alors et que j'y retire la ficelle de ma robe qui se trouvait dans mon dos. Celle-ci glisse ensuite à mes pieds, révélant ainsi un peu plus de ma superbe dans la forme d'expression la plus naturelle, à l'exception de mes collants blancs, ainsi que de mes sandalettes à petits talons relevés de couleur brune et jaunes. Sans toucher au soutient-gorge qui cachait mes tétons, j'étais maintenant pratiquement prêt à jouer avec lui.

- Ne t'en fais pas ma petite souris. Profite de ce que je compte bien te donner en retour pour changer, car comme toi, je suis plus dans le genre à offrir mes deux orifices aux autres mâle.

Dis-je en me suçant un instant langoureusement deux doigts à tour de rôle, juste avant de retourner vers mon sac pour y sortir un ravissant rouge aux lèvres. Et c'est tout en regardant avec passion Noa qui n'attendait plus que ma démonstration virile, que je terminais de me passer le rouge aux lèvres sur le devant de mon adorable et sublime gueule de loup. Après avoir remis ce précieux à sa place, je me rapproche du souriceau, le long appendice poilu remuant lentement derrière moi et cette fois prêt à profiter de ma proie. Je recaresse quelques instants encore la tête de Noa, tout en touchant après à ses belles grandes oreilles rondes qui ressemblaient presque à des paraboles de chair.

- Deux ravissantes belles putes que les mâles veulent à tout prix baiser, mais qui vont surtout jouer entre elles ce soir. A la différence que l'une d'elle deviendra la soumise de l'autre.

J'empoigne avec vigueur l'une de ses grandes oreilles rondes, tout en forçant Noa à se mettre à genoux devant moi. Une impression de puissance m'envahit soudainement. Cela faisait un long moment que je n'avais pas dominé un charmant petit mâle de son genre.

- Ne t'inquiète pas. Je vais te donner l'envie ferme de te faire muter dans mon secteur. Je ne sais pas dans quel genre de merdier tu t'es fourré pour qu'on m'envoie te surveiller, mais je te conseille vivement de faire profil bas, si tu as envie que je te sauve la mise. Quant à ton ami le gros renard, je ne sais ce qu'il deviendra, mais j'irai certainement le voir avant mon départ pour pour lui faire une belle petite gâterie, avant que nos services ne le fassent très certainement disparaitre à tout jamais.

C'est dans un mélange d'excitation et d'assurance, que je prends ensuite ma bite dans la main et que je me mets à taper la joue de Noa avec.

- Soumets-toi à moi et abandonne la folie de tes projets insensés. Conclus ce pacte de chair avec moi en commençant par me sucer goulument la queue pour me prouver ta bonne foi. J'ai très envie de te dominer et crois-moi que je ne serai pas aussi tendre avec toi que comme je l'ai été ces quelques instants d'avant. Je suis un loup et derrière mon apparence, je peux devenir un véritable prédateur sans aucun scrupule.

C'est en terminant de lui dire ces mots doux, que je finis en même temps de le biffer avec ma queue qui commençait déjà à sortir du pré-sperme, tellement ça m'excitait de le soumettre comme j'étais en train de le faire. Il ne me restait donc plus qu'à le voir accepter mon offre et ainsi profiter avec amusement que la petite trainée rampe devant-moi en se jetant goulument sur mon sexe. Mais je voulais que l'initiative vienne d'elle. Que son mental cède entièrement à ma volonté.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: mardi 04 mars 2025, 18:25:38 »
La très chère petite souris qui ne s'attendait évidemment pas à ce que je lui révèle mon véritable sexe derrière mon adorable apparence féminine, a d'abord marqué un instant d'étonnement avant de se sentir toute aussi vite intéressée par mon instrument de chair. Le coquin qui fait ensuite mine de réfléchir, plaisante d'abord un instant sur le fait que j'étais en dette de ses vêtements, avant d'incliner la tête et de se lécher sensuellement les lèvres. J'étais intérieurement satisfais de voir que la souris en menait de moins en moins large. J'avais réussi à prendre l'ascendant psychologique sur elle, car je voyais bien qu'elle en désirait déjà bien plus de ma personne. Lorsque le vilain petit Noa le confirma par lui-même sans même avoir à forcer, il se rapproche encore de moi. Au point que nos visages étaient maintenant pratiquement collés l'un à l'autre et que je pouvais y sentir son halène à la fois légère et fraiche. Tandis que nous-nous regardons encore une fois intensément dans les yeux, d'où s'entremêlent une forme de défiance amusante, le mammifère en profite pour y défaire le nœud de sa jupe. Mes oreilles et ma queue lupin se raidissent, lorsque j'y vois celle-ci tomber pour ensuite y glisser délicatement le long de ses courbes gracieuses. Mon propre attribut se compresse et vibre dans un violent coup, dès l'instant où je ressens sa propre tige venir se coller à la mienne. J'affiche une petite grimace de surprise, tandis que je réalise qu'il ne portait pas de culottes en dessous de sa robe.

- Ainsi la délicieuse petite souris ne cachait-elle donc pas son mignon petit garde-bout derrière son tissu le plus intime?

C'est étonné mais satisfait par la surprise inattendue, que je constate avec amusement que cette coquine qui cachait bien son jeu, était vraiment une vraie petite perverse. Et tandis que nos visages restaient constamment rapprochés l'un de l'autre, Noa me demande presque dans un souffle si je désirais le voir retirer encore autre chose de lui.

- Je pense que tu es déjà bien assez ravissante comme ça.

C'est après lui avoir répondu que je ne souhaitais pas qu'il y retire plus de vêtements que ce qui était initialement prévu, que je finis de parcourir la bonne dizaine de centimètres de distance restante entre nous, pour aller l'embrasser. Tout en posant mes lèvres sur les siennes, je commence à y sortir doucement ma langue pour les lécher, avant de vite finir par y trouver son appendice buccal. Pendant que je l'embrasse, je passe sensuellement une main dans son dos entièrement poilu que je fais lentement remonter, jusqu'à en arriver à l'arrière de son crâne. Je plonge alors d'un seul coup ma langue en plein cœur de sa bouche au moment où je fais doucement avancer sa tête vers moi en la poussant. Je profite de ce baiser devenu passionnant et qui va durer un instant, pour y attraper en même temps nos deux queues bien dressées avec mon autre main. Pendant que je les enserre toutes les deux pour qu'elles s'unissent ensemble telles deux jumelles de chaires intimes, je tourne ma langue bien profondément à l'intérieur de sa cavité orale et humide. Je cherchais à profiter de chaque parcelle de celle-ci, tout en y culbutant régulièrement son délicieux appendice buccal. Je ressens rapidement une chaleur humide qui se répand de plus en plus dans ma propre bouche, tout en caressant avec vigueur et lenteur nos deux sexes collés l'un à l'autre. L'excitation me gagne de plus en plus, alors que j'ai la sensation de ne faire maintenant plus qu'un avec ce délicieux mammifère. Son petit sexe chaud, ainsi que sa bouche délicieusement humide, étaient devenus un véritable régal pour moi. Aussi parfois ralentissais-je quelque peu pour le laisser respirer, juste avant que je ne reprenne toujours plus passionnément notre interlude et que je décide de mettre fin à notre somptueux baiser.

- Mmmmmh... Mmmmh... Tu es vraiment délicieuse dis-moi. J'ai vraiment bien fais d'être venu te voir.

Je commente tout en massant avec affection nos deux queues que je continue de presser ensemble dans ma main, tout en envoyant une claque sur le petit fessier de Noa que j'avais de plus en plus envie de prendre.

- Alors ma petite souris, je suis sûr que tu aimes faire ça avec tous les mâles qui viennent t'aborder. Est-ce que je me trompe?

Pour le faire essayer d'aller un peu plus dans mon sens, je tire un peu plus fort sur nos deux belles queues bien collées ensemble, tout en les pressant en conséquences dans ma main, tandis que j'effleure en même temps l'entrée de son petit derrière.

7
J'en avais eu le souffle directement coupé, quand ce grossier individu s'est mis à me soulever comme une plume en m'attrapant par les bretelles de ma superbe nouvelle robe.

- Héla... Attention à ma robe. Elle est toute neuve et fragile.

Voila la première réponse qui m'était venue à l'esprit lorsque je me suis fait plaquer comme une vulgaire chose insignifiante contre la paroi de métal du bolide. Mais je doutais bien évidemment que cela allait suffire à ne fusse que calmer cet homme. C'est que tout s'était enchainé vraiment très vite. L'humain qui n'avait pas du tout été convaincu par mes paroles engageantes, m'avait d'abord poussé tout en passant à côté de moi. Il avait ensuite mis la main sur l'ordinateur qui terminait de télécharger les données et il n'avait ni plus ni moins que stoppé net l'application en finition de processus. C'était à ce moment-là qu'il s'est mis à me sauter presque littéralement dessus pour me faire décoller du sol et me plaquer alors. La suite de son charmant discours n'avait évidemment eu guère de quoi me rassurer. Mais malgré cet instant aussi embarrassant que dangereux envers ma charmante petite personne, quelque chose dans sa façon plutôt directe et brutale de procéder avait réussi à me plaire. Ce Jack Marston semblait être un homme dominant et avec de la poigne. Il était en plus doté d'un physique que je trouvais agréable. Musclé et viril par-dessus. Oui j'étais certainement assez fou que pour réussir à apprécier cela dans un tel moment. Mais j'étais comme ça.

- Et bien quel... quel homme vous êtes monsieur Marston. On peut dire que vous avez l'air de savoir dominer de très près vos interlocuteurs...

Je ricane de manière un peu embarrassée. C'est que je savais surtout que derrière tout ça, je n'avais aucune excuse à avancer pour justifier ma présence. J'avais été cruellement pris la main dans le sac et je savais que rien de ce que je dirais alors ne serait sans doute à mon avantage. Il ne me restait donc plus qu'à improviser pour tenter de me sortir de là, pendant qu'il en était encore temps.

- Écoutez... Contrairement à ce que vous croyez, ceci n'est pas une bombe. J'utilise en vérité un programme de surveillance, car nous voulons être certains que vous quitteriez bien notre ville. Nous voulons aussi nous assurer que vous n'êtes pas non plus un espion envoyé à la solde d'un gouvernement inconnu. Je vous assure qu'il faut absolument que vous me laissiez terminer mon travail de sécurité, au risque que cela puisse entrainer un grave incident diplomatique avec votre nation. Je ne prétends nullement que vous êtes un espion à proprement parler, mais sachez que je ne suis rien d'autre qu'un pauvre petit... enfin une pauvre petite employée envoyée ici pour y suivre les instructions de son impitoyable hiérarchie.

C'est tout en parlant à l'homme, que je me suis mis en même temps à lui faire les yeux doux. La situation était certes désagréable, mais au moins continuais-je d'utiliser mes meilleurs atouts, tout en étant convaincu que lui dire la vérité me rapporterait bien plus d'avantages, plutôt que de risquer de le désobliger par le simple mensonge. Aussi me risquais-je de pousser encore un peu plus loin...

- Je vous propose que nous passions un petit accord monsieur Marston. Vous me laissez terminer mon travail proprement et je ferais tout ce que vous voudrez pour vous plaire. Je dis bien absolument tout. Allez s'il-vous-plait...

C'est tout en plongeant intensément mon regard bleuté et séducteur dans le sien, que je caresse délicatement l'une de ses mains qui me retenait toujours par les bretelles de ma superbe robe. Aussi espérais-je que cela allait fonctionner, bien que j'avais conscience que les enjeux restaient potentiellement risqués.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: mardi 25 février 2025, 18:57:24 »
Plus nos regards se croisent et plus il m'est difficile de résister à la tentation que représentait Noa. Mais la prudence devait rester de mise. Tant que je n'étais pas certain de l'avoir parfaitement sous mon contrôle, je devais continuer d'être aux aguets, malgré la difficulté rapidement grandissante de notre petit jeu. C'est avec une attention et un intérêt tout particulier, que je le regarde détacher lentement son ravissant petit chemisier de soubrette. La petite souris que je désire de plus en plus faire mienne à chaque seconde qui passe, retire un à un les boutons de son haut. Mon excitation ne faisait inévitablement que grandir, au point que je commençais à vraiment l'avoir dur entre les jambes. Ma queue se presse encore un peu plus sous ma jolie robe d'été, lorsque Noa fait ensuite glisser lentement son chemisier le long de ses petites épaules graciles. Celle-ci termine alors sa chute au sol, telle une longue caresse qui se superpose au vêtement qui frotte sa peau à la fois poilue et tachetée. Mes pupilles vibrent un instant face à la beauté du geste et de l'excitation parfaite de la scène érotique, qui sied pour l'instant en tout point à mes goûts.

Tout en restant silencieux, c'est avec le regard inévitablement remplis de désirs aussi chauds que colorés envers cet adorable petit mammifère, que je vois le souriceau se rapprocher de moi. Nos yeux bleus des plus intenses se croisent à nouveau à travers un regard, dont la profondeur semblait toujours vouloir creuser plus loin dans le néant. Tout en continuant son jeu de séduction, le souriceau casse le court silence qui s'était interposé entre nous pour me demander si je venais de la section D. Je souris avec amusement à cette remarque qui me paraissait être des plus futiles, comparé à cet instant des plus plaisant. Sans me laisser le temps de lui répondre, la jolie chose enchaine presque aussitôt pour se mettre à dégrafer son joli soutien-gorge. Le tissu tombe quelques instants après sur ses cuisses, révélant ainsi le torse nu de Noa et maintenant entièrement à découvert. Il paraissait être encore plus fin que moi, malgré qu'il semblait être lui aussi pourvu d'une délicate musculature taillée autant en finesse, qu'avec élégance. Je suis alors pratiquement en pleine érection envers cette souris qui m'excite au plus haut point, lorsque la petite coquine se penche vers moi pour me poser une question autant osée, que intéressante à souhait. Aussi je lui souris avec un air encore une fois amusé.

- Quels petits secrets je cacherais sur moi? Mais n'est-ce point plutôt à moi de te poser des questions, cher petit Noa?

C'est sans lui montrer tout de suite le bel instrument que j'avais en réserve exprès rien que pour lui en cette soirée de plus en plus chaude, que je me dandine suffisamment pour y attraper ma culotte cachée sous ma robe blanche. Une fois saisie, je la fais lentement glisser le long de mes cuisses à l'aide de ma main libre. Celle-ci termine son parcours jusque sur mes mollets, puis à mes pieds. Tout en ne le quittant pas une seule seconde de mon regard qui se voulait volontairement être le plus séducteur possible, j'envoie voler le tissu blanc devenu soudainement gênan, un peu plus loin à l'aide de mes pieds recouverts par mes gracieuses sandales à talons.

- Ainsi, un agent de la section C de la ville de Tekhos envoyé pour gentiment te surveiller en cette douce soirée, doit-il te révéler un secret bien gardé de sa personne pour te convaincre d'y enlever ce qui cache encore tes propres secrets interdits?

C'est en faisant durer le suspens le temps de quelques instants, alors que j'avais la queue maintenant en totale érection tellement je désirais ce petit mammifère des plus arrogants et délicieux, que je remonte lentement ma robe, jusqu'à ce que celle-ci y révèle mon sexe totalement dur.

- Est-ce que cela suffit-il à la ravissante petite souris que je caresse de plus en plus du regard avec envie?

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: samedi 22 février 2025, 17:21:29 »
Une allure volontairement provocante saupoudré avec une attitude insolente. Un regard à la fois calculateur et séducteur. Observateur et prudent. Le petit Noa semblait avoir un certain nombre de points communs avec moi en plus de celui d'être beau et mignon. Nul doute que ce devait être un agent à la solde d'une organisation. Mais ce pouvait-il qu'il travaillait lui aussi pour Tekhos et que quelque chose aurait mal tourné entre eux et lui? En attendant le souriceau ne manque pas de répartis pour me plaire, ce qui ne faisait que continuer de me chauffer encore un peu plus.

Et alors que je suis confortablement installé dans ce canapé, la souris qui a compris où se trouvait ses propres intérêts, accepte de jouer le jeu que je lui propose. C'est donc en bon joueur que je le laisse faire et que je le regarde se rapprocher légèrement de moi, dans une démarche volontairement osée. Nul doute que ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Le petit coquin le confirma lui-même, au vu de la façon de retirer lentement son tablier qui glissa le long de ses hanches ainsi que de ses cuisses, révélant ainsi une robe courte en-dessous. Cela me suffit pour ressentir une première décharge qui se transmet entre mon pieux et ma queue touffue. Je reste d'abord concentré un instant sur ses jambes qui paraissaient vraiment être des plus délicieuses, avant de le regarder lorsqu'il vient poser sa toute première question. Son regard plutôt provocateur semblait comme chercher à sonder le mien. Mais comprenant à qui j'avais affaire, je n'en ressentais pas la moindre gêne. Après tout, il ne pouvait savoir qu'il ne faisait que jouer sur mon propre terrain. Et puis je n'étais pas idiot. Je savais déjà qu'il essaierait de profiter d'une ouverture à un moment où à un autre. C'est d'ailleurs pour ça qu'il me paraissait être confiant, bien que je devinais qu'il essayait de cacher tant bien que mal un certain malaise. Ce devait certainement être le jeu associé au goût du risque que moi aussi je ne connaissais que vraiment trop.

- Moi? Venir saboter ta mission? Allons ma jolie. Je ne faisais rien d'autre que t'observer de loin. Mon but initial n'a jamais été de venir t'approcher de face. Mais c'est juste que... et bien tu as un peu forcé les choses...

Je le regarde de façon aguicheuse, alors que les premières chaleurs entre mes jambes ne semblaient à présent plus vouloir me quitter. Aussi ai-je légèrement du mal à tenir en place, tellement je m'imaginais déjà être en train de le sodomiser à la toute fin. Le délice que cela serait d'être en lui, tout en le laissant porter les vêtements que j'avais volontairement choisi exprès qu'il garde sur lui pour cet heureux événement, ici tous les deux en tête à tête. Mais chaque chose en son temps...

- Oui je crois que toi et moi on va bien s'amuser. Mais pour l'instant, continue de poser tes questions. Après tout étant donné que tu as activé ton brouilleur, mes employeurs ne pourront absolument rien entendre de notre petite conversation. Ne trouves-tu pas cela intéressant de jouer ainsi sans aucun filtre?

Tout en me penchant légèrement en avant, je continue de gouter Noa avec le regard. Je trouvais cette petite souris particulièrement mignonne. Aussi je ne regrettais plus d'avoir pioché cette mission de surveillance. Les événements avaient encore tournés une fois de plus à mon avantage.

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: dimanche 16 février 2025, 16:40:09 »
La cible finit par entrer dans ce qui ressemblait à un très grand club. Partout autour se trouvait des lumières et des néons pour indiquer que cet établissement avait de quoi afficher son luxe, sa classe et surtout sa débauche à profusion. Mais pour moi qui était principalement occupé à traquer l'autre petit mammifère, ce genre d'endroit m'indifférait au plus haut point dans l'immédiat. Aussi je continuais de prendre mes aises. J'étais confiant car je savais que la cible ne pourrait m'échapper, quoiqu'elle essaierait de faire. Du moins c'était encore ce que je croyais. Aussi je l'entends y prononcer quelques mots sans grands intérêts alors qu'elle se trouvait à l'intérieur, juste avant que je devine qu'elle y laissait son ami entrer quelque part. C'était donc un peu à l'aveugle, que je tentais de décaler légèrement la tige d'écoute tout autour de la cible qui brillait à travers le mur épais de ce bâtiment, tandis qu'elle semblait ne plus vouloir bouger de sa position. Je réussi à capter une conversation relativement intéressante mais qui ne dura pas plus qu'un court instant, puisque d'un seul coup tout s'arrêta de fonctionner pour moi. Le halo bleuté qui s'était jusqu'à présent parfaitement affiché se mit à disparaitre. L'antenne d'écoute cessa en même temps de fonctionner. Je n'étais plus que bêtement face à un énorme pan de mur, depuis le toit d'une autre maison située juste en face.

- Mince... Pourquoi mes appareils ne captent-ils donc plus rien?...

Il ne me fallut que quelques secondes pour comprendre que l'irritante petite souris qui avait bel et bien deviné ma présence, avait vraisemblablement dut utiliser une espèce de brouilleur de capteurs. Le problème était que je possédais des appareils suffisamment sophistiqués que pour ne pas me laisser avoir face au premier gadget venu... Sauf si ses propres équipements étaient similaires ou supérieurs au miens.

C'est déboussolé que je réfléchis rapidement à la manœuvre à entreprendre. Soit j'entrais au plus vite à l'intérieur avec le risque d'y perdre potentiellement sa trace, soit je restais à l'extérieur dans l'espoir de les intercepter et de continuer ainsi à les espionner de loin tant bien que mal. Plus les secondes passaient durant lesquelles je réfléchissais au problème et plus j'avais conscience de prendre le risque de les perdre dans les deux cas. D'autant plus que cet établissement devait certainement avoir aussi plusieurs accès gardés. Sans parler peut-être d'un passage secret connu certainement de ses meilleurs membres...

Ma réflexion beaucoup trop longue suffit pour me faire aller aussi vite que mes jambes finement athlétiques me le permettaient, jusqu'à l'entrée bondée de monde. Une fois dévalé la volée de marches à toutes vitesses et passé la grande porte sans même attirer le regard suspect des vigiles semblant rester imperturbables, je me retrouve à faire face à un gigantesque hall où trônait diverses lumières qui éclairaient des tapisseries murales aux couleurs rouges, avec tout un tas d'étranges décorations telles que des statues, des tableaux, des plantes, une étrange fontaine... Le tout semblant être orné avec des dorures stratégiquement positionnées à certains endroits. Le luxe et la luxure réunis en même temps. Et c'est en essayant de mémoriser le dernier endroit d'où j'avais vu l'agaçante petite souris en train d'attendre dans son trou pour la dernière fois, que je passe par un long couloir transversal situé jute à côté d'un grand escalier. Je passe ensuite par une double porte avant d'arriver juste à l'entrée d'une boite de nuit, d'où se déhanchaient aussi bien des hommes et des femmes au physique plus qu'agréable à regarder. Je contourne sans difficultés la pièce enfumée et puant l'alcool à plein nez, d'où les badauds observaient assis la scène depuis leurs tables et leurs canapés velouteux, musiques entrainantes et lumières allant à tout va. J'y repère une porte annexe donnant sur un autre long couloir qui semble respectivement mener tout droit vers une importante série de portes dont la plupart semblaient être fermées. Comprenant qu'il s'agissait de loges privées où l'on pouvait y faire toutes sortes de débats avec des prostituées de premier choix, je reste quelques instants à fois pensif et dubitatif. Je savais que la maudite petite souris se cachait ici. La question pour moi était à présent de savoir dans quelle pièce exactement se trouvait-elle. Si bien sûr elle y était toujours...

- Ainsi tu veux jouer au jeu du chat et à la souris avec moi? Je te préviens, je suis assez bon à ce genre de petit jeu ma jolie.

Au vu de l'endroit d'où j'étais à présent, je pouvais y revêtir à nouveau mon masque d'espionnage sans risques d'y attirer de quelconques suspicions. Malgré le brouilleur que Noa avait activé, je possédais encore certaines options de détection bien pratiques. J'active ainsi le détecteur de chaleur pour me permettre d'y voir les sources du dit nom et jusqu'à travers les murs. Je passe ainsi directement les pièces vides et une à une, je tente d'écouter discrètement aux portes dont les pièces semblaient visiblement être occupées. Plusieurs minutes passent durant lesquelles j'élimine chaque loge dans laquelle la souris pouvait potentiellement s'y trouver. De temps à autres, à défaut d'avoir des certitudes, je joue simplement au culot en allant directement toquer à la porte, prêt à fondre sur la foutue souris si elle y pointait son museau. Plus d'une fois sur deux, je suis accueilli par des hommes en plein ébat et tous plus ou moins énervés d'avoir étés dérangés. Inutile de préciser que j'y reçois tout un tas de noms en rapport avec les trainées et les prostituées du coin avant de me faire violemment claquer la porte au nez.

Et alors que je redoute d'avoir définitivement perdu la trace du souriceau, une loge avec une porte fermée finit par attirer mon attention. Il y avait une source de chaleur qui en émanait à l'intérieur, mais celle-ci se tenait parfaitement immobile et semblait surtout être positionnée de façon plus ou moins étrange. Je sors alors une longue dague aiguisée, tout en tentant d'ouvrir doucement la porte qui ne semblait pas avoir été verrouillée. Sans attendre, je la pousse violemment et j'y concentre un puissant impact de vent en direction de la source de chaleur, malgré que l'endroit était totalement plongé dans le noir. Je profite de l'effet de surprise et de l'impact que cela a causé pour y effectuer une manœuvre d'esquive et ainsi me précipiter sans attendre vers le petit être qui avait essayé de me prendre à dépourvu bien malgré lui.

- Ne bouge pas la petite souris, si tu ne veux pas que je te tranche la gorge.

C'est tout en l'empêchant de tenter de prendre la moindre initiative, que je parviens à mettre la lame de ma dague juste au niveau de sa carotide. Comme quoi les bonne habitudes de faire ça régulièrement...

- Alors petite soubrette. On dirait que tu voulais me voir? Et bien me voila juste devant toi. C'est juste dommage que tu n'ais pas réussi ton coup. Mais après tout, tu ne pouvais pas savoir que j'allais garder une longueur d'avance sur toi.

Je claque la porte que je verrouille, tout en menaçant d'éliminer sans aucun scrupule la petite souris si elle tentait de faire quoi que ce soit de suspect. Lorsque je reviens vers elle juste après y avoir allumé la lumière, j'y retire mon masque autant dans le but de ne pas être dérangé par l'éclairage soudain, que pour rester suffisamment à l'affut des éventuels agissements suspicieux que pourrait tenter de faire la petite souris à chaque instant. Je me dirige alors vers le charmant petit Noa. J'adorais avoir l'avantage dans ce genre de situations. Mais plus je le regardais tout en commençant à lui tourner autour, plus il me donnait l'irrésistible envie de vouloir jouer avec lui. Si j'ignorais encore quoi faire de lui exactement, maintenant que j'avais été découvert, au moins pouvais-je gagner un peu de temps en m'amusant avec l'adorable soubrette. Après tout je l'avais suffisamment bien observée avant pour que la souris me donne directement envie de faire de vilaines choses avec elle. Je souris avec amusement, tout en continuant de tenir la longue dague au niveau de sa gorge, tandis que je continuais de l'observer. C'est que le petit Noa Baker était vraiment mignon, vêtu ainsi dans cet apparat de servante de bonne à tout faire. En plus il n'était vraiment pas grand du tout. Je ne m'étais pas trompé à son sujet. Surtout en le voyant maintenant de si près. Je prends ainsi une voix encore un peu plus sensuelle qu'à l'accoutumée.

- Quelle charmante petite chose tu es. Je parie que la première question qui te traverse l'esprit, c'est de savoir si je suis venu ici pour t'éliminer ou pas. Ma fois je suis le seul de nous deux à connaitre la réponse. Quant à ton ami le gros renard roux, je doute qu'il en ait quelque chose à faire de ne plus te voir trainer dans ses grosses pattes poilues. En tout cas, laisse-moi te dire que tu es particulièrement sexy dans cette tenue. Cet ensemble te va vraiment à ravir. Dans une toute autre situation en te voyant ainsi, j'en aurai fait un caprice de ne pas avoir emporté la mienne avec moi sur cette île perdue en cette magnifique douce soirée.

Je profite de me mettre un peu plus à mes aises en allant m'installer dans un canapé de velours des plus confortables situé dans l'un des coins de la pièce. J'y agite ma main libre pour y faire apparaitre un léger et minuscule tourbillon venteux, histoire de faire rappeler à ce cher petit Noa de quoi étais-je véritablement capable de faire, en dehors de savoir manier une simple dague.

- Okay mon petit souriceau tout en poils. On va jouer à un jeu. Tu vas me poser une série de question. Pour chacune d'entre elle, tu enlèves un vêtement. Je t'autorise à garder tes ravissants collants qui sied si bien à tes petites jambes graciles, ainsi que tes mignonnes petites chaussures à talons aiguilles, tout comme ton joli serre-tête en forme de froufrou blanc. Et je te préviens, ne tentes de faire aucun mouvement brusque ou je t'éliminerais sur le champ sans le moindre scrupule. Et s'il-te-plait, sois donc gentil de te déhancher comme une reine du striptease, à chaque fois que tu enlèves un vêtement. Deviens encore plus désirable que tu ne l'es déjà à mes yeux langoureux et je te promets une belle récompense en retour. Allez vas-y. Je me suis suffisamment fais chier assez longtemps comme ça pour toi que pour ne pas avoir droit de recevoir un moment de plaisir comme celui-ci. Et un conseil, choisis bien tes questions, car je doute que tu ais beaucoup de vêtements à devoir retirer autour de ce corps d'adorable petite souris.

11
La compagnie secrète de Tekhos m'avait presque pris de cours pour me contacter à la limite d'une urgence, alors que j'étais dans un magasin de vêtements pour femmes, en plein essayage d'une toute nouvelle collection de robes. J'étais assez connu dans ce magasin de luxe, car j'y venais assez régulièrement. Aussi c'était non sans un certain agacement, alors que j'entends la sonnerie typique associée à l'organisation qui se met à sonner sur mon téléphone ultra sécurisé, que je décroche sans attendre. Une voix de femme au genre insupportable que je reconnais se fit aussitôt entendre à l'autre bout.

- Loyd Atramita de la section C? On a un travail de dernière minute pour vous. Il faut que vous veniez aussi rapidement que possible coller quelques-unes de vos balises d'écoutes dans un appareil appelé le Lina. Je vous transmets la position de l'engin, ainsi que les informations complémentaires associées à votre mission éclair.

Charmant. Je n'ai même pas de quoi prononcer trois mots, que j'entends tout un monologue aussi militairement calibré que redondant me donner des ordres et des instructions à suivre. J'étais d'autant plus agacé de recevoir ce message à l'improviste, parce que la compagnie avait généralement l'habitude de me prévenir toujours avec un minimum d'avance. Et puis j'avais aussi en général toujours deux ou trois choix de missions proposés. Là, c'était direct et pas autrement... Mais comme toujours, je savais que le fait de poser des questions par simple curiosité ne servait à rien. On m'a choisi moi, alors que je pensais sincèrement que d'autres agents sur place tout aussi qualifiés pour faire ce travail auraient tranquillement pus s'en charger. Je réponds par la positive à contre-cœur. Mais à la différence que je voulais d'abord absolument terminer d'essayer ces robes. J'ignorais à ce moment-là que cette simple prise de décision qui allait me mettre légèrement en retard, me ferait avoir une rencontre plus que directe avec le propriétaire de l'engin métallique et... de son bel engin de chair.

C'est en sortant de la cabine d'essayage après m'être regardé satisfait du résultat à travers le miroir, que je déambule de quelques pas légers accaparé dans une belle et élégante robe mi-longue de couleur rouge, accompagnée par d'éternels collants, ainsi que d'une paire de talons aiguilles noires qui claquent sur le sol boisé. Tandis que je me déhanche gracieusement sous les spots du magasin à la fois rêveur, j'imaginais être la représentation de l'un de ces fabuleux mannequin Tekhos à la mode et que l'on retrouve un peu partout dans tous les magazines peoples du moment.

- Vous êtes vraiment magnifique monsieur Lloyd. Rares sont les clients comme vous qui peuvent prétendre à porter n'importe quel vêtement de notre somptueux magasin.

- Je sais ma chérie mais que voulez-vous, la perfection ne se loge pas toujours à travers un visage humain. Mais tout compte fait... Je crois que je vais encore une fois toutes vous les prendre. Votre magasin sied à mon désir comme d'autres y trouvent leur bonheur à travers leur gourmandise insatisfaisante dans les boulangeries les plus raffinées de Tekhos.

Tandis que je touche le petit collier de perles blanc délicatement posé autour de mon petit cou et que je me tourne en même temps vers un autre miroir pour m'observer, je réponds avec légèreté à la vendeuse hypocrite, car je savais pertinemment qu'elle était surtout intéressée par le chiffre d'affaire de son magasin. Aussi je retourne quelques instants après dans la cabine pour y récupérer l'ensemble des autres robes, ainsi que les affaires que je portais en arrivant. Alors que deux employées m'emballent les six nouvelles robes parmi lesquelles j'avais jeté mon dévolu avec grand intérêt, je règle la coquette somme à cinq chiffres avec ma carte "diamant". C'est chargée comme une mule, que je sors du magasin accompagné par l'une des vendeuses qui portait naturellement le tout. Une fois qu'elle termine d'y placer l'ensemble à l'arrière du coffre de ma petite décapotable rouge écarlate aux cœurs roses dessinées, je la quitte tout en lui donnant le maigre pourboire insignifiant qu'elle méritait d'avoir et qui était en juste rapport avec sa pseudo prestance. Lorsque je m'installe ensuite à l'avant de la voiture, prêt à démarrer, je vérifie rapidement le contenu d'urgence du sac de missions. C'était un sac à main noir que j'utilisais dans les cas où je ne pouvais y récupérer le principal et qui se trouvait dans mon appartement. Et puis au vu de la mission aussi simple que rapide, celle-ci ne demandait rien d'autre que d'y coller et d'activer quelques balises. Aussi n'avais-je nullement besoin de me changer pour ça. J'étais parfait comme j'étais. J'observe ma superbe à travers le rétroviseur, tout en passant délicatement ma langue sur mes fines lèvres avant d'où j'y avais apposé un magnifique rouge aux lèvres rouge rubis, avant de démarrer.

Il me fallut une petite heure de route pour sortir de la ville et arriver dans ce fameux endroit totalement dévasté et couvert de sable à perte de vue. Ce passage ressemblait plutôt à un grand désert et c'était par ici que s'y concentrait la majorité de la fourmilière qui était fort heureusement enfoncée bien plus loin dans les terres. Par chance, je n'appartenais pas à la section qui s'occupait de ces trucs infâmes, gluants et tout simplement dégoutants. Plutôt accepter de mourir en se faisant baiser en continu et se faire recouvrir de foutre jusqu'à en avoir un arrêt cardiaque, que te toucher un seul de ces trucs visqueux, puants et nauséabonds. Lorsque j'arrive enfin sur les lieux après avoir repéré l'engin au loin, je gare la voiture en dehors de ce qui ressemblait vaguement à une route praticable, juste derrière un immense pan de rocher.

- Oh non... Je crois que je vais salir mes nouvelles chaussures en trainant par ici...

C'est en étant fort embarrassé, que je me rappelle que j'allais devoir marcher sur du sable et des cailloux. Mais bon tant-pis. L'avion était à moins d'une centaine de mètres de ma position. C'est donc en m'assurant d'avoir bien verrouillé la voiture, que je me dirige avec petit mon sac main vers l'appareil en question. Étrangement, il n'y avait personne dans les environs pour m'accueillir dignement avec mon superbe nouvel ensemble cinq étoiles. Arrivé en quelques minutes seulement devant l'entrée d'où je manque deux à trois fois de trébucher à cause des chaussures à talons aiguilles, je sors mon téléphone. Je suivais ensuite les instructions plutôt sommaires pour y passer le verrou spécial qui nécessitait un accès par biométrie. Simple, efficace, me voila à l'intérieur de cet avion de chasse en moins d'une minute.

- Ouh... Ça sent la sueur là dedans.

Je laisse passer les quelques instants d'où je détecte une certaine odeur corporelle familière et qui ne pouvait échapper à mon museau lupin ultra sensible. Une fois arrivé à l'intérieur même de l'engin, j'y inspecte d'abord les caisses, ainsi que les différentes autres pièces. En soit, je ne trouvais absolument rien de particulièrement intéressant dans cet appareil. J'en profite pour y sortir le lot de balises que j'avais toujours à disposition et c'est tout en réinspectant de nouveau le lieu, que je tentais d'y trouver le meilleur endroit possible pour y coller les balises, sans que cela ne se remarque. Une fois ceci fait, je sors ensuite un appareil depuis lequel je les active communément, tout en m'assurant que l'émission y serait suffisamment puissante pour qu'elle puisse coordonner avec les ordinateurs Tekhos. Mais c'est quand je suis en plein cours d'initialisation, que je remarque la porte de l'appareil qui s'ouvre et qui donne directement sur un homme ayant la carrure et les habits d'un soldat.

- Oups...

Je ne pouvais laisser échapper une expression de surprise en voyant cet homme entrer et c'est alors que je réalise que j'avais peut-être beaucoup plus trainé dans le magasin que je ne l'avais imaginé. J'étais très embêté, car je savais que je risquais d'avoir des problèmes avec la compagnie si je disais ne pas avoir pu terminer à temps le travail demandé. Aussi, alors que l'initialisation continuait lentement son processus, tentais-je une pirouette pour essayer de me sortir de cet imprévu.

- Je... Désolé... Je m'assurais juste que tout était parfaitement en ordre dans votre appareil avant votre départ. Mais je crois que tout me semble bon. Il...

Devinant que l'appareil allait bientôt terminer l'initialisation, ainsi que la synchronisation des données de transmissions à distance des balises d'écoutes, je me dirige aussitôt vers le mec plutôt bien foutu et joliment baraqué. Ma seule chance était de lui faire les yeux doux. Discuter avec lui de tout et de n'importe-quoi. Juste pendant au moins encore quelques minutes...

- Hem... Alors comment s'est passé votre court atterrissage dans notre resplendissante ville de Tekhane monsieur... Marston?

C'est avec hésitations que je me rapproche encore lentement de lui, avec une voix qui se voulait être volontairement suave. La poisse que cela se produise juste à la fin de l'opération...

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: jeudi 13 février 2025, 19:21:27 »
- Enfin. La cible sort de son trou.

C'est après avoir attendu une éternité, caché dans les hauteurs au niveau de l'un des toits de chaume d'une maison se trouvant en retrait et entouré par de gigantesques palmiers, que je me redresse. J'étire mes muscles qui se sont enraidis, à force d'avoir attendu là toute la journée avec l'appareil d'écoutes à la main. Le soleil avait maintenant quitté l'horizon et les premières étoiles étaient apparues dans le ciel, quand ce que l'agence appelait "Noa Baker" d'après les dits documents officiels, sortait enfin de l'immense hôtel luxueux. Tout en rangeant une partie de mon matériel, je jette un bref coup d’œil aux nombreuses photos que j'avais pu prendre sur cette curieuse souris, ainsi que sur son étrange acolyte, un terranide renard âgé d'environ une trentaine d'années et répondant au nom de Rhys. Je n'avais aucune idée du lien qui existait entre les deux, mais j'avais simplement fini par comprendre que la mignonne petite souris habillée en soubrette semblait surveiller de très près cet individu, apparemment dans l'objectif de le protéger de quelqu'un. Contre qui? Contre quoi? Pourquoi? Autant de questions que je me posais généralement dans ces cas là mais dont je finissais par rapidement mettre de côté, étant donné qu'on ne m'engageait pas pour servir de confident à monsieur ou madame.

Hormis mon travail de filature, le seul véritable intérêt que j'ai apprécié durant cette interminable journée d'attente, avait été de bien pouvoir mater le petit Noa sous tous les angles. Derrière sa ravissante petite tenue qui m'aurait limite rendu fortement jaloux si je n'en avais déjà pas une similaire à la maison, je devais bien reconnaitre que la souris avait des courbures drôlement alléchantes. Petit, très efféminé, mignon, gracile et j'en passe, voila un petit être qui m'aurait bien fait mal au cœur à devoir éliminer si la mission aurait tourné autour de son exécution. Pour le reste, je n'avais rien relevé de particulier. Il y avait surtout beaucoup de terranides en tous genres qui trainaient par ici. Mais rien qui n'avait relevé suffisamment mon intérêt, hormis peut-être quelques beaux spécimens remplis de testostérones ou encore de ravissantes filles aux courbures dessinées avec le pinceau de demoiselle grâce de perfection.

Lorsque la cible en question quitte ainsi l'hôtel et s'en va avec son ami le renard, je sors de ma position. Je profite de la nuit doucement installée pour sauter sur le toit de plusieurs autres maisons, telle une plume qui descend lentement et sans faire aucun bruit pour y accompagner sa chute imperturbable, en cette douce nuit sans vent. De nombreuses maisons étaient allumées à l'intérieur. Différentes familles y étaient en train de discuter, de rire, parfois de se disputer ou même y faire des choses intimes dont j'aurais bien volontiers partagé. Mais surtout, il y avait ces odeurs de cuisines qui se mélangeaient de partout sur mon passage. Si certaines pouvaient rappeler quelque chose à mon museau aussi sensible que développé, beaucoup m'étaient totalement étrangères. Voila un endroit que je trouvais aussi curieux que intéressant à visiter.

Puis lorsque je suis suffisamment assez proche de la cible qui continue de briller inlassablement en continu grâce mon masque, je reste suffisamment en retrait, positionné depuis le toit d'une autre grande maison qui donnait une pleine vue sur le cœur du centre-ville. Non loin se tenait un grand marché. Nourritures locales, souvenirs, antiquités, curiosités, il y avait de quoi trouver de tout et de n'importe quoi pour le plus naïf des touristes de cette île. Sauf que moi je n'aimais pas vivre dans cette sorte de béatitude. J'avais besoin de tourner ma vie autour de la passion ou bien de l'action. D'y avoir des buts, des occupations actives, autant pour le meilleur que pour pire, s'il le fallait. Si j'aurai pu par exemple commettre un viol ou un meurtre gratuit durant ces plus de dix heures d'attentes, nul doute que j'aurais beaucoup plus apprécié ce délai interminable qui a fini par vraiment m'éreinter au plus haut point.

Sans quitter ma position depuis le toit d'une imposante maison donnant vue sur l'ensemble du marché, je continue ainsi de mettre sur écoute la petite souris. Au vu de ses agissements, nul doute qu'elle suivait de très près l'autre grand poilu qui déambulait à travers les stands. Tantôt elle apparaissait telle quelle, tantôt elle redevenait sous sa forme de halo bleuté dès qu'une personne passait devant elle. Car elle semblait être particulièrement petite et heureusement que je portais sur moi un marqueur de précision des plus sophistiqués pour arriver à mieux la repérer. Et au bout d'un court instant, le petit mâle déguisé en soubrette fit comme ce que je qualifierais être un mouvement suspect. Ses gestes étaient certes subtils, mais avec l'habitude, j'avais appris à repérer quand les personnes se sentaient observées ou non. Avait-il réussi à deviner que je l'espionnais, alors que j'étais certain de n'avoir commis aucune erreur jusque maintenant? En vérité, ma seule appréhension légitime serait qu'elle puisse disposer d'une technologie similaire ou proche de la mienne. Toujours était-il que je ne bougeais pas. Tout au plus je me cachais et retournais l'observer plus en détails par la suite en sautant vers d'autres toits. Après tout, je n'avais reçus aucun ordre de l'approcher frontalement. Tout reposait sur l'espionnage et l'écoute à distance. Bref le genre de mission le plus ennuyant du monde à faire pour moi, mais dont on ne m'avait pas vraiment laissé le choix. J'espérais juste que cette petite chose aussi attirante qu'elle devenait de plus en plus agaçante pour moi, ne comptait pas rester dans cet endroit encore trop longtemps...

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Royaume Terranide / Re : Soubrette sous les Tropiques - PV Lloyd
« le: mardi 11 février 2025, 20:00:08 »
C'est dans mon resplendissant appartement à la vue imprenable sur la ville de Tekhos, que je sélectionne depuis mon gigantesque placard les habits que je pourrais avoir besoin durant la nouvelle mission d'infiltration, que la hiérarchie m'a gentiment confiée. Celle-ci me demandait de me rendre sur une île balnéaire des plus luxuriantes. Je devais apparemment y espionner une drôle de souris et tenter d'y glaner un maximum d'informations à son sujet. Pour le reste c'était comme d'habitude, la sympathique société Tekhane ne me disant jamais rien de plus que ce que je devais savoir...

- Allez beau gosse. File de chez moi parce que là, je vais avoir à faire.

- Ouais mais attends. Reste encore un peu avec moi dans ta chambre ma petite chienne. J'ai encore bien envie de continuer de ramoner ton joli petit cul de tapin là. D'ailleurs ma salope tu sais on pourrait aussi...

Sans attendre la suite de ce que me raconte cet idiot que je ne connaissais que pratiquement depuis la veille, je me saisis de l'une des nombreuses armes planquées chez moi et je la pointe en moins d'une demi seconde sous sa gorge. J'étais encore à poil, l'intérieur de mes fesses remplies des effluves que ce mec m'avait projeté durant la nuit entière et jusqu'encore ce matin même.

- Casse toi Roméo! Dégage de chez moi tout de suite et ne remets plus jamais les pieds ici. Est-ce que je suis assez clair pour un raté de ton genre? T'es juste qu'un coup de plus pour moi. Tu n'as retenu aucun intérêt suffisamment digne de ma part pour me donner une quelconque envie de continuer de jouer avec toi.

- A...A...Attends... C'est bon je...

- Ton esprit intellectuellement limité ne sait-il donc pas que tu es sur Tekhos? Une société matriarcale ultra sophistiquée qui se débarrasse sans hésitations des parasites de ton espèce à la moindre occasion? Dans mon cas par contre tu vois, c'est que contrairement à toi j'ai surtout plus de chances et de raisons d'être là. Même en ayant une tige entre les jambes comme toi. Maintenant dégage, si tu ne veux pas que je te plante cette lame directement dans ta gorge comme tu m'as enfoncé ta bite dans le derrière.

- O...Okay... C'est bon je me tire... Désolé...

Je donne à peine le temps à cet imbécile de récupérer ses affaires, qu'il sort en deux-deux de mon appartement presque à poil. Une seconde de plus et je l'égorgeais sur place.

- Bon... Où en étais-je après ce désagrément avec cet espèce d'abrutis des plus inintéressants pour moi?...

Oubliant ce contretemps parasitaire avec ce pauvre mec qui croyait pouvoir s'attacher à moi en un coup d'un soir, je sors les vêtements qui me seront utiles face à l'environnement apparemment très exotique de la prochaine mission à venir d'ici peu. Après m'être rapidement douché, je revêt de ce que j'avais précédemment sortis du placard. J'y enfile ainsi une petite culotte et un soutien-gorge par dessus ma poitrine évidemment absente. Puis je revêt par dessus une jolie fine robe blanche une pièce de style estivale et décoré avec de charmantes fleurs en tous genres, que j'accompagne d'une paire de collants toute aussi blanche que celle-ci. Je chausse ensuite des sandalettes très pratiques aux couleurs jaunes décolorées et j'y apporte la touche finale en me parant d'un élégant chapeau de paille à nœud rose. Je me dirige ensuite vers mon sac où était rangé la plupart de mes équipements de missions. Me servant au passage de ma robe pour y cacher une ou deux armes très pratiques, je prends le sac en question avec moi, ainsi que de l'argent au cas où et en sort prêt une demi-heure plus tard.


Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

C'est après être entré dans les sous-sol de ce qui est appelé par les connaisseurs le "QG de Tekhos" encore une heure après avoir quitté mon bel appartement, que je valide l'accès à celui-ci. Comme à l'accoutumée, j'y traverses toute une série de couloirs aux lumières avares en couleurs et qui donnent accès à de nombreuses autres portes et systèmes de surveillances, tous plus sophistiqués les uns que les autres. Une fois arrivé dans la pièce qui m'intéresse, je me dirige sans attendre vers le grand portail blanc-jaune luminescent qui se tenait juste au centre d'une grande arche de métal. Sur le côté j'y entre la destination de l'endroit où je souhaite me rendre, puis je pénètre à l'intérieur du portail magique juste après avoir obtenu la confirmation d'entrée à celui-ci. Il ne me faut qu'une fraction de seconde pour directement déboucher au niveau d'un portail cette fois-ci instable, perdu tout en haut d'une montagne donnant sur une petite île paradisiaque.

- Et merde!

Contrairement au portail ultra sophistiqué et régulé de Tekhos, celui-ci avait souvent la fâcheuse habitude de se connecter quasi systématiquement vers des portails aux données aléatoires, malgré la précision du lieu recherché. Me voila alors tout en haut de ce qui semble être un volcan éteint, juste au bord de tomber en contre-bas d'un précipice. Je fais un rapide saut en arrière pour éviter de perdre pieds et j'y observe ensuite l'île en question. Il n'y avait qu'une seule et unique grande ville située dans l'un des coins de celle-ci. Le reste n'était quasiment que des palmiers à perte de vue, à part peut-être une sorte de carrière minière qui se trouvait dans le versant opposé à celle-ci. Je m'accroupis sans attendre et j'y en sors mon masque d'espionnage que j'enfile sur mon adorable minois lupin qui rendrait n'importe-qui jaloux de ma ravissante personne. Une fois connecté avec celui-ci, je demande au système de faire un balayage de toute la zone et de tenter d'y repérer le bâtiment en question, avec lequel la prétendue cible devait avoir normalement rendez-vous d'ici peu. Alors que j'aperçois un bateau qui est en train d'arriver non loin du port de la ville, je termine de repérer la structure grâce aux systèmes d'informations. Je descends ensuite tranquillement par le chemin, non sans m'amuser avec mon fabuleux pouvoir du vent pour y faire toute une série de bonds aussi légers que aériens, prêt à en faire pâlir n'importe-qui. Bien que j'ai toujours détesté ma mère, au moins ne pourrais-je jamais assez la remercier pour m'avoir transmis son pouvoir et surtout son inégalable beauté.

Une fois arrivé juste aux pieds du volcan, je m'engage dans la savane luxuriante pour y chercher un point de vue suffisamment proche de la ville, sans avoir à y être repéré. J'attends alors que le bateau termine d'accoster tranquillement, puis je sors de mon sac une paire de jumelles ultra sophistiquée. Je la connecte directement avec les systèmes du masque que je porte au visage, tandis que je parviens à rapidement voir chaque passager sortir du bateau. Il ne me faut alors pas bien longtemps pour deviner qui était la cible, d'après les photos et les autres données complémentaires que j'avais reçus à son sujet.

- Bingo. Voila ma souris.

Je la verrouille pendant plusieurs secondes avec les jumelles. Une fois fait et validé, je les remets à l'intérieur du sac. Grâce au port du masque, je pouvais à présent voir sa silhouette se refléter dans un halo bleuté et ce à travers tout obstacle. Il suffisait simplement au système de calculer sa morphologie en rapport avec l'ordinateur mère, pour que je puisse la reconnaitre aussitôt. Lorsque la petite souris s'engage dans la ville, je descends du rocher d'où j'étais et je m'engage à mon tour. Arrivé dans cette étrange ville où ne se trouvait que des terranides, je n'avais ainsi nullement besoin de me servir de mon pendentif pour me faire passer pour une délicieuse humaine, toute aussi croquante que moi.

Après être passé par une série d'allées non sans attirer l'attention de quelques mâles terranides visiblement en manque de baiser, je finis par arriver devant le bâtiment en question. Je l'inspecte et j'y fais rapidement le tour. Celui-ci semblait disposé d'une surveillance autant l'entrée qu'à l'intérieur. Visiblement, je n'allais certainement pas être le bienvenu par ici. Aussi je profite d'être caché dans un coin perdu dans les hauteurs, tous près du bâtiment pour réajuster mon masque que j'avais un instant retiré le temps du trajet d'avant et ainsi voir à présent où se trouvait exactement la cible du jour.

- Petite souris, saches que où que tu te caches dans ton minuscule trou, que tu n'échapperas pas à mon système enregistreur d'écoutes amplifiées.

C'est avec un léger amusement que je sors un autre appareil à la pointe de la technologie Tekhos. J'y règle rapidement une fréquence ajustable, puis j'y dirige l'antenne dans la direction d'où je voyais la souris apparaitre en forme d'hologramme bleuté, à travers les murs. J'entends depuis le bâtiment tout un lot de conversations inutiles, avant de comprendre qu'elle était partis pour changer de vêtements. Pour le reste, je n'avais plus qu'à attendre que les informations viennent tranquillement à moi et j'aille tenter de la suivre, une fois qu'elle sortirait de son trou à rat.

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Le coin du chalant / Re : Time To Broaden Some Horizons
« le: mardi 28 janvier 2025, 20:09:18 »
Coucou beau militaire. Je me permets de te contacter, parce que mon œil aiguisé de lupin a remarqué que tu m'avais maté en coin l'autre jour. Si tu veux me connaitre en "profondeur", je t'invite à discuter avec moi sur le Discord. Si jamais tu n'utilises pas cette technologie banale et sommaire, tu peux aussi me joindre sur mon chalant. J'attends ta réponse <3

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Prélude / Re : Apparences Dangereuses
« le: samedi 18 janvier 2025, 23:49:16 »
Merci à tous encore une fois pour cet accueil chaleureux. Et c'est bon Serenos, tout est corrigé :D

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