Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Claire

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Claire

Pages: [1] 2 3 4
1
"Ça ... me va."

Le ton est indéfinissable, posé entre accord et résignation teintée d'intrigue ou d'amertume. L'ensemble, bien que difficilement discernable rend malgré tout un effet qui reste favorable.

"Donc dans une heure devant le salon."

Ce soir, le rangement c'est express. Suki pourra faire les gros yeux demain matin mais ce n'est pas grave. Ou au pire, je viendrai plus tôt pour terminer le ménage. Là, un bon coup de balai suffit. En revanche je nettoie mon poste de travail impeccablement parce que ... c'est là que je bosse et que mes clients voient dans cette propreté une part de mon professionnalisme. Après, je ferme le salon et me précipite chez moi. Par chance, je ne vis pas si loin. Hors de question que je me rende à un rencard, quel qu'il soit, marinant dans mon jus après une journée de travail.

Pourquoi est-ce que je me presse d'ailleurs? Je ne lui dois rien à cet homme qui semble me courir après. La question, c'est qu'est-ce qu'il me veut à moi? ... parce que je ne crois absolument pas aux histoires de bon samaritain qui interviennent pour résoudre gratuitement les problèmes des autres. L'altruisme, c'est dans les films, pas dans la vraie vie. Ça reste mon opinion.

Donc la douche, j'y reste plus longtemps que nécessaire parce que je l'ai méritée. Après, la case préparation esthétique ne me demande que peu de temps. Je ne force pas sur le maquillage, on ne se rencontre pas pour débuter une belle histoire d'amour. Cependant, si on mange quelque part, je vais éviter le cargo et le sweat à capuche. Un jean un peu fashion ira avec le croptop blanc que je passe. Et dans l'entrée de mon appart rikiki, j'hésite entre des converses blanches à semelles compensées et des chaussures de ville ouvertes à talons ... Les converses feront l'affaire. Bijoux? Non, pas bijoux. Je passe une main dans mes cheveux pour les  rebeller, ce qui n'est pas bien compliqué. Prête !

Quand j'arrive devant le salon, cela fait presque exactement une heure que nous nous sommes quittés. Pas possible ... Même en faisant exprès de trainer, je suis à l'heure. A croire que même mon emploi du temps personnel est régulé. J'évite de fulminer, ce serait nul, et j'attends donc ce fameux Tachibana dont je ne sais rien. Oh? Et si c'était un proxénète ou un truc dans le genre qui aurait flashé sur moi? Il aurait peut être trouvé des informations à mon sujet en ... Non, pas possible. Arrête de délirer Claire!

J'attends sur le trottoir alors que le milieu de la nuit prend le pas sur celui de la journée. Les hordes de salariés diurnes sont déjà rentrées chez elles et là, c'est les fêtards de la nuit et la jeunesse qui commence à émerger des profondeurs du métro ou qui se déverse des bus de nuit. Le quartier est animé jusque très tard, la profusion de restaurants, boites, bars, pubs et autres lieux branchés y contribue.

Je consulte mon samsung, rien ... Et d'ailleurs pourquoi, puisqu'il ne risque pas de m'appeler sur mon numéro privé. Un groupe de garçons qui n'a pas froid aux yeux m'accoste, très sympas, marrants aussi, mais ... pas ce soir les gars. Avant de finir ensevelie sous un gangbang, je veux d'abord savoir ce que mon drôle de client a à me révéler.

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: lundi 05 août 2024, 14:55:08 »
Quand il jouit en moi, j'en ai des étoiles pleins les yeux. Il me brancherait à des électrodes pour m'envoyer le jus que ça ferait la même chose. Mes jambes ne me portent plus et je m'effondre, seulement retenue par ... lui, dans moi. Hum ... Il semble inarrêtable  et j'en viens à me dire que tout ce qui entre va devoir fatalement sortir et que ça risque d’être surprenant. Je m'en fous. Après l'orgasme qu'il m'a offert sur un plateau d'argent, je ne vais pas faire ma mauvaise fille.

Il se retire de mes fesses, et là, je peux m'affaler comme une loque, le visage collé au mur. Derrière, en bas, c'est les chutes du Niagara. Je sens son sperme s'écouler de moi de manière ininterrompue. Ça souille mes cuisses et le sol de son appart, s’amoncelant en une flaque poisseuse. Du bout des doigts, je m'assure quand même qu'il ne m'a pas déchirée. Non ... ça à l'air d'aller même si je me doute bien que mon anus ne va pas retrouver toute son élasticité immédiatement. Il a dérouillé après tout, sévèrement. Je suis dans le coaltar mais quand il me vide la bouteille sur la tête, je reviens à la réalité. J'en rigole ... Curieux comme trip ...

Il s'assoit à côté de moi, je suis satisfaite de constater qu'il a l'air épuisé et satisfait. Honnêtement, ça m'aurait vexé qu'il me sorte une connerie du genre: pas mal ... Je l'aurais mal pris et ça aurait pu avoir une mauvaise influence sur la suite de mon plan.

"Je crois que tu me plais bien aussi ..."

Je vais ajouter un truc crado qui devrait lui plaire mais il s'endort en quelques secondes. Je reste à ses côtés un petit moment, ressassant tous les moments sympas de mon existence. Avant mon petit problème, elle n'était pas mal quand même ... Mais comme tout à une fin, il faut que je me tourne vers la suite de mon voyage. En essayant de ne pas le réveiller, je déambule dans l'appartement à la recherche de ma culotte ... Ah! Là! ... que j'enfile. Parce que je n'ai pas envie qu'on me retrouve nue sur le trottoir, même abimée, je passe sa chemise et la boutonne de moitié. A la cuisine je bois un grand verre d'eau. J'ai mes pensées claires et l'esprit serein. Bien entendu, je ne pense pas une seule seconde au bordel que je vais provoquer pour Kilian. La police se posera nécessairement des questions et ses voisins sauront ce qu'il s'est passé. Il apparaitra aussi surement dans la presse. Gros titre: une déjantée se balance de la fenêtre du penthouse d'un gros pervers ... Moyen mais encore une fois, je n'y pense pas.

Quand j'ouvre la baie qui mène au balcon, je suis frappée par l'air frais de la nuit. J'en aspire une pleine bouffée, la dernière. En quelques pas, j'atteins la rambarde et je me hisse sur le rebord. Wow! C'est ... haut et je tangue, trouvant à peine un équilibre précaire.

Ça y est, c'est l'heure, plus de regrets. Ma vie se termine sur une baise mémorable et plus rien ne me sépare de l'éternité. Fuck la malédiction! C'est moi qui gagne!
Je ferme les yeux, et laisse la gravité m'entrainer en avant.

3
La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: lundi 22 juillet 2024, 16:50:03 »
C'est absolument horrible de ne pas pouvoir contrôler son corps. On dit que l'esprit est maitre de tout mais c'est faux. Pour moi c'est l'inverse, l'effet physique est plus fort que ma volonté. Je lutte mais je sais déjà que j'ai perdu le combat. Je ressens une envie furieuse de me nourrir de vitalité masculine. Le corps du garçon, contre le mien, promet déjà de me combler comme ma nécessité l'exige. J'ai terriblement chaud et des bouffées me rosissent les joues.

"HAAAANNN j'ai trop envie de toi ..."

La honte! Ça m'a échappé mais ce n'est que l'exact reflet de la vérité. Je ne sais pas ce que le garçon m'a fait mais il a déclenché un processus qu'il va devoir assumer. Qu'importe qu'il me prenne pour une nympho ou une trainée à présent. Le mal est fait et je vais y répondre. Ma prise sur ses épaules se raffermit et je m'installe sur ses cuisses. Son odeur de mâle m'est irrésistible et je lèche son cou pour m'assurer que la prise est bonne. La Claire qu'il a devant lui n'est plus la même que la coiffeuse cool qui l'a accueilli.

Comme à chaque fois que j'approche de mon échéance hebdomadaire, des cernes marquées apparaissent sous mes yeux brillants, presque hallucinés. Ma peau pâlie au point de paraitre presque maladive. Je tremble comme une junkie en manque et mes gestes sont maladroits. C'est le début de la fin et il n'y a qu'un seul remède à cet état qui m'a transformé en l'espace de quelques secondes d'une jolie fille à presque-zombie.
Même ma voix en prend coup et je perd mon timbre avenant pour une sonorité plus éraillée et agressive. J'ondule tout contre lui; mes mains glissent le long de son torse pour se poser sur la boucle de sa ceinture pour la défaire.

"Tu as cherché, tu assumes."

Ce n'est pas vraiment moi qui parle mais plutôt la fille qui joue sur l'échiquier de la vie. Si il se barre en courant, il y a de fortes chances pour que je claque dans l'heure. J'ignore ce qu'il m'a fait mais c'est la première fois que je sens ma malédiction réagir comme elle l'a fait. C'est forcement une réaction défensive, elle s'est sentie menacée ... mais par quoi? Son petit jeu avec ma main? Sa question sur la magie? C'est un mystère de plus à résoudre mais ça va devoir attendre.

J'arrache presque le bouton de son pantalon et glisse ma main dans l'interstice pour m'emparer de sa virilité. Immédiatement, j'exhale un soupir de satisfaction, j'y suis presque. Aucune chance qu'il m'échappe! Je l'emprisonne entre mes doigts et m'emploie à le faire durcir. Le regard qu'il me lance ne me fait aucun effet.

"Tu savais ... que ça allait arriver hein? Tu l'as fait exprès?"

Je pèse sur ses jambes pour lui ôter l'idée de se lever, une vraie sangsue accroché à sa proie ...

4
Je suis une personne super sympa. Enfin … je l'étais avant que mon pépin ne me tombe dessus. A ce moment-là, j'étais souriante, ouverte à la conversation, prompte à rire, et encore plus à m'amuser. La vie était belle et me souriait, j'avais l'avenir devant moi et j'étais la plus heureuse du monde. Mes petits problèmes ont, c'est certain, grandement contribué à mes changements d'humeur et de caractère. C'est vrai que je suis plus sur la défensive et qu'il est facile de m'irriter. Je jongle comme je peux avec mes émotions et c'est malheureusement souvent mes interlocuteurs qui en font les frais. J'estime être suffisamment malchanceuse sans avoir très envie, en plus, de me faire chambrer par des personnes qui n'ont aucune idée du calvaire que je subis. Eux, n'ont pas leur vie dans une balance réglée pour flancher du mauvais côté chaque semaine. Alors, qu'on ne me juge pas trop vite car je trouve que je contrôle assez bien mes émotions là où d'autres auraient déjà abandonné.

"Je n'ai besoin de rassurer personne. Ici, on me connaît comme je suis et celui à qui ça pose problème peut aller se faire foutre."

Oups ….

J'inspire un grand coup.

"Désolée pour le langage. Tu me provoques sans comprendre à quel point je souffre."

Je laisse couler un moment en silence et je profite de ce temps de pause bienvenu pour décider de la marche à suivre … pour de bon cette fois. Quand je reprends, je suis plus sereine et je décide de prendre le même chemin que lui. J'accepte son côté bizarre qui n'a définitivement rien de naturel. S'il est si sûr de lui au point de me narguer, c'est qu'il sait tout ce qu'il y a à savoir.

"Comment sais-tu ? Tu es humain au moins ? Ou bien du même genre que … l'autre, dans sa grotte ?"

Je refuse de prononcer le mot tortue. C'est pourtant l'image que je garde de la créature mais ce n'en était pas une. Il y avait juste un air de ressemblance avec la carapace etc mais le rapprochement s'arrête là. Pour moi, c'est plus un démon ou un truc comme ça, une horreur monstrueuse en lien avec un imaginaire où les monstres existent réellement.
Je termine de m'occuper de lui. Le résultat est à la hauteur de mon talent. Monsieur peut dès à présent aller jouer les tombeurs. Ah mais non … le verre …

"C'est terminé, comment tu te trouves ?"

Au même moment, Suki qui a libéré sa cliente, m'informe qu'elle part, je fermerai le salon, ce qui inclus au passage le petit coup de nettoyage … Génial …

"Je vais devoir repousser ton invitation à plus tard. J'en ai pour une heure à devoir tout remballer."

Je me fige. Quoi ? C'est aussi simple que cela ? Nos quelques échanges ont suffi pour rabibocher les liens ténus noués dans mon rêve ? Il faut croire que oui. Si tu veux aller de l'avant et avoir des réponses à tes questions, il faut y aller ma grande !

"A moins qu'on se retrouve quelque part ?"

5
Centre-ville de Seikusu / Re : De tortue à torture, il n'y a qu'une lettre [Pv]
« le: vendredi 19 juillet 2024, 11:32:33 »
Est-ce qu'il se rend compte qu'il est à ma merci là? Je pourrais lui crever un tympan en lui plantant mon ongle au fond de l'oreille, ou encore d'un geste sec, lui raser un sourcil ... Oui je sais, j'ai ce genre de pensées récurrentes et je me répète, mais j'ai besoin de me faire un film pour retomber sur mes pattes. J'ai toujours besoin de planter un truc dans quelqu'un quand je suis irritée ou décontenancée ... Moi? Parfum de moisissures? Il mérite un châtiment éternel pour oser dire ça! Bon, ça reste théorique et je ne lui ferais jamais de mal mais, je suis comme ça.

Lui, ça ne l'empêche pas de continuer et je commence à l'observer d'un autre œil. Il sait beaucoup de choses, il dit beaucoup de choses, il avance beaucoup TROP de choses. Et il me sort ça tout naturellement en plus, comme un pote qui comprendrait mes problèmes. Alors plutôt que de continuer  à me prendre la tête, je fais comme si c'était le cas. Et puis, il me tient. Évidemment qu'on va le prendre ce verre. J'ai besoin de réponses  à mes questions.

Maintenant, ça devient limite quand il aborde le sujet qui tue, c'est à dire notre petite rencontre crapuleuse de l'autre nuit. Je fais sauter les patches d'une pichenette et me pose bien campée au dessus de lui.

"Et que s'est-il passé quand on s'est vu la dernière fois?"

Au moins, je saurai où j'en suis et comment je dois le prendre. Parce qu'à ce stade, je le soupçonne quand même de ne pas être très net. Enfin ... je veux dire qu'il pourrait avoir des accointances avec un monde dont je ne maitrise rien. Moi, je subis, c'est tout. Si je me rebelle, je meurs, c'est tout simple. Encore une fois il sait trop de choses, et comme je ne l'ai jamais rencontré en vrai (c'est une certitude), il doit être un genre de marcheur de rêves ou un truc comme ça. J'ai déjà lu des bouquins de fantasy qui développent ce genre de bonhommes. Maintenant, il ne ressemble pas à la description mystique qu'on pourrait s'en faire.

"Alors monsieur qui sait tout? Que s'est-il passé qui t'ai marqué au point que tu viennes me trouver ici?"

Je cliquète mes ciseaux devant son nez. Je ne sais pas si j'ai l'air d'une dominatrix mais je me sens super forte dans cette position. Ça change un peu de mes habitudes ... J'ondule comme un serpent qui attend que sa proie se loupe et cherche à fuir. Un élan de confiance s'empare de moi et on pourrait croire que je vais le bouffer tout cru. Suki hausse les yeux au plafond et se décale pour cacher le reflet de ce spectacle presque pornographique à la cliente qu'elle coiffe. je vais avoir droit à une sacrée remontée de cales plus tard. Heureusement que mes talents professionnels compensent ces petits égarements.

6
La zone industrielle / Re : Ce temps qui nous a manqué - ft Claire
« le: vendredi 19 juillet 2024, 11:03:12 »
Moi, actrice? J'en aurais ri deux ans plus tôt mais depuis que mon malheur m'est tombé dessus, j'ai appris à jouer et mentir pour survivre. Et oui, ce n'est pas la Claire normale qui part en chasse une fois par semaine pour trouver un type qui lui donnera ce dont elle a besoin. Je ne vais pas me présenter sous ma réelle personnalité. J'invente une excuse, un besoin, une nécessité. Je joue la nympho et mon numéro marche généralement à merveille. Là où ma proie voit en moi une cochonne invétérée, il y a juste une femme qui tente désespérément de s'en sortir. Donc oui, je suis un peu actrice.

"Oh moi ... je pense pouvoir m'adapter à tout même si les personnages trop sérieux m'ennuieraient je crois. J'aime bien l'animation et les confrontations donc l'attachiante me conviendrait. C'est un peu contradictoire parce que je suis plutôt discrète dans la vie mais quand on me connait, je suis une bonne vivante."

Ce n'est peut être pas forcement vrai aujourd'hui mais c'est l'image de moi que je veux qu'on garde. En tout cas, c'est comme ça que j'étais avant.

Mon travail avance bien et la tête de l'acteur prend forme. Il est agréable à la conversation et les minutes passent sereinement, emmenées par le clic-clic régulier de mes ciseaux. Le timbre du garçon invite à l'écoute et je hoche la tête quand il me pose LA question. Urghhh, il pose un sujet sensible sur la table. La magie? Est-ce que j'y crois? Moi, je la vis tous les jours cette maudite magie! Si cela ne tenait qu'à moi, j'éradiquerai toute forme de mysticisme, de croyance et de ... magie. Le monde s'en porterait bien mieux!

"Croire à la magie? Euh ... peut être, oui, pourquoi? C'est une drôle de question. Je veux bien reconnaitre qu'il pourrait exister certains phénomènes étranges mais ... Un peu oui."

Je ne vais pas lui déballer ma vie, il me prendrait pour une folle et en plus, ça ne le regarde pas. Mais comme il est sympa, je lui tends la main. Son contact est léger et je lui souris avant que ... Je prenne en pleine gueule un truc qui manque me faire tomber de mon tabouret. Le terme est vulgaire mais excusable car j'ai réellement pris de plein fouet une chose à laquelle je ne m'attendais pas. Je reste groggy quelques secondes, le temps que le courant qui me traverse s'amenuise. Je suis un peu confuse mais je me reprends.

"Qu'est-ce que tu m'as fait?"

Le tutoiement agit comme une protection. Si je dois mordre, ce sera plus facile. Un frisson me parcourt et je serre les cuisses quand un picotement me prend dans le bas-ventre. Le pouvoir qui me domine depuis deux ans entre en conflit avec la présence du garçon et je bascule en avant, m'effondrant sur lui. Je m'agrippe à ses épaules et y plante mes ongles.

"Non non non!!!"

Je reconnais cette sensation familière qui normalement ne devrait pas survenir avant quelques jours. Heureusement que nous sommes isolés dans mon box car je pourrais donner l'impression de vouloir le vampiriser tant je m'accroche à lui. Ma malédiction se défend et s'oppose à lui, elle me le fait payer.

"Pas ça ... pas maintenant!!"

Je résiste de toutes mes forces et cherche à récupérer une respiration régulière.

"Arrête ..."

7
Encore un mot et je te plante mon ciseau dans l'œil!
C'est ce que je me jure de faire s'il me sort encore une fois un truc qui ne va pas dans mon sens. Je suis perturbée et il m'irrite. Pourtant, à nous écouter et nous regarder, il n'y a pas de quoi s'offusquer. On dirait deux amis qui se chamaillent gentiment. Sauf que sur les deux, il y en a qui domine clairement la situation, et l'autre qui patauge dans le yaourt. je prends ses commentaires tels qu'ils sont lancés, c'est à dire avec précision. Je n'ai presque plus de doutes quant à l'implication de cet homme dans ma vie. Il ne parle pas pour rien, il utilise le bon mot au bon endroit et fait mouche à chaque coup. Qui utiliserait malédiction et tortue dans la même discussion?

Alors mon esprit s'emballe et je pars dans des délires qui aboutissent tous sur la même et unique conclusion: ce type lit dans mes pensées! Derrière son air sympa et un peu moqueur, il sait! J'arrache la deuxième languette de cire sans précautions et je plaque aussitôt mes doigts frais sur la peau irritée pour la calmer. Un peu déçue qu'il n'ai pas couiné, j'ai au moins la satisfaction de voir naitre un début de larme dans le coin de son œil.

"Oups ... désolée ..."

Je vois sa vengeance arriver mais j'amortis son coup avec ma poitrine. Enfin ... amortir ... c'est beaucoup dire. Je n'ai pas les nibards d'une bimbo toute refaite.

"Aïe!!"

Je l'ai un peu cherché.

"Si tu fais un geste de plus, je te renverse le pot de cire sur la tête!!"

Suki me regarde avec de grands yeux ronds et me fait comprendre que je vais trop loin. Quoi? Je ne fais que me défendre! Même ça, on veut me l'enlever? Je suis la seule à devoir subir sans rien dire et vivre la pire injustice du monde? Ça m'énerve et je m'agite (je reste quand même souriante).

"Les patches, c'était cadeau." Et je murmure ironiquement. "Ils étaient périmés ..."

J'attrape mes ciseaux que je fais claquer devant son visage. Un coup de peigne sur ses cheveux que j'ai mouillé et je m'attaque à sa coupe.

"Vous parlez beaucoup de moi mais je ne sais rien de vous. Vous êtes du quartier? Vous vous faites beau pour votre copine?"

8
Même sa voix est tellement similaire à celle de mon souvenir; même timbre, même intonation, même accentuation ... Il est tellement là que je patine un peu avec ma routine professionnelle. Je réponds machinalement à sa demande, à la limite de la courtoisie. Je reste focalisée sur ses derniers mots. On se connait un peu? un long frisson me remonte la colonne vertébrale et j'ai soudainement froid. J'agis comme un robot et même si je le regarde, mes yeux fixent le vague. Mon rire sonne étrangement détaché à sa vanne et Suki me regarde bizarrement. Hein? Ah! Hem ... Je reviens.

"Oui oui, vous pouvez me faire confiance, ne vous inquiétez pas et pour les petits gros, c'est Suki qui les prend d'habitude."

Battle de regards vengeurs et provocation mais nous sommes bonnes copines et ma patronne grogne un truc inaudible au sujet de mon comportement avant de s'occuper de sa cliente.

"La barbe? Je ... oui, je fais tout."

C'est gros mais je ne parle que de mon domaine professionnel. Un certain nombre de messieurs ajouteraient de nombreuses autres qualités à celles que j'exerce dans ce salon mais chuuutt, c'est presque un secret! Et puis, il ne me laisse le temps de rien faire. Sa main sur la mienne provoque un électrochoc et je me souviens de ses caresses sur mon corps. Arggghh non! Pas maintenant! Je bégaye encore un truc nul en guise de réponse et n'arrive même pas à le recadrer quand il propose un tutoiement. On est pas potes et on ne le sera pas ... mais après tout, que ne connait-il pas de moi?

"Euh oui ... en effet c'est intime."

Là, je suis bonne pour remporter la médaille d'or de la platitude. Plus cruche, tu meurs. Et encore une fois, c'est le regard de Suki (celui qui pèse hyper lourd) qui me remet dans le droit chemin. Je me réveille! Claire est là! On arrête les conneries! Je saute de mon tabouret et décide de commencer par la barbe. D'habitude, je fais le contraire mais là, j'ai besoin de retrouver ma zone de confort ... hors de son regard.
Je fais basculer le fauteuil et plaque sur ses yeux une petite serviette pliée qui sent super bon. Ok! J'ai éliminé la menace de ses yeux mais comme je vois qu'il peut lorgner par un interstice, je me ravise et enlève la serviette.

"Vous avez l'air épuisé et comme je détesterais que vous vous endormiez à cause de moi, je vous offre ... un soin des yeux!!"

Plaf! Un jeté plus tard, il a un gros patch humide à l'aloe vera sur chaque œil et ça me va très bien! Je m'attaque à sa barbe et m'absorbe dans mon boulot.

Claire la salope: ce type t'a baisé dans une ruelle et dans une piaule d'hôtel sordide.
Claire la normale: c'était juste un rêve, ça peut arriver, j'étais pas bien.
Claire la salope: pourtant, tu n'as oublié aucun détail et là, tu es toute chose dans ta culotte.
Claire la normale: arrête ça tout de suite! Tu sais très bien quel est le problème!
Claire la salope: évidemment, le problème c'est toi! A force de te planquer derrière ta malédiction, tu es devenue une nympho incontrôlable!
Claire la normale: quoi?? Non mais ça va pas! tu t'entends parler connasse?
Claire la salope: y'a que la vérité qui blesse. D'ailleurs, t'as envie de le sucer.
Claire la normale: mais ...N'importe quoi! Fous-moi la paix charogne!

"Tout va bien? C'est bientôt terminé pour la barbe."

Le résultat sera impeccable. Il a un beau visage, il pourrait être mannequin. Et comme je m'aperçois que c'est entre ses cuisses que se porte mon attention quand j'en ai l'occasion, je trouve le moyen idéal de me venger. Sans demander, je lui fais les pommettes à la cire. J'applique l'onguent chaud et odorant qui sèche en moins de deux.

"Je ne rirai pas si tu couines ..."

Tu? Trop facile de m'y mettre. Sob!

D'un geste sec et un peu sadique, je me venge sur ce pauvre homme des pensées que j'ai pu avoir. La cire, ça fait mal quand on y est pas habitué. Et même ...

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: lundi 15 juillet 2024, 15:50:37 »
Je peine à rester sur la pointe des pieds. Sa prise sur moi est sûre mais me laisse en équilibre précaire. Il joue, il mène la danse sauvagement et je paie mes dernières paroles. Heureusement qu'il ne peut pas voir mon visage car il jubilerait; échec et ass pour lui. Je suis à la limite de quelque chose d'immense et il y a de fortes chances pour que je m'évanouisse de plaisir. Il en aura fallu peu pour me mettre dans cet état mais je mets ma sensibilité sur le compte de tout ce qui s'est passé aujourd'hui.

J'ai eu autant d'émotions contradictoires que de surprises physiques, j'ai été traitée comme un jouet sexuel, j'ai été utilisée en public, j'ai été fringuée comme une trainée et largement dominée ... Normalement, Lilian aurait dû finir à minima avec une bouteille fracassée sur la tête, à défaut d'être envoyé en taule mais curieusement, je n'y ai pas songé une fois. Preuve que je suis (en partie) un peu de ce dont il me nomme si "gentiment".

"C'est ... parfait ..."

Que dire d'autre? A cet instant, je ne vais pas me mentir. J'ai tellement de fourmillements dans les entrailles que je ne sens même pas ses fessées. Je reste concentrée sur sa queue qui me perce les fesses et qui tape tellement loin que j'ai l'impression de le sentir remonter dans mon estomac. Et quand il me change de position en me faisant jouer les contorsionnistes, je ne sais pas s'il se rend compte de l'orgasme qui me ravage. Bouche ouverte, yeux révulsés, crispées comme une morte, je me cambre à me briser le dos tandis que j'inonde ... tout ce qui mérite de l'être. Bon, je ne m'évanouis pas mais j'en prends un coup dont il me faut une grosse minute pour récupérer sans que lui s'arrête de bourriner.

"At ... Attends ..."

J'essaye de bouger mais impossible. Je ne sais pas quel est le nom de la position qu'il m'impose mais il me ramène en un instant à l'état de nymphomane insatiable. Je me marre nerveusement, collée à la vitre du loft. Le seul qui pourrait nous voir doit être occupé là-haut à gérer tout l'univers donc je ne m'inquiète pas d'un éventuel mateur.

"J'aime ... ça ..."

Et par principe je demande quand même entre deux ahanements saccadés:

"Et toi? Ça te fait quoi de ME baiser sur le toit du monde?"

J'endure, je kiffe, j'en veux plus. Pour ma dernière, c'est le must, le paroxysme de ce qu'un couple peut fournir en intensité. Mes fesses sont à lui et je l'y sens tellement gros et palpitant que je me dis avoir loupé un truc plus jeune. La sodo, non ... sa sodo, c'est ce qu'il me fallait. Aussi, autant qu'il me malmène, je fais tout pour lui rendre la pareille. Sa queue, je la cajole en la comprimant et en la malaxant entre mes muscles rectaux. Et puis je réussis l'exploit de me tordre pour lui attraper la nuque et l'embrasser. Pas le baiser mortel du vampire mais plutôt la succion aphrodisiaque d'une succube déchainée.

"Remplis moi les fesses."

10
Centre-ville de Seikusu / Re : De tortue à torture, il n'y a qu'une lettre [Pv]
« le: dimanche 14 juillet 2024, 11:16:53 »
Mon traintrain quotidien ne change pas. A mes nuits agitées succèdent de longues journées où je vois défiler devant ma paire de ciseaux tellement de têtes que j'en oublie les visages. Après si j'en ai la force, je rentre chez moi pour tenter de cuisiner un truc, sinon, je m'arrête manger un bol de nouilles dans l'un des innombrables bouibouis de la ville. Après seulement, douche et au lit. Je suis fatiguée en ce moment. Mes pilules à sommeil ne fonctionnent pas vraiment (c'est une arnaque), et mes rêves sont perturbés, ils ne se déroulent pas normalement. Les mêmes éléments reviennent les peupler sans que je puisse les définir, comme si on voulait m'orienter sur un chemin que je ne veux pas prendre. Alors je résiste et je me réveille, en sueur, et toujours avec cette impression de déjà-vu.

Cet état joue un peu sur mon humeur générale et c'est vrai que j'ai envoyé bouler deux clients qui se montraient un peu trop entreprenants. Ça a fait du bruit mais j'ai été défendue par des témoins qui m'ont soutenue. Les types se sont venger en m'incendiant avec des commentaires désagréables sur la notation du salon et l'émoji que j'ai envoyé en retour n'a pas calmé les choses. La patronne du salon, Suki, a ensuite répondu avec des mots intelligents et depuis, le cours des choses a repris sa normalité. J'ai juste interdiction de répondre aux clients.

Aujourd'hui, j'ai eu pas mal de monde dont une femme qui m'a donné du fil à retordre avec une couleur spéciale. J'ai galéré avec ses mèches mais le résultat final est satisfaisant. Le café que je m'accorde à 18H15 est bien mérité. Je le savoure dans l'arrière salle en attendant mon dernier client. 15 minutes plus tard, Suki vient me chercher, il est arrivé. Je soupire. Allez, un dernier effort et ta soirée est pour toi! Mon compteur sexuel est à 50 pour cent à peu près.  Il me reste trois jours avant ma  ... prochaine dose. Donc, je compte bien ne rien faire d'autre ce soir que de me poser devant la télé et regarder un truc tout à fait quelconque. Un coup d'œil dans une glace pour constater que ma journée n'a pas trop marqué mon visage et me voilà de retour, presque pimpante avec un grand sourire pour accueillir mon client.

"Bonj..."

Mon bug est relevé par l'ensemble des personnes présentes qui me dévisagent curieusement. Je me rattrape heureusement sans bégayer, ou presque."

"Bonjour, je suis Claire! Bienvenue au Pearl Concept!"

C'est lui. Ce ne peut être que lui. D'habitude, mes partenaires ne font pas l'objet d'un souvenir bien précis sauf pour quelque uns. Et celui-là fait partie du nombre restreint de ces élus. J'ai pensé à lui, bien souvent. Enfin ... pas à lui, mais au type dont j'ai rêvé. Je me souviens de chaque détail, de son toucher et de son odeur, de la douceur de ses cheveux aussi... Mais, ce n'était qu'un rêve alors d'où sort-il lui? J'ai un mal fou à le regarder dans les yeux d'autant plus que je suis vêtue un peu comme dans mon rêve. Mon top est rikiki et mon short en denim l'est tout autant. Et je crois que j'avais les mêmes Converse aux pieds ...

Mon fauteuil, c'est par là! Et après l'avoir installer, je claque une serviette derrière lui avant de le préparer. C'est le claquement qui impose le silence le temps que je réfléchisse à la suite, ce qui , sommes toutes, est assez simple. Hissée sur mon tabouret à côté de lui, je demande ce que toutes les coiffeuses du monde demandent.

"Alors, de quoi avez-vous envie?"

Sans que je puisse m'en empêcher, mes doigts sont déjà dans ses cheveux. Oui, pas de doutes, c'est mon inconnu. Je déglutis car c'est peut être la dernière chose que j'ai faite lors de notre rencontre nocturne ... mais là, je n'ai rien à avaler. Est-ce qu'on s'est déjà croisé dans le monde réel et mon esprit aurait vrillé? Aucune idée ...

11
Centre-ville de Seikusu / Re : Enquête d'actions (pv Claire)
« le: jeudi 11 juillet 2024, 10:03:16 »
Son avertissement est sans appel et je ne m'attends pas à autre chose. Quand le feu couve, il en faut peu pour le réveiller. Je hoche la tête pour indiquer que j'ai bien compris avant de réagir immédiatement à son ... ordre. Je me redresse pour empoigner mes fesses et les écarter. Oh je suis sûre qu'il aime ce qu'il voit. Jusqu'à présent, j'ai à peu près tout entendu au sujet de mon arrière train: joli p'tit cul, rosace sacrée, rondelle mignonne, lovely backdoor ... Les mecs ne savent pas quoi inventer ... au point d'en être parfois ridicules. Le mieux, c'est de se taire. Pas besoin de pondre un poème quand on s'apprête à sodomiser quelqu'un. Et là encore, Kilian (YES! maintenant je sais!) ne fait d'erreur. Je haïrais à cet instant qu'il me sorte un truc mignon qui casserait l'ambiance. A la limite, il peut me sortir qu'il va essayer de ne pas me faire mal mais ça aussi, c'est optionnel.

Je frissonne.  Je frissonne toujours au premier contact quand je sais que ça va être spécial. Je sais déjà qu'il est gros, ça oui, et j'anticipe sa poussée d'une grosse inspiration, que je puisse avoir un truc à hurler au cas où.

"AAAaaahhhhh ...."

Honorable. Je reste dans le contrôle. Il peut prendre ça comme du plaisir tout comme un indicateur de douleur. Il a le choix puisque moi-même je ne sais pas trop ce qu'il en est. Mal ? J'ai vécu pire. Bien ? Pas tout de suite mais ...
Je le sens entrer en moi et écarter mon petit anneau serré. Ca passe et tout de suite, je sais que j'y arriverai. Je lâche mes fesses pour reprendre appui contre le mur, en posant mon front sur mes mains. Reste cool ma grande, ça va être top. Il faut positiver et puis surtout, je suis coupable de l'avoir invité. je passerai pour une conne de lui sortir un truc du genre: Euh ... écoute, en fait non, ça passera pas ...
Mais il a tout prévu, où plutôt, aux vues de son activité sexuelle, il doit avoir des pots de vaseline plein ses placards ... Je sursaute au contact froid du produit qu'il met aussitôt à contribution. Il pousse plus fort et j'ai l'impression qu'il est déjà tout en moi. Seulement ce n'est pas le cas.

"T'es ... vraiment gros."

C'est une évidence mais je me conforte à ma résolution première et je suis ses mouvements, plus loin, un peu plus fort. Je souffle pour m'y faire et finalement quelque chose se débloque pour qu'il plonge totalement en moi.

"AH OUI!!!!"

Oups ... Mon côté un peu salope qui ressort ... So sorry!
Nan, c'est pas trop dur Kilian mais merci de me le demander. Son passage dans mes fesses écarte mes chairs mais quand on s'y fait ( et encore une fois je ne suis pas novice), l'adaptation est rapide.

"Ca ... ça va Kilian (j'aime bien son prénom). Alors ... tu risques de m'aimer un peu plus ..."

Je le comprime et serre de toutes mes forces autour de son sexe avant de rouler du bassin. Entre le mur et son poids j'ai assez peu de place mais j'y arrive. Je sens son souffle excité derrière moi et passe un bras pour lui prendre la nuque et le tirer. Mon baiser de succube le prend par surprise, surement parce que je suis prête à le dévorer. Il accélère mais moi aussi et très vite, nos corps entrent en compétition. Je ne lâche pas le morceau. il a l'avantage de pouvoir me maitriser mais il ne faut pas oublier qu'il est EN moi. Et ce qui se passe dans mes fesses, c'est sous mon contrôle. Je lui impose de forcer, de râper, de racler, de plonger, d'ajuster l'angle. Je supporte ... non, ça me plait. Il m'excite et me titille mais je lui arrache sa main d'entre mes cuisses pour la guider à mon cou.

"J'aime bien ... la tendresse. Mais ... pas toujours."

Plus chienne, tu meurs.


12
Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: lundi 08 juillet 2024, 21:29:15 »
Ça, c'est le tiercé gagnant Mona! merci  :-*

- Alors, j'épouse Jack parce que je ne l'ai pas encore épousé et qu'il a eu des gentils mots pour moi.

- J'esclavagise forcément Serenos parce qu'avoir un roi pour esclave, c'est un juste retour des choses.

- Et je tue Anubis parce qu'en faisant ça, je le renvoie chez lui. C'est pas top? Même pas de regrets!

Pour la suite, je propose: Killian Piers, Draven Dairn et Karl Neumann!

13
Blabla / Re : On se complimente ?
« le: dimanche 07 juillet 2024, 23:54:09 »
Ah oui, ah oui ! Moi je veux bien parce que j'en ai des trucs à dire sur Killian.

Killian, c'est la fiche que j'ai relue ... cinquante fois sans jamais réussir à lui exprimer mes idées par MP. Je me suis dis: oulà ça va être dur, mon perso va douiller et se retrouver balloté dans tous les sens sans pouvoir dire ouf! Mais bon, quand on lit autant une fiche, c'est que quelque part ça matche.

Et oui, Killian en fait, c'est un super mec! Ses qualités sont innombrables mais je ne mentionnerai rien concernant son physique, ce serait trop flatteur pour lui, et réveillerait mes propres faiblesses  ::)
Alors, il faut savoir et c'est super important, que Killian cuisine. Moi, il m'a conquise avec un curry. je ne résiste pas à deux choses: un homme qui cuisine (bien en plus), et un autre truc inavouable qu'il a presque immédiatement décelé. Ce qui m'amène à dire que Killian est perspicace et que derrière chaque mot cru se cache une analyse fine de son interlocutrice. Il sait appuyer la où ça fait mal ça fait du bien et il vous rappellera pourquoi vous êtes avec lui sans prendre de pincettes (je crois que c'est là que je me suis dit, c'est lui!!!  ;D )

Killian ne chipote pas et c'est donnant-donnant. Si le monde entier pouvait être comme lui, il irait beaucoup mieux.

Et puis, avec lui, j'ai découvert que même un bulldozer peut être sexy ... et aussi que je suis plus solide que j'en ai l'air. Alors merci Killian.

Je terminerai en mettant en avant sa gentillesse et son attention, et son écoute aussi, lors de nos échanges par MP  (pour le joueur que je remercie).

Kiss!

Et pour le prochain, qui voudrait dire du bien de notre modérateur-poète qu'est Serenos?



14
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: dimanche 07 juillet 2024, 23:15:17 »
MVDD, lui, n'a pas d'odeur, mais ça ne m'empêche pas de le suivre ...

15
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 07 juillet 2024, 11:35:57 »
8

Citer
Et disse ! Si Claire passe par là... :P

@Jack Marston Je note pour une prochaine fois. Merci pour l'intérêt  :P

Pages: [1] 2 3 4